Carla Montet : Venir étudier des quatre coins du monde, de Gambie, du Sénégal, d'Iran, etc., c'est une astuce comme une autre pour pouvoir résider en Suisse.
L'EPFL était par exemple un filon connu de nombreux Africains. Il arrivait aux étudiants de ne pas comprendre un mot de ce qu'on y enseignait, car ils n'avaient même pas le niveau secondaire africain. Dans certains villages, c'est le pasteur local qui aidait à constituer les dossiers des "diplômés". C'était à l’époque d'Aebischer et des villages africains se sont vidés de leurs jeunes, qui se retrouvaient ici comme étudiants (en première année pendant un bon moment), puis, après avoir épuisé toutes les prolongations possibles, se faisaient régulariser par un autre moyen ou, au pire, prenaient le chemin de la clandestinité.
L'EPFL a mis fin à ce genre de trafic, mais la pratique s'est répandue ailleurs. Quasiment tous les pays fournisseurs de migrants sont concernés par le phénomène.
Et pas plus que les demandeurs d'asile définitivement déboutés, ces "étudiants" ne sont disposés à retourner dans leur pays d'origine.
Nos autorités qui n'ont pas vraiment lutté depuis des décennies contre ces combines devraient se poser la question: pourquoi de jeunes Iraniens rêvent-ils de faire leurs études de psychologie à Lausanne, dans un pays culturellement si différent?
Et s'il s'agissait réellement d'enrichissement culturel, pourquoi si peu de petits Blancs issus du politiquement correct se sont inscrits pour faire leurs études dans l'un de ces pays, comme par exemple, l'Iran?
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Le Tribunal administratif fédéral a trouvé qu’un étudiant iranien poussait le bouchon trop loin. Il doit quitter le pays.
[…] La Suisse accueille volontiers des étudiants étrangers dans ses universités. Mais […]
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Un profiteur point barre !
Ou comment nos autorités sont prises pour une bonne poire par certains étrangers. Mais bon, l’essentiel est qu’on soit « woke », pardi !