La Ligue des droits de l’Homme s’inquiète de la dissolution du CCIF

La Ligue française des droits de l’homme (LDH ) a dénoncé, jeudi, « une atteinte à l’Etat de droit » après la dissolution du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), dans un communiqué publié en ligne.

L’ONG estime que la décision du gouvernement « n’a de surprenant que le délai (...), tant elle était prévisible ».

« Si la longueur du décret de dissolution peut faire illusion, sa lecture atteste que les griefs des pouvoirs publics sont avant tout d’ordre politique quand ils ne se bornent pas à faire état de déclarations de tiers », poursuit le communiqué.

La LDH met en garde sur la méthode employée par le gouvernement et qui tend à mettre en place un « délit d’opinion » notamment lorsqu’il reproche au CCIF d’avoir « qualifié d’islamophobes des mesures prises dans le but de prévenir des actions terroristes et de prévenir ou de combattre des actes punis par la loi ».

L’association affirme, par ailleurs, qu’en décrétant que « les opinions du CCIF constituent des agissements en vue de provoquer des actes de terrorisme et qu’il défend et promeut une notion d’islamophobie particulièrement large, le gouvernement nous montre que plus personne n’est à l’abri de telles ou telles poursuites ».

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Trt.net.tr / Valeurs Actuelles / LdH

Maître Henri Leclerc sur le racisme anti-blanc : « Qu’ils en veulent à ceux qui les ont fait souffrir, c’est la moindre des choses »

Pour Maître Henri Leclerc, qui a été président de la Ligue des Droits de l’Homme (LDH) de 1995 à 2000, le racisme anti-blanc n’existe pas.

 

 

Craignez vous le racisme anti-blanc ?

« Non, le racisme anti-blanc ça veut rien dire. Le racisme en général ça s’adresse à des personnes en état d’infériorité dans une société et les blancs ne le sont pas dans notre société »
« Ca veut dire que ceux qui ont souffert, ceux qui souffrent, peuvent, bêtement, étendre la souffrance qu’ils ont à tous les blancs. Bon qu’ils en veulent à ceux qui les ont fait souffrir, c’est la moindre des choses. »

Merci à Bourbon Via Fdesouche


Rappels :

Des Blancs américains lavent les pieds de Noirs afin de s’excuser pour le racisme (Vidéo)

Etats-Unis : accusé de quadruple meurtre, Kori Ali Muhammad avoue avoir voulu tuer un maximum de Blancs car il en avait assez du racisme

Le rap et le racisme anti-Blancs. Y a-t-il  aujourd’hui un racisme anti-Blancs toléré, admis?

Ecosse : Une conférence contre le racisme organisée par l’Université d’Édimbourg interdit aux Blancs de poser des questions

Racisme anti-blanc : 24 heures sur Twitter où la haine contre les “babtous” s’exprime en toute impunité

USA : Sous couvert d’antiracisme, l’Université d’Evergreen a instauré un régime de la terreur discriminant les Blancs.

Le rappeur Nick Conrad au tribunal pour sa chanson « Pendez les Blancs »

 

France: la justice ordonne le retrait d’une crèche de Noël fabriquée par des handicapés à la demande de la LDH

La justice a ordonné aujourd’hui le retrait de la crèche installée dans le hall d’accueil de la mairie de Paray-le-Monial (Saône-et-Loire), a-t-on appris aujourd’hui auprès de l’avocate du demandeur.

« C’est une crèche qui a été fabriquée par des personnes handicapées de Béthléem, musulmanes est chrétiennes, en feutrine, et qui est destinée à faire connaître l’association qui accueille ces personnes handicapées. » (Jean-Marc Nesme, le maire)

« L’exécution de la décision du maire de Paray-le-Monial exposant une crèche de Noël à l’intérieur de l’hôtel de ville est suspendue », indique dans son jugement le tribunal administratif de Dijon, saisi en référé-suspension. « La justice administrative a estimé que cette crèche était contraire au principe de neutralité qui doit être observé dans les services publics« , a expliqué à l’AFP le conseil de la Ligue des droits de l’Homme (LDH), Me Sophie Mazas, à l’initiative du recours judiciaire.


Paray-le-Monial : la justice ordonne le retrait de la crèche installée à la mairie

Le tribunal a également condamné la commune à payer 1000 euros à la LDH. « On n’est pas opposé à l’installation de crèches mais pas dans un endroit où vous allez voter. La mairie n’est pas un lieu de culte« , a ajouté Me Mazas. Installée depuis le début du mois, la crèche bourguignonne a été confectionnée par des personnes handicapées à Bethléem (Territoires palestiniens), ville jumelée avec Paray-le-Monial et berceau du christianisme.

« Cette crèche a une valeur culturelle« , a souligné pour sa part le maire LR de Paray-le-Monial, Jean-Marc Nesme. « C’est inimaginable. Je ne fais que respecter une convention d’échanges culturels entre Paray-le-Monial et Bethléem, signée le 9 septembre 2003 sous couvert du Consulat général de France à Jérusalem et de Yasser Arafat« , a fait valoir l’édile assurant qu’il paiera « de (s)a poche » les 1000 euros demandés par la justice.

