Le suicide collectif des progressistes

Sans les médias qui les maintiennent en vie sous perfusion, les gauchistes ne seraient plus qu’un mauvais souvenir.

Ils ont perdu la bataille des idées, et comme en Grande-Bretagne, ils perdent partout des élections.

Mais le combat n’est pas terminé. Nous devons achever de les anéantir. Ils n’ont plus de religion : ils veulent détruire la vôtre. Ils n’ont plus de culture, ils veulent vous en imposer une autre. Ils ont perdu leurs repères, ils diabolisent les vôtres. Ils n’ont plus que leur colère qui les ronge : aidons-là à les dévorer.

Le penchant de la gauche pour le fétichisme identitaire, l’obsession victimaire, l’escroquerie raciale, est un désir de pouvoir subjuguant et débridé, qui se fait passer pour de la compassion.

Le gauchisme transforme l’or en plomb, la prospérité en pénurie, la liberté en dépendance, l’intelligence en propagande et le mensonge en vérité.

La gauche vous méprise. Elle profite de vous. Elle vous enferme dans son discours climatique pour vous imposer des strictes restrictions à votre mode de vie. Elle vous accuse de racisme et d’islamophobie pour vous faire taire. Elle confisque votre patrimoine en vous obligeant à avoir honte d’avoir travaillé pour l’accumuler.

Votre mère vous a appris à ne pas accepter de bonbons d’un étranger. Les socialistes sont les étrangers dont vous ne devriez pas accepter les aides. Leurs bonbons sociaux sont destinés à vous rendre dépendants d’une assistance dont vous ne pouvez plus vous passer, comme accoutumé à une drogue.

La population immigrée est celle qui croît le plus vite. Ils sont encouragés à immigrer de plus en plus nombreux. C’est pour vous sauver de la dénatalité. Mais où sont les incitations pour que les Européens circonviennent leur dénatalité ? Elles n’existent pas, car la dénatalité est leur prétexte à se débarrasser de vous avant que vous vous débarrassiez d’eux.

A part la haine de soi, de votre propre culture, de votre propre héritage. A part le dégoût pour la réussite. A part détester la liberté de penser et d’expression. A part vouloir que vos enfants démotivés souffrent du chômage, de la pauvreté, de la violence et de la terreur. A part rejeter toute mesure qui puisse relancer l’économie et l’emploi, existe-t-il une autre raison de voter socialiste ?

Ah, et j’oubliais, votre smartphone, développé par des entreprises dirigées par des milliardaires gauchistes, diffuse votre position exacte des milliers de fois par jour à des dizaines d’entreprises différentes. Chacune d’entre elles a le pouvoir de vous suivre où que vous alliez, en temps quasi-réel. Ce n’est pas une faille dans le système. C’est le système. Qui vous dit que vous n’avez rien à craindre de lui.

La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu’il n’existe pas.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

source

La pensée unique détruit la Suisse

Notre site a déjà parlé de la série d’agressions commises à Perly, village situé à la frontière française : Série de vols violents dans un village genevois : La police engage une brigade franco-suisse pour l’enquête

Communiqué UDC. Perly : l’UDC dénonce des drames facilement évitables 5.10.2019

Genève : Les habitantes de Perly ne devraient plus se promener seules selon la police

Voir aussi : Conseils de la police : promenez-vous à plusieurs et ne montrez pas vos valeurs

À la suite de ces événements, le Matin Dimanche du 20 octobre 2019 a publié un reportage de Benjamin Pillard, intitulé: « Après l’agression d’une quatrième femme, Perly vit dans la psychose. »

Sous l’intertitre « Lacérée au moyen d’une lame de rasoir », nous lisons ces précisions : « [...] peu avant 23h, une trentenaire a été blessée au moyen d’un objet tranchant type lame de rasoir, alors qu’elle parcourait la centaine de mètres entre son domicile du centre du village et la salle communale où cette mère de famille avait participé à un cours de cuisine. À en croire la victime, son agresseur était un homme masqué par une capuche et l’aurait blessée pour la « punir » de ne pas avoir eu d’argent dans son sac. [...] »

Ce mot de « psychose » est un terme psychiatrisant, utilisé  par l’establishment pour dénigrer une peur légitime. 

