Elections fédérales 2023. Prestation de Serment des parlementaires. Nous ne vous reconnaissons aucune légitimité

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Michel Piccand, 05.12.2023

 

Elections fédérales 2023. Prestation de Serment des parlementaires. Nous ne vous reconnaissons aucune légitimité

La Suisse est un beau pays rempli de principes. Qu’elle n’applique pas. Ou plus, serait-il plus juste de dire. Les votes à peine comptés, les politiciens et les journalistes, comme à leur habitude, sont venus nous expliquer que la dernière élection fédérale de 2023 nous a montré que notre démocratie fonctionne et plutôt bien. Quelle foutaise !

Cette élection fédérale, comme la précédente d’ailleurs, a violé au moins deux principes fondamentaux de nos droits politiques. Le premier de ces principes c’est le droit de voter avec un consentement libre et éclairé. Le second, c’est celui du respect du principe de  la bonne foi. Ces deux principes essentiels pour une démocratie ont été violés et écrasés par des politiciens qui n’ont plus aucun scrupule.

Parce que quand même il faut rappeler une chose – je sais, je me répète – c’est qu’il y a dans notre Constitution deux dispositions qui ne sont pas appliquées depuis maintenant sept ans ! Oui vous avez bien lu. Cela fera maintenant sept ans que les dispositions qui interdisent l’immigration de masse sont confisquées par le parlement qui refuse de les appliquer, et bien qu’elles soient écrites en toutes lettres dans notre Constitution. Et l’on nous explique que notre démocratie fonctionne. Balivernes !

La violation constitutionnelle est flagrante. Et malgré cela, ce lundi 4 décembre c’est toute la smala des nouveaux élus et des réélus qui est venue au grand jour se congratuler et se présenter pour être intronisée au parlement, et prêter serment en jurant qu’ils respecteront notre Constitution. C’est une condition pour entrer au parlement, qui ne jure pas de respecter la Constitution ne peut entrer en fonction.

Mais qui dans ce pays croit encore à leur serment ? Leur mascarade n’est plus crédible, ce n’est plus qu’un théâtre parodique exécuté par des marchands du temple qui prennent les citoyens pour des pigeons. Ils ont transformé le Parlement en repaire de truqueurs qui ont tous les culots.

Il faut avoir entendu le discours de ce jour du président de l’assemblée Gerhard Pfister dont on ne compte les fois où il a prononcé les mots démocratie et institutions et alors qu’il s’assied dessus et est en train de les écraser. De quoi faire perdre toute confiance en la nature humaine.

Notre Constitution est violée en continu depuis le mois de décembre 2016, lorsque la majorité pro-européenne du parlement (PLR, Centre, PS et Verts) a confisqué les droits politiques de notre peuple en votant une loi d’application qui n’applique en rien les dispositions contre l’immigration de masse.

Et à chaque nouvelle rentrée de législature c’est la même mascarade, ces mêmes politiciens viennent tous jurer la bouche en cœur qu’ils respectent notre Constitution. C’est tout simplement écœurant.

Une telle duplicité, un tel manque de respect pour le citoyen et les institutions devient d’un minable indescriptible. Nous sommes là face à des mœurs parlementaires qui violent au grand jour tous les devoirs de l’honnêteté politique et de la bonne foi. Du point de vue institutionnel ce sont là des mœurs de personnes qui n’ont aucune morale. Ces gens-là mentent comme ils respirent.

Qui jure de respecter la Constitution alors qu’il sait pertinemment qu’il est en train de la violer et qu’il va continuer de le faire commet un crime politique de la dernière espèce. Qu’est-ce d’autre en effet ?

Lorsque le politique détruit lui-même l’honnêteté, ce ciment nécessaire pour que s’établisse la confiance entre l’Etat et les citoyens, c’est exactement ce crime contre les mœurs de notre nation qu’il commet. C’est la valeur fondamentale qui est censée être au fondement même de toutes nos lois que détruisent ici ces parlementaires. C’est la confiance des citoyens dans nos institutions qu’ils attaquent et désossent comme les derniers des hommes et des femmes politiques.

