SOS Méditerranée reprend le sauvetage en mer des migrants

SOS Méditerranée reprend le sauvetage en mer de migrants, trois mois après l'avoir suspendu. Le bateau doit quitter Marseille dimanche soir ou lundi. Après un divorce avec MSF, l'ONG a monté ses propres équipes médicales et des partenariats suisses sont en discussion.

Le navire, qui devait partir samedi à la mi-journée, quittera Marseille "dans les prochaines heures" dès que la mer sera moins démontée, a affirmé à Keystone-ATS un porte-parole de la section suisse de SOS Méditerranée, établie à Genève. "Nous sommes très contents" de pouvoir redémarrer, a-t-il aussi dit.

L'ONG relève que les derniers mois ont été particulièrement meurtriers pour les migrants qui tentent de rejoindre l'Europe et cible le manque de collaboration entre pays pour aider ces personnes. Près de 3900 personnes ont été interceptées et renvoyées en Libye, pays qui fait face à de nombreuses violences.

Le bateau était bloqué depuis trois mois, d'abord pour évaluer la situation face au coronavirus et ensuite pour préparer le nouveau dispositif après la fin d'un partenariat de plusieurs années avec Médecins Sans Frontières (MSF). Quelques semaines après le retour du navire, les deux ONG avaient relayé leurs divergences, alors qu'elles avaient sauvé depuis 2016 plus de 30'000 personnes.

MSF estimait que l'impératif humanitaire devait l'emporter sur toute décision liée à la reprise des activités en mer. SOS Méditerranée voulait de son côté des garanties d'accès à des ports avant de relancer le navire.

Appel lancé

Après cette séparation, l'ONG a monté son propre dispositif de santé pour pouvoir prendre en charge le moment venu les migrants en mer. Celui-ci est constitué notamment d'un médecin, qui a oeuvré pendant le Covid, et de deux infirmiers. La majorité d'entre eux a participé à des sorties du navire actuel utilisé pour le sauvetage ou de son prédécesseur.

Tous ces acteurs pourront s'appuyer sur les deux salles de consultation et de soins entièrement dotées, sur l'unité d'hospitalisation pour six personnes et sur le dispositif de stockage de médicaments. En pleine pandémie, une zone de prise en charge des personnes qui pourraient être infectées par le coronavirus a été ajoutée.

Dans les prochains mois, des Suisses pourraient participer au sauvetage. Des "partenariats médicaux" sont en discussion, explique la section suisse de SOS Méditerranée. Il a semblé "fondamental après le retrait de MSF de continuer nos opérations en gardant une équipe médicale à bord", a ajouté l'ancien conseiller aux Etats Dick Marty, membre de son Conseil de fondation. Les soins pour ces migrants sont indispensables et ils ont un "coût", relève-t-il.

De son côté, la directrice Caroline Abu-Sada salue la collaboration des Etats et des citoyens avec le personnel de santé et pour aider les personnes dans le besoin pendant la crise du Covid. "Le devoir de secourir les personnes qui se noient en mer doit être rempli avec le même sens de la solidarité", dit-elle. Elle appelle à un soutien financier et à un "dialogue urgent" avec les Etats européens.

 

source: https://www.swissinfo.ch/fre/sos-m%C3%A9diterran%C3%A9e-relance-son-sauvetage-en-mer-apr%C3%A8s-plusieurs-mois/45851360

Quel monde « post-covid » voudraient instaurer Bertrand Piccard et Frans Timmermans, vice-président de la Commission européenne ?

Bilan.ch, 16 avril 2020

Alors que l'Europe entrevoit la sortie du tunnel dans la crise du coronavirus, de multiples pistes sont explorées pour relancer l'économie. En exclusivité romande, Bilan publie la tribune rédigée par Bertrand Piccard, explorateur et médecin suisse, et Frans Timmermans, vice-président exécutif de la Commission européenne.

[...]

Cela nous laisse un choix : nous battre pour revenir à ce que nous avions auparavant ou essayer d'atteindre une situation bien meilleure.

Qu'avions-nous avant le Covid-19 ? Une économie léthargique, linéaire et génératrice de carbone, luttant pour augmenter le taux d'emploi et la qualité de vie, tout en épuisant les ressources naturelles, en produisant des déchets dangereux et des polluants toxiques, mettant en danger la population et l'industrie, sans parler de la crise du changement climatique. Est-ce vraiment cela que nous voulons récupérer ?

Il existe une autre voie : viser une croissance qualitative, avec une économie circulaire, durable et hautement compétitive. Comment y parvenir ? En remplaçant les infrastructures anciennes et polluantes par des infrastructures modernes, propres et efficientes, dans tous les secteurs - eau, énergie, construction, mobilité, agriculture et processus industriels, pour n'en citer que quelques-uns. Cela permettrait de créer beaucoup plus d'emplois et de faire croître notre PIB bien plus que par l'ancienne méthode.

C'est pourquoi il est faux de dire que le "Green Deal" est un luxe que nous ne pouvons pas nous permettre. Les inondations, les sécheresses, les incendies, la montée des eaux et la désertification vont nous frapper de plein fouet. De plus, avec le recul de la nature et la fonte du permafrost nous devrons faire face à d'autres virus inconnus.

[...]

Le "Green Deal" est avant tout une stratégie de croissance, qui s’avère être également favorable pour l'environnement. Les énergies renouvelables et les technologies propres représentent une opportunité économique et industrielle massive qui a un meilleur avenir que le retour à une économie basée sur les combustibles fossiles, rongée par l'incertitude et l'imprévisibilité.

