Directive européenne sur les armes : Entrer en Résistance ! Conférence de Jean-Luc Addor à l’ASIN [vidéo]

Le conseiller national et vice-président de Pro-Tell Jean-Luc Addor a rencontré un grand succès pour sa conférence. Il a dressé avec précision l'horizon prochain des détenteurs d'armes helvétiques sous le joug de la directive européenne.

M. Jean-Luc Addor a appelé tous ses concitoyens à rejeter la tutelle de Bruxelles et à se battre pour leurs libertés.

 

La rédaction remercie Me Addor de nous avoir communiqué la vidéo ci-dessus

Hommage à Pierre Cassen, l’un des visages de la résistance française

Par Sébastien Jallamion

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Pierre Cassen, le co-fondateur de Riposte Laïque, association qui fêtera son 10 ème anniversaire le 02/09/2017, est de la trempe de ceux qui ont résisté pour permettre à la France de rester elle-même, de ne pas subir, de ne pas sombrer dans l'obscurantisme pourtant si confortable aux yeux d'une majorité de citoyens souvent serviles, parfois trop faibles.
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Son combat, c'est celui de ceux qui n'acceptent pas l'islamisation de la France, et il le mène avec une détermination qui force le respect.
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Ses armes, ce sont les mots, ceux que l'on puise au fond de notre Histoire, de notre culture, de notre identité jetée en pâture régulièrement aux chiens de la bien-pensance hostile à toute autre nostalgie que celle de mai 1968, révolution en carton derrière des barricades en papier mâché.
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Car c'est avec les mots que commence la résistance, c'est avec le verbe, et les épithètes parfois pompeuses mais ô combien conformes à cet esprit français, celui qui nous caractérise, de Molière à Victor Hugo, en passant par Voltaire, ces géants qui nous gouvernent, nous qui avons conscience d'appartenir à un peuple qui a contribué à l'Histoire du monde.
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Cette grandeur dont nous sommes les héritiers, n'a rien de mercantile. Elle n'a rien de condescendant, ni de suprémaciste. C'est une grandeur qui a connu son lot de violences, parfois d'erreurs, mais qui a su perdurer par son universalisme et la noblesse de sa substantifique moelle : la Liberté.
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En ce sens, Pierre Cassen est un de ces hommes libres, un de ceux qui ont décidé de dire NON, quels qu'en soient les risques, parce qu'il croit en des valeurs que l'on pétine au quotidien au nom de Lois détournées de leur objectif premier, pour promouvoir une idéologie mortifère.
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Pas une semaine sans être convoqué par un service de police, un juge d'instruction, ou renvoyé devant la 17ème Chambre du tribunal Correctionnel de Paris. Il en faut du courage pour s'appeler Pierre Cassen aujourd'hui. Et du courage, il n'en manque pas !
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Qu'importent les outrages à la doxa, qu'importent les violations supposées aux textes limitant notre Liberté d'Expression, qu'importe même la supposée responsabilité pénale de cet homme qui a pour tort principal de ne pas courber l'échine... Car ce qui compte au final, c'est le jugement de l'Histoire, qui retiendra nécessairement Pierre Cassen comme étant l'un de ceux qui ont résisté à l'hérésie la plus sombre : celle qui consiste, pour nos ennemis, à utiliser nos Lois pour mieux les faire reculer.
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Pierre Cassen a toujours été un militant dans l'âme, il est donc naturel qu'il soit devenu un résistant, comme nombre d'anciens syndicalistes sincères et désintéressés, mus par une volonté d'agir pour garantir la justice sociale, une certaine idée de cette France éternelle transcendant tous les clivages.
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C'est de ce bois-là dont il faut être fait aujourd'hui pour véhiculer l'espoir de jours meilleurs, d'une société apaisée, rassemblée derrière des valeurs qui ont fait leur preuve par le passé, et qui servent aujourd'hui de prétexte à ceux qui ne jurent que par leur ambition personnelle pour laisser prospérer les causes d'un conflit généralisé.
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"Il n'y a point de plus cruelle tyrannie que celle que l'on exerce à l'ombre des Lois et avec les couleurs de la Justice" écrivait Montesquieu. Une phrase que l'on devrait obligatoirement apprendre à tous les écoliers de France. Une phrase on ne peut plus d'actualité. Une phrase qui devrait être distribuée à tous ces néophites fraîchement élus députés sous l'étiquette "La République En Marche", ne serait-ce que pour qu'ils apprennent l'existence de cet illustre auteur français.
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Pierre Cassen, lui, la connait par coeur.
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Sébastien JALLAMION

