Sans l’islam les Pays-Bas seraient un pays formidable

Par Lucette Jeanpierre (Riposte Laïque)

La malheureuse professeur de Français Charlotte Goulmy (ne pas confondre avec Chalghoumi) en est encore toute retournée, la malheureuse… Sur le site dirigé par Anne Sinclair, elle nous fait part de son émoi, quand, étendant son linge, elle a entendu un discours « nauséeux » du député hollandais Machiel De Graaf, membre du Parti de la Liberté. Et comme elle a été assez généreuse pour en traduire la plus grande partie, nous la remercions d’avoir, grâce à elle, pu profiter d’un discours exemplaire, que nous partageons, de ce député, expliquant ce que serait son pays sans l’islam. Si nous étions Machiel De Graaf, nous la prendrions comme attachée de presse. Encore merci à Charlotte, et sans rancune…

http://www.huffingtonpost.fr/charlotte-goulmy/le-discours-extreme-un-depute-hollandais_b_6228826.html

 

SANS L’ISLAM, LES PAYS-BAS SERAIENT UN PAYS FORMIDABLE

« Madame la Présidente. Sans l’Islam, les Pays-Bas serait un pays formidable. Ce sujet n’est abordé que par peu de mes collègues précédents. Bien entendu chacun est libre d’intervenir à l’Assemblée comme il l’ entend. Sans l’Islam les Pays-Bas ne dépenserait pas en gros 7,2 milliards à l’immigration de masse.

Sans l’Islam il n’y aurait aucune mosquée et les gens ne seraient pas confrontés au quotidien aux voiles islamiques, aux djellabas, aux barbes de haine ou aux minarets. Un pays sans symboles de la domination islamique. On serait un pays formidable. Sans l’Islam nous ne serions pas confrontés à la politique de remplacement du peuple, ni à la politique de la colonisation islamique, ni à l’occupation du territoire dans de plus en plus de quartiers dans les grandes et petites villes.

Sans l’Islam les Pays-Bas serait libre des perturbations sociales qui sont la conséquence de l’immigration de masse qui nous parviennent via les prêches haineux, via le regroupement familial, la victimisation, la criminalité marocaine et l´interférence Turque à travers des exigences islamiques pour adapter les Pays-Bas et ses habitants aux idées barbares, retardés et totalitaires d’un bandit en chef, meurtrier de masse et pédophile du septième siècle.

Sans l’Islam Pim Fortuyn ne serait pas assassiné par Volkert van der Graaf, qui expliquait son acte par piété avec les musulmans. Sans l’Islam Theo van Gogh ne serait pas abattu par Mohammed Bouyeri et Geert Wilders, le président de mon parti, n’aurait pas besoin de protection rapprochée. Sans l’Islam la politique ne déborderait pas de câlineurs de musulmans, chacun avec son intérêt cynique ou regard naïf.

Sans l’Islam les Pays-Bas ne connaîtraient aucun crime d’honneur et ne connaîtraient quasiment aucun mariage cousin/cousine, les enfants juifs pourraient aller à l’école sans protection sécuritaire et les gays et lesbiennes pourraient circuler librement en toute sécurité. Sans l ‘Islam nous ne dépenserions plus que la moitié en assistance sociale, on aurait besoin de moins de prisons et de policiers et on dépenserait moins pour les quartiers défavorisés.

On n’aurait plus besoin de subventionner l’intégration, les animaux souffriraient moins, et l’apartheid ne serait plus qu’un mot dans les livres d’histoire. Sans l’Islam, les Néerlandais avec une bonne éducation ressentiraient moins le besoin d’émigrer. Sans l’Islam la charia ne serait pas subtilement mise en œuvre dans de plus en plus de quartiers et les juges n’en tiendraient pas compte lors de leurs jugements. Sans l’Islam le ministre Asscher n’aurait pas fait faire une affiche électorale en Turc en 2010 et à l’Assemblée Nationale personne n’aurait crié « qu’Allah te punisse lourdement » Aucun membre islamique de l’Assemblée Nationale n’aurait exigé un endroit pour se laver et pour prier. Sans l’Islam des organisations suspectes comme Diyanet, Milli Görüş et Süleymanli, ne formerait le long bras islamique d’Ankara aux Pays-Bas. Ce bras doit être amputé.

