En Autriche, le ministre vert de la santé est accusé de comportement dictatorial

Le gouvernement du chancelier Kurz, une alliance des chrétiens-démocrates et des Verts, est pour la première fois critiqué massivement dans des médias «  politiquement corrects ». La cause en est le comportement du ministre vert de la santé, Rudolf Anschober, qu’une historienne et journaliste réputée, Gudula Walterskirchen, éditrice de deux journaux régionaux importants, accuse dans le journal « de référence » Die Presse  de vouloir supprimer l’état de droit en Autriche par une loi concoctée hâtivement en période de vacances. Ce ministre de la santé , comme ceux d’autres pays, avait été fort loué par les médias au début de l’épidémie de coronavirus, ce qui avait contribué à une hausse de popularité du chancelier Kurz, qui se trouve maintenant fort embarrassé. La loi en question prévoit de limiter la liberté de mouvement des citoyens, qu’ils soient malades ou non, par des mesures de confinement qui ne pourraient pas être contestées devant les tribunaux et de donner au ministre de la santé des pouvoirs discrétionnaires non soumis au contrôle démocratique.

https://www.wochenblick.at/wichtige-historikerin-freiheitsberaubung-verhoehnung-der-buerger/

 

Traduction (C.H.) : Walterskirchen critique surtout le fait que le ministre de la santé veut introduire une « privation arbitraire de liberté juridique » par des voies détournées. Elle pose la question de savoir si un pays dans lequel cette « loi Anschober » serait adoptée resterait une libre démocratie dans laquelle il fait bon vivre.

Le chef de la diplomatie hongroise répond à une ministre française : « La Hongrie est le seul pays en Europe à avoir organisé un référendum sur l’immigration »

Le ministre hongrois des Affaires étrangères Peter Szijjarto a vivement réagi contre les critiques de la ministre française des Affaires européennes Nathalie Loiseau à l’encontre des gouvernements italien et hongrois.

Szijjarto a déclaré à l’agence de presse hongroise MTI que « la Hongrie est le seul pays en Europe à avoir réalisé un référendum sur ce sujet » a-t-il rappelé.

« Certains politiciens européens s’ingèrent dans la politique migratoire de la Hongrie » a déploré le ministre hongrois.

« Afin de faire entrer les migrants, les politiciens à Paris, Bruxelles et Strasbourg tentent de prendre à la Hongrie son droit de protéger ses frontières. Mais le gouvernement hongrois s’oppose à l’immigration massive, comme le souhaitent les Européens » a-t-il conclu.

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France : La ministre de la Culture, Françoise Nyssen, a invité mercredi dernier à ouvrir les spectacles aux migrants

Françoise Nyssen a lancé un appel retentissant en faveur des migrants mercredi dernier à Nantes lors des Biennales Internationales du spectacle, devant des centaines de responsables culturels. « Le monde culturel a le devoir d’agir. Offrons-leur un accueil digne de ce nom. C’est notre honneur, celui de notre culture, celui de notre République qui en dépend » a plaidé la ministre de la Culture, rapporte Le Monde.

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Le ministre de l’Intérieur bavarois : «de nombreuses personnes qui arrivent dans notre pays représentent une réelle menace»

Joachim Herrmann, le ministre de l’Intérieur du Land de Bavière, a demandé des mesures fortes après l’explosion provoquée par un réfugié dimanche. « Nous devons constater que, hormis beaucoup de réfugiés qui fuient un danger, de nombreuses personnes qui arrivent ou sont arrivées dans notre pays représentent une réelle menace », a-t-il déclaré lundi.

Le Soir (article complet)

Le ministre de l’Intérieur belge compare les islamistes aux Juifs cachés pendant la Guerre

VIDÉO Jan Jambon a effectué une comparaison très douteuse entre les djihadistes planqués à Bruxelles pendant plusieurs mois et les Juifs cachés durant la Seconde Guerre Mondiale. Le quotidien israélien Haaretz s'est d'ailleurs étonné de ces propos dans ses colonnes hier/mercredi.

