Suède : Deux jeunes garçons frappés, violés et torturés, puis enterrés vivants, parce qu’ils avaient refusé d’acheter de la drogue (MàJ : un Tunisien et un Kurde inculpés)

post_thumb_default

 

22/11/2020

Suède – Deux garçons qui ont été torturés, violés et enterrés vivants dans un cimetière ont déclaré qu’ils avaient l’air d’avoir “pris une douche de sang” après avoir échappé à leur calvaire.

Ils ont dit à la police qu’ils avaient été enlevés, frappés à coups de pied, de poing, brûlés, poignardés et qu’on leur avait ordonné de se déshabiller.

(…) En creusant leur tombe, les victimes ont révélé qu’ils étaient continuellement battus par leurs agresseurs. L’un des garçons a dit qu’il était “difficile de savoir combien” de coups de poing et de pied ils ont reçus.

Ils étaient bâillonnés avec leurs propres chaussettes. Leurs ceintures ont servi à attacher leurs mains, tandis que leurs jambes étaient attachées avec des morceaux de tissus. Ils ont été également violés, torturés et brûlés avec des briquets.

La police a publié jeudi des images pixelisées des suspects.

(…) The Sun


(…) Les deux suspects, un Tunisien de 18 ans et un Kurde de 21 ans ont été inculpés. Ils ont la nationalité suédoise

Nyheter Idag


28/08/2020

Un véritable acte d’horreur s’est produit en Suède samedi dernier : deux jeunes hommes âgés de 18 et 21 ans ont violé et maltraité deux jeunes mineurs dans un cimetière de la ville de Solna pendant plusieurs heures, les pillant également. Ils ont ensuite enterré les deux garçons vivants et les ont laissés à leur sort. Ils n’ont été sauvés que parce qu’un marcheur est passé et a appelé la police. L’âge des victimes n’est pas encore connu.

Les deux suspects, actuellement en garde à vue, seraient un Iranien et un Arabe. À l’origine, ils voulaient vendre de la drogue aux deux mineurs rencontrés dans le centre-ville peu après 23 heures. Lorsque les jeunes ont refusé, leur calvaire a commencé, et aurait durer plus de dix heures.

Les mineurs ont dû creuser eux-mêmes une fosse.

Les deux jeunes hommes ont forcé leurs victimes à se rendre au cimetière voisin et y ont commencé la torture, qui n’a pris fin que dimanche matin. Le journal suédois “Aftonbladet” a fait état de “la torture et des violences abusives”. Pendant la nuit, les auteurs auraient également demandé à leurs victimes de se déshabiller et de creuser la fosse dans laquelle elles ont finalement été enterrées. Ils ont également été poignardés aux jambes.

La police présume qu’il n’y a aucun motif à cet acte insensé. Les mineurs ont probablement été choisis au hasard par les auteurs.

Les deux hommes sont déjà connus de la police.

L’homme de 21 ans a été condamné pour un incendie criminel au début du mois de juillet pour avoir jeté des cocktails Molotov dans un magasin de voitures. Il a déjà été condamné six fois. Le jeune homme de 18 ans a conduit sans permis et a été envoyé dans une institution pour jeunes en 2019 pour avoir volé une voiture.

Kronen Zeitung

 

L’article Suède : Deux jeunes garçons frappés, violés et torturés, puis enterrés vivants, parce qu’ils avaient refusé d’acheter de la drogue (MàJ : un Tunisien et un Kurde inculpés) est apparu en premier sur Fdesouche.

 

Extrait de: Source et auteur

Suisse shared items on The Old Reader (RSS)

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.