Est-ce la société qui est transphobe, ou les transgenres qui ne sont pas aptes à s’y insérer?

Le transgenrisme, outil de subversion sociétale de la gauche

Vasko Kohlmayer- 13 mars 2021

Nous avons écrit précédemment comment le transgenrisme sert d'instrument pour l'agenda nihiliste et destructeur de la gauche, car il dévaste à la fois l'individu et la société au nom d'une même idéologie. Nous avons discuté des effets ruineux du transgenrisme sur les individus qui en sont la proie, dont beaucoup périssent par suicide. Malheureusement, même la plupart de ceux qui ne se suicident pas ou ne succombent pas aux blessures de leur traitement de réassignation sexuelle ont peu d'espoir de devenir un jour des membres productifs et contributifs de leur société.

D'une part, la plupart des personnes transgenres sont incapables de conserver un emploi stable et à long terme. Cela n’a rien de surprenant, car les dommages psychologiques et physiques qu’ils subissent du fait de leur «transition» les empêchent pratiquement de devenir des membres productifs de la société.

Il n'est pas difficile de comprendre pourquoi. La vérité est que l'état d'esprit et les traits de caractère que ce style de vie engendre empêchent la plupart de ceux qui y participent de fonctionner comme de bons employés et travailleurs. Comme de nombreux lecteurs le savent déjà, les personnes trans sont, à presque tous les niveaux, un groupe démographique très perturbé. La plupart d'entre eux souffrent d'une forte instabilité psychologique et émotionnelle. Leur taux de tentatives de suicide est de près de cinquante pour cent, soit plus de vingt fois celui du reste de la population. La plupart des autres souffrent de taux très élevés de dépression et d'autres troubles psychologiques. Le taux d'abus de drogues et d'alcool chez les transgenres est de 300% de celui du reste de la population. Selon Psychology Today, les personnes trans souffrent d'un «taux étonnamment élevé de problèmes de santé mentale». Pour aggraver les choses, la plupart des personnes trans - et en particulier les transsexuels - souffrent de problèmes physiques persistants et de maladies liées à leur mode de vie. Selon le Vanderbilt University Medical Center, les personnes transgenres courent un risque accru de «maladies chroniques, cancers et problèmes de santé mentale». Leur taux de VIH, par exemple, est trois fois supérieur à la moyenne nationale.

Pour réussir sur le lieu de travail, il faut posséder des qualités telles que la résilience, la constance, la fiabilité, la discipline et l'engagement. Or les personnes suicidaires, déprimées, mentalement instables, toxicomanes et malades chroniques sont rarement capables de posséder ou de développer ces qualités. Au contraire, elles ont tendance à présenter les caractéristiques opposées, ce qui fait fuir les employeurs. Ce sont par exemple l'absentéisme, le manque de fiabilité, la malhonnêteté, l’entêtement, la rébellion, etc.

Selon l'American Addiction Center, «les personnes transgenres courent un plus grand risque de participer à des comportements à risque, tels que le commerce du sexe et/ou l'abus de drogues et/ou d'alcool. Les personnes transgenres sont beaucoup plus susceptibles de contracter le VIH/sida que la population générale, ce qui peut à son tour être une source de détresse mentale qui exacerbe les compulsions à la toxicomanie.»

Ces personnes auront évidemment des difficultés à trouver et à conserver un emploi stable et rémunérateur. Les statistiques confirment cette triste vérité. Selon le groupe de défense LGBTQ Glaad, le niveau de chômage dans la communauté trans est trois fois supérieur à la moyenne nationale. Pour les personnes transgenres de couleur, le taux de chômage est de près de trente pour cent.

Près de la moitié des personnes transgenres qui réussissent à occuper un emploi le font dans le cadre d'emplois à court terme et de faible niveau. Les statistiques révèlent que plus de quarante pour cent des personnes transgenres sont sous-employées. Selon le groupe de travail LGBTQ, «les travailleurs transgenres sont près de quatre fois plus susceptibles que la population dans son ensemble d'avoir un revenu du ménage inférieur à 10 000 $ (15% contre 4%).» Ce sont des chiffres pré-Covid. La situation est bien pire en ce moment.

