Les observateurs.ch avaient mis en ligne le reportage incriminé ce 23.01.2015. Voir ICI
Les réactions dans tous les sens n’ont pas tardé, sur les réseaux sociaux, au terme de la diffusion sur RTL-TVi du premier numéro de «Dossiers tabous», l’émission animée par Jean-Claude Defossé et consacrée à l’intégration des immigrés en Belgique.
Dans un rapport, l’ONG Human Rights Watch accuse la police à Calais de violences contre des clandestins. En effet, plusieurs d’entre eux dénoncent des passages à tabac qu’ils estiment injustifiés.
Source fds
NDR : Et nos pseudos-humanistes en voudraient 100.000 en Suisse ?
Par Daniel Greenfield (adaptation française Thérèse Zrihen-Dvir)
L’inépuisable sens du droit et de la victimisation musulmane sur toutes les choses.
http://10news.dk/sweden-syrian-refugees-complain-it-is-too-cold-demands-metropolitan-atmosphere/
C’est le genre de migrants qui se présentent en Suède et se plaignent du froid comme si la neige était un complot d’infidèles contre l'islam.
Le soir du réveillon du Nouvel An, quelques 40 demandeurs d'asile en provenance de la Syrie et d'autres pays du Moyen-Orient ont été véhiculés vers une petite ville au nord de la Suède, Grytan. Ces derniers refusèrent d’y rester.
Les demandeurs d'asile en rage, refusèrent de quitter le bus. Ils ne voulaient pas rester dans une telle petite ville, trop froide. Ils demandèrent d’être hébergés à Malmö ou dans une autre grande ville.
«Je suis âgé de 75 ans et je viens du Moyen-Orient. J’ai été envoyé à un endroit comme ça », a déclaré un syrien au journal local, Östersunds-Posten, pointant du doigt la glace et la neige sur la route.
Les autorités furent illico accusés de mentir : On ne nous a pas dit où ils allaient nous conduire. « L'occupation syrienne du bus » reçut beaucoup d'attention parmi les médias suédois, déclenchant des critiques :
Je doute que la météo ne soit la vraie question. Les musulmans somaliens affluaient vers le Maine pour ses services d’assistance sociale et Malmo n’est pas Miami.
Les colons musulmans prennent le contrôle dès le début et ils pensent qu'ils peuvent faire un meilleur travail en exploitant les services sociaux à Malmö.
Source
Une visite politique, sans caractère religieux. Ainsi pourrait être résumée la venue du pape François, ce mardi à Strasbourg (Bas-Rhin), à l'invitation de deux institutions européennes : le Parlement et le Conseil de l'Europe, qui a en charge la protection des droits de l'homme.
Face au parlement européen, François a donc tenu un discours très politique à destination des dirigeants eu. Il a d'abord évoqué l'image d'une «Europe vieillie», renvoyée par celui qu'on appelle justement le Vieux continent, face à un monde «de moins en moins centré sur l'Europe». «Il faut abandonner l'idée d'une Europe repliée sur elle-même, et qu'elle soit un point de référence précieux pour l'ensemble de l'humanité, dans les sciences, les arts, les valeurs humaines et la foi», a-t-il affirmé.
Face à l’immigration massive que subit l’Italie, surtout depuis le printemps arabe qui a causé un afflux massif de réfugiés via Lampedusa, les Italiens sont de plus en plus furieux. Les immigrants illégaux, sans papier, commettent de nombreux forfaits : vols, agressions, destruction de biens publics et privés, … Plusieurs manifestations rassemblant parfois plus de 100.000 personnes ont déjà eu lieu en Italie. Ce ras-le-bol des Italiens se manifeste même parfois en rue dans la vie de tous les jours comme le montre cette vidéo. (près de Rome)
http://youtu.be/vm55mdlJn68
Photo ci-dessus : état du bus après l'attaque
Le bus est détruit et la conductrice sous le choc
Samedi, 30 Africains ont stoppé le bus 042 dans la zone San Vittorino et ont fracassé ses vitres à coups de pieds et de poings. La conductrice, non sans difficultés, est arrivée à fuir et à ramener le bus à Corcolle. (...)
Elisa raconte, encore terrorisée : "Ils étaient à l'arrêt et attendaient mon bus. Je me suis arrêtée et au moment où j'allais ouvrir les portes, l'un d'entre eux a jeté une bouteille de bière sur la voiture. A ce moment, j'ai démarré pour essayer de fuir".
Pourtant, le cauchemar n'est pas fini. Un groupe de 30 personnes, des Africains, ont bloqué la route dans le but de stopper la voiture. Ils ont assailli le bus à coups de poings et de pieds, jusqu'à ce que la conductrice arrive à s'enfuir jusqu'au hangar. (...)
Il semblerait que les assaillants se soient "fâchés" d'avoir attendu le bus trop longtemps...
(...)
Des membres du personnel de la compagnie de bus avaient déjà, depuis plusieurs semaines, envoyé une lettre où ils se plaignaient de problèmes d'insécurité en augmentation dans toute la zone et en particulier dans les régions périphériques. (...)
Source en italien
Nous en profitons pour vous rappeler ce que Kienge avait déclaré en son temps :
"Les migrants sont les acteurs principaux de l'économie, de la culture et de la société. L'Italie doit comprendre l'aspect culturel de l'immigration et tout ce qu'elle apporte au pays. Il faut des mesures concrètes pour éradiquer le racisme".
