Pays-Bas: Pour apaiser les tensions multiculturelles, le gouvernement propose des cours de kickboxing aux Marocains

Christian Hofer: On se souvient du cas Carlos, dont le train de vie et les cours d'arts martiaux étaient payés par les contribuables grâce à un juge de gauche. Ce dernier a d'ailleurs utilisé sa force pour tout casser dans la cellule. Ils instruisent donc des communautés étrangères pour que celles-ci puissent être encore plus violentes. Les dirigeants européens sont devenus fous, jusqu'à proposer des cours d'arts martiaux à des communautés qui ne se priveront pas pour utiliser leur violence contre la population autochtone. Payer et se faire agresser: le quotidien de l'Européen désormais: bienvenue dans la société multiculturelle si chère à la gauche...

Pour résoudre les conflits au sein des communautés et apprendre le respect, rien de tel que le sport... Aux Pays-Bas, berceau du multiculturalisme et du kickboxing, la troisième génération de l'immigration marocaine chausse les gants de boxe pour mieux communiquer. Extrait d'''Avenue de l'Europe" du 10 février.

Les Pays-Bas, avec leur importante communauté marocaine (la deuxième population immigrée après les Turcs), sont le berceau européen du multiculturalisme. Mais aussi... du kickboxing, la "boxe pieds-poings". Et pour apaiser les tensions au sein des communautés, rien de tel que le défoulement par le sport... Le gouvernement néerlandais l'a bien compris. 

Dans cette salle de boxe du New West, quartier populaire d'Amsterdam, le modèle des enfants, c'est le directeur. Mohammed Ajuau est un ancien champion du monde de kickboxing. D'origine marocaine, il est né dans le quartier. Par le sport, il dit arriver à résoudre certains conflits de génération et à rapprocher parents et enfants. Témoin, cette adolescente visiblement motivée pour "kickboxer" son papa...

Un lieu et un sport à vocation pédagogique

Les filles ne sont pas nombreuses ici, mais ce jour-là, on trouve au moins deux petites "kickboxeuses" à l'entraînement. Perçu parfois (à tort) comme agressif, cet art martial aide les enfants à apprendre le respect des autres – notamment des filles.

Pour Mourad Ezzoubaa, éducateur de l'association Street Corner Work (lien en néerlandais), "ce lieu a une véritable vocation pédagogique. On travaille sur le comportement des jeunes, leur façon de parler. Dès qu'il y a un problème, on le règle immédiatement. On les aide à exprimer ce qui ne va pas. On les confronte, pour qu'ils changent leur comportement ici, à la maison, à l'école, dans la rue... partout."

Source

Nombre de migrants arrivant en Grèce sont en réalité des Marocains et des Algériens

Chaque jour plus de 4000 réfugiés passent de Turquie en Grèce. Beaucoup d’entre eux seraient maintenant originaires du Maroc et de l’Algérie. Les autorités parlent d’un « phénomène nouveau ».

À côté de réfugiés de guerre venant d’États comme la Syrie, les autorités grecques découvrent de plus en plus de migrants venant du Maroc et de l’Algérie. « Nous avons un phénomène nouveau : Marocains et Algériens …arrivent en grand nombre », a déclaré au journal athénien « Eleftheros Typos » Ioannis Mouzalas, vice-ministre grec chargé de l’Immigration.

Ces gens devraient absolument être renvoyés dans leur pays, pour qu’il n’y ait pas encore plus de migrants à venir en Europe via la Turquie, demande Mouzalas. Au total, malgré le mauvais temps, plus de 4000 migrants et réfugiés arriveraient quotidiennement de Turquie en Grèce.

[…] En décembre 2015 sont arrivées plus de 103 000 personnes. Presque autant qu’en août 2015 (107 843).

Welt.de via Fdesouche.com

Tessin : sur l’agression de deux mineurs par des requérants d’asile

Des requérants agressent des mineurs à Lugano : pourquoi ne sont-ils pas renvoyés dans leur pays ?

Rappel : Lugano, vendredi 12 décembre, aux environs de 22 h, à un arrêt de bus, une altercation a éclaté entre des requérants d'asile et quelques jeunes, altercation qui s'est terminée par l'agression de deux mineurs par deux sois-disant réfugiés. Les agresseurs, selon le communiqué de la police, seraient deux marocains de 18 et 19 ans assignés à un centre de requérants d'asile du Tessin.

Mais que faisaient donc ces deux marocains à un arrêt de bus après 22h , alors qu'ils étaient assignés à un centre pour réfugiés ?

Ah bon ? Parce que tous les requérants arrivant au Tessin ne sont donc pas des braves gens ? Et comment se fait-il que ce sont toujours des jeunes hommes seuls ? Et puis, comment des marocains peuvent-ils prétendre être des réfugiés alors qu'au Maroc il n'y a pas la guerre ?

Et, quel est donc le centre tessinois qui accueille ces jeunes étrangers ? Ne serait-ce pas par hasard ce nouveau centre de Losone où, selon la camarade Sommaruga, nous ne devions accueillir que des "familles et des cas non problématiques" ???

Comment ces soi-disants réfugiés sont-ils arrivés au Tessin, si ce n'est par l'Italie ?

Alors, pourquoi l'Italie ne les reprend-elle pas comme les accords de Dublin le prévoient ?

Vous verrez que l'Italie continuera à ne pas appliquer ces accords "puisque les Suisse sont des crétins et qu'ils ne se rendent compte de rien"......

[...]

Mais surtout : pour quelle raison devons-nous garder des sujets agressifs qui ne viennent même pas d'un pays en guerre ?

[...]

Source en italien

Belgique : Des Marocains massacrent un homme parce qu’il a rompu avec l’une des leurs

D’après nos collègues de Sudpresse, les agresseurs seraient des membres de la belle-famille de la victime. Cette agression serait la triste conclusion d’une séparation entre Pantelis, d’origine grecque et musulman converti, et sa jeune épouse, d’origine marocaine, dont il a eu deux jeunes enfants.

 

Le quartier reste secoué par la violence de l’altercation. "Après l’avoir frappé avec des pied-de-biche, des battes de base-ball et des couteaux, ils l’ont traîné par une jambe jusqu’au milieu du carrefour. Il ne bougeait déjà plus et il perdait beaucoup de sang. Un jeune homme d’environ 17 ans n’arrêtait pas de shoter dans sa tête. J’ai vu qu’une femme avec un foulard allait lui rouler dessus avec une voiture et je me suis alors interposé. Je n’ai pas osé bouger tellement ces gens avaient l’air dans un état second, presque des animaux. Ils ont voulu le mettre dans le coffre d’une des voitures mais on a été plusieurs à les en empêcher. Je suppose qu’ils voulaient jeter le corps dans le canal. Je ne comprends pas qu’on puisse s’acharner comme ça sur un homme seul", conclut ce témoin, encore incrédule de ce qu’il a vu.

 

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