Nous en parlions déjà ici et ici.

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Après la justice sportive, qui est passée mercredi, voici la justice pénale. La très violente bagarre générale qui avait éclaté au terme de la finale du championnat genevois de 4e ligue, opposant les deuxièmes équipes de Kosova et de Versoix le 10 juin, a donné lieu à des interpellations.

Ce vendredi, la police a entendu en qualité de prévenus quatre joueurs du FC Kosova. A l'issue de cette audition, ils ont été arrêtés et mis à disposition du Ministère public.

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Article symbolique de bien-pensance où l'on constate que les Kosovars usent de propos racistes sans aucun problème (que fait la commission contre le racisme qui épingle systématiquement les Suisses?), abusent facilement de la violence et où l'on voit encore un énergumène prétendre qu'il ne faut pas "stigmatiser cette communauté", inversion incroyable au regard du nombre de délits et des excès dont cette ethnie est responsable dans notre pays.

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Son club menait 2-0. Kosova venait de réduire le score. L'un des joueurs de Kosova a voulu vite reprendre le ballon. Un joueur de Versoix a cherché à perdre du temps. Les deux hommes ont été avertis. Puis, dès l'engagement, une insulte raciste a fusé - un joueur de Versoix a été traité de sale nègre. Il a répondu par un coup de boule. «L'arbitre allait stopper le match et expulser les deux joueurs, explique Simon Pidancet. C'est alors qu'il y eu une explosion de haine. Une marée blanche (ndlr: les couleurs de Kosova) est sortie du banc et s'est ruée sur le terrain.»

Un grand nombre d'assaillants se sont rués sur le joueur d'origine africaine, le maintenant à terre et le frappant, notamment, avec une canne anglaise. «Ce qui me fait peur, c'est que le médecin a dit qu'à quelques secondes près, il aurait pu mourir sur place. Et c'était son anniversaire. Il va être papa dans deux mois.»

Le fameux aigle bicéphale des Kosovars, une communauté qui s'est "très bien intégrée dans notre pays" selon la gauche.

Simon Pidancet craint que certains utilisent ces événements pour stigmatiser la communauté kosovare. 

Le président de l'association a «rarement vu un tel degré de violence»

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