Bolzano (Italie): les migrants se révoltent car la date de péremption de leurs yaourts est proche

Les migrants et la “révolte du yaourt”. C’est au final les forces de polices qui ont du intervenir. Les migrants, en effet, étaient agités en raison de la date de péremption des yaourts, qui selon eux était déjà dépassée. Les faits se sont déroulés au centre d’accueil “ex Alimarket” de Bolzano, dans la zone sud de la ville. D’après ce que rapporte le Corriere dell’Alto Adige, plusieurs demandeurs d’asile accueillis dans la structure se sont plaints du fait qu’ont été servis à la cantine des pots de yaourts sur lesquels figurait une date de péremption trop proche. Apparemment, plusieurs yaourts auraient été périmés le jour même. […] les migrants en ont fait un problème exagérément grave provoquant une escalade de la situation. L’intervention des forces de l’ordre est devenue nécessaire, appelées par les responsables du centre afin d’éviter que la situation ne puisse dégénèrer.[…] Quelques brigades volantes sont arrivées sur place et les agents, non sans mal, ont réussi à ramener la situation au calme. […]

Secoloditalia via fdesouche

France : La révolte viendra du rejet de l’immigration

En France, cette révolte ne viendra pas du rejet de la loi travail, elle ne viendra pas non plus de l’augmentation de La CSG, elle ne viendra pas des erreur des décisions sociétales et économiques de Macron, elle ne viendra pas de la rue malgré les appels de Mélenchon, pas sur ces sujets, elle viendra de l'intolérance à cet immigration non désirée.

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Italie : Des bombes contre les migrants, nous risquons actuellement la guerre civile

De Turin à Tarante, en passant par les régions « rouges » (ndt les régions politiquement à gauche) et le Latium, de plus en plus de bombes explosent près des centres d’accueil et des hôtels qui logent les migrants

Par Francesco Curridori

Du nord au sud, en passant par les îles, la révolte contre le business de l’accueil des migrants envahit toute la botte. Les bombes ou les cocktails molotov, mais également des armes plus rudimentaires sont les moyens les plus utilisés par les citoyens pour stopper l’arrivée des migrants dans leurs villages.

La Sardaigne, l’île où la crise économique favorise la révolte

Le cas le plus récent et le plus marquant s’est passé jeudi de la semaine passée devant le centre de premier accueil de Dorgali, dans la province de Nuoro. Par chance les 64 occupants ne furent pas blessés même si l'explosion a fait un grand trou à l'extérieur du bâtiment.  Ce n'est pas le premier cas en Sardaigne, en fait cette aversion envers les réfugiés a déjà connu deux précédents. Le 11 octobre passé, l'ex caserne de Monastir, dans la province de Cagliari, a subi un attentat incendiaire suite à la décision du préfet de mettre à disposition ce bâtiment pour en faire un centre d'accueil. La même chose s'est produite à Burcei, également dans la province de Cagliari, aux premiers jours de septembre, quand une maison privée qui devait accueillir 25 migrants a été dévastée. En novembre, à Buddusò, un village de 4.000 habitants, un complexe de tourisme rural qui devait héberger des réfugiés, a été pris pour cible et dévasté par une bombe artisanale.

Les Sardes ont dépassé le seuil de tolérance. Ils considèrent cet afflux de migrants comme une invasion en bonne et due forme, et ceci dans une région qui a un des plus haut taux de chômage d'Italie. Le seuil de tolérance est dépassé et a eu une répercussion telle sur le Partito Democratico (ndt, le PD est le parti gouvernemental), autant au niveau national que régional, que le 4 décembre dernier, la Sardaigne a enregistré le taux le plus élevé de Non au référendum constitutionel.

La majorité du président PD Francesco Pigliaru, toujours plus fragile s'est effondrée le 26 juillet à l'occasion d'un vote sur le tourisme, grâce à un amendement qui avait été proposé par Forza Italia. Cet amendement refusait que des fonds régionaux aillent aux hôtels qui, plutôt que recevoir les touristes, accueillent des migrants.

Devant une telle règle de bon sens, et grâce au vote secret, même des conseillers de la majorité ont pu voter conformément à leur sentiment d'apartenance sarde. Mais cela n'a pas suffit à calmer les esprits.

Le 30 juillet, à Sassari, une villa, qui devait devenir un centre d'accueil pour migrants, a été attaquée par quelques individus qui ont mis le feu aux matelas qu'on avait amené quelques jours plus tôt.

La colère des citoyens du Latium et du Nord de l'Italie

Et pourtant, la Sardaigne n'est pas un cas isolé. Le 25 juillet, à Rocca di Papa, aux porte de Rome, une bombe a été lancée contre le mur d'enceinte d'une structure d'accueil destinée à héberger 500 Nord-Africains. En mai 2015,  toujours dans la province de Rome, des habitants de Marino, avaient fait irruption dans un immeuble qui, sur décision de la préfecture, avait été choisi pour loger 78 réfugiés.