[...]

Nous pouvons construire un solide réseau d'énergies renouvelables basé sur le solaire, la géothermie, la biomasse, l'énergie des océans et l'éolien, même si les possibilités vont beaucoup plus loin ;  [...]

Ces technologies existent déjà. Elles ne représentent que quelques exemples des solutions identifiées et sélectionnées par la Fondation Solar Impulse, et son défi #1000Solutions est là pour le prouver.

[...].

article complet: https://www.bilan.ch/economie/quel-monde-voulons-nous-rebatir-apres-le-covid-19

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Pour en savoir plus sur Frans Timmermans:

https://lesobservateurs.ch/2019/02/25/la-roumanie-enregistre-une-plainte-contre-timmermans-lallie-de-soros/

https://hungarytoday.hu/fidesz-timmermans-soros-man/

Messieurs Barroso, Goldman, Sachs et Timmermans

Bruxelles présente sa « loi climat » sous l’œil dubitatif de Greta Thunberg

https://lesobservateurs.ch/2019/05/18/pour-frans-timmermans-vice-president-de-la-commission-europeenne-lislam-fait-partie-de-leurope-depuis-2000-ans/

Le ministre des affaires étrangères de Hongrie appelle le vice-président de la Commission européenne Timmermans à démissioner

Élections européennes : les institutions de l’UE font campagne contre le PiS en Pologne

Et sur Bertrand Piccard:

Ridicule bis: Bertrand Piccard sera au G7 pour présenter ses solutions

https://lesobservateurs.ch/2019/08/26/bertrand-piccard-et-emmanuel-macron-veulent-changer-le-systeme/

Bertrand Piccard, le Jupiter vaudois, se recycle

RTS Forum du 2 janvier 2020 : un concentré de débilités et de manipulations

 

Immigration : Trump anticipe, l’Union européenne tergiverse et sera bientôt submergée

En début de semaine, Trump a annoncé une suspension temporaire de l’immigration, pour protéger les emplois des américains, alors que 22 millions d’entre eux ont perdu leur travail en un mois. [...]

C’est tout le contraire, en réalité : Trump démontre ainsi qu’il anticipe les problèmes quand, en Europe, on agit toujours en retard, on attend que le problème s’enkyste avant de le traiter. Voire on le nie : en Italie, le gouvernement Conte parle de régulariser 600.000 migrants irréguliers (selon le Corriere della Sera) : l’Italie n’a-t-elle pas déjà suffisamment de problèmes pour faire dans l’humanitaire et risquer d’ouvrir un nouvel appel d’air ? [...]

Or, l’immigration va très probablement exploser dans les mois à venir, à un niveau que l’on n’aura probablement jamais vu dans l’Histoire, crise migratoire de 2015 incluse. Pourquoi ? Les cours du pétrole sont incroyablement bas, jusqu’à en devenir négatifs. Les opérateurs préfèrent s’en débarrasser en payant plutôt que de subir les frais de stockage, alors que la demande va rester atone durant des mois : l’activité économique et l’industrie mondiale ne retrouveront pas demain leur niveau d’hier. De quoi vont vivre l’Arabie saoudite, le Qatar, l’Iran, l’Irak, la Syrie, la Libye, l’Algérie, le Gabon, la Guinée équatoriale, le Nigeria, le Mexique, le Venezuela ? Mais le pétrole n’est pas la seule source de revenu des pays du Sud à dégringoler : le zinc a perdu 35 % de sa valeur en un an, l’étain 28 %, l’aluminium 21 %, le cuivre 90 % ! Idem pour les produits agricoles : coton -28 %, caoutchouc -18 %, huile de soja -11 % (Les Échos). C’est l’ensemble des revenus de nombreux pays du tiers-monde, dont les ressources sont souvent mono-produits, qui s’effondrent. Nous aussi, me direz vous, nos économies s’effondrent.

[...]

article complet: https://www.bvoltaire.fr/immigration-trump-anticipe-lunion-europeenne-tergiverse-et-sera-bientot-submergee/

Ces migrants bien nourris se battent déjà comme des sauvages

Cenator: Alors que les scientifiques annoncent des famines à venir dans des proportions bibliques, les images de la vidéo ci-dessous amènent à réfléchir sur l'avenir qui se dessine dans nos sociétés multiculturelles.
Comment cela va-t-il se passer si la pénurie alimentaire annoncée arrive ?

 Et parmi les réfugiés que la Suisse importe et soutient, il y a des soldats formés par des organisations terroristes, l'OLP, les membres de l’État Islamique, Boko Haram, le Hezbollah,  Al-Quaïda, le Front islamique des combattants du Grand Orient, le PKK, Al-Aqsa, les talibans,  etc. Ils sont tous persuadés que c'est la faute des Blancs s'ils sont pauvres, opprimés et ils sont décidés à faire passer les sales Blancs à la caisse.

Au sein de cette masse haineuse d’envahisseurs,  il y a un tas de personnes voulant juste vivre à nos crochets, sans travailler, des analphabètes, des sans formation, qui vivotaient chez eux .  Ces "pauvres migrants", fuyant les "persécutions et la misère", sont tous parfaitement inadaptables à notre mode de vie, à notre économie, ils sont tous chéris par la Gauche et se transformeront en bombes incendiaires si nous n'arriveront plus à subvenir à leurs besoins.

