Biden sur la sortie de la crise sanitaire : “Notre priorité (pour accorder des aides financières) ira vers les entreprises détenues par des Noirs, Latinos, Asiatiques, Indiens ou par des femmes”

"Our priority will be Black, Latino, Asian, and Native American owned small businesses, women-owned businesses, and finally having equal access to resources needed to reopen and rebuild." — President-elect Biden

 

 

 

 

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Etats-Unis : Des femmes et minorités pour piloter l’économie américaine

Comme prévu, le président élu va placer à la tête du Trésor américain l’ancienne présidente de la Fed, Janet Yellen.

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M. Biden a également annoncé lundi la nomination de Wally Adeyemo au poste de secrétaire adjoint du Trésor. D’origine nigériane et présenté comme «expert en politique macroéconomique» [...]

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Le président élu a en outre choisi Neera Tanden comme directrice du Bureau de la gestion et du budget. C’est aussi une première pour une femme d’origine indienne à ce poste.

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24Heures

Etats-Unis : 69% des musulmans ont voté Biden contre 17% pour Trump

Contrairement aux précédents scrutins, ils sont plus d’un million de musulmans ayant pris part aux élections présidentielles du 3 novembre aux Etats-Unis. Une forte participation qui a bénéficié à Joe Biden. Aux Etats-Unis, le vote confessionnel détermine l’identité du locataire de la Maison blanche. Les musulmans ayant la nationalité américaine ont parfaitement assimilé cette donne locale et ont largement voté en faveur de Joe Biden.

Aux Etats-Unis, le vote confessionnel détermine l’identité du locataire de la Maison blanche. Les musulmans ayant la nationalité américaine ont parfaitement assimilé cette donne locale et ont largement voté en faveur de Joe Biden. […]

Lors de la campagne électorale, Joe Biden a promis de réviser «cette infâme interdiction faite aux musulmans», comme il l’avait qualifié en juillet dernier. Tiendra-t-il sa promesse une fois installé aux commandes des Etats-Unis ? En attendant cette abrogation du «Muslim ban», force est de constater que la main tendue de Biden aux membres de cette communauté s’est avérée payante pour lui. […]

yabiladi

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Portland : “Ma pancarte Biden est là. Ne détruisez rien, soyez pacifiques” – “Demander aux gens d’être pacifiques c’est du suprémacisme blanc !”

[La scène se déroule avant que les médias ne déclarent Joe Biden gagnant de l’élection]

 

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Autres scènes "pacifiques" de la part des gentils militants de gauche :

 

 

 

Note : Pendant ce temps, nos médias "impartiaux" incitent la population romande à se moquer de Donald Trump et de ses partisans à la moindre occasion tout en cachant les exactions violentes des Républicains.

 

 

 

 

Il est visiblement important d'être du même côté que la famille Soros :

 

Etats-Unis. Un démocrate déclare sans complexe : «Si Trump avait gagné, la ville brûlerait ce soir»

Sitôt la victoire en Pennsylvanie de Joe Biden annoncée samedi en fin de matinée, et donc son élection à la présidence, une foule en liesse s’est réunie face à l’Hôtel de Ville et au Convention Center de Philadelphie, où les bulletins étaient dépouillés.

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John me demande ce que j’ai pensé de cette élection. Ses yeux semblent fatigués par la journée festive et arrosée, comme pour des milliers de personnes en ce jour où Joe Biden a été annoncé élu à la présidence des États-Unis. «Il y a beaucoup d’espoir dans cette élection, mais il y aura aussi sûrement des déceptions par la suite», admettent-ils, lucides. John déclare alors: «Ce qui est sûr, c’est que si Trump avait gagné aujourd’hui, Philadelphie serait en feu ce soir.»

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20Min.ch


Note : Les démocrates ne dissimulent pas à quel point ils sont opposés à une décision démocratique qui ne va pas dans leur sens et que l'utilisation de la violence ne leur pose aucun problème. Mais ce sont eux les "gentils". Pendant ce temps, les militants de Trump restent pacifiques malgré les provocations des démocrates comme expliqué plus bas dans le même article :
"En fin d’après-midi, une douzaine de supporters de Trump, munis de drapeaux et de panneaux, se sont invités au tableau (...). Eux contestent les résultats et les invectives verbales de la part des pro-Démocrates ont fusé, mais sans déraper en violence, et en présence de policiers.