Tout en contribuant relativement peu en termes de travail productif, la communauté transgenre épuise beaucoup de ressources sociétales. Il est bien connu qu'en raison de leur nature compliquée, les chirurgies trans peuvent être très coûteuses. Voici ce que nous apprend un article de Business Insider:

«Bien que les estimations de coûts varient considérablement, le Philadelphia Center for Transgender Surgery estime que la «chirurgie du bas» coûte environ 25 600 $ pour les patients de sexe masculin et environ 24 900 $ pour les femmes. Le centre fournit des estimations pour d'autres chirurgies courantes liées aux trans, telles que l'augmentation mammaire (9000 $), la mastectomie bilatérale (jusqu'à 10 900 $), la féminisation du visage (jusqu'à 70 100 $) et la masculinisation du visage (jusqu'à 53 700 $).

Un ensemble complet de chirurgies de changement de sexe peut totaliser plus de cent mille dollars. La plupart des personnes transgenres ne peuvent ou ne veulent pas payer ces procédures coûteuses (et nuisibles) et insistent pour que les coûts soient couverts par des fonds publics ou supportés par d'autres personnes. Mais les dépenses sociétales des personnes transgenres ne s'arrêtent pas à la fin de leurs chirurgies de transition.

La majorité des transsexuels ont ensuite besoin de traitements hormonaux à long terme et d'autres protocoles d'entretien. Plus important encore, la plupart d’entre eux sont confrontés à des problèmes de santé à vie en raison des procédures malavisées et mutilantes auxquelles ils ont été soumis. Les coûts combinés de ces traitements au fil des ans peuvent être immenses. Ces coûts comprennent non seulement le traitement des affections et maladies physiques, mais également des conseils psychologiques, nécessaires dans de nombreux cas en raison du traumatisme mental et émotionnel subi à cause de la «transition». Souffrant de sous-emploi, de chômage et de taux de pauvreté élevés, la plupart des transsexuels n'ont pas les ressources nécessaires pour payer eux-mêmes ces traitements et exigent que la société paie la facture.

Ainsi, en plus d'être plongées dans une spirale de souffrance et de désespoir par leur mode de vie, les personnes transgenres représentent un poids important pour la société. Cela ne signifie aucunement qu’ils aient moins de valeur en tant qu'êtres humains à cause de ces coûts ou  de leurs exigences persistantes envers leur entourage. Notre société, au contraire, est fière de prendre soin et de protéger les faibles et les vulnérables.

Mais la question que nous devons nous poser est la suivante: pourquoi tant de partisans de gauche poussent-ils si résolument à adopter des politiques et des procédures qui ne peuvent que créer ces souffrances inutiles et ce coût financier?

Le mouvement transgenre prend des membres potentiellement productifs de la société et transforme la plupart d'entre eux en individus troublés, malades et déprimés qui sont un fardeau pour leurs communautés. Pourquoi quelqu'un préconiserait-il quelque chose d'aussi notoirement dangereux et tragique?

Connaissant la nature destructrice de la gauche, nous ne pouvons que conclure que cela est délibéré et intentionnel. La gauche utilise le mouvement trans comme un moyen de saper et de détruire la société. La stratégie est claire: plus la communauté transgenre est grande et nombreuse, plus la société dans laquelle elle réside est inévitablement faible.

Pour voir clairement ce point, considérez l'expérience de pensée suivante. Imaginez une société dans laquelle cent pour cent des personnes sont devenues transgenres. Compte tenu du dysfonctionnement inhérent à ce style de vie, une telle société sombrerait rapidement sous la pression économique. Pour provoquer la chute économique, cependant, il n'est pas nécessaire de convaincre cent pour cent de la population d'adopter ce mode de vie. Même si seulement, disons, trois ou quatre pour cent des gens devaient le faire, le fardeau financier supplémentaire sur notre système déjà profondément mal géré suffirait probablement à le faire sombrer.