Interdisez ces organisations, tout comme celles qui sont liées à Feta Allah Gülden, serait ma demande au ministre. Expulsez leurs leaders et fermez leurs bureaux. Le ministre accepterait-il de procéder ainsi? Ainsi à l’école les enfants ne seraient plus confrontés à la viande halal lors du Réveillon de Noel, on ne mettrait plus en cause les sapins et l’Aïd ne viderait plus les classes. Sans l’Islam nous n’aurions pas des centaines de milliers de Turcs qui indiquent qu’ils comprennent la violence contre ceux qui croient autrement ou point du tout. Pas de centaines de milliers de Turcs qui idéalisent les membres de Daech. Sans l’Islam on n’aurait pas de problèmes avec les jihadistes. Sans l’Islam, pas de menace substantielle de terrorisme et pas d’enfants qui jubilent dans la rue après le meurtre de masse sur les Tours de New York du 11 septembre.

(…)

Les musulmans ne changent pas, ne s’intègrent pas et ne s’assimilent pas. Non, avec ces mosquées ils refont la maison Pays-Bas de fond en comble à nos frais et la population initiale finit par être comme une invitée dans son propre pays. L´immigration islamique fonctionne ainsi depuis 1400 ans et n´est pas prêt de changer. Regardez ce qui est advenu de ce qui fut un alors l´Afrique de Nord chrétien, et jetez un coup d´œil à Marseille, à Bruxelles ou à Rotherham en Angleterre, la tournante islamique du viol.

Nous nous trouvons dans une phase alarmante. Jamais autant que depuis les 40 dernières années la population a changé. Dans des villes comme La Haye, Amsterdam et Rotterdam, la moitié de la population néerlandaise a été échangé contre des gens d’ailleurs, principalement originaires des pays musulmans. Le taux de natalité des musulmans est ici bien plus élevé que celui des néerlandais, mais est encore bien plus élevé en France, Belgique ou en Suède. Avec ces frontières ouvertes on sait à qui s’en tenir. En France le taux de natalité des Français de souche est de 1,3 contre 3,5 chez les musulmans.

Cela signifie qu’en deux générations une large majorité de la population sera musulmane. Le nom Mohammed avec toutes ses variations était en 2013 le second prénom dans le palmarès des prénoms les plus populaires. Non seulement dans les territoires occupés des grandes villes mais cela vaut pour tout les Pays-Bas. L’estimation pour 2014 est encore plus terrifiante. Le prénom Mohammed et ses variations était dans les 9 premiers mois le prénom le plus donné aux garçons de ce pays. Il n’y a aucune raison de croire que cette tendance va s’inverser sous peu.

Le ministre ne peut que réagir. Comment s’imagine-t-il les Pays-Bas en disons 2025 ou 2030? S’il continue sur ce chemin ce sera un foutoir islamique. Le polder fertile sera un désert de glaise. Selon Bernard Lewis, les musulmans ne sont pas les enfants du désert, mais de leurs pères. Le ministre partage-t-il l’observation de cette historien éminent? Le ministre peut-il indiquer comment arrêter l’islamisation?

Un des problèmes que l’Islam a apporté aux Pays-Bas est une inflation de l’antisémitisme. Je donne quelques explications nationales et internationales. Quatre juifs ont été tués mardi dernier dans un synagogue à Jérusalem. Pendant que les habitants de Gaza célébraient cette boucherie avec des haches, des couteaux et des fusils, les dirigeants de Hamas disait les assassins des « héros ».