Propos recueillis par Le Monde sur l’élection de Joe Biden : “Le gentil a gagné.”

« Ça a été quatre ans de souffrances, c’est un homme odieux, vraiment odieux, Je suis si heureuse qu’il s’en aille, même si maintenant on va devoir se soucier de tous les gens qui ont voté pour lui, car eux sont toujours là », dit Jacqueline Brown, 58 ans, professeure d’université venue à vélo rejoindre la foule à Columbus Circle.

« Je suis submergé par la joie, dit aussi Bernie Jacobs, 84 ans, qui prenait ses bagels et son café à côté de la Trump Tower. Tous les matins, on vient ici et on critique Trump, ça durait depuis quatre ans, c’était trop. On le détestait dès le premier jour où il est arrivé au pouvoir (…). Il a été un président de rien du tout, avec un ego surdimensionné et zéro talent. »

Emmi Braselton, 37 ans, graphiste indépendante d’Atlanta, se promène avec sa fille Sylvie, âgée de 2 ans, qui lui a demandé : « C’est quoi, tout ça, maman ? » « Je lui ai dit : “Le gentil a gagné.” Et aussi : “Il y a désormais une femme à la vice-présidence”. Elle m’a répondu : “Je veux être présidente” », raconte-t-elle.

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Le Monde

États-Unis : Lorsque les confessions d’un «fraudeur électoral» démocrate alimentaient les soupçons

Dans un article du New York Post, un militant détaille ses techniques pour trafiquer le vote par correspondance. Des révélations mises en doute par des partisans démocrates.

La démocratie américaine menacée ? Oui, mais par les démocrates ! Voilà une démonstration qui pourrait surprendre bien des spectateurs, habitués aux analyses sur les risques de confiscation du pouvoir par Donald Trump. Alors que la tension monte aux États-Unis autour de l'élection présidentielle, et des risques pesant sur le vote dans le contexte de lutte publique contre le coronavirus, le New York Post a en effet publié la «confession» d'un fraudeur engagé à gauche, qui affirme avoir truqué de nombreuses élections fédérales. Essentiellement dans le New Jersey, où il réside, mais en décrivant un système de manipulation existant dans de nombreux autres États. Le mobile du passage aux aveux ? Le militant serait un soutien acharné de Bernie Sanders et ne se voit pas soutenir la candidature de Joe Biden.

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Ouverture d'enveloppes à la vapeur, destruction de votes dans les quartiers républicains...

Et c'est dans ce type de votes que le témoin du New York Post affirme que la fraude «est plus une règle qu'une exception». À l'appui de sa démonstration, un véritable mode d'emploi de la fraude, avec plusieurs procédés possibles. La première technique consiste à utiliser l'enveloppe d'un votant, pour y mettre un bulletin obligatoirement démocrate. Il faut au préalable faire le tour des domiciles et convaincre les citoyens de laisser les fraudeurs poster leur courrier de vote à leur place. Une mission «beaucoup plus facile qu'on ne le pense», d'après le fraudeur cité par le journaliste Jonathan Levine, en se faisant passer pour une association de service public. Ensuite, l'enveloppe est ouverte à la vapeur, puis on y glisse un nouveau bulletin en falsifiant la signature. Pour éviter toute suspicion, les enveloppes rouvertes sont ensuite disséminées dans toutes les boîtes postales de la ville.

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Le Figaro

Election américaine : 87 % des Noirs et 56% des femmes auraient voté pour Joe Biden

Un plébiscite. Dans la course à la présidentielle américaine, jusqu'à 91 % des femmes noires auraient préféré le candidat démocrate Joe Biden, face au président sortant, le républicain Donald Trump, à en croire les premiers sondages sortis des urnes.

L'information, relayée notamment par le journaliste de CNN Ryan Struyk est abondamment relayée par la presse outre-Atlantique et sur les réseaux sociaux, ce jeudi 5 novembre.

 

[...]

D'une manière générale, d'après différentes études compilées par le New York Times et l'institut Edison Research, lélectorat féminin aurait, dans son ensemble, voté à 56 % pour Joe Biden, alors qu'en 2016, seules 54 % des femmes avaient préféré Hillary Clinton.