Le journaliste, drillé au politiquement correct, ridiculise les habitantes de Perly qui vivent dorénavant dans la peur. Pour  les gauchistes, cette peur ne peut être considérée comme rationnelle. Une bagatelle, comme se faire lacérer gratuitement dans un paisible village, cela ne relèverait que d'une psychose collective. Le trouble mental n’est même plus du côté des criminels mais du côté des victimes. Si par miracle, l’immonde ordure - à coup sûr issue de la diversité - est un jour traduite en justice, on ne serait pas étonné que là, il ait droit à un diagnostic de psychotique et à un appel à la clémence pour des mesures thérapeutiques à la place de la prison.

Ici, comme partout dans les médias romands, le journaliste a décidé de censurer ce que représentent ces lacérations pour cette femme. Et bien entendu, contrairement aux médias britanniques, le visage et le nom du criminel ne seront jamais publiés.
Est-ce que cette jeune mère de famille portera des cicatrices au visage à vie ? Et les trois autres victimes ?  Est-ce que les dégâts causés par ces attaques barbares, signées multiculturalisme, poursuivront les victimes à vie ? Pendant que nous nous posons ces questions, d’autres personnes seront de nouveau victimes du vivre ensemble, et un clou chassera l’autre, sans que le ministère de la Vérité autorise un débat de fond, sans censure.

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Le ministère de la Vérité a également le monopole de la psychiatrisation. Les diagnostics psychiatriques fusent après les attentats pour excuser les fils d’Allah. Avoir peur de subir des conséquences du vivre-ensemble est équivalent à une psychose, par contre, parler d’hystérie climatique est un terme répréhensible.

Le 21.10 à l’émission Forum, une déléguée à l’Égalité nous a avisés que le terme d’hystérie climatique devrait être banni car il serait une insulte machiste envers les femmes.

Oskar Freysinger avait en effet cité l’« hystérie climatique » comme explication du recul de l’UDC lors des élections de la veille (40:33).
La Verte Nicole Baur, déléguée à l’Égalité du canton du Neuchâtel (tout un pédigrée) a alors tenu à préciser (44:34) : « J’aurais juste un petit conseil à donner à l’UDC. Peut-être n’utilisez pas le terme hystérie, Monsieur Freysinger, parce que hystérie renvoie à l’utérus, donc on sait très bien que c’est un terme extrêmement machiste. Si vous voulez vraiment séduire des femmes, eh bien, peut-être, changez de vocabulaire. »

Mme Baur fait allusion à l’étymologie du mot, car l’adjectif hystérique a été créé au XVIe siècle pour qualifier des femmes atteintes d’une maladie psychique dont on croyait, alors, que le siège était dans l’utérus, hysteros en grec.

Ce genre d’argument est absurde. Qui se soucie aujourd’hui du fait que séduire signifie étymologiquement « conduire hors du chemin, dévoyer » ?
Ou qu’enfant signifiait à l’origine « qui ne parle pas » ?

Faut-il bannir le mot Occident des cours de géographie, sous prétexte qu’il « renvoie » au soleil couchant, alors qu’on sait très bien que le soleil ne se « couche » pas, c’est la Terre qui tourne ?

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Oskar Freysinger, le grain de sable dans les rouages parfaitement huilés de la RTS

La veille de ce Forum, lors de la grande journée électorale, Oskar Freysinger était invité sur le plateau de la RTS et il a pu dire en direct, face caméra, que l’urgence climatique est un mensonge qui n’est qu’une manipulation de masses à des fins politiques. Freysinger a également mentionné que le droit au débat avait totalement été dénié sur le sujet et que le succès des Verts est dû à la propagande médiatique.

