Philippe de Villiers n’est plus le diable

France-Villiers-1

   
Michel Garroté - Au Puy du Fou, Emmanuel Macron a déclaré qu'il n'était pas socialiste. Pour Gilles-William Goldnadel, le monde politique a changé. Une telle déclaration aurait choqué il y a une décennie, tandis que Philippe de Villiers n'est plus le diable. Ci-dessous, des extraits de l'analyse de Gilles William Goldnadel parue sur Figarovox.
-
Ainsi donc, sur Figarovox, notre ami Gilles William Goldnadel écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : La visite rendue par Emmanuel Macron à Philippe de Villiers est bien plus intéressante pour ce qu'elle ne dit pas que pour ce qui en a été dit. Que le ministre au bord du Rubicon ait décidé de commettre un nouveau geste identitaire après sa visite à la pucelle en dit long sur ses ambitions. Qu'il ait fait acte public de non - socialisme tient moins de l'honnêteté revendiquée que de l'instinct de conservation , à un moment où toute allégeance au parti de la rive gauche relève, selon les sondages, du masochisme le plus sauvage. Au fond, l'anti-modèle du ministre s'appelle Cambadélis. Non seulement dans son pré carré économique réservé, mais encore par opposition aux imprécations antifascistes et antiracistes convenues, dont le premier secrétaire du parti s'est fait une spécialité obligée qui ne fait plus recette.
-
Gilles William Goldnadel : Nous verrons, par exemple, prochainement si les initiatives subliminales du non-socialiste gouvernemental s'avéreront plus commerciales que le discours plus concret en matière d'autorité et d'identité d'un Premier ministre qui, même s'il a raillé leur sur-moi marxiste, ne peut renier les camarades qui lui restent. Mais, sous l'écume politicienne, en profondeur marine, dans le creux du non-dit, ce qui devrait intéresser bien davantage, c'est l'absence de toute véritable protestation à ce qui a été présenté brièvement comme une manière de transgression. L'imagination est impuissante à décrire à quoi aurait ressemblé la réaction médiatique de la classe conformiste il y a encore une poignée de mois. Mais, éclatante revanche, Monsieur de Villiers ne fait plus peur ni rire, ni par son nom, ni par ses origines, ni par ses idées. Il y a encore une demie décennie, des marionnettes du bocal à la mode tenaient pour ridicule un patronyme à particules qui sentait trop le bocage local.
-
Gilles William Goldnadel : On aurait ri à l'identique d'un nom juif ou arabe, que le rieur se serait retrouvé devant le tribunal. Aujourd'hui, ce sont les pantins ringardisés qui sentent le formol. Il y a quelques lustres, l'actuel maire-adjoint de la maire de Paris et vice-président de SOS-Racisme faisait expulser manu militari ce fils de résistant, et l'une des rares personnalités politiques venues manifester son indignation après l'assassinat d'Ilan Halimi. Aujourd'hui, c'est l'association subventionnée à but non lucratif et prétendument antiraciste qui inspire, dans le meilleur des cas, une franche hilarité. Il y a quelques années, on aurait moqué encore le Chouan avec ses gros sabots. J'ai eu l'honneur de préfacer l'ouvrage irremplaçable de Reynald Seycher, consacré au génocide du peuple vendéen. J'expliquais les réticences de l'idéologie dominante à la reconnaissance de ce que Babeuf lui-même nomma un « populicide » délibéré : non seulement le fait que l'horreur ait pu être accomplie par la république, mais plus encore parce qu'un peuple catholique et blanc ne correspondait pas à l'idéal du peuple victime dans l'inconscient collectif des années 2000.