Outre la crèche de Paray-le-Monial, la LDH avait également saisi ces dernières semaines les instances administratives contre celles des mairies de Béziers (Hérault), de Beaucaire (Gard) et de la Région Auvergne-Rhône-Alpes à Lyon. Ses requêtes ont toutes été rejetées, selon Me Mazas. L’an dernier, l’installation dans des mairies de crèches, représentant la naissance de Jésus, avait déjà suscité des polémiques. La justice, saisie dans plusieurs villes, avait rendu des décisions diamétralement opposées. [...]

Le Figaro

Quimper/Brest : Après les attentats islamistes de Bruxelles, la gauche dénonce le racisme des populations ciblées

BREIZATAO – POLITIKEREZH (24/03/2016) Après les attentats de Bruxelles commis par des commandos musulmans, la gauche radicalisée de Brest et de Quimper (Finistère) a tenu à dénoncer le racisme des populations ciblées.

La Ligue des Droits de l’Homme, une organisation d’extrême-gauche alliée à la confrérie islamiste des Frères Musulmans (voir ici), a tenu un rassemblement devant la mairie de Quimper où elle a dénoncé le racisme des sociétés européennes ciblées par les groupes armés musulmans.

Le journal socialiste Le Télégramme rapporte (source) :

« Nous devons rester solidaires, combattre les amalgames, agir dans le cadre de l’État de droit », a déclaré Stéphane Blondin, président de la section locale de la LDH.
Cette entreprise de récupération politique par la gauche radicalisée – régulière depuis le renforcement des opérations militaires musulmans en Europe – fonctionne de moins en moins :
Devant cette faible mobilisation, « le pire serait qu’on s’habitue, on ne peut pas accepter que cela soit la normalité », a estimé l’écologiste Daniel Le Bigot. Alors que l’appel avait été lancé sur les réseaux sociaux dans les mêmes conditions, c’est-à-dire précipitamment, 1.500 personnes s’étaient rassemblées à Quimper le soir même des attentats contre Charlie Hebdo. Un millier de personnes s’étaient aussi regroupées, le 14 novembre, après les attentats de Paris.
A Brest, la veille, la même organisation radicale tentait la même opération de subversion pro-musulmane.
Le Télégramme relate le discours tenu (source), ciblant explicitement les sociétés et les populations européennes comme responsables des actions djihadistes :

« Rester solidaires, combattre amalgames et discriminations, réaffirmer notre attachement aux libertés et à l’égalité des droits sont autant de défis que nous avons à relever à Bruxelles, à Paris et partout dans le monde».

 

Parmi les meneurs, le militant radical Daniel Le Bigot. Ce dernier est connu pour son soutien à l’effort de guerre du groupe islamiste Hamas, proche des Frères Musulmans et adepte des attentats-suicides (source).

La Ligue des Droits de l’Homme espère qu’on enquêtera sur… les policiers qui ont mené le raid contre les terroristes présumés de Verviers

La Ligue des Droits de l'Homme (LDH) souhaite la désignation d'un juge d'instruction afin que l'information judiciaire ouverte au parquet de Liège à la suite de l'assaut mortel mené le 15 janvier contre l'appartement de la rue de la Colline à Verviers soit menée "en toute indépendance", rapporte le journal Le Soir samedi.

Cette opération "s'est conclue par la mort de deux personnes présentées comme prévoyant de perpétrer des attentats de nature terroriste, le cas échéant, contre des forces de l'ordre", rappelle la Ligue, qui s'interroge sur l'utilité de l'usage mortel des armes par la police.

La LDH estime que "si l'opération a bénéficié d'une approbation générale en raison de la menace terroriste, cette approbation ne dispense cependant pas de vérifier si le modus operandi de l'intervention policière est conforme aux exigences légales".

Le parquet fédéral comme la police fédérale assurent que les normes d'engagement ont été respectées.

Source

Belgique : La Ligue des Droits de l’Homme réclame une enquête indépendante sur l’opération antiterroriste à Verviers”

L'opération antiterroriste du 15 janvier dernier à Verviers, qui s'est soldée par la mort de deux personnes, a-t-elle été menée dans les règles? La Ligue des Droits de l'Homme réclame une enquête indépendante.

"Si l’opération a bénéficié d’une approbation générale en raison de la menace terroriste, cette approbation ne dispense cependant pas de vérifier si le modus operandi de l’intervention policière est conforme aux exigences légales ainsi qu’à la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l’Homme", explique le conseiller juridique de la Ligue des Droits de l'Homme, Manuel Lambert, dans un communiqué.

En effet, aux yeux de l'association belge, il s'agit d'une question de fond: des prescrits légaux internationaux rendent indispensable un regard critique sur les évènements qui ont conduit à l'arrestation de plusieurs membres présumés d'une filière djihadiste.

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