C’était la première fois que sur notre média public, et bien malgré lui, que la possibilité était donnée à une personne, s'exprimant clairement, d'exposer une autre opinion que le dogme climatique officiel. Cet accident n’aurait jamais dû arriver, et il a certainement causé bien de l’agitation dans les coulisses. La RTS a parfois déploré que sur les réseaux sociaux il existe de nauséabonds climatosceptiques, comparables aux négationnistes des chambres à gaz, mais c'est absolument inédit que la RTS  laisse l'accès au micro à de telles déclarations.

« Heureusement » qu’après l’intervention fracassante d’Oskar Frexsinger, il y a eu  l’interview de Virna Conti, présidente des Jeunes UDC Genève, pour réparer le bug. Virna Conti a expliqué qu’en fait, l’urgence climatique n’a rien à voir avec le clivage gauche-droite mais est un clivage générationnel. Elle croit dur comme fer qu’elle a saisi avec acuité ce qu’est  l’urgence climatique. Elle a rassuré les téléspectateurs : même des Jeunes UDC ont participé aux manifestations pour le climat. UDC, Verts, même combat. La relève UDC est assurée.

Il est bien normal que la maturation des esprits prenne du temps. Ce n’est pas que nous manquions d’indulgence face à ces fraîcheurs, mais notre époque est trop marquée par le jeunisme... et c’est bien dans ce sol que la révolution thunbergienne a pu prendre racine.
Cette jeunesse aurait bien besoin de « vieux », non pas comme Dubochet, qui fait office de sage pour la jeunesse qu’il crétinise, mais de personnes irremplaçables comme, par exemple, Yves Nidegger, pour expliquer ce qui se joue dans les coulisses de la religion climatiste.

L’hystérie climatique a coûté 12 sièges à l’UDC, sans que cette dernière n'ait eu la possibilité de s’exprimer clairement, et dans des conditions honnêtes, à ce sujet.

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Compte tenu de ces circonstances défavorables, l’UDC avait deux stratégies possibles pour les élections lorsqu’elle a constaté l’ampleur planétaire de cette nouvelle forme de révolution de couleur :

A) Limiter les dégâts et proposer aux électeurs des solutions alternatives aux taxes en attendant que l’hystérie s’essouffle.

B) Partir en guerre de communication, en contournant la censure, et faire des vidéos (Youtube, les réseaux sociaux), donner des conférences et exposer partout la vérité, dénoncer le mensonge du réchauffement anthropique.

Certes, l'option B aurait pu empêcher que Virna Conti croie qu’il n’y avait rien de politique dans les mouvements climatiques, mais même ainsi, l’UDC n’aurait pas pu faire le poids face à la déferlante de l'hystérie climatique.
De leur côté, les Verts ont tout l’establishment avec eux, de l’argent quasiment sans limite, la totalité des médias, l’enseignement, des facilités de toutes sortes, ils représentent le clergé qui a su imposer une nouvelle religion d’État.

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Monsieur Montabert a écrit : « […] Les jours qui s'annoncent vont être sombres pour la Suisse. Les Verts ne sont pas des écologistes sympas mais des extrémistes aussi à gauche que les communistes. Les taxes, les amendes, le flicage des poubelles et les interdictions vont pleuvoir. Les automobilistes vont souffrir, l'énergie va être rendue hors de prix, ce qui provoquera récession économique et appauvrissement généralisé. […] »

La montée en puissance du marxisme culturel se joue partout dans la civilisation occidentale, de l’Australie au Canada, en passant par la vieille Europe. Mais ce qui se passe en Suisse Romande avec la confiscation totale des médias par la bienpensance, associé à une très haute densité de population étrangère (dans certaines villes en Suisse Romande, moins de 20% de la population a des grands-parents suisses de souche), l'enseignement est totalement infesté par la gauche et cette situation est encore bien plus grave qu’ailleurs. Nous vivons une forme d’endoctrinement intensif de gauche sans goulag, avec une jeunesse bien plus sous influence que ne l’était la jeunesse sous le joug du communisme… avant la chute du mur.
Cette jeunesse ne sachant pas ce que signifie « penser par soi-même », ou pire encore, tout simplement « penser, réfléchir ».

