Obama est un véritable désastre

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Michel Garroté - Je l'ai déjà écrit maintes fois : Obama est le pire président que les Etats-Unis aient connu ; pire que Bill Clinton et pire que Jimmy Carter. Obama est islamo-gauchiste, et, à ce titre, il soutient, d'une part, les lobbies homosexualistes ; et d'autre part, l'islamisme en général et l'islamisme saoudien en particulier (c'est contradictoire, mais c'est pourtant bien cela, l'islamo-gauchisme, aux Etats-Unis et en Europe). En outre, Obama s'avère être un homme dangereux pour son pays et pour le monde en matière géopolitique. Ses provocations irresponsables à l'égard de la Russie en sont un exemple parmi d'autres.  A propos d'Obama-l'imposteur, je publie, ci-dessous, les extraits de deux analyses remarquables qui se complètent, celle de Christian Vanneste et celle de Gilles William Goldnadel. Le vrai Obama se révèle au grand jour et c'est un véritable désastre.
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Christian Vanneste écrit (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : L’illusion « Obama » se dissipe avant qu’il ne quitte la scène. Le microcosme médiatique français n’a cessé de le porter au pinacle. Les politiciens de notre pays à droite et à gauche ont sombré dans l’Obamania dont le comble a été atteint avec son « Prix Nobel de la Paix » décerné prématurément par ses amis sociaux-démocrates norvégiens. Sous des dehors de bon mari et père de famille attentif, d’américain moyen proche des gens, Obama a été le vecteur d’une idéologie camouflé en icône. La silhouette élégante, la démarche souple et un certain sens de la formule du premier « noir » élu à la Présidence des Etats-Unis avaient séduit.
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Avec lui, l'Amérique tournait la page de la discrimination raciale dont les habitants afro-américains de la Nouvelle-Orléans avaient pointé la persistance. Avec lui, et sa promesse d' »obamacare », les Etats-Unis ouvraient une ère de solidarité sociale à l’égard des plus démunis. Mais non seulement le « Nobel de la Paix », qui voulait marier la démocratie et un monde musulman auquel il distribuait les marques de respect, n’a pas mis fin aux guerres, mais il les a relancées ou multipliées. L’Etat islamique a profité de son inaction en Irak, de son action souterraine en Syrie contre Bachar Al-Assad, pour s’implanter et diffuser des métastases des Philippines au Nigéria. La menace des Talibans subsiste en Afghanistan. Le désordre et la subversion qui règnent au sud et à l’Est de la Méditerranée exposent l’Europe à une vague migratoire et à un terrorisme qui ne suscitent chez le locataire de la Maison Blanche que des paroles de compassion et d’encouragement.
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Le Nobel de la Paix aura surtout rallumé la guerre froide contre la Russie. En envenimant au-delà du raisonnable la question ukrainienne, en poussant cette première Russie de Kiev à entrer dans l’organisation occidentale contre la Russie, en contestant le retour évidemment légitime, historiquement et culturellement, de la Crimée à la Russie, Washington veut prioritairement interdire à Moscou de jouer dans la cour des grands. Enfin, la déception monte aujourd’hui dans la « communauté » noire des USA. Celui qui symbolisait la fin de toute ségrégation n’aura finalement réussi qu’à attiser les aigreurs. En stigmatisant le racisme de la police, en dénonçant « un grave problème », Obama aura amorcé un mouvement de protestation, qui s’est traduit par l’assassinat de cinq policiers par un ancien militaire noir. La stratégie victimaire et non violente pour attirer la compassion du public par le biais des médias a été télescopée par le terrorisme qui inverse victimes et compassion.