(…)

L’Islam nous a rapporté l’antisémitisme en Europe. A Toulouse et à Bruxelles des juifs sont assassinés par des musulmans. Simplement parce qu’ils étaient juifs. A Amsterdam on ne peut plus circuler à cause des menaces de jeunes musulmans. C’est à dire si on porte la kippa. C’est un fait établi. Après une démonstration contre Israël, dans un quartier défavorisé de La Haye, un musulman disait à un journaliste que: « Si tous les musulmans faisaient front on aurait battu l’Occident et les juifs depuis belle lurette. »

Une popularité en passe de rattraper l’étiage du yaourt

philippe-bouvardLe bloc-notes de Philippe Bouvard paru dans le Figaro Magazine du 14 novembre 2014

C'est la désolante saga d'un fromage d'abord appelé Hollande et fabriqué avec la crème des grandes écoles puis rebaptisé Président avant de se liquéfier peu à peu, en dépit de sa graisse personnelle, jusqu'à s'identifier au yaourt à 0%. Le refus de prendre ses distances avec la crémerie sous prétexte qu'un bail, récusé aujourd’hui par presque tous les signataires, lui assure encore deux ans et demi de pas-de porte, semble avoir fait définitivement tourner le bon lait de la tendresse électorale.

L’amour pour ma patrie étant plus fort que l'amour-propre, j'en arrive à regretter d'avoir, dès le début de l’année de disgrâce 2012 et en basculant déjà dans l'opposition, tout prévu des malheurs qui allaient fondre sur nous. A savoir l’incompétence gouvernementale d'un cacique de province propulsé directement de la direction du département le plus endetté du pays à la tête de la cinquième puissance mondiale. Une incapacité à rallumer les fours de la croissance, beaucoup plus angoissante que celle d'un réparateur de chaudière connaissant mal son métier.

L’entêtement idéologique, le défaut de pragmatisme et le manque de charisme ont abouti à ce que, élu voilà trente mois avec 52% des voix, Hollande ne disposerait même pas aujourd'hui d'une majorité au conseil municipal de Tulle. Certains remarqueront qu'on ne doit pas plus apprendre l'arithmétique que l'orthographe à l’ENA. D'autres dresseront la liste des bons sentiments tombés en quenouille, des promesses non tenues parce qu'intenables et des formules pompeuses vidées de leur sens par les réalités. Emplois d'avenir devenus jobs sans lendemain. Soi-disant pactes impliquant l'accord de tous mais rejetés la semaine suivant leur annonce. Suppression des impôts mais pour ceux qui n'auraient jamais dû en payer. Le pouvoir devient une impasse lorsque le peuple descend dans la rue. La mosaïque formée par les déçus, mécontents, protestataires qui recouvre toutes les régions, toutes les générations, toutes les professions. Les policiers se suicident. Les paysans sont désespérés. Les médecins ferment leurs cabinets. Les avocats retirent leur robe. Les huissiers sont tout saisis. Pour la première fois, les enseignants, les parents et les enfants éprouvent le même ras-le bol.

Les mensonges d'Etat s'érigent en système de communication. Le remplacement des 16 « Moi Président », qui ont fait, paraît-il, la victoire contre le seul "sans-dents » qui consomme la défaite. Les braves gens ne comprennent pas qu'on puisse terminer un quinquennat alors qu'ils n'ont pas de quoi finir le mois. Un endettement galopant dont on n'ose même plus préciser le montant. Un chef des armées faisant tomber nos soldats un à un dans des pays improbables, s'immisçant dans des luttes tribales et des guerres de religion au nom d'un passé révolu. Un va-t-en-guerre menaçant de ses canons un tyran syrien mais ne réussissant à faire fuir que vers Bruxelles ou vers Londres les riches de son propre pays. Sans oublier le summum de l’irresponsabilité : la fausse nouvelle de la libération - jamais intervenue à la suite de tractations jamais amorcées - des 250 jeunes filles nigérianes mariées de force à leurs ravisseurs.