Les juifs au sein de la Résistance : une page d’histoire moins connue mise au jour

Georges Brandstatter est né le 24 novembre 1939 en Belgique. Caché pendant la guerre dans une famille chrétienne, il fut enfant de choeur dans la chorale de l’église du village. Ce n’est que vers l’âge de 12 ans qu’il découvre les récits que se racontent les rescapés de la Shoah.

Durant l’entre-deux-guerres, la Belgique connaît un important afflux de réfugiés fuyant les politiques antijuives mises en place en Europe et surtout en Allemagne. A l’aube du conflit, la communauté juive compte environ 50 000 personnes. Une bonne moitié se trouve à Anvers, un tiers à Bruxelles, et le reste sur Liège et Charleroi, la plupart issus d’une immigration récente. La communauté juive de Belgique représente à cette époque une petite minorité. Le 10 mai 1940, les troupes allemandes envahissent le pays. Dans la nuit du 3 au 4 septembre1944, les derniers SS, dans leur débâcle, abandonnent 527 détenus en attente d’un aller simple pour Auschwitz. Ils seront libérés par les alliés. 26 053 juifs auront été déportés, moins de mille reviendront de l’enfer des camps.

Pour Georges Brandstatter, « les témoins vivants vont disparaître. Toute cette vie va devenir l’affaire des historiens et ce ne sera plus tout à fait pareil. » Son oeuvre signe donc un engagement pour la mémoire. Dans un premier ouvrage, il avait fait témoigner des résistants juifs. Avec comme objectif principal de rendre compte des actions de la Résistance au sein des mouvements français tels que l’Armée juive (AJ), l’Organisation de secours aux enfants (OSE), les Eclaireurs israélites de France (EIF), ou les Francs-tireurs partisans – Main-d’oeuvre immigrée (FTP-MOI).

Dans Combattants juifs dans les armées de Libération (1939-1948), il retrace le destin de nombreux juifs engagés contre l’Allemagne nazie et les forces de l’Axe. Pour cela, il a recueilli les témoignages d’une cinquantaine de personnes, en France, en Belgique et en Israël. Sa volonté est de faire perdurer la mémoire de ces récits moins connus de la guerre, ceux de ces hommes et femmes qui ont pris les armes en Afrique du Nord, dans les Balkans, ou au sein des armées alliées. Les différents témoignages expliquent les raisons d’un tel engagement et les risques qui étaient encourus.

Ce livre montre ainsi que les juifs n’ont pas été seulement des victimes : ils ont aussi combattu pendant la Seconde Guerre mondiale. L’auteur intègre dans cet ouvrage la période de lutte des nouveaux immigrants juifs en Palestine, cette bataille inlassable jusqu’à la déclaration d’Indépendance de l’Etat d’Israël. Un ouvrage intéressant, même si l’on aurait peut-être préféré des témoignages plus détaillés, quitte à ce qu’il y en ait moins.

Combattants juifs dans les armées de Libération, Georges Brandstatter, éditions Ouest-France.

Source : Valérie Chapira, Jerusalem Post, 14 janvier 2016

Le devoir de résistance face à l’Europe

Migration. L’ancien président tchèque Václav Klaus qualifie les quotas de réfugiés décidés par la Commission européenne de diktat «venu du haut».