Déjà bien avant ce tsunami vert, le totalitarisme des médias était parvenu à mettre en échec chaque initiative allant à l’encontre des intérêts de l’establishment... et les initiatives de l’UDC qui avaient été acceptées n’ont pas été mises en œuvre par la suite. Que va-t-il se passer maintenant ?

La diabolisation continuelle de l’UDC par les médias et le matraquage gauchiste a fini par porter ses fruits.
Les jeunes actuels sont totalement inconscients du travail de sape continuel visant à détruire la civilisation occidentale depuis mai 68.
L'arnaque d'un prétendu réchauffement climatique anthropique va-t-elle réussir à finir le job ?

Cenator

 

Islamo-gauchisme – Médias milliardaires et gauchistes – Guerre civile

   
Michel Garroté  --  A deux jours du premier tour de l'élection présidentielle française et au lendemain de l'attentat islamiste sur les Champs-Elysées, la présente compilation d'analyses - je le précise d'emblée - est longue. Et c'est pourquoi je commence par en donner les divers contenus, afin que les lectrices et lecteurs puissent, s'ils le souhaitent, aller directement sur le contenu qui les intéresse le plus. La compilation commence par une série de réflexions d'Ivan Rioufol et de Les 4 Vérités sur le gauchisme, l'islamo-gauchisme et le Decodex. Puis, la compilation reprend diverses analyses (de Réinformation.tv et de Challanges) sur les Médias milliardaires et leurs méthodes très militantes. Enfin, la compilation cite des extraits d'une analyse du Général Antoine Martinez sur les risques de guerre civile.
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Gauchisme et Islamo-gauchisme :
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Ivan Rioufol : Parler de radicalisation pour désigner à la fois le mouvement Sens Commun, la formation issue de La Manif pour Tous qui a rejoint François Fillon, et le totalitarisme islamique en guerre contre la démocratie revient évidemment à édulcorer la dangerosité des fanatiques ayant fait allégeance à l’Etat islamique. Ceux-là peuvent se satisfaire de cette soumission en marche. Les intimidations des islamistes, qui sont les premiers à se réclamer du vivre ensemble, de l’antiracisme et des droits de l’homme pour consolider leur impunité, semblent malheureusement efficaces. Fillon, candidat des Républicains se distingue de ses concurrents par un discours sans fard contre l’islam radical.
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Fillon est celui qui s’est le plus engagé dans la défense des Chrétiens d’Orient, victimes d’une épuration par l’islam sunnite. Lors de son meeting du 9 avril, à Paris, il avait appelé les Français musulmans "à se soulever contre l’obscurantisme et à nous aider à faire le nettoyage". Il persiste ce mercredi dans Le Parisien : "Je veux combattre l’intégrisme avec les musulmans". Et si Marine Le Pen n’épargne pas non plus l’islamisme, elle le fait parfois d’une manière oblique. Lors d’un meeting à Lyon, le 5 février, elle avait cru bon de dénoncer à la fois le totalitarisme djihadiste et le totalitarisme affairiste, présentés comme deux effets de la mondialisation. Ce relativisme saugrenu n’aide évidemment pas à hiérarchiser les dangers. Il faut néanmoins remarquer que la présidente du FN a, depuis quelques jours, repositionné plus clairement son discours.
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Ivan Rioufol : L’islamo-gauchisme, cette alliance du marxisme et du djihad contre l’Occident libéral et capitaliste, s’est désormais installé, comme une plaie, dans les rangs de l’extrême gauche et chez les plus radicaux des socialistes. Manuel Valls, qui était le seul de sa famille politique à avoir mis en garde contre ce fascisme islamiste et son antisémitisme, n’a évidemment aucun point commun, sur ce sujet, avec Benoît Hamon et ses accommodements. Si l’ancien premier ministre a déclaré, mardi, ne pas vouloir parrainer son concurrent désigné par la primaire du PS, en dépit des engagements initiaux, c’est bien parce que le candidat à la présidentielle n’a pas rompu les liens avec l’idéologie islamiste et ses exigences de visibilité et de respect. Elle a réussi à faire passer, chez les moins regardants et autres idiots utiles, le musulman pour le nouveau damné de la terre.