Et la question qui devrait se poser est bien de se demander pourquoi nous ne dénonçons pas de tels abus devant la justice ? Et bien justement, parce que l’on ne peut pas. Le tribunal fédéral refuse de revoir les actes du parlement, au nom du principe de la séparation des pouvoirs et parce que notre Constitution l’en empêche. Et quand de misérables parlementaires en profitent avec une telle bassesse c’est donc bien toute l’architecture de nos droits politiques qui est à revoir.

Nos lois sur les droits politiques sont devenues totalement archaïques et inadaptées. Elles sont en train de devenir aussi peu crédibles que ces parlementaires. Si l’on compare nos lois politiques à celles des Etats d’Amérique du Nord c’est la honte qui nous envahit. Nos lois électorales sont des feuillets de papier à côté des bibles dans lesquelles les Nord-Américains prévoient tout jusqu’au moindre détail. Il y a une petite quarantaine d’articles dans notre loi électorale pour le Conseil national, il n’y en a pas moins de six-cents pour l’élection au parlement du Canada. Nos lois politiques ont été conçues pour un monde qui n’existe plus, pour une autre mentalité, elles avaient été établies pour des gens qui avaient du respect pour la parole donnée et pour le serment fait devant les institutions et devant le peuple. Ces lois ne sont plus adaptées aux politiciens d’aujourd’hui.

Nous avons aujourd’hui des partis politiques qui pris à eux seuls ne représentent que de très petites parties de l’électorat, et qui s’allient ensemble pour violer la Constitution, et on ne peut rien faire contre eux. C’est ça notre réalité politique d’aujourd’hui.

Des politiciens confisquent le vote de toute une nation, violent la Constitution, se représentent législatures après législatures à l’élection, et peuvent revenir à chaque fois jurer de nouveau, et pour certains pour la troisième fois de suite, qu’ils respectent nos institutions ?

Mais comment cela est-il seulement possible ?

Leur serment ce n’est que du vent, il n’a aucune valeur, ce ne sont que des simagrées, un théâtre de moutons de panurge où l’on croit que c’est le protocole qui fait la valeur, une énième tromperie qu’ils rajoutent en toute impunité à leur absence de loyauté envers le peuple.

Ne leur confiez jamais vos enfants, ne confiez jamais vos enfants à des parjures qui font de faux serments. Demain ils vous trahiront.  Ces gens sont incapables de respecter les principes les plus élémentaires de nos droits politiques.

Et pourtant, confier leur destin, c’est exactement ce que viennent de faire de nombreux Suisses en donnant leurs voix à ces politiciens lors de la dernière élection. Mais comment les en blâmer ? Encore aurait-il fallu que ces citoyens aient connaissance et conscience de tout ce qui est en train de se passer. Et chacun le sait, ce n’est ni sur les autorités gouvernementales, ni sur la RTS, ni sur les médias commerciaux de ce pays que l’on peut compter pour dire la vérité.

Les citoyens qui ont voté pour le PLR, le PS, les Verts et le Centre, savaient-ils qu’ils ont voté pour des parjures et des politiciens qui font de faux serments et violent les fondements même de nos institutions ? Ces citoyens adhèrent-ils à cette absence de tout scrupule ou n’en ont-ils jamais entendu parler ? Parce que c’est cela aussi la question.

Lorsque le citoyen délègue son pouvoir politique à un représentant, il devrait avoir une connaissance complète de ce qui se passe dans les institutions, il devrait savoir si le candidat qu’il choisit est digne de confiance ou non, si c’est un parjure à répétition dont le serment n’a strictement aucune valeur, il devrait savoir quels sont les faits.

Ce n’est qu’à cette condition que l’électeur pourrait prétendre avoir reçu une information complète sur les candidats qu’il a choisis. L’a-t-il reçue ? Bien sûr que non.

Ici à nouveau, tout est mensonge, ici aussi il y aurait matière à se plaindre en justice contre la désinformation du citoyen. La condition d’un choix électoral libre et éclairé passant clairement par le droit de savoir si le candidat choisi est un candidat dont le serment et la parole donnée vaut quelque chose ou non. Mais alors on présume sans aucun risque que le Tribunal fédéral, si pusillanime, répondrait qu’il appartient au citoyen de se renseigner pour séparer le bon grain de l’ivraie.

