Les Sud-Coréens protestent car ils ne veulent pas de réfugiés musulmans dans leur pays

Jeju, en Corée du Sud, est une île subtropicale connue pour ses eaux turquoises, ses plongeuses et ses terrains de golf. Cela fait de nombreuses années une destination de choix pour les jeunes mariés en Corée du Sud. Cependant, elle a récemment reçu des demandeurs d'asile fuyant le Yémen.

Les réfugiés qui s'attendaient à être accueillis à bras ouverts ont dû se réveiller brutalement. L’arrivée de centaines de Yéménites a suscité une vague d’opposition qui a donné naissance à ce qui est considéré comme le premier mouvement anti-migrants organisé par la Corée du Sud.

«Expulsons les faux réfugiés!» ce sont les cris entendus lors d'un rassemblement du 30 juin sur l’île qui fait partie du sentiment anti-immigration.

Des manifestations ont eu lieu à Jeju et ailleurs, y compris à Séoul, durant l'été.

«Dès leur plus jeune âge, ils apprennent à traiter les femmes comme des esclaves sexuelles et à les battre à leur guise», raconte au New York Times Yang Eun-ok, chef de file de la manifestation de Jeju. «Ils peuvent prendre de nombreuses femmes et produire de nombreux enfants. Maintenant, il y en a 500. Dans 10 et 20 ans, combien y en aura-t-il?

Une pétition en ligne rassemblant 714 000 sympathisants demande au président Moon Jae-in de cesser d'accepter des demandeurs d'asile.

Plus de 90% des demandeurs d'asile yéménites à Jeju sont des hommes. (...) «Lorsqu'ils se déplacent en groupe, les femmes les évitent», a déclaré Byun Jin-young, 40 ans, mère de deux enfants.

Un nombre record de signatures pour une telle pétition. Le président Moon s'est engagé à réviser les lois afin de renforcer le contrôle des demandeurs d'asile.

Le nombre de Yéménites arrivant a considérablement augmenté, passant de 51 en 2017 à 561 en 2017. Le 1er juin, la Corée du Sud a ajouté le Yémen à la liste des 11 pays exigeant un visa pour entrer à Jeju.

 

Voice of Europe / New York Times / Herald Sun

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Vaud: Un requérant d’asile Yéménite tabasse sa soeur qui avait parlé à un inconnu. “Il a cogné sa tête plusieurs fois contre le mur et l’a rouée de coups de pieds à la tête.”

Un Yéménite pensait avoir droit de vie et de mort sur sa soeur. Il a été condamné pour lésions corporelles qualifiées.

Ce Yéménite de 25 ans est l’aîné d’une fratrie de sept requérants d’asile, à la tête de la tribu depuis le divorce de leurs parents.

(...)

Le grand frère a cogné plusieurs fois la tête de sa soeur contre le mur et l’a rouée de coups de pied à la tête et au dos lorsqu’elle était au sol. L’ado a perdu connaissance mais son frère ne s’est pas arrêté: il est parti chercher un couteau à la cuisine, menaçant de la tuer.

Source et article complet

Nos remerciements à Λlex Λ

 

Rappel:

Le Conseil fédéral veut plus d’argent pour l’asile

Suisse: Sensibiliser les migrants à l’égalité homme-femme

Allemagne : un réfugié Yéménite, malade de tuberculose, était en contact avec plus de 50 enfants.

Un réfugié malade était en contact avec environ 50 enfants.

Le risque de tuberculose à la crèche de Bünsdorfer est apparemment plus grand qu'on ne le pensait. A présent c'est clair : la maladie pulmonaire dont souffre le réfugié du Yémen est une forme contagieuse. C'est ce qu'a communiqué le bureau de santé du district lors d'une séance d'information de la paroisse.

En outre, il a été révélé que bien plus des 18 enfants de la crèche pourraient être infectés. L'Office d'Etat pour les étrangers ne peut pas expliquer quand et où l'homme de la péninsule arabique a pu être infecté. Lors de l'examen médical du réfugié, aucune maladie n'avait été décelée.

A partir de la fin janvier jusqu'à la fin mai, la paroisse avait accordé à l'homme du Yemen la protection de l'Eglise dans le bâtiment de la mairie. Pendant ce temps, il rendait fréquemment visite à la crèche évangélique voisine.

Lorsqu'au début du mois de juin, il est devenu clair qu'il souffrait d'une maladie soumise à déclaration (Nd Schwarze Rose: dont le signalement aux autorités est obligatoire), l'administration du district a ordonné des examens sur les enfants et sur le personnel de la crèche. La tuberculose est causée par des bactéries et est extrêmement rare. Depuis 2012 il n'y a eu que 20 cas à Rendsburg-Eckernförde.

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« La tuberculose est une catastrophe pour les patients et pour la communauté », a déclaré le pasteur Thiès Feldmann.

Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch