Italie: Les musulmans veulent abolir la loi contre la polygamie

L'ITALIE est confrontée à des appels à légaliser les mariages polygames, mais plus de 20'000 existent déjà au sein des communautés islamiques dans cette nation européenne.

Les musulmans ont également affirmé qu'il n'y avait "aucune raison" de s'opposer à la polygamie puisque les mariages de même sexe ont été approuvés plus tôt cette année. Ces derniers sont mal vus en vertu des lois islamiques.

Conformément à la loi islamique, la polygamie doit être autorisée par la première épouse. Mais en réalité, la permission de la femme n'est presque jamais demandée et un homme peut avoir jusqu'à quatre mariages selon la charia.

Hamza Piccardo, fondateur de l'Union des communautés et des organisations islamiques (UCOII), a déclaré: «Il n'y a aucune raison pour que l'Italie n'accepte pas les mariages polygames de personnes consentantes.

"Puisqu'il s'agit des droits civils ici, alors la polygamie est un droit civil. Les musulmans ne sont pas d'accord avec le partenariat homosexuel et ils doivent tout de même accepter un système qui le permet."

Selon Piccardo, la légalisation de la polygamie arrêterait le déclin de la population (en clair les musulmans remplaceraient peu à peu la population locale). et attirerait plus de travailleurs étrangers, ce qui contribuerait à résoudre 40 pour cent du problème du chômage chez les jeunes en Italie.

Le nombre de mariages multiples en Italie est passé de 14'500 en 2013 à plus de 20'000 aujourd'hui - presque le double en trois ans seulement.

Selon Giuseppe De Lorenzo, la pratique est de plus en plus banale - avec de nombreuses mosquées qui réalisent les cérémonies, même si elles ne sont pas légalement reconnues par l'Etat italien.

Il déclare: «Dans notre religion, il est permis d'avoir plusieurs épouses - et cela est pratiqué dans les mosquées italiennes même si cela est interdit." 

De Lorenzo a affirmé que dans de nombreux cas, les mosquées encouragent la polygamie, en ajoutant: "Dans les mosquées, il y a des rassemblements pour rencontrer des gens, puis pour les marier entre eux, sans être sûr de leur état civil (qu'ils soient célibataires ou non)."

Mais ces appels ont suscité une réaction des politiciens italiens, qui condamnent la comparaison entre la polygamie et les mariages homosexuels.

Debora Serracchiani, chef adjoint du Parti démocratique, a déclaré: «Des siècles de lutte pour les droits des femmes ne peuvent pas simplement être balayés."

Source Traduction Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

Les mariages forcés en hausse en Suisse: Les mariées mineures sont érythréennes, somaliennes, irakiennes, afghanes et syriennes

Les autorités constatent un nombre croissant de cas de mineurs mariés avant leurs 16 ans. Certains ne sont que des enfants.

De 2005 – année de création du centre – jusqu’en 2015, seuls cinq cas avaient été découverts. Ces sept derniers mois, 26 victimes en dessous de 16 ans ont été signalées. Il y a l’histoire de cette Somalienne de 10 ans, qui, bien que fréquentant une école comme tous les enfants de son âge, a déjà été mariée.

Les mariées mineures proviennent en majorité des communautés érythréenne, somalienne, irakienne, afghane et syrienne installées en Suisse.

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Afghanistan: Mariée à 6 ans à un mollah contre une chèvre

Un père afghan a accepté de vendre sa fille de 6 ans à un mollah de son village, âgé de 55 ans. Il s'agit d'un arrangement pour récupérer de la nourriture.

 

La législation afghane en matière de mariage est claire. Une femme ne peut se marier qu'à partir de 16 ans, contre 18 ans pour un homme. Pourtant Gharibgol, 6 ans, a été contrainte de s'unir à un dignitaire religieux quinquagénaire dans un village de la province de Ghor, dans le nord-ouest de l'Afghanistan, révèle France24.

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Pakistan: Une jeune chrétienne handicapée enlevée, convertie de force à l’islam et mariée contre son gré. Le ravisseur fait un procès aux parents de l’infortunée !