-
Gilles William Goldnadel : Nous n'en sommes plus là, et nous savons bien que les chrétiens peuvent être les victimes du fanatisme politique ou religieux. À ce sujet encore, l'homme du Puy-du-Fou fut moqué ou morigéné par des journalistes très intelligents et très bien informés pour avoir osé le premier attiré l'attention du public sur les risques de la présence dans les aéroports de nombreux bagagistes islamistes. Après les premiers attentats, légèrement penaud, monsieur Martinez était obligé de convenir qu'il avait été contraint de retirer leurs cartes syndicales à des centaines de cégétistes barbus et badgés de Roissy et d'Orly…. Quant aux critiques de l'Europe multiculturaliste par l'ancien responsable du Mouvement Pour la France, inutile de les répéter, elles passeraient aujourd'hui pour des évidences publiques et des lieux trop communs.
-
Gilles William Goldnadel : Mais au-delà encore de la justice rendue à un homme vilipendé par les sots et les cuistres, ainsi qu'à tous ceux qui n'ont jamais craint de célébrer leurs racines tout en sachant regarder vers le ciel, la visite faite à Philippe en dit long sur le déplacement du curseur politique. J'ai toujours en effet pensé et écrit que l'extrême gauchisation du spectre politique résultait en premier lieu de l'appropriation par l'idéologie dominante des instruments médiatiques de qualification et d'appellation des acteurs du monde politique et intellectuel. Dans ce qui ne fut qu'un jeu de rôle, ceux qui s'opposaient extrêmement à l'extrême gauche, à son multiculturalisme opposé à l'application de la loi sur les flux migratoires, à sa xénophilie opposée à toute critique de l'immigration ou de l'islam radical, à son laxisme opposé à la répression étatique par l'incarcération ou l'expulsion, étaient étiquetés « d'extrême droite » pour être parqués dans un zoo et être moqués par les petits enfants.
-
Gilles William Goldnadel : J'ai évoqué un jeu de rôle, parce qu'au fond, les excluant ne croyaient pas sérieusement que les exclus du débat démocratique étaient des dangereux racistes. Ils préféraient dire « fachos » qu'oser «fascistes», comme le faisaient les communistes lorsqu'il s'agissait de qualifier le général De Gaulle. Ils ne croyaient pas à ce qu'ils disaient, mais le système à exclure, à excommunier, à ridiculiser aura bien fonctionné pendant 40 ans. Les coups de boutoir de la réalité ont enfoncé les murs du ghetto, et déplacé le curseur vers la droite. Le réalisme vient bousculer l'idéologie dictatoriale quarantenaire. Quelqu'un qui soutient que les migrations islamiques illégales présentent un danger pour la sécurité et l'identité n'est plus forcément classé à l'extrême droite. Quelqu'un qui soutient qu'aujourd'hui, il convient de ne pas expulser un migrant non éligible au droit d'asile, hier au centre gauche du curseur manipulé idéologiquement , sera très certainement classé à l'extrême gauche.
-
Gilles William Goldnadel : Et c'est de lui dont on se moque sans l'exclure. Mais il ne passera pas avant longtemps pour clairvoyant , généreux ou intelligent. Monsieur Cambadélis et ses amis , peuvent bien poursuivre leurs imprécations, plus personne n'écoute. Pas même Monsieur Macron, conclut Gilles William Goldnadel (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
-
Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
-
http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2016/08/22/31001-20160822ARTFIG00063-le-chouan-de-villiers-n-est-plus-le-diable-en-politique.php
-