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Les minorités se sont, elles aussi, majoritairement tournées vers Joe Biden puisque le candidat démocrate semble soutenu cette année par 87 % des électeurs noirs, 66 % des électeurs hispaniques et 63 % des électeurs asiatiques.

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Cnews.fr

Lorsqu’Alexander Soros, fils de George Soros, félicite la démocrate Kamala Harris pour son poste de future Vice-Présidente

Pour ceux qui n'auraient pas compris les implications d'une victoire des Démocrates et le télescopage de ce parti avec George Soros. Alexander Soros ne cache pas ses intérêts.

 

 

 

Nos remerciements à Victoria Valentini

États-Unis : Glenn Greenwald, le co-fondateur emblématique du journal de gauche The Intercept démissionne après la censure d’un article sur Joe Biden

Connu pour avoir recueilli les révélations d’Edward Snowden sur l’agence américaine de renseignement NSA en 2013, Glenn Greewald est l’un des trois cofondateurs de The Intercept, un site de journalisme d’investigation.

Le journaliste de 53 ans affirme avoir décidé de quitter le site après que les responsables de la rédaction lui ont demandé de « retirer tous les passages critiques » de Joe Biden dans un article sur l’ancien vice-président, selon une tribune publiée jeudi sur son site.

[…]

Pour celui qui habite aujourd’hui au Brésil, cet épisode illustre le « virus qui a contaminé quasiment tous les médias grand public de centre gauche et institutions académiques ».

« Les mêmes tendances à la répression, à la censure et à l’homogénéité idéologique qui empoisonnent la presse nationale en général ont atteint le média que j’ai cofondé avec, comme point d’orgue, la censure d’un de mes articles », écrit Glenn Greenwald.

Les courriers électroniques impliquant Hunter Biden et publiés par le New York Post ont valu au quotidien et à plusieurs de ceux qui ont relayé l’article de voir leur compte bloqué sur Twitter. Le réseau social a expliqué que l’article enfreignait plusieurs de ses règles.

Facebook a aussi bloqué tout lien vers l’article posté sur sa plateforme. […]

Le Journal de Montréal

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Rappels :

USA: les Républicains partent en guerre contre la censure du New York Post par Facebook et Twitter

États-Unis : Facebook et Twitter censurent des révélations du New York Post sur Hunter et Joe Biden

États-Unis : une candidate républicaine au Sénat bloquée par twitter pour avoir critiqué l’immigration de masse et dénoncé ses conséquences en Europe

Twitter s’attaque à Génération identitaire

Racisme : souhaitant un langage de programmation plus inclusif, Twitter supprime des termes problématiques comme « BlackList », « Slave », « Master »…

Mort de George Floyd : Twitter et Netflix soutiennent les Noirs « Black lives matter »

 

États-Unis : nouvelle fraude électorale révélée en caméra cachée, cette fois pour faire élire Joe Biden et certains juges

Project Veritas a publié son dernier reportage sur la manipulation des électeurs au Texas, qui fait suite à la vidéo diffusée hier.

S’adressant à Raquel Rodriguez, qui est consultante pour le candidat républicain Mauro Garza, la journaliste infiltrée de Project Veritas a demandé : “alors ces républicains aussi veulent aider Biden ?

Raquel Rodriguez détaille combien d’argent elle reçoit par vote, et qui la paie pour ses services. Elle poursuit en déclarant qu’elle gagnera 71 000 dollars en liquide pour ses efforts. Ceux qui ne peuvent pas payer, comme un juge local, lui devront plutôt des faveurs.

 

 

 

 

“Oui, c’est ce que je fais”, a déclaré Mme Rodriguez, “c’est exactement ce pour quoi je suis payée. Mes gens sont sous couverture, parce que certains d’entre eux sont républicains, d’autres démocrates. Certains de mes républicains sont des présidents de circonscription, cela ne peut pas être connu, parce qu’ils pourraient se faire virer, mais ils veulent aider Biden”. […]

Hier Project Veritas avait montré Rodriguez, et son effort pour aider une personne âgée à changer leur vote du candidat républicain au candidat démocrate via ses instructions. […]

The Post Millenial

États-Unis : Facebook et Twitter censurent des révélations du New York Post sur Hunter et Joe Biden

Twitter et Facebook ont tous deux pris des mesures de censure extraordinaires contre The New York Post mercredi, suite à ses révélations sur des e-mails de Hunter Biden – et ont lancé des accusations infondées selon lesquelles l’article utilisait du “matériel piraté”.