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Obama, coincé entre les deux mouvements contraires a botté en touche en désignant, à son habitude, les armes comme coupable principal. C’était le seul argument de campagne qui lui restait. Mais, la dangerosité statistique de la population afro-américaine est un fait. Sur 165'068 meurtres commis entre 2000 et 2010, on dénombre 4'157 noirs tués par des blancs ( 879 sont policiers ), 37'345 blancs par des blancs, 8'062 blancs par des noirs, 46'852 noirs par des noirs. Les meurtres interraciaux sont minoritaires, mais la surcriminalité des Afro-américains qui ne représentent que 13% de la population est avérée puisqu’ils ont été responsables de 52% des homicides entre 1980 et 2008. L’icône communautaire aura donc déçu.
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Sa dénégation de la division des Américains est un aveu. Loin de les unir, en développant le thème communautaire, il aura accentué les fractures. En fait, l’enthousiasme des bobos du journalisme parisien pour le personnage réside dans le partage de l’idéologie de la nouvelle gauche. Le prolétariat industriel a diminué en nombre et n’hésite pas à voter pour la droite conservatrice car il se sent menacé dans son identité et dans son existence même. La gauche libertaire ne songe nullement à le protéger. Elle est pour la mondialisation des échanges, le remplacement des populations, la discrimination positive en faveur des minorités.
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Obama aura été le représentant idéologique américain « soft » de cette tendance. Son soutien au groupe de pression LGBT en est l’expression la plus révélatrice. Cette position inconfortable pour le grand allié des Saoudiens s’exprime sans détour vis-à-vis de pays moins riches et aura été imposée par le biais de la Cour Suprême aux Etats, au mépris de la démocratie. Elle l’aura largement emporté sur la défense des noirs dont la situation a peu changé, conclut Christian Vanneste (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Gilles William Goldnadel écrit (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Le drame de Dallas est révélateur d'une racialisation inquiétante des rapports sociaux accompagnée d'un antiracisme à géométrie variable. Après le drame d'Orlando, inutile de chercher dans les oraisons présidentielles la raison islamiste. Le « la » du diapason était ainsi donné aux médias bien disposés pour l'unisson : la faute aux armes à feu, à l'homophobie (et tant pis pour les orientations sexuelles du terroriste) mais pas question de réclamer des comptes à l'Autre es qualité de musulman radical. Après le carnage cruel de Dallas, un mot manquait cruellement au discours du premier Américain : « raciste ». Un Noir, adepte du suprématisme noir, déclarait avoir massacré des policiers blancs pour venger des crimes commis par d'autres policiers blancs.
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Mais le mot qui serait venu naturellement aux lèvres de n'importe qui si, par exemple improbable, un Français voulait tuer un musulman intégriste pour venger le 13 novembre ou un délinquant Noir parce qu'il aurait été volé par un autre Noir, manquait. Comme si, ici, l'évocation du racisme d'un noir, forcément victime par essence, était impossible à dire. Et comme si le blanc, par essence raciste, n'était jamais totalement innocent. C'est dans le creux vertigineux de ce manque que niche une grande partie du drame racial qui enlaidit la vie. À ce stade, les mots sont impuissants pour dire l'échec calamiteux du premier président noir des États-Unis d'Amérique dans sa tentative alléguée d'avoir voulu apaiser les tensions raciales. Sans doute, le ver était logé dans le fruit racialiste de ceux qui exultaient au soir de son élection, non en raison de son habileté oratoire incontestable, de son intelligence, de son élégance et de sa prestance, mais à raison essentiellement essentialiste de la couleur de sa peau.
