Suisse: Le PBD veut augmenter le nombre de signatures pour une initiative

Le Parti bourgeois démocratique (PBD) a déposé une initiative afin que le nombre de signatures requises pour ce faire soit réajusté à la taille du corps électoral, a indiqué mardi son président, Martin Landolt, sur les ondes de la RTS. «On a trop de votations actuellement, c'est trop pour les électeurs, pour le Parlement, le Conseil fédéral, l'administration, les partis politiques, les comités. On ne fait pas grand-chose d'autre que des campagnes pour des votations, ce n'est pas une politique raisonnable», critique-t-il.

Il préconise ainsi un taux de 3% (150'000 paraphes) et 5% (250'000 paraphes). Alors qu'aujourd'hui, 100'000 signatures sont nécessaires pour lancer une initiative.

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Les banques américaines détiennent désormais le secret bancaire. Les banques suisses appellent à l’aide!

Un grand merci à Eveline Widmer-Schlumpf qui, on le rappelle, a pu accéder au Conseil fédéral à la suite des magouilles PDC - PS, spécifiquement grâce au PDC Darbellay et à la PS Wyss. On constate ici à quel point les USA nous ont pris directement pour des imbéciles sans que cela ne gêne cette Conseillère fédérale.

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Une concurrence peu équitable de sociétés financières américaines inquiète l’Association suisse des banquiers.

Des sociétés financières américaines multiplient les efforts de démarchage dans le domaine de l’optimisation fiscale depuis l’automne dernier.

Elles invoquent notamment les arguments de la sécurité juridique, de la stabilité du droit états-unien et d’un niveau de confidentialité proche de l’absolu. Autrement dit, l’ex-secret bancaire helvétique aurait franchi l’Atlantique. A certains égards cette concurrence paraît souvent peu loyale. Sans illusion mais avec conviction, la place financière helvétique compte bien se faire entendre.

 

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Suisse: Ils veulent ancrer les bilatérales dans la Constitution pour contrer l’UDC

Après l’échec de l’UDC sur le renvoi des étrangers criminels, après la signature par le Conseil fédéral du protocole sur la Croatie, certains parlementaires se sentent pousser des ailes pour sortir le dossier européen de l’ornière. Kathy Riklin (PDC/ZH) et le président du Parti bourgeois-démocratique, Martin Landolt (GL), jugent le climat favorable pour faire revoter le peuple. Peu convaincus des chances d’aboutir à un accord négocié avec l’Union européenne, ou de voir cette dernière accepter une clause de sauvegarde unilatérale, ils souhaitent ancrer dans la Constitution les relations bilatérales.

«A cet effet, nous réclamons un contre-projet à l’initiative RASA», déclare Martin Landolt dans la SonntagsZeitung. Le président du PBD demande au Conseil fédéral de traiter rapidement le texte des professeurs de droit réclamant l’abrogation de l’article 121a introduit le 9 février 2014 avec l’acceptation de l’initiative «Contre l’immigration de masse».

Retoucher la Constitution

Pour le chef du groupe socialiste aux Chambres, Roger Nordmann (PS/VD), il ne fait pas de doute que, «pour remettre d’équerre nos relations avec l’UE, il faudra retoucher la Constitution.

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Le président du PBD compare la Suisse à l’Allemagne nazie

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Martin Landolt relaie une affiche polémique prônant un "non" le 28 février sur le renvoi des criminels étrangers. Celle-ci représente une croix gammée sur fond rouge, comparant "la Suisse de l'UDC" à l'Allemagne nazie.

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L'initiative dite de mise en œuvre de l'UDC mettrait en place une justice à deux vitesses, comparable à ce qui s'est passé sous le régime nazi et sous celui de l'Apartheid: le président du PBD Martin Landolt a tapé fort ce lundi après-midi sur Twitter.

A moins de deux semaines de la votation sur l'initiative populaire "Pour le renvoi effectif des étrangers criminels", une affiche préconisant le "non" enflamme depuis peu les réseaux sociaux.

Elle fustige une justice à deux vitesses sur fond de croix gammée controversée. Le président du PBD Martin Landolt vient de la relayer à son tour sur Twitter, estimant qu'elle suggère avec pertinence les conséquences d'un oui à l'initiative dite de mise en oeuvre.

Bien qu'il ne considère pas l'UDC comme un parti nazi, Martin Landolt estime lundi dans le Blick que "leur radicalisation et leur style de communication ont des similitudes surprenantes avec l'Allemagne des années trente et l'Afrique du Sud pendant l'apartheid". A l'image des spectres qu'évoquent l'affiche pour marteler que la Suisse se trouve en 2016 à un tournant historique.