Et que dire de l’image véhiculée par des médias moins friands de séductions que de ridicules ? Un personnage mal fagoté, affublé par son tailleur, déguisé par son chemisier, abandonné par ses amis, décrié par ses femmes, mal entouré, mal conseillé, mal dans une peau tavelée par les coups reçus de toutes parts. Une vie privée vaudevillesque jalonnée par l'octroi d'un ministère plutôt que d’un pacs à la mère de ses quatre enfants, poursuivie par le répudiation publique en dix-huit mots d’une femme aimée pendant sept ans et achevée par l'édition d'un livre de secrets d'alcôve griffonnés au saut du lit.

Pour l'heure, les appartements, désormais moins privés, de l'Elysée verraient débarquer chaque soir et repartir chaque matin une comédienne dont il faudrait vérifier que les horaires tardifs et la régularité des prestations n'enfreignent pas la législation du travail de nuit.

Non seulement, je n'envie pas sa place mais je le plains de s’y accrocher. Car je n’ose imaginer cette marionnette pathétique ne tenant plus qu'à un fil, errant dans le triste palais-bureau déserté par les courtisans lorsqu'une secrétaire embarrassée prétend que par suite d'une grève de la distribution affectant seulement le 55 rue du Faubourg Saint-Honoré, les odieux quotidiens et les méchants magazines ne sont pas arrivés. « Le pauvre homme », comme disait Orgon dans Tartuffe. Un père de la Nation en l’honneur duquel les enfants n'agitent plus de petits drapeaux qu'à Bamako et qui ne peut plus parcourir l'Hexagone sans se faire huer.

A Hollande qui lui faisait remarquer, en le décorant pour six mois de cohabitation, qu'on pouvait réussir sa vie sans devenir président de la République, Valls aurait eu beau jeu de rétorquer qu'on peut tout rater en le devenant. Plus besoin de posséder la science des conjectures pour prévoir la catastrophe. Elle est déjà là.

PHILIPPE BOUVARD

Le Figaro Magazine -- 14.11.2014

Hollande : Un conseiller municipal musulman de La Haye veut interdire les chiens

Pays-Bas. La Haye (Den Haag).

islam-la-hayeLe conseiller municipal du parti Islam Democraten Hasan Küçük (photo) estime qu’il doit être interdit d’avoir un chien à la maison. Il indique que ces animaux n’ont pas leur place au domicile d’un humain, mais dans la nature, et que le fait d’avoir un chien chez soi est de la maltraitance d’animaux. Hasan Küçük estime que les personnes qui ont un chien doivent être sanctionnées par la justice.

Suite en anglais (à lire absolument !)

Trierweiler: «Je vais te détruire, toi et ton gros porc»

L’hebdomadaire satirique raconte que l’ex-première dame a surgi comme une furie dans la boîte, se jetant sur ses anciennes amies. Nathalie Mercier se fait empoigner par le cou, alors qu’elle tentait de calmer le jeu: «Toi, la grosse, tire-toi d’ici, tu n’as rien à faire. Tu as déjà dû te jeter aux pieds de cette pute de Gayet!»

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Au tour de Valérie de Senneville qui en prend pour son grade: «Je vais te détruire, toi et ton gros porc de Sapin», lui lance-t-elle en lui empoignant le visage et lui griffant les bras.

Source

GPA : la lâche indignité de Hollande et Taubira

La France avait jusqu’au vendredi 26 septembre dernier pour faire appel de la décision de la Cour Européenne des Droits de l’Homme (CEDH) lui imposant d’inscrire à l’état civil français les enfants nés par GPA (mères porteuses) à l’étranger, ce qui est strictement interdit par la loi française.

François Hollande et Christiane Taubira ont pris la responsabilité de ne pas faire appel de cette décision qui va donc devenir exécutoire.

Le message indigne du gouvernement aux couples homosexuels masculins est donc maintenant très clair :

" Nous n’avons pas le courage de légiférer pour autoriser la GPA en France,
mais allez donc acheter votre enfant à une mère porteuse à l’étranger !"