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Ce clientélisme est l’une des plus graves faiblesses de Hamon. Pour autant, le soutien de Valls à Emmanuel Macron n’a rien d’évident non plus. L’enfant chéri du progressisme "bienveillant" ne montre, en effet, aucune envie d’engager l’épreuve de force contre le nouveau totalitarisme qui exige et obtient la soumission des plus dociles. Valls, lui, avait eu le mérite de le désigner comme l’ennemi à "combattre et abattre". La gauche rampante et collaborationniste devrait au moins lire ce que les islamistes eux-mêmes écrivent de leur stratégie. Ils ont ce mérite de faire ce qu’ils disent. Carlos, par exemple. Le terroriste vénézuélien, converti à l’islam à 25 ans et déjà condamné deux fois à la perpétuité depuis son arrestation par la France en 1994, comparaît depuis lundi devant la Cour d’assises spéciale de Paris. Il doit répondre, 43 ans après les faits, de l’attentat du Drugstore Publicis (2 morts, 34 blessés).
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Or Carlos, marxiste et islamiste, est un des théoriciens de cet islamo-gauchisme qui fait aujourd’hui partie du paysage politique français. Dans son livre, L’islam révolutionnaire (Editions du Rocher, 2O03), Ilich Ramirez Sanchez, dit Carlos, invitait déjà les "mouvements anti-globalisation" à venir rejoindre la lutte pour "libérer le monde de l’exploitation impérialiste et la Palestine de l’occupation sioniste". Rejetant la différence entre islam et islamisme, il écrit : "L’Islam est par essence "politique" en tant qu’organisation divine de la communauté des croyants".
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D’ailleurs, pour lui, la France a déjà basculé : "Du fait des flux migratoires nés de la colonisation, elle est déjà et depuis des décennies dar al-islam (terre d’islam,NDLR). Des moquées, des lieux de culte s’érigent partout. Cette conquête spirituelle se fait sans violence. Le facteur démographique joue en la faveur de l’Islam", etc. Pour Carlos, "la lutte armée est non seulement licite, mais elle devient une obligation religieuse et par conséquent un devoir moral quand il n’existe aucune solution non violente". L’islamo-gauchisme est dans cette logique d’affrontement et de guerre civile. Autant le savoir, précise Ivan Rioufol.
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Et à propos du "barrage" qu'il faudrait faire, non pas à l'islamisme violent et conquérant, mais au Front national (le seul parti politique français qui ne fait pas dans l'islamophilie très tendance), Ivan Rioufol écrit : Faire barrage fait monter le niveau. Cette donnée ne s’applique pas seulement aux eaux retenues. Les voix comprimées peuvent aussi produire cet effet. Rien de tel, pour faire croître le vote FN, que de poursuivre la stratégie du No pasaran !, héritée des républicains espagnols. Rien n’est plus convenu dans cette campagne que de faire à Marine Le Pen le reproche de sa recherche d’affrontement. Pourtant, c’est Emmanuel Macron, le chantre de la bienveillance, qui désigne le FN comme un "ennemi".
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Ce faisant, le leader d’En Marche ! installe dans les esprits une notion de guerre civile qu’il réfute du côté de l’islam totalitaire. La gauche, qui n’a rien à dire sur les grands sujets posés par l’asphyxie migratoire et la montée de l’islamisme dans les cités, déploie également toute sa violence verbale pour disqualifier les solutions qu’apporte ce parti. Les mesures avancées par le FN peuvent être évidemment contestées. Mais la pire des réponses consiste à ne pas vouloir traiter les sujets d’inquiétude portés par ses électeurs. Ceux-là ne méritent pas d’être accusés d’antisémitisme ou de racisme, même s’ils veulent, en effet, un retour à la nation souveraine et à la différence existentielle entre le citoyen et l’étranger. Criminaliser ce conservatisme oblige à dénigrer tout ce qui a constitué la "douce France", conclut Ivan Rioufol.