Même lorsque le plus puissant média du pays – la RTS – inculque à ce même citoyen jour après jour qu’il vit dans une démocratie institutionnellement formidable et qu’il n’y a aucun problème de ce côté-là ? Pure foutaise !

Quel incroyable monde d’hypocrisie et de mensonges dans lequel nous vivons ! Un monde dans lequel l’on bourre le crâne des citoyens de contrevérités et dans lequel personne n’ose se lever pour dire : Maintenant ça suffit !

Cette élection fédérale nous renvoie donc à cette réalité qui est que rien ne va changer. Si l’on se réjouit bien évidemment des nombreux sièges gagnés par l’UDC et les en félicite, cela ne va rien changer. Le parlement va reprendre ses petites alliances de petits partis pro-européens qui pris isolément sont très petits du point de vue électoral mais qui réunis en majorité au parlement vont continuer à faire la pluie et le beau temps en matière de politique migratoire et de politique de neutralité.

Et encore une fois cette situation nous montre que nos institutions doivent être changées. Les citoyens doivent reprendre le contrôle sur le parlement en modifiant nos institutions. A vrai dire, comme déjà dit plusieurs fois, nous avons besoin de toute urgence d’une réforme profonde de notre Constitution.

Ne serait-ce que pour empêcher que des minorités politiques qui n’ont rien à voir entre elles puissent s’allier pour confisquer notre politique de neutralité et notre politique migratoire. Ne serait-ce que pour empêcher que des menteurs à répétition tiennent dans ce pays les rênes de l’information sans que l’on ne puisse rien faire  pour les dénoncer.

Une réforme constitutionnelle d’importance doit venir, c’est une nécessité absolue, une question de survie politique pour les Suisses et pour notre pays. Il n’est plus possible de laisser la politique se dérouler de cette manière.

Pour reprendre l’exemple de la loi électorale du parlement du Canada, les faux serments y sont réprimés, comme à ce que l’on peut en savoir dans tous les états d’Amérique du Nord. Le parlementaire canadien qui commet un faux serment, un parjure, ou n’importe quel acte illicite, n’est plus éligible, au moins pour une période de sept ans.

Et en Suisse ?

Rien. Absolument rien. Ils peuvent continuer à mentir tant qu’ils veulent.

Il n’existe strictement aucun contrôle direct sur le parlement. Des parlementaires peuvent violer la Constitution, confisquer les votes de toute une nation, et malgré cela se représenter et reprêter serment législature après législature, la bouche en cœur, sans qu’il ne se passe rien. On peut les dénoncer au Ministère public de la Confédération sans même que celui-ci ne lève le petit doigt.

La Suisse n’a plus ici ni le visage ni les caractéristiques d’une démocratie, pas plus que d’un Etat de droit. La bonne société politique qui fait très hypocritement semblant de regarder ailleurs, ou d’oublier ce qu’il s’est passé, est devenue du point de vue constitutionnel une assemblée de délinquants par habitude que plus personne n’ose contrarier. Les caractéristiques même de notre démocratie sont devenues celles d’une dictature, d’une dictature par définition.

Et que l’on ne vienne pas nous expliquer que nous sommes là dans une théorie du complot, parce que ce que l’on expose ici ce sont des faits, juste des faits. Et pour en avoir la preuve il suffit simplement d’ouvrir notre Constitution aux articles 121 a et 197 ch. 11 et de les lire et de se demander si ce qui y est écrit est appliqué ou non.

La réponse nous la connaissons, rien de ce qui y est écrit n’est appliqué. L’immigration de masse n’est ni arrêtée ni même modérée ou contrôlée dans notre pays. C’est une honte, une véritable honte.

Et même pire. Cette situation nous montre quelque chose d’encore plus grave que la honte, elle nous montre que nous sommes déjà entrés dans un phénomène de déchéance, de déchéance de nos droits politiques. Ce parlement n’est plus qu’un théâtre fait pour les simagrées, la cérémonie de prestations de serment pour l’entrée au parlement qui a eu lieu ce 4 décembre n’est plus que le théâtre d’une parodie mise au service d’une dictature.

Et alors au citoyen le devoir de le dire et de s’en rappeler :

« Parce que si le citoyen ne le dit pas, personne d’autre ne le fera à sa place».

