1 mars 2019 - par José Castano
« Celui qui s’incline devant des règles établies par l’ennemi ne vaincra jamais » (Léon Trotski – « Leur morale et la nôtre »)
Il n’est pas un jour où médias et politiques ne cessent de s’interroger sur la conduite à tenir au regard des criminels français de l’État islamique détenus en Syrie. Les uns voudraient qu’ils soient jugés sur place tandis que les autres prêchent pour un retour en France dans le but de les juger, les emprisonner… puis de les relâcher un jour ou l’autre…
Il y a aussi les femmes, sortes de Belphégor remisé au goût islamiste, empêtrées dans leur marmaille bâtarde qui, sans le moindre remords pour leur sinistre participation à ce génocide, tentent d’émouvoir – leur bébé dans les bras – les « bons Samaritains », éternels idiots utiles des « droits de l’homme »…
Dans un « manifeste des intellectuels français pour la résistance à l’abandon de l’Algérie française » (soutenu par le maréchal Alphonse Juin) on pouvait lire dans le Figaro du 7 octobre 1960 : « C’est une des formes les plus lâches de la trahison que d’empoisonner, jour après jour, la conscience de la France ». Rien n’a changé depuis…
Comment gérer cette épineuse question ? Près de 2 000 Français radicalisés ont combattu en Syrie et en Irak sous le drapeau de Daech depuis 2014. 450 seraient morts et 300 seraient déjà revenus en France. Et les autres ? Que fait-on d’eux ?… Les emprisonner ? Où les mettrions-nous dès lors que nos prisons sont surpeuplées ?… Les juger sur le lieu de leurs forfaits ? Il faudrait pour cela que Syriens et Irakiens en acceptent l’augure… sachant que s’ils les condamnaient à mort, la France s’opposerait à leur exécution. Sur ce point, le 27 février 2019, sur BFM TV, la garde des Sceaux Nicole Belloubet, a rappelé la position française : « Il y a une limite. Notre pays n’accepte pas la peine de mort. Si tel est le cas, nous interviendrions pour demander que cette peine ne soit pas exécutée. C’est une condition sine qua non ». Le problème reste donc entier dans la mesure où ni la Syrie, ni l’Irak, ni les Kurdes ne sont en mesure de gérer indéfiniment ces prisonniers qui, par la force des choses, recouvreront très vite leur liberté…
Alors, si la décision de trancher entre ces options s’avère difficile pour nos gouvernants, il existe une troisième voie qui résoudrait leur problématique : l’exécution, sur place, de ces djihadistes !
Durant quatre années, nos forces spéciales se sont – dans le cadre de la coalition et au péril de leurs vies – évertuées à traquer les criminels, les localiser et les éliminer. Ce n’est un secret pour personne. Dès lors, s’il était permis de les tuer durant ce conflit, pourquoi leur accorder la vie aujourd’hui et leur permettre de reprendre, bientôt, leur terrifiant djihad ?
Il y a maintes façons d’exécuter un prisonnier… la plupart du temps dans la discrétion la plus absolue. Les militaires de toute nationalité connaissent parfaitement cette notion. Donnons à nos soldats la possibilité d’éradiquer définitivement ces prédateurs, ennemis de toute civilisation !… Seulement, voilà ! Comme l’a souligné notre ministre : « Notre pays n’accepte pas la peine de mort »… Alors, que faire ?
Lors de son entretien sur BFM TV, Nicole Belloubet a indiqué son intention d’assurer aux djihadistes français « un minimum de droits à un procès équitable. Nous veillons à ce que les droits de la défense soient assurés »… et de rappeler que « les Français concernés bénéficient de la protection consulaire ». Dans ce cas, comment venir à bout de ces monstres qui se renouvellent perpétuellement en puisant leur force dans notre faiblesse ? Comment peut-on appeler autrement cette pourriture humaine qui exhibe la tête de sa victime en guise de trophée ? Que viendrait-il faire dans une prison française 5 étoiles si ce n’est attendre patiemment de recouvrer la liberté pour donner libre cours à ses pulsions barbares ? A-t-il accordé, lui, « un minimum de droits » à ses victimes ?
José CASTANO
Cette pourriture, composée de femmes et enfants ,déjà formée à la détestation de tout ce que notre civilisation et notre forme de vie représente, Doit être détruite sans autre forme de question. Souvenez vous des enfants soldats en Afrique… Une petite hyène deviens une grande et rien du lien parental n’est oublié. Quelque forme de terrorisme que ce soit mérite la peine de mort. C’est grâce à notre laxisme et à notre permissivité que nous avons conduit notre pays au bord de l’abîme
Peu être que si un de ses gosses se fesait égorger elle changerait d’avis mais vu sa tronche je suis pas sur
Je me rappelle vaguement de M. Fabius, ministre des affaires étrangère, excusez du peu, à la télé, nous disait lors de l’agression envers la Syrie, que ; « Al-nosra fait du bon boulot sur le terrain » .
