Contrat de travail de la socialiste Rebecca Ruiz : La réglementation a été clairement violée mais l’affaire est classée

L'affaire du contrat de travail impliquant la conseillère d'Etat a été classée. La réglementation vaudoise a été sciemment violée, reconnaît pourtant le procureur général.

Le procureur général a classé l'affaire du contrat de travail impliquant la conseillère d'Etat Rebecca Ruiz. La réglementation vaudoise a été clairement et sciemment violée. Mais cela n'a pas lésé les intérêts de l'Etat ni procuré d'avantage illicite à l'intéressée.

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20min.ch

Argovie: Un Kosovar tire sur son compatriote

Christian Hofer: On relèvera que les armes à feu sont interdites pour les Kosovars en Suisse. Cela ne les empêche nullement d'en posséder et d'en faire usage dans nos rues puisqu'ils se moquent éperdument de nos lois, sans que cela ne gêne la socialiste Rebecca Ruiz. Aucun mot à ce sujet de cette "criminologue" de pacotille alors qu'on ne compte plus les affaires concernant cette communauté.

Mais il est vrai que les socialistes ne sont actifs que lorsqu'il s'agit de détruire les libertés des Suisses, jamais pour nous défendre contre les étrangers criminels qu'ils nous imposent!

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Un Kosovar de 37 ans a tiré sur un de ses compatriotes, samedi à Spreitenbach (AG). La victime, qui s'en est sortie avec quelques égratignures, revient sur ce qui s'est passé.

Interrogé par Tele M1 sur les raisons pour lesquelles il a été pris pour cible des deux hommes, le Kosovar a refusé tout commentaire. Il a uniquement avoué qu'une affaire non-réglée l'opposait au tireur. Selon le frère de la victime, qui s'est confié au au journal kosovar «Bota Sot», les hommes menacent Lulzim depuis près d'un an. Ils lui demanderaient de l'argent pour éponger leurs dettes, qui s'accumulent depuis la faillite de leur pizzeria.

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Rappel: Les Kosovars de Suisse remercient M. Calmy-Rey

Propagande de gauche: Migros Magazine interviewe la socialiste anti-armes Rebecca Ruiz et demande à ses lecteurs “S’il y a trop d’armes en Suisse”

Christian Hofer: Rappel, C'est le même magazine qui donnait voix à Didier Charlet, protagoniste de gauche qui prétend faire de l'humour en crachant sur le christianisme. Migros Magazine avait aussi offert une tribune à Annick Jeanmairet et sa propagande socialiste.

On notera que Rebecca Ruiz ne comprend strictement rien à la situation. Les pays en guerre ou qui l'ont été récemment regorgent d'armes. Imagine-t-elle que l'on peut aller au Kosovo, en Albanie, en Libye et que les gens vont rendre les armes alors qu'ils peuvent en tirer du profit, les réutiliser?

Les filières du marché noir existeront toujours et ce n'est pas le "darknet" qui en a été l'initiateur! De même, cette pécore ne dit strictement rien sur la violence des Balkaniques dans notre pays alors qu'ils ne se privent pour utiliser leurs armes illégales chez nous alors qu'ils sont venus par le biais de la "tradition humanitaire" si chère à son parti. A contrario, désarmer les Suisses, ça c'est bien!

Enfin par définition même, le darknet et les réseaux ne seront PAS touchés par cette loi qui ne concerne que les gens honnêtes! Quel imbécile peut croire que les terroristes vont demander un permis d'acquisition d'arme auprès de la police avant de faire un attentat? Elle mélange volontairement les thèmes pour essayer d'imposer la vision liberticide de la gauche: utiliser le terrorisme de leurs amis musulmans pour détruire nos moindres libertés!

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migros

Suite aux attentats de Paris, la Commission européenne envisage de durcir la législation sur les armes. Si cela se confirme, la Suisse, membre de l’espace Schengen, devra sans doute s’aligner sur Bruxelles. Au grand dam de nombreux fils de Tell!

Cette réforme devrait toucher par ricochet notre propre loi sur les armes. Parce que nous faisons partie de l’espace Schengen, comme l’a rappelé le Conseil fédéral dans sa réponse à une interpellation de la conseillère nationale Rebecca Ruiz (PS/VD):

La Suisse est ainsi par principe tenue d’accepter la directive et de la transposer dans son droit national.»

 

La législation suisse sur les armes est-elle trop libérale?

A mon sens, oui. Elle est d’ailleurs l’une des législations les plus libérales qui existent en Europe. Dernièrement, le Parlement a décidé de créer un registre des armes, mais il a refusé l’inscription rétroactive de celles-ci.