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“Le guignol de l’Elysée”

"Le guignol de l'Elysée" par Pierre Cassen et Ri7 (Riposte Laïque)

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Le 6 mai 2012, François Hollande est élu président de la République, avec 51,64 % des voix. Début septembre 2014, il est tombé au chiffre record de 13 % d'opinions favorables dans les sondages. Qu'a-t-il bien pu se passer durant ces vingt-sept mois ? Avec un humour dont ils ne se départissent jamais, suscitant moult éclats de rire, les auteurs ont mis à nu la médiocrité de nos dirigeants et les véritables objectifs de ce gouvernement : accélérer la destruction de notre pays et la mort de notre civilisation, pour servir les desseins de l'Union européenne et du mondialisme. Ils ont évidemment ciblé le président lâche, faible, peureux et incompétent mais aussi Manuel Valls, Christiane Taubira, ainsi que tous leurs suppôts, pointant dans leur action politique une inquiétante dictature larvée. Les journalistes, juges et autres rouages du système ne sont pas épargnés, de même que les prétendus antiracistes, antifas, racailles, rappeurs et islamistes, dont les auteurs montrent le rôle de police politique et de milice qu'ils exercent contre nos compatriotes. En près de trois cents dessins magnifiques, dans lesquels se succèdent les portraits étonnants d'une cinquantaine de personnalités publiques, Pierre Cassen et Ri7 ont parfaitement résumé le drame d'un pays en perdition, trahi par ses prétendues élites, tout en montrant que le peuple de France n a pas dit son dernier mot...

Commandez-le ICI ou ICI. Vous ne le regretterez pas. Quelques éclats de rires salutaires en perspective.

 

 

Les très chers déjeuners de travail de François Hollande

François Hollande, c'est Valérie Trierweiler qui le connaît le mieux. "Notre différence d'origine sociale est criante. (...) Il ne comprend pas ce blocage sur l'argent. Il ne peut pas l'imaginer, lui qui n'a jamais manqué de rien. Il lui faut toujours le meilleur, rien que le meilleur. Il aime les grands restaurants quand je préfère les bistrots, les grands hôtels quand moi je suis heureuse dans les petites auberges", écrit-elle page 185 de Merci pour ce moment.

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Les vidéos “sex, drugs & rap music” de Julien Hollande

Le fils de François Hollande et de Ségolène Royal est "réalisateur" de vidéos de rap. Il fait partie du duo Ken et Ryu.

En visionnant ce clip, on ne peut que féliciter les socialistes Royal et Hollande pour leur excellente éducation.......

 

Extrait :

J’ai plein de coke, et plein de stock de choix différent ; de quoi remettre sur pieds François Mitterrand.

 

Plus ICI

Petit résumé du livre de Valérie Trierweiler

Par Caroline Alamachère

A la lecture du livre de Trierweiler, Hollande nous apparaît lâche, menteur, méprisant du peuple.

Si Valérie Trierweiler ne nous est jamais apparue proche de nos idées, elle qui est plus prompte à s’inquiéter du sort des enfants pauvres originaires d’ailleurs en laissant pour compte ceux de chez nous dont pourtant elle est elle-même issue (sa famille politique n’a de cesse de rejeter le peuple français qui a fait la France d’avant le grand remplacement),  il faut reconnaître malgré tout à la lecture de son brûlot qu’elle apparaît bien loin du portrait de la femme dominant son conjoint soumis, telle que nous l’ont donné en pâture les médias. L’image de l’arriviste aux dents longues qui aurait porté la culotte à la maison a fait long feu. Son histoire reflète au contraire le portrait d’une femme très amoureuse, parfois à la limite de la candeur, suffisamment amoureuse en tout cas pour supporter les remarques de mépris glacé sur ses origines sociales et les multiples goujateries sexistes à son encontre de la part de celui qui partageait sa vie.

Tout ce qui a été dépeint d’elle par les médias charognards est expliqué, décortiqué et nous apparaît finalement tout à fait crédible, compte tenu des circonstances qu’elle décrit de l’intérieur.

