Roger Koeppel : Le régime d’urgence dictatorial doit prendre fin

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Roger Koeppel : Le régime d’urgence dictatorial doit prendre fin

 
Dans son éditorial de la Weltwoche, Roger Koeppel rappelle qu’au premier trimestre moins de personnes sont décédées en Suisse que dans la plupart des autres années depuis 2015 et que le risque de mourir du Corona est pratiquement nul chez les moins de 65 ans. En fait, ils pourraient tous retourner au travail, à l’école, à la vie. Mais l’État s’enfonce dans le chaos d'une  économie planifiée par un régime qu’on peut qualifier de dictatorial. Il est maintenant temps de sortir de cette folie.

 

Traduction (extraits) : L’étatisme commence à obscurcir les pensées. Beaucoup dans la société bourgeoise se sont au début presque mis à genoux pour remercier le Conseil fédéral pour ses « aides » et ses « mesures de sauvetage » si généreuses. Les entrepreneurs doivent-ils maintenant encore dire merci à l’État, lorsqu’ils demandent une compensation pour les dégâts que le gouvernement leur a causé par ses directives ?  Chaque semaine que le confinement dure encore, l’économie perd six milliards. Ensorcelés et fascinés, les journalistes louent les « brillants communicateurs » Alain Berset et Daniel Koch. Mais Fidel Castro communiquait aussi brillamment.

C.H., 30.04.2020

3 commentaires

  1. Posté par toyet le

    Et toujours pas de Weltwoche ne suisse romande……

  2. Posté par Dominique le

    Ces mesures contre cette pandémie ne sont pas fondées sur une analyse de la situation, en particulier des mortalités hebdomadaires moyennes, et les pratiques épidémiologiques classiques mais sur un drame mensonger décrit par des médias et des élus autoritaires. C’est un chapitre de psychopathologie qui fera rire nos descendants et surtout qui nous coûtera fort cher, d’autant plus que nos autorités avaient fait l’erreur de ne guère nous y préparer, de nous endetter puis ont créé une perverse catastrophe économique.

  3. Posté par aldo le

    Pas si facile de se débarrasser d’une dictature bolchévique qui trône au C.F.. D’autant plus qu’ils trainent des casseroles d’incompétences et de responsabilités suite à la crise du Coran0virus qu’ils nous ont imposées avec leurs migrants terroristes soldat(e)s islamistes, enfants teigneux compris volontairement infectés.
    Encore plus parce qu’après avoir fait état sur les observateurs de ma découverte que les migrants jouissant automatiquement de la couverture d’assurance maladie produisaient sur demande une carte d’assurance SwssiRisk, mon texte très long a été censuré. Or cette entreprise en cheville voir cul et chemise avec des entités cantonales comme l’Evam et vis de commissions sur contrat, donc très intéressée à l’industrie de l’immigration de masse. C’est aussi l’occasion de servir de paravent aux assurances-maladies qui sous-traitent ces marchés monopolistiques obligatoirement imposés aux assurances à cause de l’Europe et ses saloperies juridiques.

    Dernière découverte, elle est l’émanation d’un ancien Conseiller d’Etat genevois Claude Haegi, domicilié à Thonon… avec grosse retraite auto-octroyée, mais qui a repris ses anciennes activités d’assureurs en créant SwissRisk (Swiss Risk) en compagnie d’Alain Zbinden. Pour mémoire, Haegi franc-maçon (Alpina?) a été à l’origine de l’initiation maçonnique de Jacques Chirac sur Genève, que ses administrés français ne voulaient surtout pas initier tellement il avait mauvaise presse. Donc le mondialisme passe par ces réseaux. Et vous pouvez investiguer en profondeur parce que là vous allez trouver des tas d’information sur la collusion politique pour l’immigration de masse et aussi l’industrie du frontalier qui fabrique nos chômeurs pour les remplacer par de chômeurs français, ce qui a du valoir à cet arrogant conspirateur quelques médailles en toc, made in France et qui doit dégouliner d’or dont on forge les imposteurs bonnes consciences.

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