L’islam est un danger permanent, c’est si difficile à comprendre ?

Riposte laïque, 4 septembre 2018 - par

Les libéraux en général et les gauchistes en particulier, ces moralisateurs hors-sol, sont responsables du communautarisme islamique qui est en train de détruire la civilisation occidentale. Faisant la politique de l’autruche, ils ont introduit le renard dans le poulailler. Au nom des droits de l’homme et de la liberté religieuse à sens unique, ils ont permis à l’islamisme (à l’islam tout court) de faire son nid et de prospérer en toute légalité sur le territoire de son ennemi héréditaire depuis 622 de l’ère chrétienne, quoi qu’en pensent les historiens qui ont mis sous le tapis l’idéologie islamique, celle qui tient à soumettre la terre tout entière à la charia.

Il faut qu’on se dise qu’il n’y a aucune différence entre islam et islamisme. C’est hadj Moussa et Moussa hadj. L’islam comme l’islamisme appellent à la destruction de tout non-musulman. Pour comprendre la vérité d’Allah et de son apôtre, il suffit de lire attentivement le coran de Médine. Toute autre interprétation n’est que de la pure taqîya, afin d’endormir les crédules, mais aussi une stratégie bien affinée du djihad qui perdure depuis le massacre de la tribu juive des Banu Quroyza en 627 apr J.-C., soit 5 ans après l’Hégire, par Mahomet à Yathrib (Médine).

Quelle religion s’est-elle précipitée à la conquête du monde pour instaurer une dictature théocratique, dès son apparition ?
Sûrement pas le bouddhisme et encore moins le judaïsme, ni le christianisme des quatre premiers siècles.
Mahomet, de son vivant, n’a-t-il pas lancé plus de 100 raids guerriers contre les mécréants au nom de sa religion ?
Et les quatre premiers califes bien guidés n’ont-ils pas conquis la Syrie, l’Égypte, l’Afrique du Nord qui étaient chrétiennes et la Perse qui était zoroastrienne par le glaive au nom d’Allah ?

L’islam n’est-il pas arrivé jusqu’à Poitiers en 732 après J.-C. ?
N’a-t-il pas assiégé Vienne en 1683 après J.-C. ? N’a-t-il pas colonisé pendant des siècles l’Espagne, le Portugal, la Sicile, Malte, Chypre ? Et n’a-t-il pas soumis Constantinople en 1453 après J.-C. ? N’a-t-il pas massacré plus de quatre-vingts millions d’hindouistes en rasant leurs temples entre le VIIIe siècles et le XIXe siècles ?
Et comment oublier la Grèce, les Balkans, l’Arménie, le Caucase et les steppes de l’Asie Centrale qui ont subi les affres de la barbarie islamique ?

Et même de nos jours, dans le monde arabo-musulman, on n’ose pas évoquer le génocide arménien et syro-chaldéen perpétré au début du XX siècle par le calife ottoman, au nom d’Allah, on fait comme s’il n’avait jamais existé.
L’islam n’est-il pas l’unique religion qui a codifié l’esclavage à grande échelle ? Ah si, Zanzibar et Tombouctou commenceraient à en parler !
N’a-t-il pas éradiqué le zoroastrisme dans le sang (la religion de la Perse ancienne) ?
N’a-t-il pas instauré la dhimmitude envers les gens du Livre (Juifs et Chrétiens), un apartheid bien avant celui des Afrikaners (sud-africains blancs minoritaires) envers les Noirs majoritaires?
Et la misogynie, doit-on la passer sous silence ?