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Et ce président n'aura eu de cesse depuis le début de sa présidence d'accuser la police d'être raciste envers les noirs et de s'en prendre particulièrement aux policiers blancs ou, plus largement, à tous les blancs susceptibles de se défendre contre des criminels. Obama s'est appuyé pour cela sur les professionnels de la tension raciale tel Al Sharpton, et a accordé ces derniers mois son soutien à des organisations extrémistes ouvertement anti policières telles que Black Lives Matter. À chaque fois qu'une polémique a défrayé la chronique policière et criminelle (Trayvon Martin à Stanford en Floride, Michael Brown Ferguson dans le Missouri ou Freddy Gray à Baltimore), à chaque fois Obama, pour le plus grand plaisir de la presse de gauche et des démocrates gauchisants, a pris parti systématiquement contre la police. On a vu plus tard que la justice voyait les choses moins simplement et moins systématiquement.
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J'affirme que considérer l'ensemble des faits divers précités comme le résultat d'un racisme évident plutôt que celui de l'instinct de peur ou même de la défense légitime relève d'une spéculation intellectuelle infiniment plus oiseuse que lorsqu'il s'agit de caractériser l'acte d'un criminel qui fait un carton sur des policiers blancs uniquement parce qu'ils sont blancs. Et pourtant, dans l'hypothèse spéculative, on affirme le racisme, et dans le cas indiscutable, on le passe sous silence. De même, je réfute par principe l'évidence propagée ad nauseam de ce que la justice américaine aurait, à chaque fois qu'elle a relaxé un policier mis en cause, fait montre de partialité. Après tout, en France aussi, des politiciens spéculant façon Benoît Hamon ont critiqué des décisions bien fondées en droit comme en fait comme dans l'affaire Ziad et Bounia. À la suite de ces spéculations médiatiques et politiques, on imagine avec quelle sérénité intellectuelle les prochains juges américains appréhenderont les prochains « dérapages policiers » qui seront déférés devant eux. L'opinion publique, cette catin, n'a rien à faire dans le prétoire déclarait autrefois mon confrère Moro-Giafferi. C'est loin.
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Dans ce cadre intellectuel vicié, un cercle culturel vicieux s'est agrandi sans fin. Le sort des Noirs américains, leur situation sociale et culturelle se sont, depuis les années 60, très considérablement améliorés. J'affirme qu'aujourd'hui, que par une dynamique perverse et dialectique, une sorte de choc en retour et d'un excès l'autre, les vecteurs principaux d'agrandissement du cercle vicieux se nomment racialisme obsessionnel et antiracisme professionnel, avec leur cortège de culture de l'excuse et de victimisation systématiques a priori. De ce point de vue, Barack Obama en aura été à la fois le triste héros et la victime consentante. Mais on aurait tort de penser que ces deux fléaux n'ont pas franchi allègrement l'Atlantique.
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Que penser par exemple, puisqu'il faut parler vrai, de cet article publié sans le moindre recul le 5 juillet dans notre vespéral national et intitulé : « Dans les banlieues populaires, l'absence de Benzema ne passe (toujours) pas » ? : « On veut pas de reubeus en équipe de France, on l'entend beaucoup. Il y a une identification aux joueurs exclus ». « Bien sûr, il y a Sissoko, Pogba qui viennent de la région parisienne, mais ma génération est déçue qu'il n'y ait pas de reubeus des quartiers, des mecs qui nous ressemblent » fait dire la journaliste à des figures de l'immigration arabo-maghrébine. Bref de l'ethnicisme tranquille et assumé: c'est bien qu'il y ait des Noirs mais il faudrait aussi des Arabes. Quant à savoir la répartition quantitative entre marocains et algériens, l'article ne le dit pas. Les mêmes qui n'avaient pas de mots assez durs pour Nadine Morano.
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Heureusement, il n'y a pas que cela. Le Portugal a battu la France. L'immigration portugaise est une chance pour la France. C'est dit, conclut  Gilles William Goldnadel (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://www.christianvanneste.fr/2016/07/10/lillusion-obama-se-dissipe/
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http://www.lefigaro.fr/vox/monde/2016/07/11/31002-20160711ARTFIG00151-goldnadel-apres-dallas-la-consternante-absence-du-mot-racisme.php
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Non, l’attentat d’Orlando n’est pas homophobe !