Deux stratégies se dessinent :
La première est celle d'Orban, de Trump qui consiste à s'occuper de son pays pour survivre au choc causé par la pandémie, aider les nécessiteux d'abord chez soi, ensuite, nos « frères », comme les chrétiens d'Orient.

La deuxième est celle de la gauche, martelée par nos médias et les groupes de pression puissants de la gauche. Elle consiste à vouloir garder nos frontières ouvertes aux envahisseurs et faire financer cette invasion par la classe moyenne.

Les dernières élections fédérales ont renforcé le courant gauche-vert. Ainsi, la Suisse est mal partie malgré des finances plus saine qu’ailleurs et le prétendu « magot disponible de la BNS »

Durant les trois ans à venir, la Gauche va se renforcer, et notre pays s'appauvrir, perdre en compétitivité à tous les niveaux. Les activistes manipulant la population vont reprendre leur travail de sape ; la foire aux incompétents, conjuguée avec la crise économique à venir, laisse entrevoir une grave débâcle inévitable.

Une seule manière permettrait de contrer ces forces destructrices, il faudrait créer et renforcer des médias s’opposant à la propagande de gauche… c'est-à-dire, informer et encore informer.

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22 avril 2020
Des envahisseurs musulmans illégaux, placés en quarantaine dans un hôtel grec de luxe en bord de mer après une flambée de Covid-19, se battent pour du matériel gratuit mis à leur disposition. Au total, 148 illégaux musulmans séjournant à l'hôtel et deux membres du personnel ont été testés positifs, a déclaré Nikos Hardalias, vice-ministre de la protection civile.

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https://www.theguardian.com/global-development/2020/apr/21/coronavirus-pandemic-will-cause-famine-of-biblical-proportions

La pandémie de coronavirus "provoquera une famine aux proportions bibliques".

Les gouvernements doivent agir maintenant pour empêcher 265 millions de personnes de mourir de faim, avertit le patron du Programme alimentaire mondial

Le monde est confronté à une famine généralisée "aux proportions bibliques" en raison de la pandémie de coronavirus, a averti le chef de l'agence de secours alimentaire des Nations unies, avec un court délai pour agir avant que des centaines de millions de personnes ne meurent de faim.

Plus de 30 pays du monde en développement pourraient connaître une famine généralisée, et dans 10 de ces pays, il y a déjà plus d'un million de personnes au bord de la famine, a déclaré David Beasley, directeur exécutif du Programme alimentaire mondial.

"Nous ne parlons pas de personnes qui se couchent le ventre vide", a-t-il déclaré au Guardian lors d'une interview. "Nous parlons de conditions extrêmes, d'un état d'urgence - des gens qui marchent littéralement au bord de la famine. Si nous ne fournissons pas de nourriture aux gens, des gens vont mourir".

Il est probable que le Covid-19 se répande dans les pays en développement, mais sa propagation est difficile à évaluer. Ce qui semble certain, c'est que les fragiles systèmes de santé de nombreux pays en développement seront incapables de faire face à la situation, et que le désastre économique qui suivra la pandémie entraînera une énorme pression sur les ressources.

"Il ne s'agit pas seulement d'une pandémie, mais aussi d'une pandémie de faim", a déclaré M. Beasley. "C'est une catastrophe humanitaire et alimentaire".

Beasley a transmis son message au Conseil de sécurité de l'ONU mardi, avertissant les dirigeants du monde qu'ils doivent agir rapidement dans une situation qui se détériore rapidement. Il les a exhortés à avancer les quelque 2 milliards de dollars (1,6 milliard de livres sterling) d'aide qui ont été promis, afin qu'ils puissent arriver sur la ligne de front aussi vite que possible.

350 millions de dollars supplémentaires (285 millions de livres sterling) sont également nécessaires pour mettre en place le réseau logistique permettant d'acheminer la nourriture et les fournitures médicales - y compris les équipements de protection individuelle - là où elles sont nécessaires, y compris les ponts aériens où le transport terrestre est impossible.

Avant même la crise du Covid- 19, M . Beasley lançait un appel aux pays donateurs pour qu'ils augmentent le financement de l'aide alimentaire aux plus pauvres, car les conflits et les catastrophes naturelles mettaient à rude épreuve les systèmes alimentaires.

"Je disais déjà que 2020 serait la pire année depuis la seconde guerre mondiale, sur la base de ce que nous avons prévu à la fin de l'année dernière", a-t-il déclaré. En outre, au début de cette année, l'Afrique de l'Est a été frappée par les pires essaims de criquets pèlerins depuis des décennies, mettant en danger pas moins de 70 millions de personnes.

Mais la pandémie de Covid-19, que personne n'aurait pu prévoir, nous a "emmenés en territoire inconnu", a-t-il déclaré. "Maintenant, mon Dieu, c'est une tempête totale. Nous sommes face à des famines généralisées aux proportions bibliques".

Selon un rapport publié jeudi par l'ONU et d'autres organisations, au moins 265 millions de personnes sont poussées au bord de la famine par la crise de Covid-19, soit le double du nombre de personnes menacées avant la pandémie.

Aucun de ces décès imminents dus à la famine n'est inévitable, a déclaré M. Beasley. "Si nous obtenons de l'argent, et que nous gardons les chaînes d'approvisionnement ouvertes, nous pouvons éviter la famine", a-t-il déclaré. "Nous pouvons y mettre fin si nous agissons maintenant".