D'autres faits similaires se produisent aussi dans le Nord. En Vénétie, il y a environ une semaine, des jeunes gens ont lancé trois feux de bengale contre le centre d'accueil extraordinaire "La Verdiana di San Vito di Legnago" dans la province de Vérone. Le 17 février de cette année, à Aselogna di Cerea, toujours près de Vérone, une bombe a explosé contre le portail d'une structure qui abrite une vingtaine de requérants d'asile. A la fin octobre 2016, à Prada di San Zeno di Montagnaun, un ancien hôtel a été touché par deux bombes artisanales. En décembre de la même année, au Frioul, une lettre de menace a été envoyée au syndic de Turriaco et une bombe incendiaire a été retrouvée dans les jardins de la rue du 5 Juin, à côté de l'ancienne caserne des carabiniers où devaient être accueillis 12 migrants.

Et, beaucoup plus récemment, des actes similaires se sont produits en Lombardie. Une attaque à coup de cocktails Molotov contre l'hôtel Eureka à Vobarno, (province de Brescia). Ces évènements ont eu lieu début juillet et ont provoqué un incendie qui a détruit le rez-de-chaussée de cet hôtel qui devait recevoir des requérants d'asile. La même méthode a été utilisée fin mars pour endommager une petite villa à Cumignano sul Naviglio (province de Cremona).

Même au Piémont il y a eu des conflits entre Italiens et migrants. En novembre 2016 des Turinois, exaspérés par une situation qui se dégrade de plus en plus, on lancé deux engins explosifs contre les bâtiment ex Moi, occupé depuis des années par des centaines de nord-africains lesquels sont tout de suite descendus dans la rue où il y a eu de très violents affrontements. En septembre, une enveloppe contenant un engin explosif a été envoyé à l'agence de Voyage 747 qui s'occupe d'organiser le rapatriements de migrants.

Dans les régions gouvernées par la gauche, la colère contre les migrants monte au son d'engins explosifs

La "rouge Emilie" elle aussi a prouvé qu'elle n'en peut plus de cette arivée continue de migrants. Le 19 juillet, à Forli, deux bouteilles incendiaires ont été lancées sur le Cas (centre d'accueil extraordinaire), géré par la Croix Rouge qui hébergeait un seul migrant. En février, au centre d'accueil de Spadarolo, à Rimini, on a lancé des bouteilles : une vitre a été cassée et les ordures ont été éparpillées ce qui a sali les murs du bâtiment et le jardin. En mai 2016, à Parme, le siège d'un centre d'accueil pour réfugiés où vivaient une vingtaine de personnes, avait aussi été pris pour cible.

Dans les Marches, la plupart des agressions ont eu lieu en 2016, l'année où, à Fermo, Emmanuel Chidi a été tué suite à une dispute. Avant cet épisode, déjà une certaine intolérance montait face à l'arrivée continuelle de migrants. Cela s'est vérifié dans les premiers jours de mai avec un incendie volontaire contre l'hôtel Mark à Frontignano, qui était fermé depuis 10 ans et devait accueillir des réfugiés.

A Montottone, un petit village de la province de Fermo, une bombe a explosé devant l'église Santa Maria à l'endroit où sont accueilli les réfugiés. L'auteur de ce geste avait déjà sévi en avril à San Marco alle Paludi di Fermo.

Au Sud de l'Italie

Si on descend dans le sud de l'Italie, la situation n'est pas différente. En Calabre, à San Fernadino, un incendie probablement volontaire s'est déclaré début juillet dans un village de tentes. Toujours à San Fernandino, entre le 10 décembre et le 3 janvier 2016, 6 nord africains ont été agressés aux alentours de la date anniversaire de la révolte de Rosarno.

Dans les Pouilles, le dernier épisode de violence a eu lieu début juin quand une bombe a explosé près d'un centre d'accueil extraordinaire à Ginosa (province de Tarente).

 

Source : ilgiornale.it 

Traduction D. Borer pour les observateurs.ch

 

Castiglioncello (I) : des clandestins séquestrent des employés de l’hôtel

Ci-dessus, quelques uns des 44 clandestins accueillis dans l^hôtel Saint Vincent (photo da lanazione.it)

La Ligue du Nord dénonce : « C’est une situation insoutenable »

Dans la nuit de mardi à mercredi, l’hôtel Saint Vincent à Castiglioncello a vécu des moments sous haute tension.

L’endroit accueille, depuis un an et demi, 44 clandestins de différentes nationalités, ethnies et religions. Cette nuit là, peu avant minuit, un médiateur culturel libyen a fait une inspection de routine dans cette structure d’accueil.