Interrogé samedi dernier dans le JT de VTM (voir vidéo ci-dessus) sur le fait que le réseau terroriste derrière les attentats de Bruxelles était resté caché si longtemps au coeur de la capitale, le ministre de l'Intérieur a eu cette réponse étonnante: "Quelqu'un qui se cache et reçoit le soutien de la population peut rester longtemps dans la clandestinité. Je fais parfois la comparaison avec les Juifs pendant la Seconde Guerre Mondiale. Il y a des Juifs qui sont restés cachés pendant quatre ans et ce pendant un régime terrifiant qui les traquait sans cesse. Et heureusement, ils ne les ont jamais trouvés".

Le quotidien Haaretz a consacré hier/mercredi soir sur son site un article aux propos tenus par Jan Jambon. Selon Haaretz, c'est Claude Marinower, échevin à Anvers, qui s'est étonné le premier des propos tenus par le ministre N-VA. "La comparaison faite par le ministre Jambon au JT de VTM (9 avril 2016) est tout a fait inappropriée. Je vois davantage de similitudes avec les nazis qui se sont cachés pendant des années en Amérique du Sud", écrit Claude Marinowersur son site.

"Inconcevable et choquant"
"Au début, quand on m'a parlé de ces déclarations, je ne pensais pas que c'était possible. J'ai demandé à voir la vidéo et j'ai réalisé que Jambon avait vraiment fait cette comparaison douteuse. C'est inconcevable et choquant pour tous ceux qui ont caché des Juifs  pendant l'occupation, mettant leur vie en danger. Comment pouvez-vous comparer les criminels djihadistes en planque avec les Juifs innocents qui voulaient fuir le régime nazi?", indique l'ancien député sur le site de la revue juive Regards. Claude Marinower ne croit cependant pas que cette comparaison ait été intentionnelle.

Le ministre de l'Intérieur s'est d'ailleurs fendu d'une mise au point par la voix de son porte-parole afin d'éteindre la polémique naissante: "Monsieur Jambon n'avait pas du tout l'intention de blesser la population juive de notre pays. Au contraire, il ne compare pas les Juifs aux terroristes. Il a uniquement fait référence à ce qui était un fait dans l'histoire de la Belgique: cacher des gens était quelque chose de positif. Ce qui se passe aujourd'hui à Bruxelles ne l'est pas. Pour Monsieur Jambon, l'expression qu'il a utilisée se rapportait à la mécanique de la clandestinité", a fait savoir Olivier Van Raemdonck, porte-parole de Jan Jambon au Laatste Nieuws.

"Les collaborateurs avaient leur raison"
En octobre 2014, Jan Jambon avait déclaré dans une interview à la DH et La Libre Belgique que "les collaborateurs durant l'occupation avaient leurs raisons". L'opposition avait réclamé sa démission et le ministre avait été contraint de présenter ses excuses.

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Les confessions du « Monsieur Immigration » de Mitterrand

Jean-Claude Barreau, né en 1933, est un inclassable. D’origine juive, il est élevé par un grand-père franc-maçon et anticlérical… Ce qui ne l’empêche pas de se convertir au catholicisme et de devenir prêtre, onze années durant. Opposé aux directives pontificales sur la contraception, Barreau défroque et se marie. Débute ainsi une vie aux multiples facettes, entre le monde du papier et les ors de la République. Dans les années 1970, l’édition le rapproche du Parti socialiste et de son Premier secrétaire : François Mitterrand. Une fois le « Florentin » installé à l’Elysée, Barreau devient homme politique et se spécialise dans la question migratoire. Conseiller culturel à l’Ambassade de France en Algérie, il devient ensuite le « Monsieur Immigration » de Mitterrand, mais aussi de Pasqua et Jean-Louis Debré, au gré des alternances. Surtout, Barreau est à la tête, en 1989, de l’OMI (Office des migrations internationales) et de l’INED (Institut national des études migratoires).