Tout sauf Sarkozy

Sarkozy-2

   
Avec son livre, Sarkozy ouvre, en janvier 2016, la campagne présidentielle d'avril-mai 2017. Cette campagne électorale va donc durer quinze mois. Plus de 450 jours durant lesquels, Sarkozy, va envoyer, "chaque jour, une carte postale aux français". Il n'a donc tiré aucune leçon du passé. Il est même passé de la carte postale au livre. Non seulement Sarkozy n'a pas changé, mais son état mental s'est aggravé.
-
A ce propos, j'aimerais tout de même rappeler que l'immature et impulsif Sarkozy a déclenché une guerre aux conséquences désastreuses en Libye, un pays situé à seulement 300 km (par voie maritime) de l'Italie et donc de l'Union européenne. Cette guerre a provoqué le chaos islamique en Libye et a elle permis (et permet encore) à des centaines de milliers de "migrants" de déferler sur l'Europe. Ni François Hollande, ni Marine Le Pen ne se lanceraient dans une telle mésaventure, une telle erreur, un telle faute géopolitique.

-
A propos de Sarkozy, l'homme politique français de droite Philippe de Villiers déclare  (extraits ; voir lien en bas de page)  : Je pense que Nicolas Sarkozy, comme la plupart des politiciens français, n'a aucune conviction, ou plutôt il a des convictions changeantes en fonction du vent. Quand il lui semble que le vent souffle dans le sens de la famille, au sens hétérosexuel de la filiation, alors il prend une position en flèche sur la famille. Et quand il lui semble que cette question pourrait lui enlever une partie de son électorat, alors, il prend la position contraire. Il ne faut pas voir plus de propos idéologique que cela. C'est simplement la politique du chien crevé qui suit le fil de l'eau, comme on dit. La droite classique ressemble à la gauche classique. Les deux, la gauche et la droite, sont libérales, mondialistes, islamophiles, migrationnistes, et soumises au politiquement correct. Et là, dans cette annonce de Nicolas Sarkozy, on voit un très bel exemple de soumission au politiquement correcte.
-
Philippe de Villiers : Il y a encore des électeurs en France, qui disent qu'il y a une très grande différence entre la droite et la gauche. Alors qu'il n'y en a aucune. La droite et la gauche françaises sont pour rester dans l'OTAN, sont pour rester dans l'euro, pour rester dans l'Europe, pour continuer à abattre nos frontières. La droite et la gauche sont europhiles, et craignent toute forme d'estampille qui viendrait les qualifier de xénophobes, d'europhobes, d'homophobes ou d'islamophobes. Donc c'est la trouille qui les guide. Ce sont des trouillards. Et en l'occurrence, c'est très grave de la part d'un ancien président de la République de ne pas comprendre que la famille c'est la filiation, et qu'il n'y a pas de société possible, qu'il n'y a pas d'avenir pour la société sans la filiation, la filiation suppose une société qui ne soit pas sans sexe ni patrie.
-
Philippe de Villiers : Juppé, Sarkozy, Le Maire, Fillon, Valls ou Hollande sont les gens qui ont coulé le navire France. S'il n'y a pas de sexe, s'il y a des théories du genre, s'il y a l'idée d'un sexe unique, alors, il n'y a pas de patrie durable. Et je pense que Nicolas Sarkozy est comme tous les politiciens en admiration devant la chanteuse Conchita Wurst, et des gens de ce sort, qui ont été reçus au Parlement européen et à l'ONU.
-
Philippe de Villiers : Pour moi ce n'est pas une surprise. Ce qui est une surprise pour moi c'est le courage. Quand je vois Juppé, Sarkozy, Le Maire, Fillon, Valls ou Hollande, ce sont les gens qui ont coulé le navire France, ce sont des naufrageurs en cravate. De toute façon la position qu'il (ndmg - Sarkoty) vient de prendre rejoint celle de Bruno Le Maire, de François Fillon, d'Alain Juppé. Il s'aligne sur les autres. Nicolas Sarkozy est un ludion électronique qui virevolte.
-
Philippe de Villiers : Donc ce sont les mêmes candidats, avec les mêmes programmes, avec les mêmes idées. Je ne sais pas ce qui va se passer, mais ce que je dis c'est que Nicolas Sarkozy continue à être Nicolas Sarkozy, un homme qui virevolte. Je l'ai appelé dans mon livre «Le moment est venu de dire ce que j'ai vu» un ludion électronique. Vous savez, il y avait une publicité sur le lapin-tambour Duracell, avec un petit lapin qui tape sur son tambour avec des baguettes et qui dit « j'aime la politique, j'aime la politique ». Alors en l'occurrence c'était le lapin-tambour - et on a un lapin-tambour Duracell, le Sarkollande. Tous les leaders politiques sont pour la poursuite de la politique antifamiliale.