Cette mesure a été prise bien que la campagne du candidat à la présidence Joe Biden eut nié avoir quoi que ce soit dans son “agenda officiel” concernant la rencontre avec un responsable ukrainien de l’énergie en 2015 – et sans la moindre déclaration que l’ordinateur de son fils avait été piraté.

Le compte Twitter principal du New York Post a été verrouillé à partir de 14h20 mercredi parce que ses articles sur les messages obtenus à partir de l’ordinateur portable de Joe Biden enfreignaient les règles du réseau social contre la “distribution de matériel piraté”, selon un courriel que le Post a reçu de Twitter.

Twitter a également empêché les utilisateurs de partager le lien vers l’article du New York Post indiquant que Hunter Biden avait présenté Joe Biden à l’homme d’affaires ukrainien, qualifiant le lien de “potentiellement nuisible”.

“Conformément à notre politique en matière de matériel piraté, ainsi qu’à notre méthode de blocage des URL, nous prenons des mesures pour bloquer tout lien ou image du matériel en question sur Twitter”, a déclaré un porte-parole de Twitter du New York Post dans une déclaration.

L’entreprise a déclaré qu’elle avait pris cette mesure en raison de l’absence d’article faisant autorité sur l’origine du matériel inclus dans l’article du Post.

Les utilisateurs qui cliquaient sur le lien sur Twitter recevaient une alerte les avertissant que la page web pouvait être “dangereuse” et qu’elle pouvait contenir du contenu qui enfreindrait les règles de Twitter s’il était partagé directement sur la plateforme.

Cette mesure extraordinaire a été prise après que Facebook déclara qu’elle limitera la diffusion de l’histoire du New York Post sur sa propre plateforme. Le réseau social a ajouté que l’histoire pourra être examinée par des vérificateurs de faits indépendants.

Le sénateur américain Josh Hawley (R-Mo.) a envoyé une lettre au PDG de Facebook, Mark Zuckerberg, mercredi, demandant des réponses sur les raisons pour lesquelles la plateforme a “censuré” les reportages du Post.

“La nature apparemment sélective de cette intervention publique suggère une partialité de la part de Facebook”, a écrit M. Hawley. “Et vos efforts pour supprimer la distribution de contenu révélant une activité potentiellement contraire à l’éthique par un candidat à la présidence soulève un certain nombre de questions supplémentaires, auxquelles j’attends des réponses immédiates”.

Hawley a ensuite envoyé une lettre similaire au PDG de Twitter, Jack Dorsey, fustigeant la société pour ce qu’il a qualifié d'”intervention inhabituelle qui n’est pas universellement appliquée à tous les contenus“.

Le sénateur a demandé à savoir comment Twitter avait déterminé que l’histoire du Post violait sa politique sur les contenus piratés et pourquoi la société avait pris “l’action sans précédent” de verrouiller le compte de l’organisation de presse.

“Je vous demande de répondre immédiatement à ces questions et de fournir les justifications nécessaires afin que vos utilisateurs puissent avoir la certitude que vous ne cherchez pas à influencer le résultat de l’élection présidentielle avec vos décisions de retrait de contenu”, a écrit M. Hawley.

New York Post

 

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Rappels :

Urgent! LesObservateurs.ch, censurés par Facebook pour une semaine, poursuivis en justice, dénoncés par la gauche, les islamo-gauchistes, etc., ont absolument et impérativement  besoin d’un soutien financier plus important.

États-Unis : une candidate républicaine au Sénat bloquée par twitter pour avoir critiqué l’immigration de masse et dénoncé ses conséquences en Europe

Messiha viré de Facebook : la guerre des mondialistes par la censure

Racisme : Facebook interdit les photos et vidéos du Père Fouettard

Un modérateur de Facebook évoque la censure et la modération sur le réseau social

Facebook interdit tout contenu lié à Génération identitaire

Racisme : souhaitant un langage de programmation plus inclusif, Twitter supprime des termes problématiques comme « BlackList », « Slave », « Master »…

États-Unis : la chaîne NBC News avait fait interroger Joe Biden par des “électeurs indécis” qui étaient en réalité pro-Biden

NBC News a, lors d’une session de questions réponses en début de semaine, présenté des électeurs “indécis”, qui avaient déjà déclaré leur soutien au candidat démocrate Joe Biden sur la chaîne sœur du réseau, MSNBC.