Dans une chambre de l’hôtel où logent 3 Nigérians, se trouvait un réchaud dont l’utilisation est interdite dans les chambres. Les immigrés doivent manger au moment où la nourriture arrive de l’hôtel Mediterraneo di Cecina Mare qui héberge d’autres étrangers. Mais ils voulaient se cuisiner un repas plus adapté au ramadan.

Le médiateur, d’entente avec un autre employé, n’a pas accepté ce comportement. Ils ont alors été molestés et séquestrés à l’intérieur de la chambre. Les carabiniers en tenue anti-émeute qui avaient été appelés par d’autres employés de l’hôtel, les ont finalement libérés. Les responsable de l’agression ont été dénoncés pour résistance, violence et lésions corporelles.

Cet épisode a permis de mettre en lumière une situation difficile dans la structure d’accueil où des faits similaires sont fréquents.

Un voisin raconte : « Le problème est que, outre le coût qu’ils génèrent pour la collectivité, ces personnes ne veulent pas s’intégrer. En plus, nous sommes dans une zone touristique et de nombreuses villas situées près de cet hôtel ont été mise en vente »

La Lega Nord dénonce depuis longtemps cette situation insoutenable et l’autre jour, son leader, Matteo Salvini, a mis en évidence sur sa page Facebook cet évènement (ainsi que d’autres faits similaires) :  « Dans un hôtel accueillant des présumés réfugiés, les immigrés ont séquestré les propriétaires après s’être révoltés. Les carabiniers ont dû intervenir en force. Mais, pour Renzi, il n’y a absolument pas d’invasion. Il est menteur et complice ».

Outre le leader du Carrochio, des représentants locaux ont aussi réagi sur ce qui s’est passé. Manfredi Potenti, responsable de la section Val di Cecina de la Lega Nord:  » Notre préoccupation est compréhensible face à cet épisode qui doit nous faire réfléchir sur ce type d’accueil que la Lega critique depuis 2014, à l’époque où les premiers migrants étaient accueillis. Nous sommes dans une zone touristique et ce genre d' »incident » n’est certainement pas positif. Et puis, le gouvernement se trompe en continuant à promouvoir ce type d’accueil. J’ignore quel type de demande d’asile ces personnes ont fait. Mais il est certain que les réponses tardent trop à arriver; donc ce système ne fonctionne pas. De toute façon, ces immigrés sont ici depuis deux ans sans rien faire, une situation insoutenable. De plus, plusieurs d’entre ne viennent pas de pays en guerre et occupent donc des places qui pourraient revenir à des gens reconnus comme véritables réfugiés.

Pour conclure, le respect des règles devrait être la base mais ces personnes nous ont montré qu’ils ne veulent pas se soumettre aux plus élémentaires normes de coexistence civile ».

Source en italien, traduction Danielle Borer

 

P. S. Pendant la même période, des « migrants » saccagèrent tout dans un centre d’accueil près de Messine estimant qu’ils étaient trop éloignés du centre ville.

Que pensez vous qu’il arriva ? Et bien, ils obtinrent gain de cause et furent installés dans un hôtel 4 étoiles au centre de Messine !

Voir la vidéo du saccage sur la page Facebook de Salvini ICI

 

Article paru d'abord sur Riposte Laïque

London 2 Calais, une ONG étrangère qui pousse les migrants à la révolte

Le Daily Mail a publié un article sur un couple d’étrangers qui a fondé l’ONG London2Calais http://convoys2calais.com/. La femme, Mona Dohle, parle plusieurs langues, dont l’Anglais et l’Allemand, travaillait comme journaliste (activiste politique selon le Daily Mail) pour un journal allemand Marx21.de http://marx21.de/theorie21/ qui prône l’Agenda 21, le féminisme et le Gender (journal soutenu par les Linke),. Elle travaille comme journaliste pour le Support Investment Europe, fondé en 2013 basé à Londres. Selon le Daily Mail, son marie mari est un activiste défendant la cause de l’islam et le multiculturalisme. Le Daily Mirror avait présenté ces jeunes mariés comme un coupe romantique britannique qui partait en aide aux réfugiés de Calais, sans préciser leur passé d’activistes politiques.

Suite sur RL

Milan : des Nigérians protestent contre la nourriture servie au centre d’accueil

pasta non piace

Traduction :

Dans le centre d'accueil de la rue Aldini (Milan), vivent des migrants de neuf ethnies différentes en provenance de plusieurs continents. Chacun a ses traditions, chacun a ses préférences gastronomiques. Sensible depuis toujours à ces thèmes, la Fondation Progetto Arca cherche à contenter les désirs de leurs hôtes, en se rendant compte, tout de même, qu'il n'est pas possible d'offrir dix menus à choix par jour. Le mécontentement est fréquent, mais samedi soir, un groupe de Nigérians a vraiment exagéré : 20 d'entre eux ont protesté violemment jusqu'à renverser un banc de la structure d'accueil. Le motif ? "Nous voulons du riz, pas des pâtes !" (...)