Les butins de guerre et la piraterie ne sont-ils pas des obligations religieuses pour enrichir les musulmans ? Les Ottomans en savent quelque chose… Et ça, il ne faut pas l’ébruiter pour ne pas fâcher le sultan Erdogan, l’ami de maman Merkel et de Jupiter qui le rétribuent fort bien pour faire le gendarme et éviter ainsi aux soldats de Daech de pénétrer en Europe, et qui n’hésite pas à les humilier quand l’occasion lui en est offerte. Et jusqu’à quand cette politique de dhimmitude et de racket tiendra-t-elle ? Seul Allah le sait…
Mais ces vérités, les islamo-compatibles ne veulent pas en entendre parler.
Prétendre que l’islam est une religion de paix et d’amour, n’est-ce pas une escroquerie intellectuelle ? Car depuis quatorze siècles, l’islam est porteur de la haine de tout ce qui n’est pas musulman mais aussi de la destruction des autres civilisations qu’il a soumises par l’épée.
Les cavaliers d’Allah, tout au long de ces quatorze siècles, n’ont-ils pas dit à ceux qu’ils combattent, c’est-à-dire les kouffar : « aslam, taslam » qui signifie : soumets-toi et tu auras la vie sauve ?
Où crèchent l’amour et la paix que ressassent les islamo-compatibles de France et de Navarre ?
L’islam est une religion de guerre permanente envers ceux qui ne croient pas en Allah et son prophète. Qu’on se le dise matin et soir pour ne pas s’endormir sur ses lauriers !

À la limite, il peut décréter une trêve de dix ans avec ses ennemis seulement quand il est en position de faiblesse, mais il reprendra le djihad au moment où il se sentira fort, capable de défaire les infidèles.
Il est plus totalitaire que tous les totalitarismes réunis qu’a connus l’humanité. Et ça, aucune personne sincère ne peut le contester.
Avant d’être une foi religieuse, il est une idéologie politique qui surveille tous les aspects de la vie des musulmans (par exemple, comment faire ses ablutions et comment copuler avec son épouse).
En vérité, le musulman n’est pas libre et ne doit pas utiliser son esprit pour douter car il est l’esclave d’Allah qui le guide du berceau au tombeau.
Le libre arbitre est le dernier des soucis de l’islam qui a fait de l’homme son esclave perpétuel, incapable de réfléchir, de penser et de se réaliser par lui-même.

Face à la lâcheté et à la compromission assumées de la caste politico-médiatique occidentale qui se définit comme progressiste, l’islam est en train de préparer le djihad en Europe.
Et ça, c’est une hypothèse vérifiable sur le terrain, alors ceux d’en haut, ceux qui gouvernent et qui ne veulent pas voir cette guerre qui avance, seront jugés par l’Histoire à cause de leur pleutrerie.

Hamdane Ammar

source: https://ripostelaique.com/lislam-est-un-danger-permanent-cest-si-difficile-a-comprendre.html