-
Philippe de Villiers : Dans la situation actuelle je suis très pessimiste. Je ne vois aucun grand leader qui se prononcerait pour l'annulation de cette loi. Moi, je suis pour son annulation, mais aujourd'hui je ne suis plus dans l'arène. Et ceux qui sont dans l'arène sont tous pour la poursuite de cette politique antifamiliale, politique contraire à l'idée de filiation. Donc oui, je ne peux pas vous dire que cette loi va être annulée, puisque je ne vois aucun candidat à l'élection présidentielle qui soit pour l'annulation. Aucun, conclut Philippe de Villiers  (voir lien en bas de page) .
-
De son côté, le chroniqueur catholique français de droite Bernard Antony écrit (extraits ; voir lien en bas de page) : Titrant sans vergogne son médiocre bouquin « la France pour la vie », Nicolas Sarkozy s’est manifestement inspiré mimétiquement du procédé dialectique d’inversion de la vérité du docteur Pierre Simon publiant jadis « de la vie avant toute chose ». Ce dernier, qu’il admirait, fut le père de la loi Veil. Il développait dans son livre que pour la meilleure vie de la société, on devrait désormais pouvoir décider à plusieurs, collectivement, socialement donc, de la suppression des enfants non désirés ou socialement indésirables. Somme toute comme dans le communisme ou le nazisme. Depuis, la loi Chirac-Giscard-Veil est devenue un tabou qu’il est politiquement suicidaire de contester.
-
Bernard Antony : Voici que Nicolas Sarkozy s’aligne maintenant sur la dernière loi en date de la culture de mort, la loi Taubira, instaurant le « mariage » homosexuel ; nouvelle étape dans le processus de désintégration familiale et sociale en attendant les prochaines lois mortifères sur l’euthanasie. L’ancien président de la République  avait en substance lancé l’an dernier un « je vous ai compris » aux jeunes partisans, au sein de son parti « les républicains », de l’abrogation de la loi Taubira. Un peu naïfs et faute, bien excusablement, de mémoire politique, ils l’avaient cru sur parole. Ne saisissant pas que le petit homme bonimenteur, imitait comme il le pouvait son grand modèle politique, le général De Gaulle, dans le seul registre à sa portée : celui de la tromperie.
-
Bernard Antony : Hervé Mariton, son concurrent à l’investiture de « Les Républicains », l’a traité de parjure. Nicolas Sarkozy a expliqué qu’il avait bien le droit de changer d’avis et donc de ne pas défendre une position qui n’est plus la sienne. Mais n’est-ce pas plutôt parce que « la politique, c’est du marketing », comme le croit et le dit Louis Aliot ? Nicolas Sarkozy a donc simplement changé de marché. Il a probablement estimé que, dans « Les Républicains », les bons jeunes gens de Sens Commun issus de la Manif Pour Tous ne seraient pas d’une aussi bonne rentabilité électorale et surtout médiatique que le « lobby gay ». Il préfère donc faire son marché auprès de celui-ci sous la houlette de l’homocrate Jean-Luc Romero par ailleurs prosélyte de l’euthanasie, de la GPA et bien sûr de l’idéologie du genre que déjà « le Républicain » Luc Châtel commençait à vouloir imposer dans l’Éducation Nationale quand il en était ministre dans le gouvernement Fillon.
-
Bernard Antony : La vérité, c’est que Nicolas Sarkozy n’a jamais opposé de résistance sincère et durable à l’instauration des lois de désintégration de la personne, de la famille, de la société. Or le refus de l’écologie humaine fondée sur le respect de la vie innocente, l’imposition totalitaire des lois de culture de mort, c’est très exactement ce qui constitue le degré le plus élevé du racisme, le racisme anti-humain. Nous nous devions de relever que Nicolas Sarkozy n’est pas l’homme qu’il faut pour défendre la valeur fondamentale de la vie sans laquelle la vie de la France ne saurait durer. Le titre de son livre est un mensonge, conclut Bernard Antony (voir lien en bas de page).
Michel Garroté
-
https://francais.rt.com/opinions/14468-phillippe-villiers-sarkozy-chien-creve
-
http://www.lagrif.fr/communiques/actualites/515-sarkozy-sous-l-enfumage-de-la-france-pour-la-vie-la-culture-de-mort
-