Profitant du déclin moral de notre culture, la gauche travaille sans relâche pour augmenter la proportion de transgenres dans la population.
Ils recrutent activement parmi ceux qui sont les plus vulnérables à ce genre de persuasion, c'est-à-dire les adolescents. Et maintenant, ils reçoivent le soutien sans réserve des plus hauts échelons du Parti démocrate. Nous avons déjà commenté l'odieux décret exécutif 13988 signé par Joe Biden le premier jour de son mandat. Surnommé par euphémisme «Décret exécutif sur la prévention et la lutte contre la discrimination fondée sur l'identité de genre ou l'orientation sexuelle», il oblige les écoles, entre autres, à permettre aux garçons qui s'identifient comme des «filles» de rivaliser en athlétisme avec les filles biologiques.
Cela permettrait également à ces garçons d'utiliser les toilettes et les vestiaires des filles. Assaut direct et évident contre l'ordre naturel, ces mesures visent clairement à aider les militants trans dans leurs efforts de recrutement auprès des jeunes.
Avec l'expansion des coûts démographiques, humains et économiques des transgenres, cette tragédie augmentera considérablement dans les années à venir, imposant à notre société un fardeau toujours plus lourd.

Cependant le handicap économique et financier pour la société n'est pas le seul aspect du mouvement trans que la gauche exploite dans sa volonté de subvertir les sociétés occidentales. Nous explorerons ces autres aspects dans les prochaines articles.

Vasko Kohlmayer [ email ] est né et a grandi dans l'ancienne Tchécoslovaquie communiste. Il est l'auteur de  L'Occident en crise: les civilisations et leurs pulsions de mort .

© Vasko Kohlmayer

Article précédent de Vasko Kohlmayer: Transgenre: l'instrument de ruine et de destruction de la gauche

Le meilleur de Vasko Kohlmayer

Source : Transgenderism: The Left’s Tool of Societal Subversion

Traduction Cenator

Les dessous du phénomène TRANSGENRE et Ces transsexuels qui ont fait marche arrière

VA Plus (12:04)

Le mouvement transsexuel connait une véritable envolée en Occident. De plus en plus de jeunes en questionnement, parfois d’enfants, entament une transition pour changer de sexe. Et si cette solution, perçue bien souvent comme une issue de secours, n’était en fait qu’une impasse ?

VA plus:  Les ex-trans 

Ces transsexuels qui ont fait marche arrière (5:35)

En France le mouvement transsexuel est en plein essor. Pourtant, outre-Atlantique, les témoignages d'ex-transsexuels se multiplient. Ils dénoncent une pression médiatique et sociale et appellent à la prudence.

 

Première en France : Ali, enceint de sa petite fille Salomé

C’est l’histoire d’une première en France : Ali, homme transgenre, a été reconnu parent à la naissance de sa fille Salomé, avec son compagnon François.

(...)

Ali ressent le regard particulier qui se pose sur lui et son ventre, que ce soit dans des situations administratives, dans les cours de préparation à l’accouchement, ou dans de simples interactions sociales :

Dans l’espace public, les gens se retournaient sur moi, surtout les femmes. Les femmes “captaient” que ce n’était pas une pancréatite, que je n’avais pas bu beaucoup de bières, que ce n’était pas ça.

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Franceculture.fr

Biden nomme une responsable transgenre ministre adjointe de la Santé, une première

Le président élu des États-Unis Joe Biden a annoncé mardi 19 janvier qu'il nommait ministre adjointe de la Santé Rachel Levine, une experte transgenre en pédiatrie et psychiatrie, actuellement directrice de la Santé dans l'État de Pennsylvanie, une première «historique».

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Aujourd'hui directrice de la Santé de la Pennsylvanie et professeure d'université en pédiatrie et psychiatrie, Rachel Levine, «est sur le point d'être la première responsable fédérale ouvertement transgenre à être confirmée par le Sénat américain», a précisé l'équipe de Joe Biden dans un communiqué

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Lefigaro.fr


Rappel :

Biden sur la sortie de la crise sanitaire : “Notre priorité (pour accorder des aides financières) ira vers les entreprises détenues par des Noirs, Latinos, Asiatiques, Indiens ou par des femmes”

Le phénomène des enfants et des ados transgenres est une contagion sociale

VA Plus

Aux États-Unis, le nombre de jeunes se déclarant transgenres explose. Banalisation, médiatisation, influence sur les réseaux sociaux... retour sur un phénomène aux allures d'effet de mode.

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Chirurgie génitale, castration totale, pour donner l'illusion d'avoir un appareil génital féminin à un homme né dans un corps parfait.

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Phalloplastie : implants péniens gonflables vs. semi-rigides pour la transition "female to male".

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Voir aussi:

Un jeune homme de 19 ans regrette sa transformation irréversible: "J'ai ruiné ma vie" (article en anglais)

Qui sont les vrais responsables des suicides de transgenres ?