Si ce grand déballage impudique ne grandit pas l’univers politique déjà lamentablement à la ramasse qui est le nôtre, ni la fonction présidentielle qui n’avait vraiment pas besoin de cela pour être la risée du monde, dans Merci pour ce moment Valérie Trierweiler dépeint page après page un François Hollande froid, menteur, calculateur, malotru, couard, d’une muflerie effrayante, lâche, égocentrique et méprisant du peuple.

Elle rapporte par exemple un repas de famille, sa famille à elle, les Massonneau, suite auquel Hollande dans un petit ricanement de mépris pour leur condition modeste lui balance à la figure « elle n’est quand même pas jojo, la famille Massonneau ». Ce président-là n’aime pas les pauvres, les « sans dents », se sentant nettement plus à sa place chez les parents de Julie Gayet qui, eux, ont le bon goût de posséder un château cossu du XVIIe siècle. Valérie Trierweiler prend soin de préciser que sa propre famille est à l’image des électeurs de Hollande. Nous ne saurons pas ce qu’il a répondu à cela…

Elle raconte encore ce rire plein de muflerie qu’il a eu un jour et qu’elle a reçu comme une gifle lorsqu’une femme a abordé Hollande pour lui demander de ne pas épouser « Valérie », alors qu’il aurait dû normalement prendre la défense de celle qui partageait sa vie, celle à qui précisément il a demandé par trois fois de l’épouser, dont la dernière il y a seulement quelques semaines.

L’homme dont elle nous brosse le portrait dans une suite d’anecdotes est clairement avide de pouvoir et de reconnaissance, de possession. Il veut posséder son ex compagne même au-delà de leur séparation, l’empêcher de tourner la page, de passer à autre chose. Il décortique son emploi du temps, suit ses moindres pas, la harcèle de multiples textos chaque jour. Il l’a répudiée comme une malpropre aux yeux du monde entier mais veut tout de même en garder le contrôle par jalousie, par égoïsme, mais aussi comme rempart réconfortant face à sa chute dans les sondages. La répudiée doit se rendre disponible pour compenser cette image déplorable que lui renvoie à la face ce méprisable peuple français de si petite extraction. Valérie, qu’il a abandonnée seule en la jetant négligemment sur un lit pour courir retrouver Julie Gayet alors qu’elle venait d’avaler un paquet de comprimés, devrait aujourd’hui lui revenir pour l’aider à conjurer la détestation et le rejet violent qu’il suscite dans l’opinion publique.

Elle relate cette phrase qu’Hollande a eu à son retour du Mali où il disait, parlant de cette visite, qu’il « s’agissait du plus beau jour de sa vie politique », ce à quoi elle a répondu que « si le plus beau jour de ta vie politique n’est pas le jour où les Français t’ont élu président de la République, alors ils ont eu tort ». On ne saurait mieux dire. On mesure tout le mépris pour la fonction que les Français – du moins une partie d’entre eux – lui ont confiée. Le pouvoir le grise même au point de considérer que Fabius a raté sa vie parce qu’il n’a jamais été président, un point de vue qui nous fait rire jaune. Le devoir consistant à prendre soin du pays qu’on lui a confié semble par contre lui être tout à fait accessoire.

« Les hommes de pouvoir perdent très vite le sens des limites », explique le psychiatre de V. Trierweiler qui ajoute qu’Hollande serait atteint du « syndrome du gagnant », lui l’éternel perdant, le poissard, le sans stature, lui qui ne doit sa place non à son seul mérite mais parce qu’un autre a failli et que le président sortant n’avait plus la cote. Hollande est là par erreur, par accident, sur un malentendu du destin.