Et c’est de son dernier livre, Liberté, égalité, immigration ? La France à l’heure du choix, dont nous allons parler. Ce parcours pourrait étonner les lecteurs de Présent. Qu’ils se rassurent ! Ce livre est avant tout l’œuvre d’un homme lucide et pragmatique. Oui, Jean-Claude Barreau est un ancien socialiste. Mais, à la tête de l’OMI et de l’INED, il fut le témoin non seulement de la réalité migratoire mais aussi du terrorisme intellectuel de gauche. C’est bien là tout l’intérêt de ce livre.

Iconoclaste, Jean-Claude Barreau n’a pas la langue dans sa poche. Assourdi par le « choc » d’une année 2015 meurtrière, il s’attache à décortiquer la « déconstruction » minutieuse de la France, dont la responsabilité repose à la fois sur les gouvernements français, fabrique de déracinés sans mémoire, et de l’Union européenne, tour de Babel sans âme.

Le témoignage de Jean-Claude Barreau est précieux, car il fut longtemps au cœur du système. Au fil des pages, on croise un Mitterrand fort peu islamophile mais sous la présidence duquel la bien-pensance de SOS Racisme fait florès. Une bien-pensance que Barreau juge « castratrice ». Il faut dire que l’auteur a été, au début des années 90, immolé sur l’autel du politiquement correct. En 1989, il défraie la chronique en expliquant, dans les colonnes du Monde, que cent mille immigrés arrivent chaque année en France. La simple annonce de statistiques officielles suffit alors à faire de Barreau un gêneur ! Au moins Mitterrand le soutient-il cette fois-là. Mais, en 1991, le président de l’OMI publie un livre intitulé De l’islam en général et du monde moderne en particulier. L’auteur de commenter : « Qu’avais-je fait là ? Je compris trop tard qu’en France on pouvait critiquer l’Etat, les institutions, l’armée, le boudhisme, le christianisme, le marxisme, en somme tout… sauf l’islam. L’islam est le noyau dur de notre bien-pensance. » Barreau est viré de l’OMI et de l’INED. Au pays de la liberté d’expression, il est des sujets tabous.

Mais, avec ce bref ouvrage, Barreau fait voler en éclat le mur du politiquement correct, dénonçant les grossières stratégies d’un PS cherchant, à travers les immigrés, ses nouveaux « bons pauvres », c’est-à-dire un électorat. Ou encore cette Union européenne dantesque, aux mains de « ploutocrates » désireux de détruire les nations souveraines, leurs frontières et leurs cultures. Au-delà, c’est bien le projet mondialiste de nier les différences entre cultures qui est brocardé par Barreau. Lucide, l’auteur propose comme remède le retour à la nation, dont l’empirisme nous assure qu’elle est le meilleur échelon de solidarité humaine et d’enracinement.

Certes, il reste quelques scories du passé socialiste de l’auteur, comme son enthousiasme à l’égard d’une nation issue de la Révolution. Nous ne le suivrons guère sur ce point. En revanche, la franchise et la spontanéité de Barreau sont précieuses : elles révèlent qu’à notre époque où la nation est attaquée de toute part et menacée de disparition, le destin français fait encore rêver nos compatriotes.

Peut-être avez-vous encore quelques connaissances convaincues que « l’Europe c’est l’avenir » ou que « l’immigration est une chance pour la France » ? Offrez-leur ce livre. Il saura les convaincre. Le combat pour la France nécessite l’énergie de tous.

Tugdual Fréhel – Présent

Jean-Claude Barreau, Liberté, égalité, immigration ? La France à l’heure du choix, Paris, éditions du Toucan, 2016, 160 pages.

Source : Délits d'im@ge

Gouvernement socialiste : une clique de beaux parleurs inopérants

Structurellement parlant, dès sa constitution, le Gouvernement de F. Hollande était un pari sur l’échec, une sorte de rendez-vous pris avec le fiasco. Pire même, et on en a maintenant la preuve, c’était comme une puissante assurance contre l’efficacité. Il faut dire qu’avec cet  art magistral de la synthèse, le Président socialiste, véritable prodige de la fusion des contraires, n’aura finalement obtenu que ce qu’il méritait.

Une série d’échecs et de revers douloureux. Sur tous les plans.