"Nous avons appelé la police, explique le président de la structure, Alberto Sinigallia, surtout pour donner un signal clair : les demandes sont légitimes,  mais chacun doit respecter les règles." En réalité, il se raconte dans le centre que la nervosité des réfugiés provient de deux raisons principales : la longueur de la bureaucratie italienne pour traiter les demandes d'asile et le fait que 80 % des demandes sont généralement rejetées par les commissions compétentes.

Les migrants utiliseraient le prétexte de la nourriture pour exprimer leurs frustrations.... Ricardo De Corato, vice président du conseil communal (Fratelli d'Italia) ne tourne pas autour du pot : " Il faut expulser du centre les meneurs de la révolte. Et il faudrait aussi expulser du pays ceux qui n'acceptent pas les règles de la vie civile et qui ne respectent même pas l'accueil qui leur est offert".

Le Lombard Davide Boni, secrétaire provincial du Carroccio, a lui utilisé l'ironie : "La protestation courtoise et modérée des migrants de la via Aldini mérite toute notre considération ainsi que l'engagement de nous, citoyens milanais : je lance donc un appel au grand chef Cracco pour qu'il mette à disposition toute sa classe et son expérience et, peut-être, qu'il mette à disposition son célèbre restaurant pour satisfaire les palais de nos "hôtes"".

Traduction D. Borer

 

Italie : nouvelle révolte de migrants [vidéo]

Ndt : Voila comment ces pseudos réfugiés remercient l'Italie de leur donner le gîte et le couvert aux frais du peuple. Leur agressivité  est frappante et on est en droit de se demander de quelle façon ils se comporteront dans l'avenir quand ils seront encore plus nombreux. Et encore une fois, ce sont des hommes SEULS et en pleine force de l'âge...Une armée d'invasion sans uniforme ?

MàJ :

 

Pour voir la vidéo ci-dessous, cliquez sur le logo "IL MATTINO TV" (traduction sous la vidéo) :

"Lits, matelas et autres meubles jetés dehors en signe de protestation. Voilà quelle est la situation à Giugliano (province de Naples) où environ 300 migrants manifestent le long de la route Domiziana. Selon les migrants, qui tous logent au centre d'accueil dénommé "ex restaurant de France", les conditions à l'intérieur du bâtiment sont inhumaines, la nourriture est mauvaise, tout est sale et pour beaucoup d'entre eux vivre là est devenu quasi une torture".

Nous ne sommes pas bien traités. Moi, ici, je devrais me sentir bien. Nous souffrons. L'endroit où nous dormons n'est pas bien et tout est très sale. La nourriture n'est pas bonne. Il fait très froid à l'intérieur, on gèle".

 

Source en italien (trad. D. Borer ) / 07.08.2015

 

MàJ

Photos du complexe où sont logés ces pauvres malheureux, complexe noté 4 étoiles par Trip advisor :

 

Source

 

Italie : des habitants de Quinto se révoltent contre l’arrivée de migrants dans leur quartier

 La rage a explosé chez les résidents d'un complexe résidentiel à Quinto près de Trévise, quand un premier contingent de migrants est arrivé pour occuper une trentaine d'appartements (pour une centaine de "réfugiés"), situés dans deux immeubles du quartier.
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Autre vidéos  ICI

et    ICI

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Dès l'arrivée des pseudos-réfugiés, beaucoup d'habitants ont tout de suite protesté, mais c'est pendant la nuit que les choses ont dégénéré.

Dans la nuit, quelques résidents se sont introduit dans les appartements non encore occupés et les ont trouvés meublés de fond en comble : divans, téléviseurs LED de 40 pouces, paquets de cigarettes, habits, etc... Leur colère a alors éclaté, dévastatrice : le mobilier et d'autres choses ont été transportés dans la rue et une partie a été brûlé.

Vidéo ICI

Il y aurait aussi eu une échauffourée entre des résidents et deux employés de la coopérative qui s'occupe de l'accueil des migrants.

Après avoir fait un sitting pour protester, les résidents, surveillés par la police et les carabiniers, ont empêché que les employés de la coopératives ayant en charge les migrants  remettent à ceux-ci un panier de victuailles.

Les habitants ont annoncé qu'ils continueraient de protester aussi longtemps que les migrants ne seraient pas éloignés.

 

Sources 1 en italien (trad. D. Borer)

Source 2

Source 3