Kyenge: i migranti sono attori principali di economia, cultura e società.
Ci-dessus : St Antoine de Padoue
Un groupe d'agents de police ont manifesté hier devant la préfecture de Padoue. Ils protestaient contre un gouvernement "d'apprentis" et contre le fait que les préfectures soient utilisées pour l'identification des clandestins venant d'Afrique du Nord. Hier, 82 ont été identifiés à Padoue.
"Il sont resté dans la cour de 8h30 à 17h"- a expliqué Fausto Fanelli du syndicat de la police - "Ils ont laissé par terres leurs excréments, ont refusé la nourriture que nous leur avons offerte parce qu'elle n'était pas chaude et ont essayé de s'auto-mutiler; une agente à été blessée.
L'employeur, dans notre cas l'Etat, a le devoir de nous protéger. Nous ne pouvons plus continuer comme ça".
Source en italien
Belluno, protestations des migrants : nous voulons un meilleur endroit et de la nourriture africaine.
Hier après-midi, dans le centre de "La Secca" à Ponte nelle Alpi près de Belluno où sont logés des dizaines de clandestins, la situation a failli exploser. Les migrants, pour la plupart d'entre eux ici depuis 4 mois, se sont rassemblés dans la rue et ont commencé à manifester pour se plaindre des conditions dans lesquelles ils vivent.
"Nous ne voulons plus rester ici, aidez-nous" ont-ils demandé. La situation a failli dégénérer mais ils se sont calmés vers 18h30 grâce à l'intervention de médiateurs culturels.
Ces clandestins, tous des hommes de 20 à 30 ans arrivant d'Afrique, ont 5 exigences :
1) Un meilleur endroit
2) De la nourriture africaine
3) Une carte d'identité
4) Des soins médicaux
5) Des leçons d'italien
Ils parlent en plus de la vie humiliante qu'ils vivent depuis 4 mois, ici, dans le centre de Ponte nelle Alpi et crient : "Aidez-nous".
La situation s'est détériorée depuis que, dans le centre de La Secca, sont logées 40 personnes (la capacité du centre est de 20-24 places). Ils dorment à 20 dans une chambre, il n'y a qu'une douche et un bain par 2 étages. Ils ne font rien de toute la journée, ils sont fatigués et se sentent isolés. Ils n'ont qu'un rasoir pour 40.
Source en italien
La marine militaire italienne a annoncé mercredi que près de 1400 immigrés avaient été secourus au cours des dernières 24 heures par ses navires, ceux des capitaineries de port et des cargos civils.
Des affrontements ont éclaté dans la nuit de lundi à mardi dans la zone portuaire de Calais. Au moins trente personnes ont été blessées.
Pour la deuxième nuit consécutive, des affrontements ont éclaté entre migrants à Calais. Dans la nuit de lundi à mardi, au moins une trentaine de personnes ont été blessées dans ces affrontements entre migrants africains dans la zone portuaire de cette ville du Pas-de-Calais.
Une bagarre au moment de la distribution des repas. En début de soirée, en plein centre-ville, une bagarre avait déjà éclaté entre une centaine de Soudanais et d’Erythréens, au moment de la distribution des repas. Au moins une trentaine de personnes avaient déjà été blessées. Puis, ces affrontements « ont repris après le repas et se sont déplacés sur la zone du port, pendant une bonne partie de la soirée et de la nuit. La police a du s’interposer », selon la préfecture du Pas-de-Calais.
Des policiers pour s’interposer. Vers 4 heures du matin, environ 300 migrants étaient encore en train de se bagarrer aux abords du terminal ferry. Un important dispositif policier a été mis en place pour « s’interposer entre les différents camps. Une heure plus tard, vers 5 heures, la situation semblait tenue par les policiers ».
Des affrontements dimanche. Ce n’est pas la première fois que Calais est le théâtre de violents affrontements : treize personnes ont été légèrement blessées dans des heurts opposant entre 100 et 150 migrants, dans la nuit de dimanche à lundi. Cette fois, les violences se sont déroulées dans la zone industrielle des Dunes, à proximité de l’usine Tioxide. Cette zone, squattée par plusieurs centaines de migrants, fait l’objet, tout comme un autre squat de la ville établi depuis le 12 juillet sur un ancien site de recyclage de métaux, d’une décision de justice ordonnant son évacuation.
À l'occasion de la visite effectuée ce mardi par la commissaire aux affaires intérieures de l'Union européenne (UE) Cecilia Malmström, le gouvernement grec a demandé un soutien renforcé de l'UE afin de pouvoir mieux gérer l'afflux migratoire croissant.
Confronté à un nombre croissant de migrants sans papiers arrivés en Grèce ces derniers mois en raison des crises en Syrie et en Irak, le gouvernement grec a demandé un financement et une aide logistique accrus de l'UE pour faire face à l'afflux de migrants.
Selon le ministère grec de l'Ordre public, le nombre de migrants clandestins arrivés à Lesbos par bateau depuis la Turquie a triplé en un an. En juin 2013, les gardes-côtes grecs avaienit appréhendé 496 migrants, tandis qu'en juin cette année leur nombre a atteint 1 198.
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