De la communauté au communautarisme il n'y a qu'un pas que l'on franchit souvent de manière naturelle sans s'en rendre compte. Aujourd'hui, contrairement à ce que l'on pourrait croire, l'esprit communautaire est très fort et on définit les gens non par les caractéristiques qui les unissent mais par celles qui les différencient des autres. Origines ethniques, orientations sexuelles, catégories socio-professionelles... autant de marqueurs identitaires qui expriment ce que l'on est par rapport à l'autre.

Alors quand un attentat islamiste vise une boite de nuit gay à Orlando et fait cinquante victimes, c'est toute la communauté LGBT à travers le monde qui s'indigne. Un reflexe communautaire naturel que l'on peut difficilement blâmer. Mais quand une personne n'appartenant pas à cette communauté et, qui plus est, un opposant au lobby LGBT, s'indigne également de cette attaque terroriste à Orlando, celle-ci est jugée comme déplacée voir hypocrite. C'est ce qui est arrivé à Christine Boutin. Il est de notoriété publique que la présidente d'honneur du Parti Chrétien Démocrate et les LGBT entretiennent des relations plus qu’exécrables. Aussi quand Christine Boutin exprime sur Twitter sa compassion avec les victimes d'Orlando, la communauté LGBT crie au scandale.

Pourtant, ceux qui considèrent les propos de Christine Boutin comme étant une « honte » oublient une chose. Que l'on soit Christine Boutin ou un militant LGBT, l'espérance de vie face aux tueurs de l’État Islamique est des plus limité. Les terroristes islamistes ne font, eux, aucune distinction entre un chrétien pratiquant et un homosexuel, si ce n'est peut être dans la façon de les massacrer. De même qu'ils ne font pas de distinction entre des jeunes bobos qui vont à un concert au Bataclan et des prolos qui vont voir un match de football au Stade de France.

La guerre que mène l’État Islamique dépasse très largement notre perception du monde actuel. La démarche de cette organisation terroriste s'inscrit dans une guerre qui est à l'échelle des civilisations. Ce qu'ils veulent c'est, au mieux, nous convertir de force à l'Islam, au pire, nous exterminer. C'est donc un véritable défi que nous impose l’État Islamique. Un défi qui est, non pas technique ou militaire, mais quasi-philosophique pour nos sociétés occidentales. Nous qui rejetons par universalisme la réalité même des civilisations, comment pouvons nous être armés moralement face à cet ennemi ?

Aussi il est nécessaire de revoir notre copie et ne plus penser le monde comme un vaste ensemble indéfini. Notre civilisation occidentale marquée par un fort esprit de liberté et donc forcément diverse, n'est pas universel. Le monde entier ne rêve pas de vivre selon notre mode de vie. A l'inverse, à l'intérieur même de notre civilisation, il est, plus que jamais, nécessaire de faire abstraction de nos mésententes. Face à un islamisme conquérant, nous ne pouvons faire preuve de faiblesse. Evidemment nous pouvons nous quereller entre nous sur des sujets loin d'être insignifiants mais lorsque notre civilisation est attaquée, notre riposte se doit de ne souffrir d'aucune division. Alors les militants LGBT et Christine Boutin n'ont pas le choix, s'ils veulent pouvoir continuer à se taper dessus demain, ils doivent, aujourd'hui, s'unir pour continuer à exister.

Orlando: “Les vrais musulmans n’accepteront jamais les manières dégoûtantes de l’Occident”

Omar Mateen, le terroriste qui a attaqué le club gay Pulse à Orlando, a échangé des textos avec sa femme durant la fusillade. Aux alentours de 4 heures du matin, dimanche, soit deux heures après le début de l'attaque sanglante qui fera 49 morts et 53 blessés, l'assaillant a envoyé un message à Noor Salman, lui demandant si elle avait vu les informations, ont indiqué les autorités.

► Le témoignage trouble de son épouse
Ce à quoi sa femme lui a répondu qu'elle l'aimait, avant de tenter de l'appeler à plusieurs reprises, sans réponse, rapporte ce jeudi CNN. Selon la chaîne, Noor Salman a donné des informations contradictoires au sujet de ce qu'elle savait des intentions de son mari quelques heures avant son passage à l'acte. Elle a notamment indiqué aux enquêteurs que le terroriste avait dépensé des milliers de dollars les semaines précédant la nuit tragique du 12 juin, notamment pour acheter des armes qui ont servi lors de l'attaque. Selon la police, Omar Mateen était armé d'un fusil semi-automatique Sig Sauer, ainsi que d'un pistolet lorsqu'il a pénétré dans le club d'Orlando.