Cette gauche répugnante et totalitaire

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Oui, la gauche, notamment la gauche française, est répugnante, méprisable, sectaire, médiocre, inculte et totalitaire. A défaut d'avoir quelques grandes qualités, elle a de nombreux défauts. Dans les années 1970-80, on vivait dans l'illusion que la gauche avait peut-être quelque chose à dire, à proposer. Mais aujourd'hui, en 2016, la gauche révèle son vrai visage : elle est nulle et liberticide.
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Elle est capitaliste, et, en même temps, elle est islamo-gauchiste. Ses représentantes et représentants ne pensent qu'à leur propre carrière politique, et, ce faisant, ils se tirent abondamment dans les pattes. Les hommes politiques de gauche pensent que les femmes ne sont que des putes et des salopes. Les femmes politiques de gauche pensent que les hommes sont tous des cochons. Bonjour l'ambiance.
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A ce propos, Elisabeth Lévy écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Nuit debout, c'est la fête de l'intransitivité : on parle pour parler, on lutte pour lutter. Et le bien commun dont il est question n'a, à mon avis, rien de bien et pas grand-chose de commun. Ces palabres n'ont rien de nouveau et sont d'un niveau accablant.
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Elisabeth Lévy : Un ramassis de toutes les vieilles lunes de l'extrême gauchisme, accommodées dans un fond de sauce anti-colonial, anti-israélien, anti-occidental, le tout dans une langue et avec des « concepts » d'une telle pauvreté qu'en comparaison, les slogans de 1968 sont des chefs d'œuvre. Dans six mois, quand les révolutionnaires d'opérette et les vrais vandales auront plié bagage, les postiers, les pompiers, les infirmières et les ouvriers postés passeront encore leurs nuits debout, conclut Elisabeth Lévy (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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De son côté, Christian Vanneste écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Il y a un fond totalitaire chez les socialistes. Il y a une tendance générale dans les démocraties libérales à laisser s’imposer une pensée unique. La rencontre dans notre pays de cette double réalité a, depuis longtemps ruiné l’un des deux piliers de la démocratie, la liberté d’expression, sans laquelle les autres libertés ne sont qu’une apparence. L’origine du courant socialiste français dominant, c’est le marxisme, l’idée que l’appropriation collective des moyens de production est la condition d’une société juste, c’est-à-dire égalitaire, et qu’elle est de toute façon, une nécessité historique établie par la science économique, et non un choix.
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Christian Vanneste : Le parti socialiste a certes évolué, mais il reste prisonnier de ce péché originel qui lui fait croire qu’il détient la vérité et qui lui donne dans les débats une arrogance qui devient grotesque à la mesure des catastrophes économiques ou simplement des mauvais résultats qu’il engendre. Loin de se corriger, il verse alors dans une agressivité qui est attentatoire à la démocratie. Par ailleurs, la majorité des médias a peu à peu suscité puis imposé un champ limité de ce qui pouvait être dit ou pensé. Les exemples de l’avortement, du Pacs, celui du mariage unisexe, la repentance historique, l’affirmation identitaire, offrent l’image d’un ralliement historique de la droite molle à des « progrès » ouverts par la gauche.
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Christian Vanneste : Que dans ces domaines moins quantifiables que celui de l’économie, les avancées puissent être des reculs est passé sous silence. Les opposants, les résistants, les dissidents sont interdits de parole. Le mépris et l’insulte sont de droit à leur encontre. En fait, c’est sur ces questions où la discussion devrait être la plus ouverte qu’elle est proscrite au profit d’un véritable terrorisme intellectuel. La récente affaire de Black M à Verdun illustre ce paradoxe. En raison de propos antisémites, islamistes et homophobes, ce rappeur aurait du être banni par la gauche. Il a été choisi par un goût provocateur de promotion des minorités.
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Christian Vanneste : Puis, il a été déprogrammé lorsque l’indignation justifiée s’est déployée. Mais, bien qu’ayant reconnu son erreur en annulant le concert, la gauche s’est une fois de plus abandonnée à son sectarisme en déversant un torrent de mépris et d’injures sur les contestataires. Cette contre-attaque a ciblé une fois encore le Front National qu’il s’agit évidemment de rediaboliser. Des élus « républicains », comme Apparu se sont joints à la meute des commissaires politiques alors que des membres de ce parti avaient pourtant dénoncé le choix du rappeur.
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Christian Vanneste : L’exigence de dignité dans une commémoration patriotique devrait être spontanée chez tous. Elle devient aujourd’hui hérétique. Le sectarisme de la gauche, l’inconsistance de la prétendue « droite » sont des menaces pour la démocratie. Le pouvoir actuel qui tente d’introduire un peu de réalisme dans une politique économique calamiteuse, compense sur le terrain sociétal. Il faut mesurer le danger du processus pour la démocratie.
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Christian Vanneste : Un gouvernement démocratique ne peut avoir pour ambition de changer les mentalités, d’imposer un vocabulaire où le genre remplace le sexe, où le mot race est interdit, où le patriote hostile à une immigration envahissante se voit traiter de fasciste.  C’est Albert Camus qui disait justement que « mal nommer les choses ajoutait au malheur du monde, conclut Christian Vanneste (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Michel Garroté, 17 mai 2016
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http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2016/05/14/31003-20160514ARTFIG00096-elisabeth-levy-de-nuit-debout-a-verdun-le-chantage-au-fascisme-ne-passera-pas.php
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http://www.christianvanneste.fr/2016/05/17/la-gauche-totalitaire/
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