Pour la Ligue de Football Australien, l’inclusion sociale des femmes transgenres est plus importante que l’équité dans la compétition féminine

La nouvelle politique de diversité des genres de la Ligue de Football Australien affirme que l’inclusion sociale des footballeurs transgenres est plus importante que la possibilité pour les joueuses de participer à une compétition équitable.

Le mois dernier, l’AFL a mis à jour sa politique de diversité des sexes pour le football d’élite et le football communautaire afin de permettre aux joueurs de football transgenres et non binaires de jouer dans les ligues d’État ou les filières d’élite de l’AFLW à condition qu’ils répondent à certains critères.

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Caldron Pool

Via Fdesouche

Royaume-Uni : une femme de 23 ans attaque la clinique où elle a subi une “transition de genre”. Valeurs Actuelles, 19.07.2020

Comme le relaye Sky News, Keira Bell poursuit le National Health Service (NHS) pour ne pas avoir davantage remis en cause “sa décision de devenir un homme”.

Le Tavistock and Portman Trust est une clinique londonienne du National Health Service qui gère le seul  service de développement de l'identité de genre du Royaume-Uni. Comme le rapporte Sky News, Keira Bell, âgée de 23 ans, attaque toutefois cet établissement. La jeune femme estime que le personnel médical aurait dû davantage remettre en cause sa décision de devenir un homme, alors qu’elle était adolescente. « On aurait dû me dire d’attendre », insiste-t-elle. Se décrivant comme « garçon manqué » alors qu’elle était enfant, elle a été orientée vers la clinique Tavistock à 16 ans. Et « après 3 rendez-vous d’une heure, [elle] s’est vu prescrire des bloqueurs de puberté », explique Sky News. D'anciens employés de la clinique avaient fait part de leurs inquiétudes quant au fait que « les adolescents qui souhaitent changer de sexe se voient administrer des bloqueurs de puberté sans évaluation adéquate ni travail psychologique ».

Un an après avoir reçu les bloqueurs de puberté, Keira s’est vu prescrire de la testostérone qui a entraîné la mue de sa voix et le développement de caractéristiques masculines. En 2019, Keira arrêtait son traitement hormonal et se déclarait « maintenant prête à accepter son sexe de femme ». Elle faisait également part de sa « colère contre ce qui lui était arrivé au cours des dix dernières années ».

Au cours du procès à venir, les avocats de Keira feront valoir que les enfants ne peuvent pas mesurer l'impact qu'un tel traitement pourrait avoir sur leur vie future, y compris, par exemple, sur leur fertilité . Le NHS a déjà annoncé un examen indépendant de ses politiques quant à l'utilisation des bloqueurs de puberté. Un examen « planifié », d’après le NHS, « qui sera entrepris par un groupe d'experts indépendants ».

source: https://www.valeursactuelles.com/societe/royaume-uni-une-femme-de-23-ans-attaque-la-clinique-ou-elle-subi-une-transition-de-genre-121859

voir aussi: Un transgenre de 23 ans regrette la décision prise pendant son adolescence: https://www.juristespourlenfance.com/2020/03/05/un-jeune-tansgenre-de-23-ans-attaque-en-justice-clinique-qui-a-opere-sa-transition-car-il-regrette-cette-decision-prise-pendant-son-adolescence/

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Que faire lorsque l’on regrette sa transition sexuelle?

Un nombre alarmant de jeunes filles remettent en question leur décision de vivre dans la peau de l’autre sexe.

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Une partie du problème, dit-elle, est que « cette génération est très impressionnable ».

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‘My 15-year-old transgender son is going through menopause’ (Can a teenager realise that she is trashing her future? )

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voir aussi: Il est interdit d’utiliser des thérapies pour contrer l’épidémie de transgenres qui se répand par les réseaux sociaux

Transgenres: la première qui a dit la vérité… a été censurée

Il est interdit d’utiliser des thérapies pour contrer l’épidémie de transgenres qui se répand par les réseaux sociaux

Première vidéo

Dennis Prager reçoit Abigail Shrier pour parler de son nouveau livre Irreversible Damage: The Transgender Craze Seducing Our Daughters.

AS: Le livre parle de l’épidémie d’identification transgenre qu’on observe actuellement chez les adolescentes.