Il aurait aussi posté un message affirmant que «les vrais musulmans n'accepteront jamais les manières dégoûtantes de l'Occident» et que «dans les prochains jours il y aura d'autres attaques de l'Etat islamique aux Etats-Unis».

Source1 Source2

Orlando: Fini le déni et la naïveté. Nous sommes en guerre!

Un excellent article de la Québecoise Denise Bombardier bien loin des âneries d'un Parmelin.

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L’horrible attentat perpétré dans une boîte de nuit gaie à Orlando par Omar Mateen et revendiqué par l’État islamique scelle la fin des béats qui croient que s’alarmer face aux islamistes qui sévissent dans nos pays est un réflexe islamophobe.

Nous sommes en guerre. Et les Omar Mateen qui circulent parmi nous avant de passer à l’acte continueront leurs actions odieuses qui consistent à détruire dans le sang et le meurtre les chiens de mécréants que nous sommes censés être.

Ils vomissent nos valeurs de liberté, notre tolérance, notre manière de vivre, d’exprimer nos idées, notre façon de rire, notre goût extrême pour tous les plaisirs même défendus et cette égalité dans les relations entre les sexes.

Omar Mateen a choisi de tuer des gais qui incarnent aux yeux de tous ces djihadistes le mal par le sexe. Car les islamistes sont des malades du sexe.

Musulmans et homosexualité

Dans les pays musulmans, l’homosexualité est un crime. On va même jusqu’à nier officiellement son existence. L’on a entendu le père d’Omar Mateen, originaire d’Afghanistan, tenter d’excuser son fils quelques heures après le carnage. Il a raconté une histoire délirante selon laquelle son fils aurait commis son forfait non pas au nom de la religion, mais bien parce qu’il avait été scandalisé de voir deux hommes s’embrasser sur la bouche et se caresser en public à Miami. La colère était le motif de son crime. «L’islam n’a rien à voir là-dedans», a-t-il ajouté.

Omar Mateen est né aux États-Unis, mais comme tant d’autres djihadistes français et belges, ainsi que nos deux Canadiens, Michael Zehaf-Bibeau, de père iranien et qui s’était radicalisé au fil des ans et Martin Rouleau, un Québécois de souche converti par internet à l’islam radicalisé, ces jeunes gens ont développé une haine absolue de la civilisation moderne.

Ce sont des soldats d’Allah dont l’efficacité est surmultipliée du fait que non seulement ils ne craignent pas la mort, mais ils la souhaitent.

Rectitude politique

Comment ceux qui nous gouvernent pourraient-ils désormais pratiquer une rectitude politique qui s’acharne à prétendre qu’il faut éviter tout amalgame entre musulmans et islamistes? Omar Mateen fréquentait des mosquées. Des mosquées dans lesquelles on diabolise les homosexuels, où on enseigne aux femmes à se soumettre à leurs maris, à leurs frères voire à leurs fils, où on lance des fatwas envers les mécréants et les femmes libérées.

Le massacre d’Orlando était prévisible. Comme celui du Bataclan à Paris. Comme le serait celui qui viserait un rassemblement de féministes ou d’adeptes d’un salon de l’érotisme.

Il est du devoir de chacun de défendre toutes les libertés que nous offre la démocratie. Mais la naïveté est désormais intolérable. Nous sommes tous des victimes potentielles de ces tireurs déguisés en gens «normaux».

Il faut cesser de se laisser culpabiliser par ceux qui n’ont que l’islamophobie à la bouche dès que l’on s’interroge sur les motivations de ceux qui testent nos institutions par des demandes au nom d’un islam radical, celui-là même qui a sévi hier à Orlando dans sa version apocalyptique.

Source

Attentat d’Orlando: L’UDC Parmelin critique la loi laxiste sur les armes aux USA mais pas l’islam

Le chef du Département fédéral de la Défense a présenté ce matin la nouvelle loi sur les services secrets. Il ne veut pas suivre l'exemple américain.