Il a déclaré que la situation était impossible à prévoir, même dans quatre semaines, soulignant que les donateurs doivent agir de toute urgence. Il a exhorté les pays à ne pas mettre en place des interdictions d'exportation ou d'autres restrictions sur l'approvisionnement en denrées alimentaires à travers les frontières, ce qui entraînerait des pénuries.

Mais M. Beasley a également averti qu'il faudrait des mois pour écarter la menace de famine, de sorte que l'aide serait nécessaire bien au-delà de la réponse initiale. "Nous sommes très inquiets car nous pourrions commencer à mettre le Covid-19 derrière nous [dans les pays développés] dans trois ou quatre mois, puis l'argent s'épuisera", a-t-il déclaré. "Et si l'argent s'épuise, des gens mourront".

L'année dernière, le Programme alimentaire mondial a aidé environ 100 millions de personnes en désespoir de cause, avec un budget d'environ 7,5 milliards de dollars (6 milliards de livres sterling). "Je pourrais facilement voir ce besoin [de budget] doubler", a déclaré M. Beasley.

(traduction libre)

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 Et parmi les réfugiés que la Suisse importe et soutient, il y a des soldats formés par des organisations terroristes, l'OLP, les membres de l’État Islamique, Boko Haram, le Hezbollah,  Al-Quaïda, le Front islamique des combattants du Grand Orient, le PKK, Al-Aqsa, les talibans,  etc. Ils sont tous persuadés que c'est la faute des Blancs s'ils sont pauvres, opprimés et ils sont décidés à faire passer les sales Blancs à la caisse.

DSK bouge encore, hélas !

Publié le 15 avril 2020 - par

Confinement jour 30.
Ciel en bleu d’été.
Un léger vent dans les eucalyptus.

Une lecture.
DSK.
À lire en évitant de penser à une femme de chambre dans un hôtel new-yorkais. Ce bandard fou aurait peut-être été bien meilleur que Hollande et son successeur. Mais sa « maladie », brancher en lourdingue toute femme passant à sa portée en suivant son adage : « t’en branches dix, y en a une qui marche » et quand elle ne veut pas…

En publiant L’être, l’avoir et le pouvoir dans la crise dans le numéro de printemps de la revue Politique Internationale, il apporte une analyse sur le moment que nous vivons.
Dominique Strauss-Kahn est un européiste mais une partie de son analyse de l’instant virus chinois est sensiblement la nôtre.
La mondialisation au centre de la propagation de la maladie.
Le défaut de prévoyance des gouvernements occidentaux qui pensaient qu’ils pourraient facilement et rapidement s’approvisionner de masques, de respirateurs, de médicaments chez les fournisseurs, en majorité chinois.
Le déni de la gravité du fléau, puis les mensonges.
La mort devenue une réalité intolérable parce que dans nos sociétés hyper-individualistes, la précarité de l’être est difficile à envisager. On se révolte contre le décès de soldats dans des opérations extérieures et on cache ceux de nos aînés dans les Ehpad.
DSK voit dans cela crise du savoir ou plutôt la mise en lumière de la volonté de ne pas savoir.

À cette crise s’ajoute, pour Dominique Strauss-Kahn, une crise de l’avoir, un choc sur l’offre et un choc sur la demande.
À cause du confinement, chute de la production, perte d’emplois, chômage.
Toujours à cause du confinement, moins de revenus, moins de consommation de produits jugés comme non indispensables, impossibilité d’acheter parce que les boutiques sont fermées ou interdiction de vente (livres depuis ce matin sur Amazon).
Il faut ajouter la ruine de petits épargnants après la chute des bourses.

Pour répondre au désastre, les banques centrales inondent le marché de liquidité. Mais l’argent n’atteindra que par ricochets les pays en difficultés, notamment africains. Demain, pour Strauss-Kahn, les Africains seront des millions à forcer le passage méditerranéen.
Là, il est connecté à Macron. Pour lui comme pour le locataire de l’Élysée, il est nécessaire d’aider l’Afrique, c’est une question de survie pour l’Europe. On peut lui répondre que nous ne sommes pas obligés ne nous laisser submerger. Le Camp des Saints n’est pas nécessairement une prophétie autoréalisatrice.
Il nous apprend au passage que contrairement à 2008 « la marge de manœuvre chinoise est aujourd’hui plus faible : la croissance a fléchi et la dette totale du pays, publique et privée, dépasse 300 % du PIB, contre 170 % avant la crise des « subprimes ». Si bien que les mesures annoncées par Pékin ne dépassent pas pour le moment 1,2 % du PIB. » Ce qui, pour moi, n’est pas une mauvaise nouvelle.

La crise, écrit DSK, remet en cause la division internationale du travail. « Il est fort probable qu’elle conduise à des formes de relocalisation de la production, régionales sinon nationales ». Il semble le regretter car aussitôt il ajoute que cela ne saurait remettre en cause l’ouverture sur le monde ni la conscience d’une humanité planétaire.
Un enfoncement de portes ouverte qui ne risque pas de lui martyriser une épaule. J’ai toujours le désir de voyager et ne doute pas qu’un Indien ou un Burkinabé est aussi humain que moi. Question ouverture sur le monde, rappelons que ce sont uniquement les Européens qui se sont aventurés depuis l’Antiquité au-delà des mers.