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A propos de la présidentielle et du communisme, Ivan Rioufol écrit notamment : Arrêtez les frais ! Un autre "Grand débat" sur la présidentielle n’est pas nécessaire. La resucée prévue le 20 avril n’apportera rien de plus à la longue et fastidieuse soirée d’hier (près de 4 heures !) diffusée par CNews et BFMTV. Elle n’a d’ailleurs recueilli que 6,3 millions de téléspectateurs. La lutte des classes, promue par Philippe Poutou et Nathalie Arthaud, a fait rappeler que ce communisme qui se pavane et fait la leçon reste l’héritier de celui qui, au XXe siècle, a causé plus de cinquante millions de morts. La faucille et le marteau, qui se retrouvent aussi parfois sur des drapeaux brandis lors de meetings de Jean-Luc Mélenchon, m’indignent autant que la vision d’une croix gammée. Mais si le régime nazi a connu son procès de Nuremberg, qui a heureusement criminalisé son idéologie et son insigne, le communisme n’a jamais eu à se confronter à ses propres massacres. Il passe à la télé, conclut Ivan Rioufol.
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Decodex et des conneries :
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Lu dans Les 4 Vérités : Les médias « mainstream » ont un problème avec la vérité. Ils accusent volontiers la « réinfosphère » et l’information alternative de mentir. Pourtant, les mensonges sont au moins aussi répandus dans la « grande » presse. Pour lutter contre le « complotisme » qui aurait cours dans la « réinfosphère », « Le Monde », journal de l’oligarchie s’il en est, a lancé le « Decodex », qui note les sites d’informations selon des critères obscurs. Mais ces notations n’excluent pas des approximations ou des omissions – qui s’apparentent fort à des mensonges.
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Ainsi l’Observatoire de la christianophobie, dirigé par Guillaume de Thieulloy, est-il présenté comme un site « traditionaliste », alors qu’il s’agit d’un site oecuménique, évoquant toutes les confessions chrétiennes, et comme donnant des informations « non vérifiées », alors que tous ses articles font référence au minimum à une source et souvent davantage. Détail croustillant : la « preuve » de l’absence de source de l’Observatoire de la christianophobie est donnée par une référence… au « Monde des religions », c’est-à-dire que « Le Monde » est juge et partie ! Si l’on voit comment « Le Monde » méprise des vérités aussi aisées à découvrir, on devine que ses « enquêtes » doivent être des plus contestables, conclut Les 4 Vérités.
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Médias milliardaires :
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Réinformation.tv révèle : Un récent sondage Sofres/Kantar média publié par la Croix révèle que « la confiance dans l’information relayée par les différents médias est historiquement basse ». Avec 41 %, la télévision perd 9 points de confiance, la radio perd 3 points à 52 %. Ce sondage n’est que la confirmation d’une défiance de plus en plus grande des Français à l’égard de ceux que l’on appelle « les grands médias ». Pour répondre aux questions posées par Armel Joubert des Ouches dans ce documentaire, nous avons interrogé Jean-Claude Bourret, ancien présentateur des journaux de TF1 et de la Cinq. Le journaliste, qui fut également rédacteur en chef à France Inter et à RMC, évoque la mainmise des milliardaires sur les médias depuis ces 20 dernières années en particulier.
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« J’ai toujours dénoncé l’interpénétration qui existait entre le pouvoir politique et le pouvoir médiatique, explique-t-il, mais de façon mesurée car vous ne pouvez pas attaquer de front ceux qui sont beaucoup plus puissants que vous sinon ils vous écrasent ! Je l’ai dénoncé dans des journaux comme Télé Star, Télé 7 jours. Cela m’a valu de perdre le journal de 20 heures sur TF1 au moment où il y a eu la grande manifestation (1984) en faveur de l’école libre parce que j’avais fait mon métier de journaliste ! ». Ce jour-là en effet, parce qu’il est le seul à annoncer un chiffre officiel « censuré par l’Agence France presse » – 800.000 personnes présentes à la manifestation – Jean Claude Bourret s’attire les foudres du pouvoir socialiste de l’époque.