Une jeune chrétienne handicapée enlevée, convertie de force à l’islam et mariée contre son gré. Que croyez-vous qu’il se passe ? Le ravisseur fait un procès aux parents de l’infortunée !

Une jeune chrétienne pakistanaise sourde-muette est parvenue à échapper au contrôle d’un musulman qui l’avait enlevée et contrainte à se convertir à l’islam et à contracter un mariage islamique. Après cet acte de courage, la jeune femme et sa famille, qui se trouvent à Sialkot, en province du Pendjab, ont été menacées de mort. Selon les musulmans en effet, Asma – qui a été renommé Aysha depuis sa conversion forcée – est désormais convertie à l’islam et se trouve être de plus l’épouse d’un musulman, ce qui fait qu’elle ne peut retourner dans sa famille d’origine. Fides a appris qu’Asma a été enlevée voici cinq mois par son voisin, Ghulam Hussain, musulman particulièrement influent, qui a des relations avec des représentants de la police et du monde politique. Ghulam Hussainmenace actuellement le père d’Asma, Gulzar Masih. Ce dernier s’est rendu au poste de police local pour dénoncer les faits mais la police l’a invité à remettre sa fille à son mari. Maintenant, après le dépôt d’une plainte, l’affaire est arrivée devant le tribunal. Ghulam Hussain a présenté le certificat d’une medersa – école coranique – faisant état de la conversion d’Asma ainsi qu’un certificat de mariage. Naturellement, explique l’avocat d’Asma et de sa famille, les documents sont contrefaits et les signatures ont été extorquées par la force à la jeune femme. Nasir Saeed, directeur de l’ONG CLAAS, qui suit l’affaire, a expliqué à Fides : « Les cas de conversion forcée et d’enlèvement de jeunes chrétiennes et hindoues voient leur nombre augmenter, démontrant l’échec des institutions, qui garantissent l’impunité. La police et la magistrature sont complices et ne défendent pas la légalité. C’est pourquoi de nombreux hindous et chrétiens du Pakistan, découragés, ont commencé à émigrer en direction de l’Inde et d’autres pays car le Pakistan ne les protège pas et qu’ils sentent que leur vie et leurs propriétés sont en danger ». Au Pakistan, l’enlèvement de jeunes femmes appartenant aux minorités religieuses et leur conversion forcée à l’islam représente un phénomène courant. Selon des sources deFides, chaque année, il concerne 700 jeunes chrétiennes et 300 hindoues, sachant que les chiffres en question ne représentent que les cas révélés ou qui arrivent devant les tribunaux.

Source : Agence Fides, 4 août

Vaud: Une Suissesse de 71 ans veut épouser un jeune Tunisien de 21 ans

Une arrière-grand-mère suissesse voulait se marier avec un Tunisien de 50 ans son cadet. Le Tribunal cantonal a dit non à cette union.

«Une escroquerie sentimentale à but migratoire.» Tant l'Office d'état civil vaudois que le Tribunal cantonal ne croient pas à l'argument de l'amour dans un curieux mariage prévu en 2015. Ils l'ont refusé. Il faut dire que madame, Suissesse, a 71 ans et son fiancé tunisien a 50 ans de moins. Ils se sont connus sur internet. La secrétaire retraitée de l'instruction publique a l'expérience des mariages mixtes. « Je me suis déjà mariée en 1988 avec un Camerounais de 13 ans mon cadet. Un de ses cousins est venu et a semé la pagaille. Il battait sa femme et a entraîné mon mari dans une vie débridée. Nous avons divorcé

Source

Christianophobie: L’Unicef lance une campagne contre les mariages forcés… en critiquant les mariages des Blancs chrétiens

Les mariages doivent être des moments de joie et de fête, pourtant ce mariage est tout sauf un conte de fées… Environ 15 millions de filles seront mariées cette année, alors qu’elles ne sont encore que des enfants. Leur droit à l’enfance sera bafoué.

 

Christian Hofer: Toutes les références ici sont chrétiennes: les vitraux, le style d'habits, le petit voile de la mariée, la couleur de peau des protagonistes, la maison, le style de la réception, le petit mot même écrit en anglais et non en arabe...