Cela veut dire qu’il y a des milliers et des milliers d’armes à feu qui ne seront pas inscrites dans ce registre,

ce qui est tout à fait dommageable. Même si nous ne saurons jamais exactement combien il y a d’armes à feu en Suisse, il est nécessaire d’avoir une vue d’ensemble en la matière, la plus exhaustive possible, parce que nous sommes bien en train de parler d’un objet dont l’utilisation peut être létale.

Une législation, aussi bonne soit-elle, ne permettra pas de résoudre le problème du marché noir et risque de manquer ses cibles, à savoir les criminels et les terroristes!

C’est vrai. Tout un travail de contrôle doit être fait, si tant est qu’il soit possible, autour de ce qu’on appelle le Darknet, soit l’acquisition d’armes à feu sur des sites ou des plateformes internet qui sont difficilement contrôlables. Aujourd’hui, on peut commander des armes, même très lourdes, par internet, au même titre que de la drogue ou d’autres objets illégaux. Nous ne pourrons évidemment jamais tout contrôler, mais cela ne doit pas nous empêcher d’agir en tentant de nous aligner sur les législations de nos voisins.

Durcir la loi, comme pourrait l’exiger la Commission européenne, serait donc positif à vous entendre?

Nous ne sommes pas membres de l’Union européenne, nous ne devons pas forcément nous soumettre à toutes les volontés de Bruxelles, mais c’est vrai que cette problématique des armes fait partie de l’acquis de Schengen. Nous avons donc une responsabilité, qui est celle de ne pas créer un Eldorado au milieu de l’Europe en matière d’acquisition d’armes à feu.

Les Helvètes sont très attachés à leurs armes. Ils l’ont encore montré en 2011 lorsqu’ils ont refusé à 56,3% l’initiative «Pour la protection face à la violence des armes». Est-ce que cela fait partie de notre ADN?

Oui. Lors de cette votation populaire, les débats ont été parfois d’une grande violence.

On touche ici à quelque chose d’identitaire, de culturel. Mais voilà, les armes ne sont pas des objets comme les autres.

Les statistiques le montrent malheureusement: tous les ans, des gens meurent à cause de la trop grande accessibilité de ces objets, qu’il s’agisse de suicides ou d’homicides.

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Restriction des armes en Suisse: Pour la Socialiste Rebecca Ruiz “il n’y a aucun inconvénient à ce que la Suisse s’adapte”

Christian Hofer: On remarquera la manipulation de la socialiste, prétendant parler en tant que "criminologue" alors que les socialistes ont toujours milité pour restreindre nos libertés les plus élémentaires. Visiblement, prendre les gens pour des imbéciles est une constante avec ce parti. La vieille manipulation consiste à utiliser une cause juste (lutter contre le terrorisme) pour détruire les libertés de la population locale. Ainsi seules les racailles qui se moquent bien de ces lois resteront armées. On notera encore que pour cette socialiste notre pays doit suivre les décisions de l'UE, vieux fantasme du parti socialiste qui tente depuis fort longtemps de nous imposer l'adhésion. C'est dire à quel point ce parti est néfaste pour notre population.

Et comme par hasard, ici notre tradition n'est plus du tout défendue alors que la Suisse a basé sa défense sur le concept de citoyen-soldat, capable de se défendre, possédant chez lui une arme. On constate ici toute la crapulerie du discours socialiste qui utilise nos traditions lorsque cela lui sied afin de nous imposer des centaines de milliers de réfugiés mais qui la rejette lorsque cela est au bénéfice des Suisses.

Bien évidemment, Le Temps lui emboîte le pas, puisque son titre inverse totalement la situation: au lieu de trouver inacceptable qu'une décision européenne vienne empiéter sur nos libertés, ce sont les "fans" qui deviennent suspects, comme si notre tradition ou notre liberté était une lubie.

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Un projet européen émeut les fans du fusil à domicile

Le projet de loi européenne a été lancé en décembre dernier, à la suite des attentats de Paris, par le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker. Le durcissement envisagé devrait restreindre drastiquement la détention d’armes par des particuliers et le commerce en ligne, ainsi que viser par l’échange d’informations à établir un registre européen.

Une des législations les plus libérales

La conseillère nationale Rebecca Ruiz ne verrait aucun inconvénient à ce que la Suisse doive s’aligner sur un durcissement européen en la matière. «Nous avons une des législations les plus libérales sur les armes à feu», explique la socialiste vaudoise, précisant que «c’est la criminologue qui parle (sic!!!).

L’arme à feu à portée de main est la cause de plus de suicides et de plus d’agressions, sur des femmes notamment. Moins il y aura d’armes, mieux la société se portera. La Suisse peut prôner sa souveraineté, mais il est impensable que nous menions notre propre politique sans concertation forte avec nos voisins. Cela créerait un appel d’air pour venir se fournir d’armes en Suisse.»

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