Paris : des manifestants de la Marche des fiertés LGBT s’en prennent à la statue de Jeanne d’Arc

Des manifestants de la Marche des fiertés ont cagoulé le visage de la statue de Jeanne d'Arc et ont tagué le pied du monument, symbole du Rassemblement national.

La Marche des fiertés se déroule ce samedi 30 juin dans les rues de Paris et certains de ses manifestants ont décidé de recouvrir la tête du Monument à Jeanne d’Arc. Cette statue située dans le 1er arrondissement de la capitale est souvent considérée comme un symbole du Rassemblement national (nouveau nom du Front national), puisque son président honoraire Jean-Marie Le Pen vient y déposer des fleurs chaque 1er mai.

Alors que le cortège arrivait au niveau des Tuileries dans l’après-midi de ce samedi 30 juin, une personne a décidé de monter sur le monument, comme le montrent plusieurs vidéos postées sur le compte Twitter du site Yahoo Actualités. Des photos mises en ligne peu de temps après montrent que le pied de la statue a été tagué et que les fleurs déposées par le Rassemblement national ont été piétinées.

 

 

 

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Le rédacteur en chef de Marianne veut que la prochaine Jeanne d’Arc soit musulmane

"J'aimerais qu'une musulmane soit un jour l'incarnation de Jeanne d'Arc" Périco Légasse sur CNEWS

Bien évidemment, cet individu possède des origines on ne peut plus bourgeoises.

 

 

 

Via Suavelos.eu

Nos remerciements à UnOurs

Pour Marine Le Pen, les tweets racistes contre Jeanne d’Arc 2018 sont “honteux”

"Ce n'est pas un biopic de Jeanne d'Arc, ce sont des valeurs d'engagement. Et cette jeune fille répond à tous les critères", s'est agacé la présidente du Front national.

La présidente du Front national, Marine Le Pen, a qualifié dimanche sur BFMTV de "honteux" les tweets racistes contre une jeune métisse choisie pour incarner Jeanne d'Arc aux prochaines festivités annuelles célébrant l'héroïne d'Orléans. "C'est honteux ! Il faut que tout le monde comprenne que ces fêtes qui se déroulent chaque année sont là pour exprimer les valeurs que défendait Jeanne d'Arc", a-t-elle déclaré.

 

Jeanne d'Arc

 

 

"Ceci n'a rien à voir avec la couleur de la peau". "Ce n'est pas un biopic de Jeanne d'Arc, ce n'est pas un film (sur) Jeanne d'Arc, ce sont des valeurs d'engagement, ce sont des valeurs de foi. Et cette jeune fille, en l'occurrence, répond à tous les critères et ceci n'a évidemment strictement rien à voir avec la couleur de la peau", a souligné la finaliste de l'élection présidentielle.

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Nos remerciements à Victoria Valentini

 

Rappel:

Sarkozy : Métissage OBLIGATOIRE pour la France

 

 

 

 

 

France. Orléans choisit une métisse pour incarner Jeanne d’Arc

Mathilde Edey Gamassou, d'ascendance béninoise, a été choisie pour incarner l'héroïne française Jeanne d’Arc lors des 589e Fêtes johanniques, qui se dérouleront du 29 avril au 8 mai à Orléans, dans le centre de la France. Face aux critiques de certains internautes, l'organisation de l'événement affirme que « l'excellence n’a pas de couleur de peau ».

Mathilde Edey Gamassou

Incontournable rendez-vous à Orléans (Centre-Val de Loire), les Fêtes johanniques ont été créées afin de fêter la délivrance par Jeanne d’Arc et son armée, le 8 mai 1429, de cette ville assiégée par les Anglais durant la Guerre de Cent Ans.

Depuis 1945, un jury constitué par l’association Orléans Jeanne d’Arc désigne une jeune femme pour incarner la « Pucelle d’Orléans » lors de ces célébrations. Cette année, c’est Mathilde Edey Gamassou qui a été choisie.

Un cadeau d’anniversaire en avance pour la jeune métisse, qui fêtait hier ses 17 ans. Sélectionnée parmi 13 candidates, cette lycéenne en classe de première littéraire vit à Orléans depuis 2003. Née à Paris, aînée d’une famille de cinq enfants, Mathilde est d’origine polonaise par sa mère, et béninoise par son grand-père.