Encore une organisation internationale qui se nourrit de nos impôts et qui n'a pour but que la culpabilisation des Occidentaux tout en évitant soigneusement de critiquer les autres dogmes.

Par contre, pour vomir sur les Chrétiens, pas de problème...

Définir le mariage comme l’union d’un homme avec une femme est comparable à la charia

Ndlr : Il fallait oser !  Le conseiller national PLR Hanspeter Portmann (photo) l'a fait !

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Une définition de l'union comparée à la charia

L'autre restriction dénoncée par les opposants concerne la définition du mariage comme étant l'union d'un homme et d'une femme. Le conseiller national PLR Hanspeter Portmann estime que ce n'est pas à l'Etat de dicter des normes sociales à ses citoyens. Il compare d'ailleurs la proposition du PDC à la charia. "C'est extrême, mais c'est exactement une règle d'un Etat qui a la charia et qui dit que c'est la seule norme acceptée pour cet Etat", justifie le Zurichois.

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Article complet sur les opposants à l'initiative du PDC sur le mariage lancent leur campagne

 

Merci à Flavien

Définition du mariage : une campagne d’opposition mal biaisée

yohan ziehli

 

 

Par Yohan Ziehli, président Jeunes UDC Vaud, Conseiller communal

 

Le PDC a entamé sa campagne contre la discrimination des couples mariés. Comprenez par là la fin des désavantages fiscaux qui grèvent les couples ayant pris la décision de s’unir par les liens du mariage. Concrètement, le parti a lancé une initiative populaire demandant d’inscrire le principe de non-discrimination du mariage dans la Constitution (principe reconnu par le Tribunal fédéral il y a 30 ans déjà).

Jusque-là, rien de bien particulier. On pourrait s’attendre à un simple débat gauche-droite, la première soutenant le statut quo, la seconde prônant l’allègement fiscal. Mais voilà qu’une autre variable a fait son apparition : le texte de l’initiative ose définir le mariage comme « l’union durable et réglementée par la loi d’un homme et d’une femme ».

Il n’en fallait pas plus pour déclencher une riposte soutenue de la part des lobbies LGBT, qualifiant le projet de rétrograde et… discriminant. L’initiative du PDC représenterait ainsi un petit pas pour l’équité fiscale, mais un grand bond en arrière pour les droits des homosexuels (et autres). Qu’en est-il réellement ?

Une notion déjà existante

La protection du mariage se trouve aujourd’hui déjà dans la Constitution, au sein du catalogue des droits fondamentaux. Elle a été confirmée en votation populaire il y a 16 ans. A ce titre, la définition proposée par le PDC ne présente rien de nouveau : lors de cette votation, il ne faisait pour le peuple aucun doute que le mariage encadrait l’union d’un homme et d’une femme. Le mariage tel qu’il est inscrit dans la Constitution représente donc aujourd’hui déjà un mariage hétérosexuel. Raison pour laquelle cette même définition se retrouve dans le Code civil. L’initiative du PDC n’implique donc aucun pas en arrière, mais une simple interprétation de la Constitution telle qu’elle a été écrite.

Un sujet de société important

Que l’on soutienne ou pas le mariage homosexuel et sa conséquence directe et automatique qu’est le droit d’adoption, il n’est pas possible de nier qu’il s’agit d’un sujet de société important. Un sujet qui ne fait pas l’unanimité. Preuve en est le fait que sur les deux seuls Etats qui ont pu voter à ce propos, l’un a voté pour (l’Irlande), l’autre contre (la Slovénie).

Un tel objet doit donc légitimement être décidé par le peuple. On ne saurait laisser le seul parlement décider d’une instauration du mariage pour tous à travers une réforme quelconque du Code civil. Pour cette raison, l’initiative du PDC est une garantie qu’un tel projet ne passera pas par la bande.

Une opposition perfide

Au vu de ce qui précède, il est clair que l’initiative ne représente pas un recul du droit des homosexuels et qu’elle n’entrave pas illégitimement leurs efforts. D’un point de vue politique, la seule raison qui peut pousser les mouvements LGBT à refuser la définition précitée du mariage est l’intention de faire passer l’union homosexuelle en douce, lors d’une simple modification du Code civil. L’opportunité d’un référendum populaire pourrait être entravée en glissant cette modification dans une réforme plus large, obligeant le peuple à choisir « tout » ou « rien ».