Et vous messieurs mesdames, en voyant ces photos, qu’en pensez-vous ?
Et la Beleoubet ne nous dit pas que ces enfants, dans la grande majorité, sont irrécupérables.
Il y a presque 60 ans les nazis et bon nombres de personnes qui ont participé à des crimes à leur cotés ont été jugés. La plupart ont été exécutés. Pensez vous que les hommes qui ont jugé que ceux qui ont laissé faire étaient des sauvages ou des bêtes. Le procès de Nuremberg était il composé d’animaux? Avons nous le courage, de combattre ou seulement d’assumer nos convictions? Laissons ces personnes subir la loi du pays dans lequel ils sont allés combattre. Nous avons accepté de pardonner les soldats allemands, c’est une bonne chose. Nous n’avons pas pardonné aux extrémistes et fanatiques, c’est aussi une bonne chose. Il faut avoir une attitude solide, il faut montrer qui nous sommes.
ils se prenaient pour des guerriers alors qu ils meurent en guerriers pas de ça chez nous ni femmes ni enfants ce sont des barbares ou futures barbares ils eduquent les enfants a egorger sur des poupées dans leurs ecoles coraniques vous voulez de ça chez vous ? MOI NON
Le plus scandaleux dans la press des journaleux du politiquement correcte , s’est que personne n’accuse vraiment les djihadiste , de crimes contre l’humanité et de crimes de guerre commis en Syrie et Irak …!? (pour ne parler que de ces 2 pays)
Ah, Madame Ben Boulet, gardez vous de ces gens dont vous méprisez le ressenti, les choix, les craintes et peurs et les voix. Ils sont de cette majorité silencieuse pour le moment mais viendra un jour l’heure des comptes et du soulèvement pour simplement notre salut.
La seule chose qu ils méritent est la peine de mort.
Il n’y a pas de pardon possible. Que périssent les criminels musulmans, ils se sont placés hors l’humanité. MacNéron, Belloubet et toute la bande, vous avez tout intérêt à penser d’abord à ce peuple que vous méprisez. Si vous laissez revenir les monstres, qui ne manqueront pas de récidiver, cela ne fera qu’ajouter à la détestation populaire envers vous. Gare à l’explosion !
En France montrer ces images vous amène tout droit devant les tribunaux !
Tout est fait pour que les citoyens ne se révoltent pas .
Les français adorent plus belle la vie, les anges et autres niaiseries bien-¨pensantes et le foot !
Encore hier soir le criminel BHL pérorait sur une tv française, lui a ses entrées, a quand donner la parole aux Le Lay, conversano, Faye, De Lesquen ou meme soral, meme si le bonhomme est assez ambigu ?
»Il faudrait pour cela que Syriens et Irakiens en acceptent l’augure… sachant que s’ils les condamnaient à mort, la France s’opposerait à leur exécution »
– La Syrie est un pays souverain.
– La France n’a pas à faire de l’ingérence dans les affaires de la Syrie.
– Les djihadistes »français » sont, pour la plupart d’entre eux, des bi-nationaux. La France DOIT les déchoir de la nationalité française.
– Les djihadistes ont brûlé leurs passeports, car ils étaient sûr à 100% de leur victoire !
– Donc ils ne voulaient plus revenir en arrière !
– Comme ils ont perdu et que cela chauffe aux fesses, ils préféreraient nos prisons 5 étoiles européennes à la corde en Syrie ou en Irak.
Pas de retour en Europe
Camp de rétention à vie en Syrie ou en Libye
Constitution d’un tribunal du genre Nuremberg pour juge ces CRIMES CONTRE L’HUMANITÉ !
La justice des pays européens n’est PAS capable de porter un jugement sur ces crimes commis hors de l’Europe.
Donc si ces djihadistes rentrent au pays ils ne seront pas juger pour les CRIMES commis et seront en liberté dans le 6 mois une année ….
On en a MARRE de récolter toute cette RACAILLE !
Mme Belloubet (ministre de la justice – avec un »j » minuscule) n’a rien compris à la dangerosité de ces individus (hommes-femmes ET enfants).
Elle ne pense pas à NOTRE Sécurité et à celle de NOS enfants.
ce matin sur France info, une bobo disait que les enfants devaient être rapatriés, tenez-vous bien…., pour éviter qu’ils soient endoctrinés…. Elle demandait aux grand parents de demander à la justice ce rapatriement. Si c’est pour les mettre dans des familles qui n’ont pas fait grand chose à part élever des djihadistes, les enfants sont aussi bien là bas !