Au lendemain d'un attentat qui a fait plus de 50 morts à Orlando, Guy Parmelin n'a pas caché son incompréhension face à la législation laxiste sur les armes en vigueur aux USA. Il l'a fait bien sûr mezzo voce, en rappelant d'abord qu'il était trop tôt pour se prononcer sur l'attentat puisqu'on en connaît pas pour l'heure les circonstances exactes.

Source

« Les gays doivent mourir », déclare l’imam de la mosquée d’Orlando

Farrokh Sekaleshfar était invité à la mosquée d’Orlando pour délivrer un message plein d’amour et de tolérance où il explique que « les gays doivent mourir ».

https://www.youtube.com/watch?v=ERzxRMp4OIw

C’était en avril 2016.

Deux mois plus tard, dimanche 12 juin, Omar Mateen cherchait à faire mourir les 300 homosexuels d’un nightclub gay d’Orlando, mais arrêté par les tirs de la police, il ne réussira à en tuer que 50 et faire 53 blessés (chiffre provisoire).

Source

 

L’Etat islamique revendique la fusillade d’Orlando. Au moins 50 morts.

Christian Hofer: On rappelle que l'homosexualité est fortement condamnée dans l'islam, jusqu'à la peine de mort dans certains pays musulmans tel que l'Iran ou le Nigéria.

Ce qui ne prive naturellement pas nos dirigeants de clamer que "l'islam est compatible avec nos valeurs".

Dans l'article déjà diffusé par Les Observateurs.ch, on peut constater qu'Obama ne fait nullement référence à la religion du coupable et se fiche éperdument de la revendication de l'Etat islamique. Son seul réflexe est de limiter l'accès aux armes à des personnes qui n'ont rien à voir avec l'islam.

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"L'attaque perpétrée dans une discothèque gay d'Orlando a été menée à bien par lun combattant de l'Etat islamique", indique le groupe terroriste, dans un communiqué.

Le bilan est très lourd. Cinquante personnes sont mortes dans une fusillade survenue dans une discothèque d'Orlando, en Floride (Etats-Unis), dimanche 12 juin. Les autorités évoquent aussi 53 blessés, tous transportés à l'hôpital. Le tireur a été tué par les policiers. De son côté, le FBI a annoncé avoir ouvert une enquête pour "acte de terrorisme". "L'attaque perpétrée dans une discothèque gay d'Orlando a été menée à bien par un combattant de l'Etat islamique", indique le groupe terroriste, dans un communiqué.

Source et article complet

Terrorisme à Orlando. Au moins 20 morts. Attentat islamiste possible.

Une vingtaine de personnes ont été tuées dans une discothèque d'Orlando, en Floride, où les troupes d'élite américaines du SWAT sont entrées pour délivrer les personnes retenues en otages par un homme armé qui avait ouvert le feu dans la discothèque quelques heures plus tôt.

«Cela a tourné à la prise d'otage», a déclaré le chef de la police John Mina lors d'un point de presse. «Vers 05h00 ce matin, la décision a été prise de secourir les otages qui étaient à l'intérieur».

«Malheureusement, il y a des gens qui sont morts par balles, autour d'une vingtaine, à l'intérieur de la discothèque», a déclaré de son côté l'agent spécial du FBI Ron Harper au même point de presse.

Il a ajouté que 42 blessés avaient été emmenés vers les trois hôpitaux les plus proches.

Les circonstances dans lesquelles les personnes ont été tuées n'étaient pas claires pour l'instant.

La police fédérale américaine (FBI) n'a pas écarté la piste du terrorisme islamiste dimanche pour qualifier la fusillade.«Nous avons des suggestions (laissant penser) que cet individu pourrait avoir des sympathies pour cette idéologie particulière, mais nous ne pouvons pas l'affirmer catégoriquement», a expliqué Ron Harper, agent spécial du FBI interrogé sur de possibles liens entre l'auteur présumé des coups de feu, abattu par la police, et le terrorisme islamiste.