Une telle hypothèse n’est pas fantasmée : c’est exactement ce qui se passe actuellement pour accorder aux homosexuels le droit d’adopter l’enfant du partenaire en évitant un vote populaire sur cette question précise. Et, surtout, en évitant la contrainte d’une double majorité (peuple et Canton). Que l’on soit pour ou contre ces nouveautés, admettons que le procédé est des plus discutables.

L’initiative favorisera également les couples homosexuels

Les opposants à l’initiative du PDC se gardent bien de préciser que, depuis 2007, les couples partenariés sont traités, tant pour les impôts que les assurances sociales, de la même manière que les couples mariés. Le principe de non-discrimination s’appliquera également à eux. Les couples ayant fait le choix du partenariat bénéficieront des mêmes avancées fiscales que les couples mariés et cesseront donc d’être discriminés par rapport aux concubins.

Le 28 février…

Allons donc voter sans réserve pour cette initiative demandant la justice pour tous les couples légalement unis. Refusons le mensonge selon lequel il s’agit d’une réforme rétrograde. Refusons les simplifications, selon lesquelles cette initiative limite la définition de l’amour à une considération de genre. Acceptons enfin d’inscrire le principe de non-discrimination pour les couples mariés dans la Constitution. Reconnaissons les droits des 80’000 couples actuellement volés.

Sans se laisser enfumer par une campagne d’opposition mal biaisée, votons OUI à l’initiative pour l’équité.

 

Yohan Ziehli, le blog

Stop au mariage des enfants

Ca suffit! Voici une campagne particulièrement fallacieuse! « Chaque minute, dans le monde, 27 mineures sont mariées de force ». Soit, mais cela advient en pays musulmans. Chez nous, il est impossible de marier une petite fille car légalement interdit. Donc cela ne nous concerne que très indirectement. Et faire un spot avec une petite blonde et  un quarantenaire bedonnant (Belge?), de « race » européenne, est particulièrement malvenu, mensonger et procède de la propagande! Point de novlangue: il s’agit d’un problème musulman. Pourquoi nous imputer une perversion qui n’appartient ni à nos us ni à nos moeurs? L’an dernier, c’est Julie Gayet qui nous avait « offert »  un film similaire, ciblant ouvertement les chrétiens… cette année, c’est Marie Gillain… A faire savoir!


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Merci à Délits d'im@ge

Une chômeuse italienne en est à son 3ème mariage blanc avec un migrant

Une jeune romaine a reçu de l'argent pour aller se marier au Caire avec un inconnu.

A 33 ans, cette jeune femme est prête à se marier pour la troisième fois, prête à partir au Caire, mais seulement si on lui verse son avance de 1000 euros.

S., qui habite un immeuble d'un quartier populaire de Rome dans un appartement de 30 m2, en a parlé au journal ANSA.

Elle explique qu'elle va épouser un étranger du Moyen-Orient. Elle n'a pas encore vu son visage et fera sa connaissance en Egypte en vue du mariage. On lui a promis 9'000 euros pour se rendre là-bas et devenir rapidement sa femme. Tout est déjà organisé : elle doit épouser un extra-européen qu'elle ne connait pas, pour qu'il puisse ensuite avoir facilement un permis de séjour. Entre temps, elle restera quelques semaines au Caire jusqu'à ce que tous les papiers nécessaires au mariage aient été obtenus.

Pour l'instant, il vaut mieux qu'elle ne voit et ne contacte personne. "Je ne m'occupe de rien. Cela m'est déjà arrivé dans le passé. Ces sous me sont bien utiles, ils m'en ont promis beaucoup et je serais même contente s'ils m'en proposaient bien moins" explique-t-elle en prenant sa fille de deux ans dans les bras. "Je ne travaille pas et je ne me vois pas comme une délinquante, ça c'est sûr. Ce n'est pas un crime et si je suis payée, je ne vois pas où est le mal. La première fois, j'ai même épousé un transsexuel brésilien, ici à Rome, comme cela maintenant, il peut vivre dans la capitale. Nous avions attendu un moment avant de divorcer". Pour son deuxième mariage avec un africain, elle n'a pas touché d'argent : "Je l'ai fait pour ma fille et même si je n'aimais plus le père de mon enfant, je lui ai donné la possibilité de rester à Rome puisque je savais déjà comment tout ça fonctionnait."