Celui qui fait semblant d’aimer les pauvres mais ne fréquente que des riches, celui qui est né avec une cuillère en argent dans la bouche, ce « sans amis » qui ne côtoie que les fréquentables énarques de la promotion Voltaire avec lesquels il parle politique, aime tellement le pouvoir qu’il veut le garder pour lui seul, ne pas le partager. Laisser une trace dans les manuels d’Histoire pour l’éternité, voilà son ambition ultime, comme d’autres se font cryogéniser par désir fou d’immortalité et par peur de n’être plus, par vanité de se croire indispensable au monde des vivants. Il a soif de pouvoir au point de ne même pas vouloir partager avec sa famille un moment au Palais : « pas une seule fois il n’a invité son père à l’Élysée, ni son frère. Il se veut un destin hors norme, un Président orgueilleusement seul », lui qui n’est là que parce qu’il est arrivé premier dans un concours de circonstances…

L’homme est lâche. Il jure, promet, ment sans cesse par principe et pour gagner du temps, pour ne pas lâcher la proie pour l’ombre, pour éviter l’affrontement, se débarrasser et remettre à plus tard les contrariétés. « Le mensonge est ancré en lui, comme le lierre se mêle à l’arbre ». Peu importe la blessure occasionnée, peu importe la tromperie et la trahison, du moment que cela est bon pour lui. Hollande est lâche et couard au point de ne même pas être capable de dire à sa mère qu’il est en couple avec Valérie. C’est donc à elle qu’il demande de l’appeler pour lui annoncer…

Un chef d’Etat est-il censé être un lâche qui fuit sans cesse ses responsabilités et ment à tout bout de champ ?

« La fonction présidentielle doit être respectée afin de préserver nos institutions » a dit Hollande. Qu’il commence lui-même par la respecter.

La muflerie transpire tout au long du livre avec notamment ce passage concernant la fameuse dépêche AFP annonçant la rupture, dont on mesure après coup, toute l’effarante teneur, quand nous imaginions une toute autre scène : « Il me lit le communiqué de rupture qu’il a prévu de livrer à l’AFP, dix-huit mots froids et orgueilleux, chacun est comme un coup de poignard. Je m’effondre devant la dureté de sa phrase, cette manière méprisante de « faire savoir » qu’il « met fin à la vie commune qu’il partageait avec Valérie Trierweiler »… Je me lève et pars en hurlant : 

– Vas-y, balance-le ton communiqué si c’est ça que tu veux. 
Il tente de me rattraper, de me prendre dans ses bras.


– On ne peut pas se quitter comme ça. Embrasse-moi.
 Il me propose même que nous passions la dernière nuit ensemble… ».

Valérie Trierweiler décrit la proximité presque maladive d’Hollande avec les médias dans une collusion intime, voire charnelle entre média et politique, ces deux branches amantes du pouvoir, toujours si intimement imbriquées « Les journalistes politiques ont essayé de comptabiliser le nombre d’entre eux qui reçoivent des SMS du Président. Ils ont dépassé le chiffre ahurissant de 70 ».

« Il faut juger les hommes politiques sur leurs actes », a dit Ségolène Royal, celle qui disait pourtant d’Hollande qu’il n’avait jamais rien fait de sa vie. Avec le bouquin de celle qu’on a surnommée « la Rotweiller », nous jugeons effectivement les actes d’Hollande et le moins qu’on puisse dire c’est qu’ils sont encore plus affligeants que ce qu’on imaginait.

Merci pour ce moment de lecture, Mme Trierweiler. Vous n’en sortez sans doute pas grandie et les Français ne vous en aimeront probablement pas davantage, mais au moins les « sans dents » savent maintenant à quoi s’en tenir.

Caroline Alamachère

PS : j’ajouterais qu’on ne saurait trop conseiller à François Hollande de bien vouloir respecter les règles de sécurité routière appliquées aux Français ordinaires qui, eux, doivent payer cher quand ils les outrepassent : « Il est capable de danser le sirtaki sur la chanson de Dalida, même au volant ».

Source Riposte Laïque

 

 

Un nouveau livre gênant pour François Hollande

Un nouveau livre gênant pour François Hollande à paraître en octobre

La saga littéraire contre François Hollande continue. Après les ouvrages De l'intérieur, voyage au pays de la désillusion de Cécile Duflot et Merci pour ce moment de Valérie Trierwieler, un nouveau livre empli de révélations sur le Président de la République verra le jour à la mi-octobre.