Interview: Alimuddin Usmani

La Commission européenne a récemment publié ses prévisions économiques pour l’ensemble de l’Union européenne. Selon l’institution présidée par Jean-Claude Juncker, les trois millions de réfugiés auront un «impact faible mais positif» sur la croissance européenne. Nous avons joint l’ancien président tchèque Václav Klaus pour lui poser quelques questions sur les mouvements migratoires qui s’accentuent depuis quelques mois sur le continent européen. Václav Klaus, qui était en fonction de 2003 à 2013 et dont l’avis est toujours plutôt sollicité dans son pays et ailleurs, compte bien mener la bataille pour l’abolition des quotas de réfugiés pour la République tchèque, jusqu’à présent relativement épargnée par la vague migratoire. 2617 requérants d’asile syriens, irakiens et érythréens devraient être attribués à la République tchèque d’ici à 2017.

Vous êtes à l’initiative d’une pétition qui réclame notamment l’abrogation des quotas de réfugiés imposés à la République tchèque. Votre pays a-t-il vraiment les moyens de s’opposer à cette décision de la Commission européenne?

Non seulement notre pays a la possibilité de s’y opposer mais il en a aussi le devoir. Plus exactement, ce sont les représentants politiques de notre pays qui ont l’obligation de le faire. Notre pays ne peut tout de même pas accepter ce diktat «venu du haut» en ce qui concerne ceux qui vont vivre ou ne pas vivre sur notre territoire ou bien ceux que nous décidons de prendre ou de ne pas prendre chez nous.

En mai dernier, vous aviez estimé que l’imposition de quotas de réfugiés pourrait briser l’Union européenne. Certains pays ont suspendu l’application des accords de Schengen en rétablissant le contrôle à leurs frontières. Est-ce pour vous un signe avant-coureur d’un effondrement des institutions européennes?

Quelles que soient mes aversions envers les institutions européennes, quels que soient mes souhaits par rapport à leur absolue reconstruction, je ne pense toutefois pas que les seules répartitions de migrants – si indispensables soient-elles – occasionneront des changements. Puisse-t-il y avoir de tels changements.

Certains milieux politiques accusent les employeurs de profiter d’une immigration incontrôlée pour disposer d’une main d’œuvre bon marché. Comment vous positionnez-vous sur cette question?

Il est logique pour les patrons d’entreprise de vouloir de la main d’œuvre à meilleur marché. Ils doivent minimaliser les coûts et on ne peut pas le leur reprocher. Leur devoir – et le rôle de la société – n’est pas de résoudre la question migratoire, c’est le devoir des politiciens. Ceux-ci doivent assurer la stabilité, la cohérence, la cohésion sociale, l’homogénéité élémentaire, le consensus du point de vue du style et du mode de vie, etc., etc. C’est le devoir des politiciens de chaque pays d’y veiller parce que sans tout cela, les patrons ne seront plus en mesure d’employer qui que ce soit et ne pourront même plus continuer à faire des affaires.

Est-il possible que les Etats-Unis jouent un quelconque rôle dans cette crise migratoire?

Pas de manière directe, mais dans un certain sens, ils jouent un rôle de manière essentielle. Les Etats-Unis ont modelé le monde à leur image et cette image est mauvaise. On peut notamment citer, l’exportation de la démocratie, la destruction successive des Etats du Proche et du Moyen-Orient, la lutte insensée à l’égard de la Russie (dont la victime est également la Syrie). A cet égard, les Etats-Unis y ont contribué de manière significative.

La victoire aux dernières législatives polonaises du parti Droit et Justice (PiS), qualifié d’eurosceptique, vous donne-t-elle de l’espoir pour la suite des événements?

Oui cela me donne de l’espoir, j’espère bien ne pas être déçu. Le président de la République de Pologne, Andrzej Duda me semble être quelqu’un de bien. Le Parti Droit et Justice (PiS), défend de nombreuses idées justes (mais certaines ne le sont pas), Je ne connais pas la présidente du Conseil des ministres. Le Parti Droit et Justice (PiS), représente bien évidemment un grand espoir. Ils ont mon soutien.