Un choix critiqué sur les réseaux sociaux

Une ascendance remarquée sur la toile, non sans amusement, en référence à l’hommage à Jeanne d’Arc célébré depuis 1979 par le Front national, parti français d’extrême droite.

Source

France. Opéra national de Lyon: Jeanne d’Arc dans un spectacle transgenre et dénudé conventionné par le ministère de la Culture

Ce n’est pas seulement le prodigieux oratorio dramatique écrit par Paul Claudel et composé par Arthur Honegger, Jeanne au bûcher, que le malfaisant iconoclaste Romeo Castellucci vient de massacrer à l’Opéra de Lyon.

C’est l’esprit même de l’œuvre et de son personnage central, sainte Jeanne d’Arc, que le misérable auteur du blasphématoire Sur le concept du visage du fils de Dieu, vient de piétiner avec ses gros sabots fendus d’avant-gardiste adulé des gogos.

Ce qui se déroule sur la scène de l’Opéra de Lyon depuis le 21 janvier et continuera à l’empester jusqu’à après-demain, 3 février, c’est une déconstruction méthodique de l’œuvre et une défiguration de la plus pure héroïne de notre histoire transformée en un être “transgenre” – ça c’est tendance, coco ! – moitié homme de ménage en blouse gris-bleu, moitié danseuse nue du Concert Mayol de l’entre-deux-guerres. Grotesque.

Et le public lyonnais, paraît-il, applaudit à tout rompre, au grand étonnement du magazine Diapason Ce “spectacle”, nous prévient l’Opéra de Lyon, est réservé aux spectateurs « à partir de 14 ans ». Il aurait pu, tout aussi bien, être déconseillé à tout public.

Christianophobie.fr

La lettre de protestation

COUSSEY/DOMREMY : les nombreux migrants imposés font peur au pays de Jeanne d’Arc

 

La maison où Jeanne d’Arc est née, voici 603 ans, dans le canton de Coussey, au Sud des Vosges.

 

Le Pays de Jeanne d'Arc, dans le Sud des Vosges, surnommé par certains guides touristiques "la petite Suisse Lorraine", en raison de sa qualité de vie, succombe sous le poids des migrants, transférés par le gouvernement Valls en ces lieux "où l'homme vit encore au rythme des saisons".

Rien ne va plus dans l'Est de la France, au coeur du Saintois, terre de Maurice Barrès et de Jeanne d’Arc, terre patriotique où les ministres Christian Fouchet, Marcel Bigeard, Nadine Morano étaient députés, où au début des années 80, à 22 ans, j’ai fait mes premières armes en qualité d’élu local à Vitrey (à 10 kilomètres de Tantonville) et de vice-président du Syndicat intercommunal des eaux de Pulligny, structure chargée d’alimenter en eau 39 communes adhérentes et 3 communes clientes. Hollande, Valls et R2 D2 Cazeneuve ont choisi ce secteur du Sud de la Meurthe et Moselle et des Vosges pour y déverser des centaines de migrants, en pleine campagne, loin de toute structure d’encadrement, sans concertation préalable avec les élus locaux, placés devant le fait accompli par les « princes roses » qui prétendent gouverner la France. Et aujourd’hui, plus de Jeanne d’Arc pour repousser ceux que les habitants et élus du cru appellent les « envahisseurs ».

 

Dans cette France profonde à une heure de Verdun, à quelques minutes de Domrémy la Pucelle, village où Jeanne d’Arc est née voici 603 ans, la plupart des habitants vivent « cette invasion imposée » comme un affront. Comme les habitants d'autres régions de France, confrontés à des "réfugiés politiques" (http://ripostelaique.com/intolerable-les-integristes-egyptiens-utilisent-la-france-comme-base-arriere.html ). Ayant participé à la construction de cette région au début des années 1980, en donnant bénévolement des centaines d’heures de mon temps pour amener l’eau courante dans les foyers des communes, avec Georges Canel, Marc de Beauvau-Craon (dernier descendant en ligne directe d’Henri IV, élu à Haroué), pour construire des châteaux d’eau, pour irriguer les terres agricoles, avec mon mentor, le Général Marcel Bigeard, alors député de cette région, avec qui nous avions créé l’association « Vivre au Xaintois », pour défendre son patrimoine historique et sa qualité de vie, je comprends et partage la colère des habitants de Tantonville, Coussey, Domrémy, Pexone, qui redoutent une perte d’identité, des dérapages, une "Jungle Calaisienne" bis.

