Carla Montet: A l'heure où la population est ébahie par l'explosion des primes maladie, voilà que cette Gauche, qui pousse à faire exploser le système de santé pour imposer sa caisse unique, rajoute encore ce genre de centre de "soins" qui fait déjà vivre tout un pan du secteur de la santé.
L’État ne devrait jamais devenir complice, voire promoteur de ces addictions. Le rôle de l’État vise la protection de la santé de chacun et pas – sous prétexte de pseudo-soins – la destruction de la santé. Nos médias rabâchent sans cesse que la répression a échoué dans la lutte contre ces produits. La solution serait que l'État devrait réguler le marché en devenant lui-même un vendeur de drogue afin de faire disparaître le trafic illégal. Or ces trafiquants font également partie du fonds de commerce de la gauche, c'est aussi l'un de leurs commerces idéologiques.
En expulsant déjà les trafiquants de drogue, en contrôlant nos frontières, et en réprimant sévèrement les trafiquants, il n'y aurait plus de ravages pareils parmi les jeunes; tout le monde y trouverait son compte. Mais ici, comme dans chaque projet de société socialiste, nos médias subventionnés poussent un agenda, à savoir une étatisation des problèmes.
Et plus l’État prend de l'importance, plus les gens dépendent de l’État, plus les gens votent socialiste, car c'est "l’État" qui paye, amenant toujours un appauvrissement général de la population.
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Le crack est l’une des drogues les plus addictives du monde. Elle détruit psychologiquement et socialement ceux qui la fument. Une jeune consommatrice de crack a accepté de partager son difficile quotidien avec nous. Inasse a 24 ans, elle nous parle sans filtre de l'enfer qu'est le crack. Attention, des propos et des images peuvent heurter la sensibilité de certains.
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Lausanne copie conforme à Genève … !!
”Or ces trafiquants font également partie du fonds de commerce de la gauche, c’est aussi l’un de leurs commerces idéologiques”