L’avocat Peter Gonzalez et le responsable marketing Ismael Llano avaient posé des questions à Joe Biden lundi, lorsqu’il était apparu au devant de ce que la chaîne avait qualifié de “public d’électeurs indécis de Floride”.

Cependant, Gonzalez et Llano avaient été présentés dans un segment de MSNBC en août pour expliquer pourquoi ils soutenaient Biden. Si nous avons quatre années supplémentaires de Trump, bonne chance, et bonne chance pour que l’avenir attire des électeurs plus jeunes“, avait déclaré M. Gonzalez alors qu’un bandeau de MSNBC indiquait qu’il “va voter pour Biden”. Llano avait également été identifié comme “votant pour Biden” et avait fait l’éloge de l’ancien vice-président.

 

 

Or lundi, Lester Holt de NBC déclara que Llano “a voté pour Hillary Clinton il y a quatre ans, mais avait voté républicain par le passé”. Gonzalez, dont l’historique de vote n’a pas été mentionné, avait demandé à Biden d’apaiser les inquiétudes de sa famille qui craint que le démocrate ne soit redevable à “la gauche radicale”.

Les électeurs cubano-américains et vénézuéliens du sud de la Floride sont visés par les messages de la campagne Trump qui prétendent qu’un vote pour Joe Biden est un vote pour la gauche radicale et le socialisme, et même le communisme“, a déclaré M. Gonzalez. Que pouvez-vous dire aux membres de ma famille, à mes amis – qui sont naturellement concernés par cette question – pour qu’ils se sentent à l’aise de voter pour Joe Biden et Kamala Harris ?

Ce n’est pas la première fois que des réseaux de télévision présentent des opposants à Trump se faisant passer pour des électeurs indécis, difficiles à trouver et souvent moins bavards sur leurs opinions politiques. Le mois dernier, ABC News avait décrit plusieurs critiques de Trump comme des électeurs indécis, dont un qui avait précédemment décrit Trump comme un “crétin”, un “pathétique”, un “cochon”, un “porc” et un “vaurien d’âne” sur les médias sociaux.

Un autre électeur “indécis” présenté à l’émission de NBC, Mateo Gomez, avait déclaré à MSNBC le 30 septembre pencher plutôt pour voter Biden que Trump après avoir regardé le premier débat.

NBC News n’a pas répondu à notre demande de commentaires.

D’autres personnes présentées à l’émission avaient affiché une nette préférence pour Biden sur les réseaux sociaux. Michelle Cruz Marrero, décrite comme une ancienne républicaine, n’a pas semblé être indécise : Plusieurs de ses “photos de couverture” sur Facebook sont soit pro-Biden, soit anti-Trump.

 

 

Une autre électrice à l’émission, Cassidy Brown, avait demandé à Biden comment protéger “les droits reproductifs des femmes”. Biden avait ensuite tweeté l’échange et s’était engagé à codifier l’affaire Roe contre Wade. Mais l’utilisation des réseaux sociaux par Cassidy Brown suggère également qu’elle n’est pas une électrice indécise. […]

Washington Free Beacon

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Etats-Unis. Joe Biden : “Inch’allah”

Le candidat Joe Biden a prononcé "inshAllah" lors du premier débat télévisé contre le président sortant Donald Trump, candidat à sa propre succession, mardi. De quoi attirer la sympathie des électeurs musulmans.

Le débat a été houleux entre les deux candidats. Interrogé sur ses déclarations fiscales, le président américain a déclaré au modérateur du débat que les gens finiraient par "voir" ses impôts. "Quand ? InshAllah ?", a rétorqué le candidat démocrate Joe Biden.

Sur la toile, bon nombre d’arabophones s’interrogent : "est-ce qu’il vient de dire ça ?" Ce n’est pas la première fois que l’ancien vice-président d’Obama prononce ce mot. En février, il avait émis des doutes sur la viabilité de la proposition de son adversaire démocrate de l’époque, Bernie Sanders, de garantir des soins de santé universels financés par le gouvernement -un plan connu sous le nom de Medicare for All.

"Ils disent bien, cela va prendre au moins quatre ans pour le passer, inshAllah. Quatre ans. Vous n’allez pas le passer", avait déclaré M. Biden. Visiblement, le candidat démocrate essaie de capter l’électorat musulman. Surtout que les musulmans vont peser lourd sur le scrutin de novembre prochain.