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C’est alors François Mitterrand qui dirige le pays. Il est un fait que si Radio France (France Inter, France Info) et France Télévision appartiennent à l’Etat, les « grands patrons » sont propriétaires de la plupart des gros médias dans le pays. Bouygues détient TF1, LCI et TMC ; Dassault possède le groupe le Figaro ; Patrick Drahi est propriétaire du journal Libération et de l’Express ; quant à BFMTV et RMC, ces deux médias sont entre les mains d’Alain Weill, actionnaire majoritaire du groupe NextradioTV. Il faut également compter sur Vincent Bolloré, Bernard Arnault ou Arnaud Lagardère. Des banques telles que le Crédit Agricole et le Crédit Mutuel détiennent également des parts importantes dans la presse régionale notamment.
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Pour Ivan Rioufol, essayiste et journaliste au Figaro, il faut admettre que « les journalistes sont tous formatés. Je suis surpris de constater que les journalistes qui sortent des écoles n’ont pas d’esprit critique ». Robert Werner, ancien rédacteur en chef à TF1 – pourfendeur de l’énergie éolienne, voir notre reportage « Energie éolienne, la grande escroquerie  » – estime lui que « la culture générale de la part de la grande majorité de journalistes laisse pleinement à désirer. Parlez-leur de la Saint Barthélémy, parlez-leur des guerres de Vendée, c’est le vide ». Dans ce documentaire de 26 minutes, Armel Joubert des Ouches a également interviewé Martial Bild, Directeur de la rédaction de TV libertés, Jeanne Smits journaliste depuis une trentaine d’année, mais aussi Frédéric Pons, journaliste – écrivain et professeur aux écoles de Saint Cyr. Frédéric Pons qui est l’auteur de nombreux ouvrages vient d’achever Le martyre des chrétiens d’Orient, livre publié chez Calmann-Lévy, conclut Réinformation.tv.
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Mediapart & Canard Enchaîné - Deux stratégies opposées :
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Dans Challanges, Marc Baudriller livre l'analyse que voici : Le Canard enchaîné, qui a lancé l'interminable affaire Fillon, mène la danse des affaires dans cette campagne électorale mais son concurrent Mediapart se porte très bien. Le site payant d'Edwy Plenel créé il y a maintenant neuf ans vient de publier ses comptes 2016. Son créateur a longuement détaillé la fourmilière qu'il anime. Outre les articles de la rédaction, Mediapart livre sur le web des documentaires tournés en vidéo, des débats enregistrés dans son studio, il s'est associé avec des chercheurs, avec un pool européen d'enquêteurs, il publie une revue sur papier, des livres... Impossible de tout citer. Il a surtout 131.000 abonnés qui payent chaque mois. Cette idée de site éditorial payant paraissait un peu déraisonnable voilà neuf ans, c'est devenu une entreprise très prospère. Les 32 salariés du départ sont aujourd'hui 74. L'entreprise occupait 350 m2 de bureaux dans l'est parisien, elle s'étale maintenant sur 600 m2. C'est peu dire qu'Edwy Plenel a réussi son pari.
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Mediapart, en retrait face au Canard enchaîné dans l'affaire Fillon, est cependant souvent comparé à cette institution de la cinquième République qui fête ses 100 ans qui a sorti tant d'affaires, des Micros du Canard aux diamants de Bokassa en passant par les avions renifleurs et tant d'autres. A elle seule, la comparaison en dit donc long. Le Canard vend presque 400.000 exemplaires par semaine en moyenne, trois fois le nombre des abonnés à Mediapart. Surtout, le Canard a mis de côté 124 millions d'euros. De quoi vivre pendant cinq ans sans la moindre recette.