Un ensemble aussi hétéroclite qu’improbable

Qu’elle idée aussi de réunir dans un même Gouvernement des forces opposées et irréconciliables ? Comment pourrait-il en être autrement avec cette série de personnalités improbables et parfaitement incompatibles qui pourtant, telles des coqs arrogants, sont forcées de cohabiter dans un même cloaque :

- une Ministre de la Justice qui, inlassablement, travaille à éviter de stigmatiser les coupables, à vider les prisons, à saper le travail des juges, à défendre les violences des cités, et à protéger les populations musulmanes contre leur « fragilité » intrinsèque. Pour qui roule t-elle finalement ? Quel est son objectif personnel intime ? Le Président le sait il lui-même ? C.Taubira ne serait-elle nommée que pour apporter une caution ethnique, quelque soit le prix à payer pour le pays ?  Ca commence à coûter cher…

- un Premier Ministre M. Valls et un Ministre de l’économie E. Macron réformateurs libéraux, tout au moins dans le Verbe, qui sont encerclés et pris en otage par une majorité altermondialiste et un Président caméléon. Depuis leur nomination, qu’ont-ils produit concrètement ? En dehors de déclamations aussi tonitruantes qu’inutiles, qu’ont-ils pu apporter de positif à notre pays ? Comment le pourraient-ils au beau milieu d’un Gouvernement de majorité crypto-socialiste ?

- des ministres frondeurs qui exhibent sur la place publique la beauté transie de leur âmes oblatives, alors que ce ne sont que des postures pavloviennes anti-libérales et biens-sûr réactionnaires. Ne le sachant même pas, et se prenant pour le nombril d’une planète qui, contrairement à ce qu’ils croient, s’adonne à l’économie de marché, ils arborent des postures d’un autre âge et en tirent une gloriole qui déclenche le rire à l’étranger, mais pas chez nous. Hélas, ces reliques de l’histoire du capitalisme ne font pas qu’assurer le spectacle : elles bloquent totalement un exécutif qui n’avait déjà pas beaucoup de convictions.

- une Ministre de l’Education Nationale qui, derrière son immuable sourire de Joconde infatuée, ratatine méthodiquement ce qui restait du culte de l’excellence et de l’effort dans notre système scolaire et universitaire… Un système fortement marxisé dont les sociologues disent pourtant qu’il accroît les inégalités sociales, ce qui est le comble donc, avouons-le. Pour réduire ces inégalités, cette Ministre inspirée par les beaux sentiments de la gauche française n’a-t-elle rien trouvé de mieux que de niveler tout le monde par le bas ? Exit les « pseudo-intellectuels » que sont les M. Gaucher ou A. Finkielkraut qui ne pensent pas comme il faut. Place à des modèles culturels autrement moins faisandés : le mime J. Debbouze, cité en exemple par le Premier Ministre et repris par elle. Objectif nul. Zéro pointé, mais avec le sourire renaissance.

- une Ministre du Travail qui plusieurs semaines après sa nomination, ne connaît toujours pas le fonctionnement des fameux CDD, et qui, telle une débutante totalement inexpérimentée, la bouche en coeur, se fait ridiculiser lors d’une interview à la télévision. Et qui, comble de la malhonnêteté, justifie ensuite les attaques qui la visent un peu partout dans les média et les réseaux sociaux par le fait qu’elle est « une femme, et d’origine maghrébine » ! Toute la morgue idéologique de la gauche française se retrouve d’ailleurs contenue dans cet argument aussi pervers qu’insultant, argument qui signifie exactement ceci : le peuple est idiot, il suffit de lui dire ce qu’il doit penser pour régler le problème.

- un Ministre de l’Agriculture qui, face au mécontentement des paysans, mettra un temps fou à réagir. Que faisait-il dans son bureau ? A quoi pensait-il ? Puis qui sans surprise, se rabattra sur les mesures classiques, celles que la gauche affectionne tout particulièrement : l’allocation de subventions supplémentaires. Histoire d’éviter de réformer en profondeur, c’est tellement dangereux, et d’acheter du temps. Et accessoirement, d’accroître la dette.