Évidemment, la relocalisation de certaines industries aura un coût. Les Occidentaux se sont tellement habitués à consommer la camelote chinoise qu’ils pourront difficilement s’en passer. Mais la crise provoquée par le virus de Wuhan peut être pédagogique.
Je l’espère.

Après la crise du savoir et la crise de l’avoir, la crise du pouvoir.
« La plus inquiétante », confesse Strauss-Kahn.
Et là, l’européiste dégaine. La pandémie nourrit « les vieilles pulsions nationalistes », mais, dans la foulée, il invente l’impossible, « la souveraineté européenne » qui donnera une seconde chance à l’Europe. « Le retour progressif des égoïsmes nationaux était en train de tuer à petit feu le rêve des fondateurs. Les souverainistes de tout poil en ont fait leurs choux gras, omettant de dire aux peuples qu’il n’y a de retour vers une souveraineté qu’en la partageant avec les autres Européens, comme l’a montré la création de l’euro. »
Il espère que le choc pandémique, dans l’optique de la Stratégie du chaos, fera surgir l’identité européenne.

Une Europe sans langue commune, sans vision commune autre que financière (et encore !), ne peut être souveraine. Les différents peuples du continent ne peuvent adhérer à ce tour du prestidigitateur Strauss-Kahn. Quant à l’euro…

DSK questionne ensuite sur la fragilité de la démocratie représentative.
Et bien sûr, de charger les réseaux sociaux « qui donnent à chacun le sentiment fallacieux qu’il sait mieux que quiconque ce qu’il faut faire ; le lent glissement d’un mandat de représentation vers un mandat impératif par la pression directe et parfois physique que ces mêmes réseaux sociaux autorisent ».
En période de crise, les démocraties représentatives emploient les mêmes méthodes que les États totalitaires. Elles cachent ainsi leur vacuité et leur impéritie. Les citoyens adhèrent à cette évolution parce que les gouvernements prétendent que c’est pour leur sécurité. Ils renoncent à leurs droits fondamentaux, enterrant l’État de droit au profit d’une pouvoir plus ou moins musclé.
DSK voit également, dans ce phénomène, une chance pour l’Europe.
Après avoir ressorti les bobards macroniens sur le fait que « le propre des virus que cette pandémie vient nous rappeler, c’est de ne reconnaître aucune frontière, ni sociale, ni politique : aucune barrière, aucun mur ne prémunira durablement les sociétés d’un risque de contagion, d’un « cluster » prêt à essaimer », il se dit satisfait que 75 % des Européens accepteraient une application de tracking sur leur téléphone. Celui qui refusera sera mal vu par son entourage. Il poursuit en insinuant que dans l’avenir « la circulation des personnes sera soumise à la production de tests d’immunité ».
Mais tout devra être fait dans la transparence. Une transparence à l’échelon européen. Et si c’est le cas, « ce positionnement public ferme [constituera] le socle d’un nouveau « système providentiel » sur lequel asseoir une confiance et un pacte citoyen renouvelé. »
Et c’est ainsi, espère DSK, que l’Europe sera revivifiée.

D’avis bien contraire, je perçois trente ans supplémentaires de servitude volontaire.

source: https://ripostelaique.com/dsk-bouge-encore-helas.html

Marcus Graven

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lire aussi: Après la crise, DSK veut plus d’Europe, d’Africains et de mondialisme ! - par Albert Nollet - 15 avril 2020

[...]

1er délire de Strauss Khan : Avec cette crise sanitaire l’immigration africaine est inarrêtable.

[...]

2e délire : C est une chance pour renforcer l’Europe et les organisations internationales

[...]

3 – Sur les relocalisations

[...]

Le pire ennemi de la France, et de l’Occident en général ce sont les idéologies islamiques et gauchistes. L’une pour sa bêtise, sa cruauté et son rejet total du progrès puisqu’il le remet intrinsèquement en cause. L’autre pour sa capacité à pervertir par la culpabilisation tous les corps sains. Et leur seule finalité aux deux : c’est le pouvoir.

D’ailleurs, ces deux la finissent toujours par s’affronter, comme ce fût le cas en Afghanistan et en Iran…et jusqu’à présent, l’islam a gagné.

Je suis convaincu qu’avec un peu de temps, d’autres compléteront mon analyse (et je serai notamment ravi d’avoir les lectures critiques de la position strauss Khanienne, notamment de la part de Charles Gave, Eric Zemmour, Michel Onfray, Patrick Buisson, Mathieu Bock Coté, Chantal Delsol, Gilles William Goldnadel, Yves Mamou, Ivan Rioufol, Marion Maréchal, et Renaud Camus).

En effet, si ce texte Strauss Khanien est laissé sans réponse, les médias feront tout pour qu’il devienne la nouvelle doxa (qui est l’ancienne reformatée) et les gens vont finir par croire qu’il dit la vérité…

Alors que l’heure va être plus que jamais au combat pour nos idées. C’est une chance inespérée que le Coronavirus nous donne.

Il faut la saisir.

Albert Nollet

[Interview] Marion Maréchal : “Politiquement, cette crise rebat totalement les cartes”

Bastien Lejeune - le 11/04/2020

Agonie de l’Union européenne et de ses dogmes, incompétence du gouvernement, unité nationale impossible… La directrice de l'Issep, Marion Maréchal, livre à Valeurs actuelles son analyse des causes profondes et des conséquences de la crise du coronavirus. Et prédit que politiquement, “rien ne se passera comme prévu dans les mois à venir et jusqu’en 2022”. Entretien.