Philippe de Villiers : “Le moment est venu de les déférer pour haute trahison” [vidéo]

Zoom de TVLibertés

Quelques semaines après l’énorme succès de son ouvrage “Le moment est venu de dire ce que j’ai vu”, est allé à la rencontre de ses lecteurs au Salon du Livre de Renaissance Catholique. L’occasion pour lui de s’amuser des politiques qu’il dépeint mais aussi… d’annoncer une suite…

Philippe de Villiers : et si les Français choisissaient un homme plutôt qu’un politique ?

Trente-six années se sont écoulées depuis 1981, trente-six années de résultats allant d’un bilan passable jusqu’à catastrophique, de successions de gouvernements de gauche et de droite, de politiques économiques entraînant la France vers la faillite et la dépendance vis-à-vis de créanciers aux intentions douteuses (le Qatar et l’Arabie Saoudite), de faillite morale avec l’enchaînement de procès pour détournements de fonds et favoritisme, et une classe politique dans laquelle plus un Français, ou presque, n’a confiance !

Un récent sondage Odoxa réalisé au début de l’été 2015 indiquait que 91% des Français ont une mauvaise voir très mauvaise opinion des partis politiques, que 93% considèrent que les partis politiques ne sont pas dignes de confiance, et même qu’ils sont malhonnêtes.

Pire peut-être encore, à la lecture des résultats détaillés 90% des Français jugent les partis politiques incapables de proposer des solutions efficaces…et on comprend avec de telles perspectives le peu d’entrain des électeurs à se rendre aux urnes.

Depuis 36 ans se sont succédé les hommes politiques avec leurs discours toujours enjôleurs et toujours mensongers: l’accumulation d’échecs dans tous les domaines et quelque soit la couleur du gouvernement est patent : plus de deux mille milliards de dette publique dont le paiement seul de l’intérêt engloutit plus que la totalité de l’impôt sur le revenu, plus deux mille milliards d’engagement pour les vingt ans à venir, un endettement qui correspond déjà à 96,5% du PIB du pays.

Et ce n’est pas tout !

Une augmentation sans précédent depuis les années soixante-dix du nombre de familles qui vivent au-dessous du seuil de pauvreté, l’impossibilité pour la majorité des travailleurs pauvres de s’en sortir alors que nos politiques, toujours les mêmes, n’en finissent pas de se féliciter d’un système social « unique » à la française…le même système qui accumule les milliards de déficit depuis sa création et engloutit à lui seul 10% des revenus de la population active en plus des charges sociales habituelles.

Une classe moyenne étrillée qui ne vit plus qu’au travers des crédits à la consommation pour le plus grand bonheur des banksters, une insécurité permanente et l’augmentation sans limite des attaques aux personnes et des viols, des délinquants qui n’ont plus peur de tirer à la kalachnikov sur les policiers, des zones de non-droit partout dans les banlieues où les habitants abandonnés par l’état vivent dans la peur permanente et sous le joug des voyous.

Plus de 30 000 jeunes diplômés et entrepreneurs qui quittent la France tous les ans car le carcan administratif et le coût des charges ne leur permet pas de réaliser leurs projets, quand en même temps plus de 300 000 soit dix fois plus de « réfugiés », « migrants » ou clandestins incultes et sans formation pour la plupart envahissent notre pays.