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François Hollande, du président normal au despote

Par Yvan Rioufol

Selon un sondage publié par le Figaro Magazine, seuls 13% des Français font désormais confiance à François Hollande. Pour Ivan Rioufol, le président, acculé, a désormais recours à des méthodes despotiques pour rester au pouvoir.

(...)

L'arsenal totalitaire est à portée de main. Les intensifications de l'antiracisme officiel, de la déculturation scolaire et de la propagande médiatique sont les outils les plus performants. La nouvelle ministre de l'Éducation est intouchable parce qu'elle représente la jeunesse et, plus encore, la diversité.

(...)

Article complet

Hollande surnomme les gens pauvres “les sans-dents”

Le véritable visage du socialisme en direct:

Cette information sera, pour certains, beaucoup plus ravageuse que tout détail sur la vie privée du président. François Hollande n'aime pas les pauvres selon son ancienne compagne, Valérie Trierweiler. Et le président les affuble même d'une formule *imagée*:"les sans-dents".

topelement (1)

Le Monde publie des extraits du livre Merci pour ce moment, dans lequel l'ancienne Première dame raconte un repas de famille. François Hollande se moque alors des origines modestes de celle qui partage sa vie. Et Valérie Trierweiler d'en dire plus :

Il s'est présenté comme l'homme qui n'aime pas les riches. En réalité, le président n'aime pas les pauvres. Lui, l'homme de gauche, dit en privé : ‘les sans-dents' très fier de son trait d'humour. 

 

François Hollande, en 2006, avait pourtant fait polémique lors d'un débat avec Michèle Alliot-Marie, en affirmant à la télévision qu'il n'aimait pas "les riches" :

Je n'aime pas les riches. Je n'aime pas les riches, j'en conviens.

Source

 

A noter le "travail" du président pendant que les Français souffrent énormément sur le plan économique:

 

Une fois que l’affaire s’est estompée, on apprend que François Hollande a maintenu le contact avec Valérie Trierweiler en lui envoyant des SMS, jusqu’à 29 par jour.

Paris Match révèle un autre extrait du livre : "Il me dit qu'il a besoin de moi. Chaque soir, il me demande de dîner avec lui. [...] Il me dit qu'il me regagnera comme si j'étais une élection".

 

Source

 

En Hollandie, générosité ne rime ni avec handicapés… ni avec héritiers !

Par Josiane Filio

Derrière les sanglantes agitations de rues arrivant à notre connaissance grâce aux réseaux sociaux, plus vite qu’un média-gaucho n’en met à mentir (c’est dire), existent également bien d’autres sujets de scandale, perdus dans la jungle des méfaits de nos ignobles dirigeants : non contents de nous vendre à nos ennemis, quels qu’ils soient, il faut en plus qu’ils nous étranglent de toutes les manières possibles !

Réclamer aux héritiers les aides consenties à un handicapé de son vivant, ne pose aucun problème à nos charognards !

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Le vrai visage de François Hollande

Mise en ligne le 10 août 2011

Une drôle de vision de la cour des comptes, et plus généralement du sens du travail, de la part de François Hollande.

 

Mise en ligne le 10 févr. 2012

Une surprenante archive datant du début des années 80 dans laquelle on peut entendre le Président François Hollande parler en tant que jeune membre du RPR (l'UMP de l'époque), attristé que la gauche n'ait pas encore disparu ...
En effet, le jeune François était mandaté à l'époque pour se faire passer anonymement par téléphone pour un adversaire du PS. La stratégie politicarde commençait déjà ...

Hollande voit des yeux bleus partout

Ils voient des blonds aux yeux bleus partout !

Le ton est primesautier, la mine couperosée. Notre président nous parle des djihadistes depuis le Calvados : « Nous les combattrons, nous les combattrons, nous les combattrons ». Comme ça trois fois. Monsieur 3 % répète 3 fois. C’est censé donner plus de poids à ses paroles.

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