Valeurs actuelles. Emmanuel Macron a expliqué, après le début de la crise du coronavirus, que c’était « une folie » de « déléguer notre alimentation, notre protection, notre capacité à soigner ». La réalité l’aurait-elle converti au souverainisme ?
Marion Maréchal.
Il est assez savoureux de découvrir un Emmanuel Macron soucieux du maintien des secteurs stratégiques sur le territoire national. Ce même Emmanuel Macron, alors ministre de l’Economie, qui avait accompagné, pour ne pas dire encouragé, le rachat de la branche énergie d’Alstom par les Américains. Ce même Emmanuel Macron qui défend ardemment le projet de défense européenne, encourageant, de fait, la délégation de notre « protection » à une institution supranationale, tout en souhaitant «  en même temps » le maintien de l’OTAN sous domination américaine.

N’est-ce pas le gouvernement d’Emmanuel Macron, au travers du Conseil européen, qui a validé il y a deux semaines un nouveau traité de libre-échange entre l’UE et le Vietnam ? Quelle cohérence y a-t-il à vouloir maintenir la production agricole sur notre territoire et limiter la dépendance aux importations, tout en organisant une mise en concurrence frontale et déloyale de nos agriculteurs avec le monde entier ?

C’est une remise en cause radicale de la vision du monde et de l’Homme portée par les dirigeants depuis Jacques Chirac au moins. Nous assistons à l’effondrement de toutes les certitudes sur les bienfaits de l’Homme nomade, de la société ouverte, de la fin des Nations. Nous allons changer d’univers mental après cette crise.

Il y a un an, vous vous disiez dans Valeurs actuelles « désespérée » que la notion de “puissance”, « qui devrait être au cœur de la réflexion des élites politiques nationales et européennes », en soit dans les faits « totalement absente ». La crise que nous traversons pourrait-elle servir de détonateur pour une prise de conscience générale de la classe dirigeante française ?
Il ne peut y avoir d’exercice de la puissance si nos gouvernants restent empêtrés dans une lecture périmée des rapports de force entre les différents acteurs (Etats, ONG, institutions, grands groupes, etc.). Que ce soit au niveau national ou européen, nos dirigeants continuent de penser que la concurrence aujourd’hui se joue sur la taille industrielle ou le prix. C’est l’argument de la fameuse «  masse critique » qui devrait sans cesse nous pousser à renforcer l’échelon européen ou à fusionner des groupes pour créer des géants européens plus compétitifs.

[...]

La partie est jouée d’avance puisque l’UE interdit toute préférence communautaire, tout patriotisme économique, tout soutien de la commission ou des Etats nationaux à leurs groupes et sociétés dans la compétition mondiale au nom de la sacro-sainte concurrence « libre et non faussée ». Ils nous imposent des règles du jeu que personne d’autre ne respecte.

[...]

Nous voyons bien que tous les pays membres n’ont pas le même objectif dans cette union. Certains pays veulent bien adhérer à un marché commun, bénéficier de la stabilité d’une monnaie commune qui leur garantit des prêts à taux faible, toucher les subventions européennes, mais ils ne conçoivent pas l’Europe comme une entité solidaire, autonome et indépendante. [...]

article complet: https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/societe/interview-marion-marechal-politiquement-cette-crise-rebat-totalement-les-cartes-117804

Lisa Mazzone veut bien que le CF aide les compagnies d’aviation à condition qu’elles ne volent… plus?

 

Lisa Mazzone "Le secteur aérien a droit à une aide, mais elle doit accompagner vers une transition climatique."

Egalement :


https://www.rts.ch/play/tv/19h30/video/lisa-mazzone-le-secteur-aerien-a-droit-a-une-aide-mais-elle-doit-accompagner-vers-une-transition-climatique-?id=11233533

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Revenons aux élucubrations de Mazzone et aux techniques de manipulation verbale qui accompagnent son apparence apprêtée pour hypnotiser ses proies.

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Philippe Revaz : Le Conseil fédéral va soutenir financièrement les compagnies aériennes, un service jugé essentiel, mais il y met des conditions.

Nicolas Rossé : Soutenir le trafic aérien, le Conseil fédéral hésite depuis un mois, écologie oblige. L’aide annoncée est donc assortie de conditions. […] Les compagnies ne verseront aucun dividende avant d’avoir remboursé les aides.

Pour le CF, le trafic aérien représente en Suisse 190'000 emplois,

1/3 des exportations,

1/6 des importations

Une infrastructure essentielle pour l’économie : la laisser tomber générerait des pertes économiques considérables, précise le gouvernement. Une décision qui tombe alors que Lufthansa annonce le retrait de 60 avions de sa flotte, estimant que le trafic mettra des années à se remettre, une mesure qui touchera Swiss. IATA, l’association faîtière basée à Genève, est tout aussi pessimiste : « Nous avons besoin pour survivre et passer cette crise d’environ 200 milliards de dollars d’injection de cash. »

Le reportage évoque la catastrophe économique qui menace Swiss mais aussi Easyjet à cause des mesures dues à la pandémie. Dans le monde, 25 millions d’emplois sont en danger dans ce secteur.

L’IATA rappelle que c’est grâce au trafic aérien que des masques et des équipements respiratoires sont envoyés dans le monde entier.