Ce sont des filles qui n’ont eu aucun symptôme antécédent de dysphorie de genre durant dans leur enfance. Et tout à coup, à l’adolescence, à travers les réseaux sociaux, l’idée de changer de genre se répand pas mimétisme parmi elles. Soudainement, dans un groupe d’amies, elles décident qu’elles sont transgenres et elles réclament des  hormones et des interventions chirurgicales. Ce phénomène a explosé en Occident : Scandinavie, Angleterre, Etats-Unis. Cela réclame absolument une explication.

On connaît depuis cent ans la dysphorie de genre, mais jusqu’ici il s’agissait toujours des garçons qui voulaient devenir filles. Dès l’âge de deux à quatre ans, des garçons disent : je suis une fille, appelez-moi par un nom de fille, je ne veux jouer qu’avec des filles. Maintenant, depuis une dizaine d’années, il s’agit d’adolescentes, elles exhibent fièrement cela sur internet, elles appellent cela dysphorie de genre, mais ça n’y ressemble pas. Ce sont des filles qui se plongent dans les réseaux sociaux, qui regardent des gourous du transgenrisme et des . Sur Instagram, Faceboo, TikTok, elles décident entre amies qu’elles sont trans.

Les nombres sont stupéfiants : des milliers de pour cent d’augmentation en dix ans aux Etats-Unis. On est passé de 2 cliniques spécialisées dans le pays à 50. Entre 2016 et 2017, le nombre des chirurgies de genre pour les personne nées filles a quadruplé.

DP: Si ma fille a 15 ans et dit : ‘Papa, Maman, en réalité je suis un garçon’, est-ce que j’ai légalement le droit de l’envoyer en psychothérapie pour qu’elle puisse travailler là-dessus et garder son identité de fille, ou est-ce contraire à la loi?

AS: C’est une des raisons du problème. C’est la cooptation dans les organisations médicales. Dans 18 États, les “thérapies de conversion” pour homosexuels sont interdites [n.d.t. : en Europe également]. Et maintenant des activistes, de manière très habile, ont ajouté du jargon d’identité de genre de telle façon que les thérapeutes ne peuvent plus aider un enfant à être à l’aise avec son sexe biologique, partout où ces lois s’appliquent, sinon ils risquent de perdre leur autorisation d’exercer.

[…]

Pendant des décennies et des décennies, les thérapeutes ont eu de très bons résultats en aidant les enfants à accepter leur genre biologique.

DP: Est-ce que la dysphorie de genre est encore dans le DSM?

AS: Oui, mais certainement plus pour longtemps. Ils ont déjà changé le nom: on disait auparavant “désordre de l’identité de genre”, on dit maintenant “dysphorie de genre” pour éviter le mot “désordre” dans le  nom lui-même, même s’il figure dans la symptomatologie.

Deuxième vidéo :

AS: Selon le Center for Disease Control, 2 % des élèves de high schools s’identifient actuellement comme transgenres. C’est une augmentation massive. Auparavant, ce chiffre était de  0,01 %.

DP: Si une fille de 15 ans dit: ‘Je suis un garçon, je veux qu’on m’enlève le seins’, trouvera-t-elle un chirurgien pour le faire?

AS: Oui: l’âge du consentement pour les traitements médicaux est 15 ans en Oregon.

J’ai parlé à des médecins qui ont enlevé les seins à des filles de 16 ans. La pression culturelle est si forte, il y a tellement de mensonges à ce sujet... Un médecin ne devrait pas détruire les fonctions biologiques saines de quiconque. C’est le serment d’Hippocrate.

Tout cela est basé seulement sur des autodiagnostics vagues – car c’est avec cela que les jeunes filles arrivent. Les médecins croient bien faire, car ils voient comme ces filles sont heureuses et enthousiastes après l’opération. Nous avons laissé ces mensonges continuer et ils pensent qu’ils les ont sauvées du suicide. C’est faux.

De nombreux autres traitements suivent, L’homme et la femme sont biologiquement très différents, donc la chirurgie ne finira jamais.