6 janvier 2012, le chef de l’Etat rend hommage à Jeanne « à qui la France doit sa liberté et sa grandeur », dans sa maison, à Domrémy, au cœur du canton de Coussey…. Nicolas Sarkozy va-t-il défendre les héritiers de Jeanne d’Arc, aujourd’hui menacés ?

 

Beaucoup attendent une réaction des ténors nationaux, du moins de ceux qui affichent une fibre patriotique. Car, le 6 janvier 2012, pour le 600 ème anniversaire de la naissance de Jeanne d’Arc, le président de la République Nicolas Sarkozy déclarait à Coussey-Domrémy «En tant que chef de l’Etat, je me devais de rendre aujourd’hui, ici, sur sa terre de naissance, cet hommage solennel que la France rend à ceux auxquels elle doit sa liberté et sa grandeur», en associant la commune de Vaucouleurs, où elle a lancé sa campagne victorieuse contre les Anglais en 1429.

Ce jour là, Nicolas Sarkozy avait visité la maison natale de l’héroïne mais aussi la chapelle de la commune accompagné pour l’occasion de plusieurs ministres – Nadine Morano (Apprentissage), Frédéric Mitterrand (Culture) et Gérard Longuet (Défense) – et de certains de ses conseillers, dont Patrick Buisson et Camille Pascal. «C’est un grand événement, avait confié le président de la République. Le 600e anniversaire, ce n’est pas tous les jours.» Interrogé sur la polémique que pourrait provoquer cet hommage, le chef de l’Etat avait rétorqué : «Si je n’étais pas venu, qu’est-ce qu’on aurait dit ?». A cette époque, nul n’imaginait que des dizaines de migrants allaient être installés, par l’Etat, au pied de la maison de Jeanne d’Arc et de la Basilique de Domremy la Pucelle !

Personne n’aurait imaginé la venue d’autres dizaines de migrants au pied de la colline de Sion et des ruines du château fort de Vaudémont, dans un château réquisitionné sur la paisible commune de Tantonville, commune du Saintois, à 25 km de la commune de Coussey, elle-même distante de 4 km de la basilique de Domremy la Pucelle, village natal de Jeanne d’Arc.

Au pays de Jeanne d’Arc, l’arrivée des migrants s’est jouée en trois actes.

 

Coussey Acte 1

 

 

R2 D2, alias Bernard Cazeneuve ferme la brigade de gendarmerie de ce chef lieu de canton des Vosges, longtemps dirigé par le conseiller général Raymond Beigue (Maire de Maxey-sur-Meuse de 1947 à 1974 et conseiller général du canton de Coussey de 1970 à 1985) un instituteur-apiculteur « issu de la Résistance », ayant participé, fusil à la main, aux combats contre les nazis pour la Libération de Neufchâteau en 1944. Aujourd’hui, le grand résistant Raymond Beigue qui a tant donné, pendant 15 ans, pour moderniser le canton de Coussey, subventionnant la construction de la gendarmerie, doit se retourner dans sa tombe !!!!

Le ministère de l’Intérieur justifie cette fermeture « par une réorganisation opérationnelle des moyens ». Les élus locaux sont mis devant le fait accompli. Silence dans les rangs, « votez à gauche pour les régionales, obéissez aux préfets », c’est la réthorique de R2 D2 Cazeneuve.

 

Coussey Acte 2

 

 

R2 D2 via la Préfecture d’Epinal réquisitionne, sans concertation, les locaux vides de la gendarmerie de Coussey (locaux appartenant à la mairie) pour y loger 15 migrants de Calais en remplacement des 4 gendarmes. Au nom de la loi bien sûr !!!!

http://www.vosgesmatin.fr/edition-de-la-plaine/2015/11/11/vosges-bernard-adam-maire-de-coussey-se-sent-trahi

Bernard Adam, le maire de Coussey indique aux médias qu’il « se sent trahi…. »

 

Coussey Acte 3

 

 

Le maire de Coussey Bernard Adam se sent trahi (capture d’écran du site internet Vosges Matin).