Philippe Revaz demande alors à Lisa Mazzone :
Avec les Verts, le PS, des ONG, vous vous opposez à certaines aides pour l’aviation. Peut-on laisser mourir ce secteur ?

Mazzone, comme une bonne élève qui a lu les manuels de manipulation, commence par en appliquer l'une de ses recettes et pas une seconde elle ne lâche la trajectoire qu’elle s’est fixée, à savoir, cap sur l'idéologie.

La réponse de Mazzone débute par une phrase qui se veut conciliante : « Il est évident que le secteur aérien a droit, comme tous les autres secteurs économiques, à des aides telles qu’elles sont prévues par le Conseil fédéral, comme le chômage partiel. »

Mazzone commence par appliquer une méthode de manipulation basique: 

Trouvez un point sur lequel votre acheteur ne pourra qu’être d’accord avec vous, ainsi votre "pigeon" adhérera facilement à la suite de ce que vous allez lui vendre.

Eh oui, même les employés de l’aviation ont droit au chômage ! La ficelle est énorme, mais Mazzone sait que ça passe, elle fonctionne ainsi depuis toujours et elle est la personne la mieux élue de son canton.

LM : Mais là, on parle d’une aide supplémentaire ! C’est un traitement privilégié pour les compagnies aériennes. Et aujourd’hui, le secteur de l’aviation représente 20%, quasiment 20% de notre impact climatique.
***mensonge, voir notes en bas.

Mazzone ose tout ! C’est une femme de gauche, plus exactement d’extrême gauche, sans aucune expérience de vie, malfaisante, qui ressert encore et encore à la population ses crétineries relayées grâce à une présence singulière sur les ondes du service public, ce qui la propulse dans une position lui permettant d’influencer le destin de notre pays.

LM : Donc une aide de cette ampleur ne peut pas servir à poursuivre de la même façon et à nous engouffrer dans ce lien vers le réchauffement climatique. Et cette urgence, elle doit permettre, elle n’est envisageable que si c’est réorienter le secteur et pour, donc, faire ce qu’il y a de plus logique, c’est-à-dire respecter les objectifs qu’on s’est fixés et les faire respecter aussi à cette branche en matière climatique.

Revaz : Le meilleur moyen de respecter les objectifs, c’est de ne plus voler, au fond ? (Oui, Monsieur Revaz, vous  avec tout pigé !)

LM : Madame Simonetta Sommaruga l’a dit très justement aujourd’hui : la protection climatique, c’est se limiter à ce qui est nécessaire pour l’aviation. Et donc, elle mentionnait les grandes villes européennes qu’on peut joindre en train.

Et c’est tout l’enjeu, parce qu’en fait, il y a 86% des destinations au départ de la Suisse qui sont des destinations européennes. Prenez l’aéroport de Genève, la seconde destination est Paris, la sixième est Zürich. Donc, c’est là tout l’enjeu. Je reconnais que l’aviation joue un rôle (sic !) pour notre économie, mais il faut cibler sur l’intérêt général pour atteindre des objectifs comme limiter les gaz à effet de serre pour nous garantir un avenir (re-sic !)(l'avenir selon Mazzone, c'est son idéal planétaire contre la destruction de 190'000 emplois.)

LM : Le soutien doit permettre d’accompagner les compagnies d’aviation vers une transition qui est nécessaire. Plus on attend pour faire cette transition, plus elle sera brutale. Donc, accompagner ce secteur vers les objectifs climatiques qu’on s’est fixés et vers lesquels on est obligé d’aller, c’est à mon avis le bon choix aussi pour l’aéroport – c’est d’ailleurs ce que soutenait la population genevoise, quand elle a adopté une initiative populaire en novembre dernier qui vise justement à adapter l’aéroport aux enjeux climatiques, à la protection des riveraines et des riverains. Il y a une volonté de voir les choses évoluer.

***

Les accords sont une obligation pour les Suisses.
Et même si plus aucun pays ne s’imposera les délires Verts après la pandémie, la Suisse le fera, car en pleine pandémie, l’exemple genevois, avec deux Verts et une majorité de femmes de gauche, nous montre ce qui nous pend au nez.
Et ce seront les élus Verts qui vont définir pour le peuple suisse ce qu’est l’intérêt général !

Après le rouleau compresseur des médias avec la propagande verte, des manifestations hystériques mensuelles orchestrées par les ONG et les forces de la gauche, qui ont broyé la capacité de penser de la population, le peuple suisse a donné sa confiance à des politicards comme Lisa Mazzone.
C'est pourquoi notre service public demande à Mazzone de donner son avis, comment et pourquoi c’est une nécessité incontournable de réorienter le secteur de l’aviation, malgré  la crise majeure que traverse
actuellement ce secteur, comme la majorité de notre économie en général !
Tel Moïse qui a conduit son peuple hors d’Égypte, Lisa Mazzone va conduire la Suisse vers un paradis qui ne détruira plus le climat et apportera des solution à tous les problèmes économiques.
Nos journalistes veilleront à ce que sa voix s'exprime souvent, sans contradicteurs et sans limite dans l' indécence mégalomaniaque.
Mazzone, à l’instar de ses camarades de gauche en Suisse romande, a fait des études en sciences humaines, et est entrée en politique dès qu’elle a quitté les bancs de l’uni, ce qui signifie qu’elle est spécialiste en TOUT, qu’elle est en mesure non seulement de sauver notre économie, mais la planète entière !