Bladi.net

Joe Biden, ancien Conseiller d’Obama, accusé d’agression sexuelle

Le candidat favori des démocrates et ex-vice-président d'Obama fait face à une accusation grave d'une ancienne collaboratrice. Son camp dément.

 

 

Joe Biden est dans la tourmente. En effet, le candidat favori du camp démocrate pour affronter Donald Trump en novembre doit faire à une accusation grave d'agression sexuelle de la part d'une ancienne collaboratrice au Sénat, Tara Reade. Celle-ci a déposé une plainte à Washington, selon des informations de l'agence AP reprises par tous les journaux américains.

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20min.ch

Trump : « Biden a été un bon vice-président uniquement parce qu’il a léché le cul d’Obama »

Donald Trump a violemment attaqué jeudi 10 octobre son adversaire démocrate lors d’un meeting dans le Minnesota.

D’une extraordinaire agressivité, il a notamment rejeté l’idée que l’ancien vice-président Joe Biden pourrait être son adversaire démocrate lors de la présidentielle de novembre 2020 ? C’est « un mauvais sénateur ! », a-t-il lancé. Et d’ajouter : « Il a été un bon vice-président simplement parce qu’il a compris comment être lèche-cul avec Barack Obama ».

 

 

Face à une foule de casquettes rouges et de tee-shirts frappés du slogan « Les policiers avec Trump », le président américain, déchaîné, a laissé éclater sa frustration sur d’autres adversaires. En guerre ouverte avec les démocrates sur la procédure de destitution qui le menace, le président américain a encore attaqué Nancy Pelosi, présidente démocrate de la Chambre des représentants ? Selon lui, elle est « soit très stupide »« soit elle perd la tête »« soit elle est malhonnête ».

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Nouvelobs.com

Gouvernement Obama: Joe Biden avoue les importantes pressions américaines à faire agir les gouvernements européens contre leurs intérêts

Ici l’ancien Vice-Président américain (2009-2017) explique comment il a fait pression sur les gouvernements européens pour qu’ils sanctionnent la Russie, ce qu’ils ne voulaient pas faire en raison des conséquences néfastes sur leurs économies…

Hélas, obnubilés par des “Fake news” dérisoires, les médias n’ont guerre eu de temps à consacrer à ceci. Une importante “No news” de plus…

Nous avons passé tellement de temps — vous le savez [Richard Haass, Président du think-tank CFR], parce que je suis venu vous demander conseil — nous avons passé tellement de temps au téléphone pour nous assurer que personne, à l’époque, de Hollande à Renzi, ne laisse tomber. Ils ne voulaient aucune forme de sanction contre la Russie. Cela avait des répercussions sur eux. En gros, [je leur ai dit que ] c’était : « Vous devez le faire ! » Et, Dieu merci, Merkel était assez forte à l’époque pour nous soutenir, à contrecœur, elle n’aimait pas cela non plus. […]

Je suis allé à Kiev pour la 12 ou 13e fois et j’étais censé annoncer la garantie d’un autre prêt d’un milliard de dollars. Et j’avais obtenu l’engagement de Porochenko et de Iatseniouk qu’ils prendraient des mesures contre le procureur général. Et ils ne l’avaient pas fait. Ils ont dit qu’ils l’avaient fait.

Ils partaient à une conférence de presse, j’ai dit : « Non, je ne vais pas, nous n’allons pas vous donner le milliard de dollars. » Ils ont dit : « Vous n’avez aucune autorité, vous n’êtes pas le président. Le président a dit… » J’ai dit : « Appelez-le. » [Rires] J’ai dit : « Je vous dis que vous ne toucherez pas le milliard de dollars. » J’ai dit : « Vous n’aurez pas le milliard. Je vais partir d’ici », je crois que c’était dans à peu près six heures. J’ai dit : « Regardez, je pars dans six heures. Si le procureur n’est pas viré, vous n’aurez pas l’argent. » Eh bien, l’enfoiré [Rires], il s’est fait virer. Et ils ont mis en place quelqu’un de solide à l’époque.

Source : CFR, 23/01/2018 Traduction les-crises.fr

rappels:

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Barack Obama and Joe Biden: History Behind the Friendship