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Mediapart n'a évidemment pas cette cagnotte. Mais le site de Plenel affiche en 2016 deux fois la rentabilité du Canard en 2015 (ce sont les derniers chiffres disponibles): 2,04 millions d'euros de résultat net l'an dernier sur un chiffre d'affaires de 11,6 millions d'euros pour Mediapart contre 2,2 millions d'euros de résultat net sur un chiffre d'affaires 2015 de 24,5 millions. Mais les deux médias d'investigation affichent deux stratégies très différentes. L'un reste craintif, l'autre affiche un gros appétit. Alors que le Canard thésaurise pour résister en cas de coups durs, Mediapart veut se développer, participer à des initiatives du même genre dans les grandes villes de France ou à l'étranger, conclut Marc Baudriller.
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Guerre civile :
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Le Général Antoine Martinez : Les événements dramatiques qui se sont déroulés sur notre propre sol depuis quelques années et surtout récemment sont autant de signaux d'alarme totalement ignorés par ceux qui nous gouvernent et qui ont plongé le peuple dans la désespérance et l'exaspération. Cette exaspération alimente une colère qui ne cesse de monter et qui conduit à une radicalisation des esprits. Alors, si la primauté du politique sur le militaire n'est absolument pas contestée, la Grande Muette [ndmg - l'armée française], garante de la continuité historique directement liée à la sécurité et à la protection de son peuple, doit à présent, devant le danger imminent qui menace le pays, briser le silence pour rappeler aux responsables politiques leurs obligations à l'égard de la Nation.
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Cela devient même un devoir lorsque l'État trahit la Nation, comme c'est le cas depuis plusieurs années, et que l'intérêt supérieur du pays est en cause : suivre l'évolution de la situation sur un laps de temps de huit années et constater, sur de nombreux points, l'aggravation de cette dernière en raison du déni des réalités des responsables politiques, de leur manque de vision à long terme et de la prise de décisions contraires aux intérêts de la Nation. L'évolution dramatique de la situation de la France, et d'ailleurs de l'Europe, par la faute des responsables politiques qui ne veulent pas admettre la stratégie de conquête d'un islam incompatible avec la démocratie et qui mènent le pays vers le chaos, nécessite que la Grande Muette brise à présent son silence pour provoquer un sursaut, conclut le Général Antoine Martinez.
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Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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Sources :
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http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2017/04/surtout-ne-pas-dire-le.html
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http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2017/03/lislamo-gauchisme-plaie-mortel.html
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http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2017/04/faire-barrage-fait-monter-le.html
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http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2017/04/pitie-pas-un-autre-grand-debat.html
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http://www.les4verites.com/culture-4v/manipulations-mediatiques
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http://reinformation.tv/defiance-envers-medias-discredit-joubert-67335-2/
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https://www.challenges.fr/election-presidentielle-2017/la-campagne-dans-les-medias/mediapart-face-au-canard-enchaine-deux-strategies-d-investigation-opposees_460607
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http://www.apopsix.fr/catalogue/quand-la-grande-muette-prendra-la-parole--978-2-35979-135-8.html
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