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Source : RTS /19h30 du 7 avril 2020 :

La Suisse soutiendra ses compagnies d'aviation, mais elle y met des conditions.
https://www.rts.ch/play/tv/19h30/video/la-suisse-soutiendra-ses-compagnies-daviation-mais-elle-y-met-des-conditions-?id=11233531

Lisa Mazzone "Le secteur aérien a droit à une aide, mais elle doit accompagner vers une transition climatique."
https://www.rts.ch/play/tv/19h30/video/lisa-mazzone-le-secteur-aerien-a-droit-a-une-aide-mais-elle-doit-accompagner-vers-une-transition-climatique-?id=11233533

Résumé et commentaires : Cenator

*** Mazzone affirme que l'aviation produit 20% du Co2 en Suisse. En réalité, c'est au max. 10%: L'aviation est à l'origine de 10% des gaz à effet de serre émis par la Suisse

https://www.udc.ch/parti/publikationen/edition-speciale/edition-speciale-de-juin-2019-la-raison-doit-remplacer-lideologie/le-changement-climatique-a-lieu/

Tableau des émissions mondiales de CO:

Monde 36'153'000 t

Suisse 40'000 t = 0,11 % (= 1/900).

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Un rejet total de la théorie du Réchauffement climatique (première partie)

Un rejet total de la théorie du Réchauffement climatique (deuxième partie)

Un rejet total de la théorie du Réchauffement climatique (troisième partie)

Cenator

Laurent Obertone : « Pour nos dirigeants, rétablir les frontières n’est qu’une question de communication, et dès que ça se calmera, ils s’empresseront de les abolir de nouveau ! »

Laurent Obertone rappelle que d’un point de vue progressiste, toute frontière est un scandale permanent. Elle symbolise la cellule d’un organisme à part entière… Il rappelle donc que le rétablissement des frontières n’est qu’une question de communication. Et dès que ça se calmera, les dirigeants actuels s’empresseront de les abolir de nouveau.
Découvrez cet entretien publié sur le site Boulevard Voltaire.

Un clandestin « déséquilibré » soudanais poignarde au hasard dans les rues, il fallait s’y attendre ?

Pour une fois, il n’est pas présenté comme un « déséquilibré ». On ne lui connaît pas d’antécédents psychiatriques. Il s’agit simplement d’un brave réfugié qui, n’écoutant que son courage, a fui la guerre pour venir la faire ici. Il est installé depuis 2017 et se plaignait, selon le parquet antiterroriste, de « vivre dans un pays de mécréants ». Il semble qu’il n’ait pas eu la présence d’esprit, durant sa longue fuite, de privilégier une terre d’islam.
Mais évidemment, il fallait s’y attendre, et on doit s’y attendre tous les jours. Des milliers de profils similaires se promènent dans notre pays, sous tous les radars, ou pire, « suivis » par nos services compétents, jusqu’à ce qu’ils passent à l’acte.

Un parcours classique : entré illégalement, classé réfugié, il poignarde au nom d’Allah. La récurrence du profil frappe. Sommes-nous déjà habitués à ce genre de faits divers ?

C’est du domaine du possible : nous sommes déjà totalement résignés à vivre sous la menace terroriste, et dans un climat d’insécurité « ordinaire », qui n’en est pas moins aberrant. Ces « réfugiés », dont on ignore tout, sont installés de force dans tout le pays, par les autorités et des associations subventionnées radicales, qui ne se fixent aucune limite en la matière. Marie-Hélène Thoraval, maire de Romans-sur-Isère, ne voulait pas de leur installation et a dénoncé le manque d’informations délivrées par les associations. Peine perdue. L’immigration en général va à l’encontre de la volonté populaire, qui est théoriquement souveraine… C’est l’État qui nous l’impose et dépossède ainsi littéralement les Français de leur territoire et de leur souveraineté. C’est un problème.

Les frontières n’arrêtent pas le virus mais elles n’arrêtent pas non plus les tueurs… Comment expliquez-vous ce blocage idéologique dès que cela touche à la frontière ?

D’un point de vue progressiste, toute frontière est un scandale permanent. Elle symbolise la cellule d’un organisme à part entière, ce qui n’est pas franchement inclusif. On ne peut pas faire plus national et populiste. N’oublions pas, cependant, que ceux qui prônent leur abolition, pour faire reluire leur « bonté » à grands coups d’argent public, disposent de frontières sociales infranchissables…
Pour nos dirigeants, rétablir les frontières n’est qu’une question de communication, et dès que ça se calmera, ils s’empresseront de les abolir de nouveau. Certes, l’argument phare des immigrationnistes, « les frontières ne servent à rien », en prend un sérieux coup sur la carafe. Mais ça ne les empêchera pas, pour autant, de continuer leur travail de sape quant à notre devoir d’accueil infini. Ces gens sont animés par une forme de fanatisme idéologique qu’aucun argument n’arrêtera.

Comment voyez-vous la sortie de confinement ? Est-ce qu’il y aura un avant et un après ?

Ça dépend de la manière dont se déroule cette sortie. S’il n’y a pas de trop lourdes conséquences économiques, tout recommencera comme avant. Il ne faut pas sous-estimer la capacité d’oubli des foules. Tout le monde sera très pressé de revenir à sa routine, travail-consommation, frontières ouvertes, tueurs fous et insécurité ordinaire. Du moment qu’on a la santé…

source: Boulevard Voltaire