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PLR, PBD et PS veulent revoter l’initiative du 9 février

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Les Suisses pourraient voter sur les relations avec l'Union européenne (UE) si l'application de l'initiative contre l'immigration de masse met en danger les accords bilatéraux.

Les plus hauts dirigeants de l'UE ont dit et redit qu'ils ne voulaient pas renégocier cette convention. Du coup, du côté des partis suisses, l'idée d'une nouvelle votation fait son chemin.

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Le PBD et le PDC veulent ancrer les relations bilatérales dans la Constitution

Les deux partis du centre droit veulent ainsi préciser la volonté du peuple exprimée le 9 février. Selon eux, les Suisses n’auraient pas voulu rompre les relations avec l’UE, mais maîtriser et réduire l’immigration.

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Après avoir soutenu une «application conséquente» de l’initiative de l’UDC «Contre l’immigration de masse», le PDC et le PBD ont, depuis plusieurs semaines, exploré des pistes très opposées pour éviter que la mise en œuvre du vote du 9 février ne se traduise par la dénonciation de l’accord sur la libre circulation. Et déclenche ainsi un «effet domino» entraînant la chute d’autres traités avec Bruxelles.

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Pour le PBD, la politique de l’UDC mène à l’adhésion à l’UE

Le président du PBD Martin Landolt estime qu'il faudra «de toute façon voter sur la résiliation de la libre circulation des personnes».

Le président du PBD Martin Landolt craint que la politique de l'UDC ne mène la Suisse dans un isolement total et l'oblige à adhérer à l'Union européenne (UE). Et cela, «je ne le veux pas», lance-t-il.

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«Lorsque nous aurons ressenti un isolement politique et économique au plus profond de nous, lorsque les accords bilatéraux seront soudain supprimés, l'adhésion à l'UE deviendra alors un moindre mal», déclare le conseiller national glaronais dans une interview diffusée mercredi dans le Tages-Anzeiger et le Bund.

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Ils aimeraient annuler le vote du 9 février

La photo ci-dessus concerne également le PBD....

 

Incroyable ! Ceux qui veulent à tout prix ouvrir nos frontières encore plus largement (si c'est possible, ndt), ont décidé de mettre sur pied une initiative pour annuler la votation du 9 février sur l'immigration de masse.

Cette initiative, qui veut supprimer les quotas migratoires pour les citoyens de l'UE, a été présentée par un groupe de députés conduit par le conseiller national Hans Grunder (PBD) et  Roger Nordmann (PS). Ils expliquent que :

" Notre intervention a pour but de modifier la constitution afin de pouvoir continuer à maintenir des rapports avec l'UE".

Si la proposition devait passer, ce serait la mort de la démocratie directe helvétique. Et cela vient de cette gauche qui prétend se battre en faveur du peuple...

Source en italien

 

Fortes tensions entre l’UDC et le PBD

Rien ne va plus entre les chefs de l'UDC et du PBD. Le président des démocrates du centre, Toni Brunner, a refusé de serrer la main à son homologue bourgeois-démocrate Martin Landolt lors des entretiens de Wateville.

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Il a même averti qu'il refuserait à l'avenir de parler ou collaborer avec lui. M. Brunner reproche à son collègue du Conseil national d'avoir affirmé que l'UDC menait une politique "brunâtre" avec ses initiatives contre les étrangers et pour la primauté du droit suisse. Le St-Gallois exige des "excuses publiques", ce que M. Landolt refuse.

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Pour le président du PBD, l’UDC est trop à droite pour siéger au Conseil fédéral

Alors que les grands partis du pays sont réunis aujourd'hui en assemblées des délégués à l'occasion de la rentrée politique, Martin Landolt, le président du Parti bourgeois démocratique, lance un pavé dans la mare en affirmant que l'UDC, "toujours plus à l'extrême droite", n'a pas sa place au Conseil fédéral.

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Le PBD veut des listes apparentées avec le PDC

On rappellera que le PDC avait manoeuvré afin de faire accéder Eveline Widmer-Schlumpf au Conseil fédéral et évincer Monsieur Blocher. Les partis des perdants se regroupent. On en tremble.

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Concrètement, le PBD souhaite des apparentements de listes et créer un groupe parlementaire commun avec le PDC, «parti avec lequel nous avons le plus en commun», indique samedi le conseiller national Grison dans les colonnes du quotidien alémanique Neue Zürcher Zeitung.

 

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