Oui, vous là-bas au parlement ! Vous devriez raser les murs. Parce que du point de vue de l’honnêteté morale et intellectuelle vous n’avez strictement plus aucune légitimité ! Vous êtes la honte de notre nation et de tout ce qui constitue notre morale commune.

Vous n’avez strictement plus aucune idée de ce que représente la croix qui est sur notre drapeau.

Michel Piccand

04.12.2023

 

P.S.  Certains pourraient croire que mes propos sont ici excessifs, il n’en est rien. Ils sont encore modérés. Ou alors il faudrait qu’ils m’expliquent comment on appelle un système politique dans lequel le peuple vote une loi pour ralentir une immigration qui le submerge mais que son gouvernement, non seulement confisque cette décision politique, mais affirme au contraire que la population peut encore s’accroître d’un tiers par l’immigration. Au point que la population de souche sera politiquement mise en minorité. Oui, qu’ils nous disent alors comment ils appellent un tel système politique, où le peuple prend une décision mais où le politique décide exactement du contraire et l’impose ?

Cela s’appelle une dictature, cela n’a pas d’autre nom.

Cette augmentation d’un tiers de notre population par la migration fait référence aux récents propos de la Conseillère fédérale socialiste Elisabeth Baume-Schneider, en charge de l’immigration, qui en défendant l’immigration et la libre-circulation des personnes vient d’affirmer que la Suisse peut tout à fait supporter une population de 12 millions d’habitants ! Soit un accroissement de la population d’un tiers de sa population actuelle et uniquement par l’immigration.

Est-ce que l’on s’imagine un peu du culot et de l’arrogance qu’il faut pour le dire alors que notre Constitution prescrit qu’il faut ralentir l’immigration. Cette femme a le plus parfait mépris pour ce que nous pensons et pour ce que nous avons décidé. Elle porte le plus parfait mépris à notre Constitution. Et elle est au gouvernement !

« Elisabeth Baume-Schneider exclut d'externaliser les procédures d'asile. » Blick 26.11.2023.

 

 

 

7 commentaires

  1. Posté par Jean Marc le

    On doit dissoudre les deux chambres federales, le Conseil Federal, interdire TX Group et Ringier, la commission federale contre le racisme, opération libero, le vote par correspondance, et ouvrir les bureaux de vote tout le weekend, quand il y a une votation, avec une urne transparente et scellée. Çela permettra au peuple Suisse de reprendre sa democratie directe qui lui a été confisquée, par des reseaux que l’ on a pas le droit de critiquer, dans les medias qui leur appartiennent, et des medias qu’ ils contrôlent,car il ne fait aucun doute que nous ne sommes plus dans une democratie directe. Les politiciens nous font croire qu’on est en democratie, mais çe n’ est qu’une illusion. Ils sont protégés par les medias qui travaillent pour la destruction de la Suisse. Si un politicien voudrais defendre l’ interêt de la Suisse et des Suisses, il serait tout de suite diaboliser dans les medias, et si ça ne suffit pas, ils truquent l’ election pour qu’il n’accède pas au pouvoir, á l’inverse, ils truquent les élections pour que certains politiciens accedent au pouvoir, pour faire de la Suisse, un pays vassal des americains, et avec la complicité des medias.

  2. Posté par aldo le

    @antoine le 5 décembre 2023 à 18h51 , c’est pourtant simple il suffit de me lire avant le commentaire d’antoine… utiliser un VPN pour découvrir qu’il n’y a que les Italiens qui ont droit de connaître la sainte Germana Sommaruga, issue d’une secte mondialiste, du moins en apparence. http://lesobservateurs.ch/2017/11/12/simonetta-sommaruga-notre-responsabilite-est-desormais-de-
    nous-engager-en-libye/, … Et j’en ai écrit d’autres sur le même thème !

  3. Posté par aldo le

    Le temps n’est pas loin où l’élection verra débouler des bandes de dealers aux abords du palais fédéral. La “démocratie” de ces imposteurs à la solde de puissances étrangères, eux-mêmes esclaves de ces substances, ne leur appartient plus. Voilà pourquoi ils entendent bien par pure esprit de vengeance, nous précipiter dans leurs délires. Délires de camés totalitaires, sous la simplicité des injonctions du “yaka” ou du 49-3 en France. Même s’ils ne l’expriment pas, on devine qu’ils applaudissent sous la table, cette profession de foi totalitaire de Macron: “J’emmerde les Français!”