Voir aussi:

http://townhallreview.com/2020/06/irreversible-damage-the-transgender-craze-seducing-our-daughters-dennis-prager-with-abigail-shrier/ (audio 24:45)

Résumés Cenator

Vaud – Vers l’introduction de WC pour transgenres à l’école

Les futurs gymnases du Chablais et d'Échallens pourraient être les pilotes d'un projet qui amènerait à équiper toutes les écoles de toilettes inclusives.

Pour certains étudiants, les lieux d'aisance portent mal leur nom. En moyenne, chaque établissement du secondaire II vaudois compte 1 ou 2 élèves transgenres. Pour eux, difficile de se sentir à l'aise dans les toilettes classiques. «Ce n'est pas du tout anodin, surtout à cette période de la vie, quand l'identité de genre se forge», abonde Lionel Eperon, directeur général de l'enseignement postobligatoire dans le canton.

Mais proposer des cabinets inclusifs est un vrai casse-tête. [...] «Un groupe de travail va se pencher dans les prochains mois sur la question dans le cadre de la construction des deux futurs gymnases vaudois, à Aigle et à Échallens, précise toutefois Lionel Eperon. Notre rôle est d'assurer une école sans discrimination. Et la tendance est là, on le voit avec les WC de Plateforme 10, qui seront non-étiquetés.»

[...]

Pas de solution miracle
Cabinet à part ou cabinet universel? La première solution présente des risques de stigmatisations ou de moqueries, tandis que la seconde peut heurter la pudeur de certains. C'est pourquoi l'association de défense des intérêts de la communauté LGBTIQ Vogay préfère la souplesse. «Il faudrait que chaque école, en fonction de ses besoins, puisse choisir quelle solution inclusive elle préfère, indique son président Mehdi Künzle. Il ne faut pas imposer un modèle unique. C'est en étant souple et à l'écoute que l'on construit une vraie inclusion.»
Chez les petits aussi
L'État de Vaud confirme que les mêmes réflexions sont en cours au niveau de l'école obligatoire, [...] Contacté, le municipal lausannois de l'enfance David Payot ne cache pas son intérêt, même si ce n'est pas pour demain. «Lausanne n'a pas développé cette organisation des toilettes dans les bâtiments scolaires, mais nous pourrons l'examiner lors des prochaines réfections», écrit-il.

article complet:

Genève: Annick Ecuyer, communiste, devient la première Conseillère municipale Transgenre

Au Municipal, ce sera «madame». Annick Ecuyer fera son entrée au sein du Délibératif de la Ville de Genève, ce mercredi soir.

Et sera ainsi la première personne transgenre, «en tout cas visible», selon ses mots, à assurer un mandat électif dans le canton. Cette quadragénaire prêtera serment avant d’intégrer le groupe d’Ensemble à Gauche en remplacement de Vera Figurek, démissionnaire.

(...)

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Etats-Unis : un homme transgenre a accouché de son premier enfant

Le 14 juillet, un père transgenre a donné naissance à son premier enfant. Né femme, il avait mis entre parenthèse son traitement hormonal pour pouvoir tomber enceint.

Trystan Reese, un américain de 34 ans, a accouché le 14 juillet de son premier enfant, un garçon de 4,25 kilos. Transgenre et né femme, il a arrêté pendant quelques mois son traitement hormonal pour pouvoir porter son enfant. Pour qu'une telle prouesse soit possible, Trystan Reese n'est pas passé par la case changement de sexe, comme il l'a confié à Paris Match : «Cela coûte des dizaines de milliers de dollars, avec 50% de chances de devenir incontinent. J'aime mon corps tel qu'il est.»

Avec son mari Biff, il avait décidé de partager son histoire sur les réseaux sociaux, permettant à tout un chacun de suivre sa grossesse et les premiers instants de la vie de son fils, notamment sur Facebook.

«Je me suis lancé dans cette aventure parce qu'un de mes amis très proches a fait pareil. Je suis le seul à en parler, mais il y a de nombreux trans masculins qui sont dans le même cas», a-t-il expliqué à Paris Match quand il était encore enceint.

Sur sa page Facebook, le couple a publié une vidéo juste après l'accouchement intitulée «un papa enceint, 9 mois, un bébé et une famille heureuse», dans laquelle il distille un conseil : «La prochaine fois que quelqu'un vous dit qu'un homme ne pas avoir d'enfant, montrez-lui cette vidéo.»