Maintenant, elle attend son billet pour ses nouvelles noces au Caire; elle recevra 1000 euros comme avance et l'assurance de son 'broker', un Italien, qui a lui-même épousé en Iran une Erythréenne de la même manière, de toucher le solde une fois mariée. Cet homme savait que "S. était la personne adéquate pour ce genre de choses".

"Quand je reviendrai, ajoute-t-elle,  j'achèterai des choses pour ma fille. Le mariage est une chose, l'amour en est une autre. Ni le mariage ni l'amour ne compte ni pour moi ni pour les immigrés. La seule chose qui m'intéresse, est d'aller de l'avant".

Source en italien (trad. D. Borer)

Merci à Caroline pour le signalement de l'article

Les jeunes socialistes veulent supprimer le mariage au nom de l’égalité

Ouvrir le mariage à tous, mais le supprimer ensuite, car c’est une « construction éculée » : telle sera dans quelques jours la proposition des Jeunes socialistes.

C’est le triomphe dans les urnes du mariage homosexuel en Irlande qui galvanise la Jeunesse socialiste suisse. Le 20 janvier prochain, lors de l’assemblée des délégués, on y proposera d’aller plus loin que l’ouverture de l’institution du mariage aux couples du même sexe : il s’agira de discuter de l’abolition, à terme, de cette institution jugée « éculée », et de la remplacer par un contrat accessible à tous.

Source

L’ÉPOUX MUSULMAN D’UNE ANGLAISE, LA TUE ET VEND LES ENFANTS COMME ESCLAVES

L’ÉPOUX MUSULMAN D’UNE ANGLAISE, LA TUE ET VEND LES ENFANTS COMME ESCLAVES

Par Daniel Greenfield

Adaptation française

Thérèse Zrihen-Dvir

Ce n'est probablement pas la pire des histoires de mariage musulman.

Que peut-on anticiper lorsque le prophète Mahomet avait « épousé » des femmes qu’il avait asservies et violées et qu’il avait pris pour femme, une enfant.

Cette horrible histoire n’est qu’un autre rappel des dangers de se marier avec un adepte d’une religion qui considère les femmes avec une haine si absolue.

Gaby a grandi avec son père yéménite, Ali Abdullah Saleh Yafai, sa mère, Marie, qui était de Birmingham et ses trois sœurs Ablah, Ismahan (Isyy) et Yasmin (Yas).

Suite

France: A 13 ans, elle se marie avec un djihadiste

Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances dans lesquelles une adolescente drômoise s'est mariée religieusement avec un djihadiste interpellé dans la banlieue lyonnaise.

dhimmitude

L'opération menée par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) aurait permis d'arrêter plusieurs individus suspectés de recruter des djihadistes. Avec un profil particulier. Les "candidats" en partance pour la Syrie seraient en fait de jeunes filles. Au cours des interpellations, les policiers seraient tombés nez à nez avec une adolescente de 13 ans dans l'appartement de l'un des suspects à Vaulx-en-Velin, selon le magazine Lyon Capitale.

Source

 

 

 

Pakistan: Menacée de mort pour avoir marié un chrétien

Kalsoum a rencontré Yousuf. Ils se sont aimés, se sont mariés. Seul hic, elle est musulmane et lui chrétien, ce qui leur a valu menaces de mort, exil et répudiation.

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Si la loi permet les unions interconfessionnelles, elle n’autorise pas à une femme musulmane d’épouser un non musulman, et ceux qui abjurent l’islam pour une autre religion peuvent être condamnés à mort pour apostasie.

«La vie après le mariage était terrible. Nous avons dû nous cacher car la famille et la communauté menaçaient de nous tuer», se rappelle Kalsoum, petite femme aux grands yeux marrons qui approche la trentaine.

Source