    J’emmerde les Suisses a très largement remplacé “un pour tous, tous pour un”. Et le meilleur exemple c’est “L’IDENTITÉ NUMÉRIQUE” OBLIGATOIRE IMPOSÉE AU PAS DE CHARGE, POUR PLAIRE AUX SEIGNEURS DE BRUXELLES. https://www.bvoltaire.fr/lidentite-numerique-un-saut-quantique-sans-retour-en-arriere-possible/ https://www.24heures.ch/projet-sur-les-rails-les-cinq-choses-a-savoir-sur-la-nouvelle-identite-electronique-244737919185 Elisabeth Baume-Schneider adopte la burqa virtuelle de supermenteuse, ce qui explique largement le pourquoi de son élection au Conseil fédéral. A l’évidence, élu(e)s, traîtres ou traîtresses, à la botte de l’UE rss, c’est déjà l’identité génétique nécessaire pour pouvoir revendiquer ces postes imposés grâce aux actions corruptrices de Soros&Co et des ses myriades de sectes en pleine action, que personne ne remarque.

    Et nos politicards vendus ne sont pas à une contradiction en s’opposant aux caméras des CFF, mais pas au “puçage” citoyen. https://www.blick.ch/fr/news/suisse/entre-la-gauche-et-la-droite-les-interventionspleuvent-les-politiciens-veulent-freiner-les-plans-de-surveillance-des-cff-id18348492.html LES CAMERAS DES CFF OU L’ IDENTITÉ NUMÉRIQUE C’EST POURTANT LA MÊME MÉCANIQUE, mais encore plus perverse. “La puce dans le cul” diraient certains avec raisons, car chaque citoyens est pucé donc suivi en permanence, avec un abonnement et un smartphone devenus obligatoire et à ses frais. Sans compter les coût de l’outillage d’un bureau et d’un pc, pour gérer plus facilement toutes ces sollicitations obligatoires et ces avalanches d’e-mails publicitaires, sans compter le doublage papier virtuel imposé par l’insécurité perpétuelle.

    UNE DICTATURE ESCLAVAGISTE EST EN TRAIN DE S’IMPOSER EN PLUS DU TRI DE POUBELLES ETC. ETC., Tous les services et les actions des téléphonistes sont reportés sur nos épaules et à notre charge, sans aucune rémunération et très souvent sans réponses.. c’est ça la dictature: “ferme ta gueule et tais-toi!”. C’est ça l’esclavagisme de l’Etat bolchévo-nazi européen. https://lesobservateurs.ch/2022/11/19/lue-ignore-les-critiques-et-prevoit-une-carte-didentite-numerique-pour-2024/

  4. Posté par Studer le

    Excellente prise de position M. Piccand, je signe tout de suite. Faites des propositions, il faut changer la constitution et tout ça et vite !! On en peut plus. Si on continue comme ça nos enfants vont se ramasser.

  5. Posté par colomb bernard le

    Le peuple doit faire attention à ces magouilles. L*immigration; Regardez la France, la Belgique, ou plus personne ne peut sortir de chez lui sans risque de viol, coup de couteau, et mourir au nom de leurs députés.
    Vous avez accepté le vaccin Covi et de là les autorités en profite car la peur vous à fait fermé les yeux. On s*aperçoit, que l*épidémie; est une escroquerie sans précédent, on à pas soignés les gens mais handicapés à vie sans compter les morts. Rien n*est perdu, mais il faut vous ressaisir. Le temps presse!

  6. Posté par bonardo le

    Ou est la démocratie en Suisse ?

  7. Posté par antoine le

    et prêter serment en jurant qu’ils respecteront notre Constitution. C’est une condition pour entrer au parlement, qui ne jure pas de respecter la Constitution ne peut entrer en fonction.”
    Comment a-t-elle fait Mme Sommaruga (PS) pour devenir Conseillère Fédérale SANS VOIR JAMAIS PRÊTER SERMENT !!??
    Voir les photos publiées dans la presse en 2011, 2015 et 2019

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