Une invasion conquérante de l’Islam et plus de 4 700 mosquées casernes construites avec l’aval de toujours ce même système politique, élus complices de l’abâtardissement de la culture Française, et des dirigeants qui ne cachent même plus leurs relations tarifées avec les pays du Golfe qui financent « l’Islam de France ».

Un homme s’est levé depuis quelques semaines et les Français écoutent son discours détaché des familles politiques et des calculs partisans, et reçoivent ses paroles comme un baume au cœur.

Philippe de Villiers n’hésite pas à aller là où les autres ont abandonné même ceux qualifiés des plus extrêmes, à dénoncer le mensonge et la trahison des élites Françaises, et à combattre la conquête de l’Islam en France.

Ainsi affirmait-il récemment sur Valeurs Actuelles que la politique d’accueil des migrants était un projet de « sauvetage électoral » destiné à faire de la France un « Kosovo islamique » sous tutelle américaine.

Et dans une récente émission déclarait refuser que la France devienne la fille ainée de l’Islam et dénonçait les projets de société multiculturelle portés par les partis institutionnels.

Quand dans le même temps une Marine le Pen considère que l’Islam est compatible avec la France au péril de voir cette même France se dissoudre dans l’Islam, Philippe de Villiers lui dénonce la préférence musulmane, l’Islam conquérant, les complicités de la classe politique Française avec le Qatar et l’Arabie Saoudite, et les trahisons des élites autant politiques que celles économiques qui enrichissent les riches des pays pauvres avec l’argent des pauvres des pays riches.

Philippe de Villiers qui assène leurs quatre vérités à tous les représentants de la classe politique mais aussi tous les promoteurs de la destruction de la France, et qui parce que lui a réussi là où les autres ont échoué de manière lamentable ne rencontre ni résistance ni procès, n’est-ce pas le signe que nous attendions ?

Prenons juste une minute pour comparer : d’un coté un chef de l’état dont nous ne dirons rien du physique mais qui n’a aucune dimension ni personnalité ; qui non seulement n’a jamais réussi dans aucune entreprise mais n’en a jamais créé non plus, qui n’a jamais créé d’emploi, mais en plus qui a plongé la région qu’il administrait dans une situation de quasi faillite en accumulant pour cette dernière une dette de plus de 300 millions d’euros en à peine sept ans.

De l’autre un homme cultivé qui connaît et aime la France, qui possède assez de grandeur pour en admettre toutes les composantes tout en défendant des principes souverains, qui a créé une entreprise au succès mondial nommée première dans tous les classements mondiaux de parcs à thèmes, qui a créé ainsi des milliers d’emplois directs et surtout indirects, et fait de sa région en vingt ans une des plus prospères et des plus accueillantes pour les PME.

Philippe de Villiers a dit qu’il avait quitté la politique, mais les Français aussi ont déserté cette espace qui ne regroupe plus que les assoiffés de pouvoir et les avides qui n’ont de projets que pour leur carrière et n’apportent que l’appauvrissement de la France.

Alors il est sans doute temps, mais ce temps nous est compté et précieux, de faire d’autres choix que ceux qui depuis 36 ans nous emmènent vers l’abime et plongent notre pays et nos familles dans le danger de la misère et de la disparition.

A la place d’un politique il est temps de choisir un homme.

Lochaberaxe, nom connu de la rédaction, 13 octobre 2015

De Villiers: “faute” de Sarkozy contre Morano qui pense comme une “immense majorité” de Français

L'ancien ministre et souverainiste Philippe de Villiers a estimé que Nicolas Sarkozy avait commis une "faute" en évinçant Nadine Morano qui, selon lui, a voulu dire qu'elle ne voulait pas que la France "devienne la fille aînée de l'islam", ce que pense "une immense majorité" de Français.

Suite