Une version de cette interview en tchèque est disponible sur le site de V. Klaus: http://www.klaus.cz/clanky/3835

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Le comité central de l’UDC Suisse appelle à la résistance à tous les niveaux contre le chaos de l’asile

Le comité central de l'UDC Suisse s'est réuni aujourd'hui à Kerns/OW. Les discussions portaient notamment sur le malaise des cantons et des communes devant le chaos qui s'étend dans le secteur de l'asile. Les autorités fédérales tout comme la Conférence des directeurs cantonaux de justice et police sont incapables de résoudre ces problèmes. Leur unique solution est d'ouvrir de nouveaux centres d'accueil pour palier à la vague de faux réfugiés qui déferle sur la Suisse au lieu de s'attaquer enfin au travail dur et opérationnel qui consiste à appliquer rigoureusement la législation durcie sur l'asile. Le comité central a donc décidé d'inviter les sections cantonales et locales à s'opposer systématiquement à l'ouverture de nouveaux centres d'asile dans leurs régions et à l'attribution de requérants d'asile supplémentaires.

Le comité central a été informé par les responsables de l'UDC Obwald sur le projet de la Confédération d'ouvrir un centre pour requérants d'asile à Sarnen. Le chaos dans l'asile provoqué par la conseillère fédérale socialiste Simonetta Sommaruga et son administration complètement dépassée par les événements se répercute de plus en plus sur les cantons et les communes. Il n'est pas tolérable que ceux-ci doivent supporter les conséquences de cette mauvaise politique. L'attitude passive et impuissante de la Conférence des directeurs cantonaux de justice et police, présidée par le conseiller d'Etat radical Käser, est également une grande déception. Malheureusement, au niveau fédéral, les partis du centre, y compris le PLR, refusent d'assumer leurs responsabilités et pratiquent la politique de l'autruche. Au lieu d'agir sur la base de la législation en vigueur et d'imposer une exécution rigoureuse des lois, ils reportent la solution du problème d'une révision de loi inutile à l'autre. Pendant ce temps, la population des communes concernées souffre d'une criminalité croissante, d'une explosion des coûts et de divers autres effets négatifs sur la vie en communauté. Les tensions augmentent dans toute la Suisse et risquent de s'aggraver sensiblement.

Le comité central de l'UDC Suisse a donc pris les décisions suivantes:

  • les représentants de l'UDC au niveau fédéral sont invités à se battre pour que des mesures efficaces soient rapidement prises. Il s'agit notamment d'imposer un moratoire en matière d'asile en recourant au droit d'urgence, de protéger les frontières contre l'immigration clandestine, si nécessaire avec l'aide de l'armée, d'installer des centres fermés pour réduire l'attractivité de la Suisse et de combattre sévèrement les abus.
  • les responsables UDC au niveau des cantons et des communes sont exhortés à donner systématiquement la priorité à la sécurité et aux intérêts de la population. Le transfert des charges de la Confédération vers les cantons et les communes doit être combattu. Chaque section locale de l'UDC doit s'opposer à la répartition de requérants d'asile entre de nouvelles communes. Des interventions doivent être déposées dans les parlements cantonaux pour empêcher un transfert des charges du haut vers le bas. Les gouvernements cantonaux doivent défendre les intérêts des citoyennes et des citoyens dans les organes intercantonaux et face à la Confédération. Enfin, il faut multiplier les interventions pour que toute la lumière soit faite sur les coûts effectifs de cette mauvaise politique d'asile.

Après la séance du comité central, des élus de l'UDC Suisse rencontrent ce soir après 17.00 heures sur la place de la paroisse de Kerns la population locale dans le cadre de l'action "L'UDC proche de vous". L'assemblée des délégués de l'UDC Suisse se tiendra demain à Kerns.

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