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Un bébé canadien au « genre inconnu »

Sur la carte de sécurité sociale du bébé canadien Searyl Alti, la case sexe n’est remplie ni par un M. pour « mâle » ni par un F pour « female », mais par un « u » pour « undetermined ». L’enfant, âgé de huit mois, a tout d’un petit garçon, mais son parent, lui même transgenre, refuse de l’inscrire dans un genre avant qu’il n’ait lui même décidé.

Pour être sûr de ne pas contraindre sa liberté de choix, il préfère même employer le pronom pluriel « they » plutôt que « she » ou « he » quand il parle de Searyl, et ce jusqu’à ce que ce dernier soit lui même en mesure d’exprimer qui il est.

Respectant ce souhait étonnant, les autorités sanitaires ont accepté de lui remettre un document officiel non genré. C’est une première, emblématique des inquiétants progrès de la théorie du genre au Canada.

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Québec: Une société interdit à des employés de dire «Monsieur» ou «Madame» afin de ne pas vexer les transgenres

La Société de l’assurance automobile du Québec a interdit à ses employés de Saint-Hyacinthe de dire «Monsieur» ou «Madame» aux clients à la suite d’une plainte déposée par une personne transgenre.

À la fin du mois de juin dernier, un homme en processus de devenir une femme s’est présenté à la SAAQ de Saint-Hyacinthe pour un renouvellement de permis de conduire. Lors de la prise de photo, l’individu dont le nom masculin figurait toujours dans les dossiers de la SAAQ a été choqué de se faire dire «Monsieur» par le préposé.

Il a porté plainte à la SAAQ, qui s’est par la suite excusée. Il s’agissait de la seule plainte du genre sur les 22 millions de transactions effectuées à la SAAQ chaque année.

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Pixar introduira son premier personnage transgenre dans son prochain dessin animé

La présentatrice vedette Ellen DeGeneres, qui prête à nouveau sa voix à Dory dans la suite du « Monde de Nemo », a confirmé qu’un personnage transgenre apparaîtrait dans ce nouveau film des studios Pixar. « Le Monde de Dory », qui suivra le périple du petit poisson amnésique parti à la recherche de sa famille, sortira le 22 juin

MetroNews

L’Ordonnance sur les toilettes transgenres rejetée à Houson

Grande nouvelle, victoire à Houston ! Les électeurs appelés aux urnes ont rejeté l'Ordonnance sur les toilettes (Houston's Proposition 1 Bathroom Ordinance). C'est l'après-midi du mercredi 4 novembre en Europe, lorsque, enfin et après des jours de tension, la bonne nouvelle arrive de Houston... « le contact radio » entre législateurs et monde réel a été rétabli !

En effet, depuis des semaines, le monde retenait son souffle ; les mêmes préoccupations avaient envahi il y a quelques années le Parlement italien : dans les toilettes publiques, y compris les écoles, on songeait à introduire une nouveauté extravagante.

Je n'ose penser combien le grand G.K.Chesterton aurait ri et ironisé sur ces nouvelles. Le simple fait qu'elles surviennent et qu'il faille en parler rend hommage à son réalisme et à sa joyeuse verve polémique. Nous ne sommes plus forcés de défendre de nos épées le simple fait que les feuilles jaunissent à l'automne et verdissent au printemps. Nous sommes maintenant forcés de défendre le droit à l'intimité dans les toilettes.

La règle que l'on voulait introduire à Houston prévoyait l'obligation de respecter l'identité de genre fluide au point de permettre (ou plutôt d'obliger à respecter) la décision instinctive et changeante d'élèves et de clients de bars. Ainsi, toute personne « fluide », à commencer par les transgenres, aurait pu choisir à tout moment de l'année et de la journée de se rendre dans les toilettes (ou les vestiaires des gymnases) des femmes ou des hommes.

La même discussion, extravagante au point de prendre la forme de pathologies médicales, avait eu lieu dans le Parlement Italien dans le lointain octobre 2006. A l'époque, le transgenre italien Vladimiro Guadagno, alias Luxuria, prétendait utiliser les toilettes de ses collègues députées femmes. Un légitime scandale s'était élevé chez les députées parlementaires qui désiraient préserver leur intimité et, surtout, ne pas se voir contraintes de partager les toilettes avec un homme de sexe masculin. Une grande polémique avait eu lieu car les choses ne s'étaient pas arrangées selon les désirs de Luxuria.