- une Ministre de la Santé qui petit à petit se met à dos l’ensemble du secteur médical par ses décisions bizarres quand elles ne sont pas dangereuses.

- un Président qui justement ne semble toujours pas avoir compris la dimension de sa fonction. N’avait-il pas répondu à des journalistes qui lui faisaient remarquer le coût d’une mesure décidée par son Gouvernement : « cela ne coûte rien, c’est l’Etat qui paie » ? C’est dire le niveau moral et intellectuel de cet homme qui se trouve par on ne sait quel miracle au sommet non pas d’une république bananière, mais d’un Etat européen ! A croire qu’il n’a aucune idée de ce que sa fonction implique d’abnégation, de courage et de conviction. Tout dans son comportement laisse en effet penser qu’il en est encore resté au prestige d’antan de la position : le statut social d’un monarque, le trône suprême du haut duquel il surplombe un peuple dévoué à son culte, un peuple dont il honore la représentation de sa distinction royale. On comprend finalement que la gestion quotidienne ne soit pas la tasse de thé de ce François III, sauf bien sûr lorsqu’il s’agit d’empêcher son Premier Ministre de briller et de se constituer en rival. Il est en effet si doux de se trouver au plus haut niveau d’une monarchie que tous les moyens se justifient pour y rester cinq ans de plus. C’est une question d’essence.

Des résultats à la hauteur

Il est clair que toute cette ménagerie ne fait pas bon ménage. Elle parle beaucoup, elle aboie, elle dilapide les deniers de l’Etat. Mais elle ne cesse d’accumuler les échecs. Le plus terrible sera finalement ce M.Valls dont tout le monde espérait une prise de risque et une véritable autorité malgré les atermoiements stratégiques du Président-Monarque. Pris au piège, annihilé par un F.Hollande particulièrement manœuvrier, le Premier Ministre tente de compenser son inaction par le Verbe et l’Intonation. Ses propos sont d’autant plus violents que lui-même est devenu inopérent. Son visage se déforme à force de frustrations. Dire que cet homme qui incarnait l’autorité de l’Etat sera finalement le Premier Ministre d’un Gouvernement ayant eu certainement (et de très loin) le plus grand nombre de victimes du terrorisme sur le sol français ! Dire que cet homme aux trémolos libéraux (dixit « j’aime l’entreprise ») sera le Premier Ministre d’un accroissement simultané et significatif de la dette, du chômage et des impôts tandis que tous ces indicateurs s’améliorent chez nos voisins depuis environ deux ans !

Tel est le triste bilan de cette clique de beaux parleurs qui nous dirige depuis 2012 sous la baguette d’un Monarque dont la seule passion semble être celle de se maintenir sur sa position ô combien prestigieuse, quel qu’en soit le prix.

Claude ROBERT

http://www.eradiquons.fr/2015/11/16/gouvernement-socialiste-une-clique-de-beaux-parleurs-inoperants/

Alice Bah Kuhnke élue Ministre de la Culture de Suède en octobre 2014

NDLR : Cette information nous avait échappée à l'époque, c'est pour cette raison que nous ne la mettons qu'aujourd'hui

 

Alice Bah Kuhnke, photo ci-dessus, (ndlr,voir aussi ici d'autres photos d'elle disons....plus olé, olé), une métisse de 42 ans, originaire de la Gambie, est désormais le nouveau ministre suédois de la Culture et de la Démocratie.

Née d'un père gambien et d'une mère suédoise, Alice est une ex-animatrice de télévision et un des membres fondateurs du groupe de réflexion dénommé Sektor3, une cellule de réflexion suédoise dont l'objectif est, entre autres, d'analyser et de sensibiliser à l'importance des organisations de la société civile.
Alice Bah a grandi à Horda dans la province de Smayland, auprès de sa mère suédoise.

Selon des informations parvenues ce week-end à Banjul, la capitale gambienne, Alice Bah a été nommée au gouvernement en ce début du mois d'octobre 2014.

Sources ICI  ICI et ICI