 

Aucun vote au Conseil Municipal, « informé, placé devant le fait accompli, mais pas consulté ». Une partie des conseillers municipaux démissionnent en protestation contre cette « décision imposée »

http://www.vosgesmatin.fr/societe/2015/11/10/vosges-des-elus-du-conseil-municipal-de-coussey-demissionnent-avant-l-arrivee-de-quinze-refugies-ce-mardi

 

Tandis qu’une quinzaine de réfugiés en provenance de Calais doivent investir l’ancienne gendarmerie de Coussey, des voix de plus en plus fortes s’élèvent contre cette décision unilatérale.

Trois élus municipaux ont déjà fait savoir qu’ils allaient rédiger leur lettre de démission. « Contrairement à ce que l’on pourrait faire penser, nous n’avons pas tous le même point de vue », explique cet élu qui devait envoyer sa missive de renoncement à sa participation à la vie municipale ce lundi. En cause : la forme davantage que le fond ; la manière de procéder donc.

 

Les élus affirment en effet avoir été prévenus « d’urgence » ce dernier vendredi après-midi qu’une réunion d’information se tiendrait le soir même : « Non pas pour demander notre avis , reprend l’élu démissionnaire mais pour nous informer que l’on n’avait pas le choix, que cette décision était imposée par les services de l’Etat. » précisent une partie des démissionnaires au quotidien issu de la Résistance La Liberté de l’Est devenu « Vosges Matin », après son rachat par l’Est Républicain et le Crédit Mutuel.

 

Comme dans le cas de Tantonville (où l’ancien maire et sénateur suppléant (Parti Républicain) André Colas doit lui aussi se retourner dans sa tombe), avec 37 migrants imposés au Château du village en quelques secondes, ou de Pexone, en Meurthe et Moselle, plusieurs élus de Coussey déplorent : « Nous nous sommes fait interpeller et prendre à partie par des parents d’élèves devant l’école ce lundi. La population est divisée. Or nous n’avons pas eu notre mot à dire. On n’a même pas eu la possibilité de s’exprimer. Ce n’est pas le fait d’être pour ou contre qui motive notre décision mais l’impossibilité de nous exprimer librement. C’est une bombe à retardement ! Sur un sujet aussi sensible, on aurait dû faire autrement. On n’est plus en démocratie. »

 

Tandis que deux camionnettes s’affairent à délivrer du matériel dans l’enceinte de l’ancienne gendarmerie où se trouvent quatre pavillons, certains riverains, sous couvert de l’anonymat, ne décolèrent pas. « Il y en a ras-le-bol maintenant ! Je suis plus qu’en colère. Les gens ont peur », entend-on au village.

 

Car la situation de Coussey, enclavé dans le Sud des Vosges, est identique à celle que décrit Serge Petitdant, maire de Tantonville dans le département voisin de Meurthe et Moselle : « On n’est pas raciste, mais ce n’est pas possible. Les gens ont peur. Il y a des risques. Le week-end, comment vont-ils s’occuper ? Qu’est-ce qui va se passer en cas de bagarres ? Quel va être l’appui de la gendarmerie ? Et pour les transports, comment vont-ils faire ? Il n’y a que trois bus par jour pour aller à Nancy… »

 

La plupart des élus concernés, qu’ils soient de gauche ou de droite, ont l’amère impression d’avoir « été pris pour des cons ». Difficile de leur donner tort. Désormais, le Saintois et le Sud des Vosges constituent deux nouvelles régions de France où Hollande, Valls, R2 D2 Cazeneuve ne sont plus les bienvenus à moins d’un mois des élections Régionales.

 

En direct des Vosges,

Francis GRUZELLE
Carte de Presse 55411

 

Lire aussi ces articles qui constituent un complément d’information :

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http://ripostelaique.com/intolerable-les-integristes-egyptiens-utilisent-la-france-comme-base-arriere.html
http://ripostelaique.com/comment-lambassadrice-de-bachar-a-ridiculise-les-bras-casses-hollande-fabius.html
http://ripostelaique.com/surnomme-r2d2-lemploye-de-banque-cazeneuve-naurait-jamais-du-finir-a-linterieur.html