A Houston, ces derniers jours, il aurait pu arriver encore pire aux adolescents des écoles publiques et privées si l'ordonnance était passée.

Il ne s'agit pas de discuter ici d'hygiène personnelle (ou de la nécessité même de l'intimité), et donc de la séparation des toilettes entre femmes et hommes. Il nous semble toutefois opportun de considérer combien ce cas récent et extravagant impose lui aussi une réflexion. L'idéologie du genre montre des signes d'intolérance envers la différence et la non-uniformisation.

Il ne s'agit pas de combattre les injustices qui dérivent des différences. En effet, nous apprécions tous les différences qui existent entre nous, nos caractères, nos talents, nos différents droits de propriétaires, travailleurs et/ou entrepreneurs, etc.

Non, ce que révèle ce débat retentissant, c'est la prétention absolue d'annuler toute différence, y compris à travers le nouvel idéal et l'apogée logique de l'idéologie du genre : le transgenrisme.

En un mot, sans aucune intention d'offenser qui que ce soit, nous pourrions dire que la « lutte des toilettes », à Houston comme à Rome, montre comment certaines idéologies cherchent à entraîner l'humanité dans un trou sombre et même nauséabond.

« Houston, nous avons eu un problème », annonçaient les astronautes de la mission Appollo 13 à leur base (Houston) lorsque, le 14 avril 1970, un réservoir d'oxygène explosa à 321,860 km de la terre.

Peut-être nous manque-t-il un peu d'oxygène à nous aussi.

Sursum Corda!
Luca Volontè
CEO Fondation Novae Terrae

La Fondation «Novae Terrae»

Heidi doit rester une fille : cessez la confusion de genre

[...]

En Août 2015, le trailer prometteur pour le nouveau film suisse Heidi, qui sortira à Noël, a été rendu public. L'intrigue du film est très similaire à la célèbre histoire pour enfants du monde de Johanna Spyri, Heidi, et raconte l'histoire d’ « une petite fille avec un grand cœur qui est à la recherche de sa vraie maison ». Simultanément, un second film « Heidi » est en cours de création, qui a un message radicalement différent : le court métrage « limina » de Florian Halbedl et son partenaire transgenre Joshua Ferguson présente l'histoire d’Alexandra, 8 ans, dont le sexe est non déterminé.

Ce film pour enfants, qui est considéré comme une réinterprétation de Heidi sous la perspective de l’idéologie du genre, veut exprimer - comme son titre « limina », qui est le pluriel du mot latin « Limen » (frontière), prédit - une vague démarcation de la notion de genre. La narration surréaliste devant le magnifique paysage alpin vise à susciter plus de sympathie pour la « diversité sexuelle », selon les auteurs. Le film veut encourager les parents à cesser d’imposer un sexe particulier à leurs enfants. La commission de la promotion culturelle de Oberwald (Suisse) est très intéressée pour le co-financer, comme indiqué par le journal local. Ils tentent même de se faire aider par la commission de la culture de Nidwald. La campagne de crowdfunding sur le web est par exemple soutenue par Dominique Gisin, un ancien champion olympique de ski et camarade de classe de Halbedl.

Comme le dit Corrispondenza Romana, cette tentative de normaliser la transsexualité et le transgendérisme, « est un assassinat de l'enfance qui entraîne des conséquences psychologiques et sociales dévastatrices ». La classification internationale actuellement valide des maladies CIM-10 par l'OMS rapporte que les nombreuses formes d'identification inadéquates de son sexe appartiennent aux troubles de l'identification du sexe (SIG), qui font partie des troubles de la personnalité et du comportement.

Le lobby LGBT et les créateurs de « limina » ont déclaré la guerre à l'existence de genres binaires. D'une part, ils veulent dissiper le « mythe » qu'il n'y a que deux sexes, et d'autre part, ils affirment que le rôle social de genre (sexe) n'a rien à voir avec le sexe biologique (le sexe).

Une étude de 2011 de la Suède montre également que le taux de suicide chez les personnes transgenres après une opération de changement de sexe est près de 20 fois plus élevé que dans la population générale. Pourtant, l'idée fausse de la Trans-normalité est maintenant appliquée dans un film, qui est explicitement destiné aux enfants et à leurs parents. Et même avec un soutien gouvernemental !

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