Propos pleins de bon sens. Peuple comblé les Suisses ? Oui il y a 80 ans et encore dans certains milieux. Mais aujourd’hui l’invasion et la soviétisation fascisante de la vie politique et médiatique laisse peu de places à d’autres opinions. Ce qui nous emmène à accepter des conspirations ourdies depuis l’étranger visant à s’assurer la destruction des idéaux qui ont meublé et consolidé la notion de neutralité. Or ces principes bétonnant la neutralité sont inopérants sur les réalités, car sans armée digne de ce nom la neutralité s’évapore dans les compromissions avec les adversaires de plus en plus nombreux. Les faiblesses de la Suisse sont comme celles des Etats-Unis et de leurs alliés, dont la condition est devenue celle d’esclaves. Elles conduisent le monde à l’anarchie avec des prétentions guerrières qui minent et déstabilisent l’ensemble de la planète et son avenir. En France, avec les noyautages politico-médiatiques, la fonction de garde des sceaux s’est érodée au point de ne garder plus que les sots qui conduisent à la ruine.
Propos pleins de bon sens. Peuple comblé les Suisses ? Oui il y a 80 ans et encore dans certains milieux. Mais aujourd’hui l’invasion et la soviétisation fascisante de la vie politique et médiatique laisse peu de places à d’autres opinions. Ce qui nous emmène à accepter des conspirations ourdies depuis l’étranger visant à s’assurer la destruction des idéaux qui ont meublé et consolidé la notion de neutralité. Or ces principes bétonnant la neutralité sont inopérants sur les réalités, car sans armée digne de ce nom la neutralité s’évapore dans les compromissions avec les adversaires de plus en plus nombreux. Les faiblesses de la Suisse sont comme celles des Etats-Unis et de leurs alliés, dont la condition est devenue celle d’esclaves. Elles conduisent le monde à l’anarchie avec des prétentions guerrières qui minent et déstabilisent l’ensemble de la planète et son avenir. En France, avec les noyautages politico-médiatiques, la fonction de garde des sceaux s’est érodée au point de ne garder plus que les sots qui conduisent à la ruine.