L’asservissement des Noirs par les Blancs : “Le fondement de l’Occident” ? [1]

Proxénètes des cités : l’enfer de jeunes filles mineures (Sept à huit sur TF1)

Témoignage d'une jeune femme libérée par la police.

 

 

Via Fdesouche

Rediff. 21.11.2020. Des ancêtres de Kamala Harris étaient de très grands propriétaires d’esclaves

Kamala Devi Harris, - son nom complet - , mais Devi, ça fait trop indien, est membre du Parti démocrate et sénatrice pour la Californie, au Congrès depuis 2017

Elle se porte candidate à l'investiture démocrate pour l'élection présidentielle de 2020 mais se retire avant le début officiel des primaires. Le 11 août 2020, Joe Biden la désigne pour être sa colistière et la candidate démocrate à la vice-présidence des États-Unis.

Un des ancêtres de Kamala Harris, Hamilton Brown, était l’un des plus grands propriétaires d’esclaves de Jamaïque. Potentiellement, cette grande féministe pourrait également avoir des ancêtres violeurs, ce qui ferait d'elle une fausse représentante des victimes noires du racisme systémique que seraient les afro-américaines...

L’année dernière, des sites de fact-checking avaient contesté cette information, affirmant qu’il n’existait pas de preuve de cette filiation. Cette preuve est maintenant apportée : dans un article de 2018, le père de Kamala Harris écrivait lui-même que sa grand-mère paternelle était descendante de ce Hamiton Brown, propriétaire de plantations et d’esclaves.

Source en anglais : Great Game India
Résumé Cenator

Voir aussi :

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Encore un petit supplément à  ne pas louper!

Forum, 14.08.2020, RTS - Le grand débat - Biden-Harris: ticket gagnant?

Un nouveau "Grand Débat" de la RTS, entre Daniel Warner, politologue américano-suisse et fervent Démocrate, Nicole Bacharan, historienne férocement anti-Trump, politologue, spécialiste patentée à la RTS pour les États-Unis et Raphaël Grand, un gauchiste qui a fait ses preuves et, par conséquent, est monté en grade pour devenir le correspondant de la RTS à Washington pour les présidentielles.

Esclavage Larvé en Afrique et au Moyen-Orient ; l’Occident à Tort de s’Incriminer

Giulio Meotti  •  14 juillet 2020

  • Pour les intersectionnels, les États-Unis sont le pays le plus despotique du monde - Pas la Chine, pas la Corée du Nord, pas l'Arabie saoudite ou l'Iran.
  • « Les médias ne vous disent pas que l'Amérique est le meilleur endroit de la planète pour être noir, femme, gay, trans ou quoi que ce soit d'autre. Nous avons nos problèmes et nous devons les résoudre. Mais notre société et nos systèmes sont loin d'être racistes ». - Ayaan Hirsi Ali, Twitter, 9 juin 2020.
  • « Le nouvel antiracisme est un racisme déguisé en humanisme (...) Sous-entendre que tout Blanc est mauvais ... et que tout noir est une victime ». - Abnousse Shalmani, née à Téhéran, résidant actuellement à Paris, Le Figaro, le 12 juin 2020.
  • « L'Amérique apparait différente à une personne qui, comme moi, a grandi en Afrique et au Moyen-Orient ». - Ayaan Hirsi Ali, The Wall Street Journal, 26 juin 2020.
  • Il serait temps que les États-Unis cessent de financer les Nations Unies ... Les Nations Unies ne servent qu'à perpétuer l'injustice, pas à y mettre un terme.
  • Il est probable qu'aujourd'hui, les vrais marchands d'esclaves et les racistes - ceux qui croient que les sociétés et les valeurs occidentales ne devraient pas exister - se penchent avec une indicible délectation sur l'auto-flagellation occidentale.
  • Les États-Unis ont aboli l'esclavage il y a 150 ans et ont mis en place une politique de promotion sociale des minorités. A deux reprises, ce pays a élu un président noir, Barack Obama - ! Pourtant, une déferlante anti-statues déboulonne un monument historique après l'autre, comme si les États-Unis asservissaient encore les Afro-Américains. Des militants de Washington DC ont même pris pour cible le Mémorial de l'Emancipation qui honore le président Abraham Lincoln, lequel a payé de sa vie la libération des esclaves.Aujourd'hui, l'opinion publique occidentale s'auto-flagelle de manière obsessionnelle sur son passé esclavagiste oubliant qu'un esclavage bien réel sévit et se poursuit, quasi ignoré de tous, dans de nombreuses régions d'Afrique et du Moyen-Orient. Ces esclaves là, ne bénéficient d'aucune manifestations de rues ; aucune pression n'est exercée en leur faveur au plan international ; et aucun média n'évoque leur sort.
  • [...]

article complet: https://fr.gatestoneinstitute.org/16238/esclavage-afrique-moyen-orient

Histoire des traites africaines XVe-XXe siècle

Le blog de Maurice-Ruben Hayoun,

Les routes de l’esclavage : Histoire des traites africaines XVe-XXe siècle-  par Catherine Coquery-Vidrovitch

Ce livre est écrit selon les normes du commentaire historique. En d’autres termes, c’est un livre sérieux, qui relate et analyse des faits historiques. Et pourtant, il ne se lit pas sans une émotion intense. Les questions qu’il pose et auxquelles il apporte des réponses satisfaisantes ne peuvent pas nous laisser indifférents. On se demande comment des hommes ont pu réduire d’autres hommes, leurs semblables en tout point, sauf dans certains cas la couleur de la peau, au rang de chose ou de bien meuble, de force de travail, et moins bien traités que des animaux ou des bêtes de somme. Il ne s’agit pas ici de mièvrerie mais de sentiments de honte. D’ailleurs, le livre s’ouvre sur une belle citation de Condorcet (Réflexions sur l’esclavage des nègres, 1781) : en résumé : l’esclavage est le plus odieux des crimes, quelle qu’en soient les motivations. Aujourd’hui, on parle d’une crime contre l’humanité.

Comment ce phénomène de traite ou de commerce d’êtres humains a-t-il été possible ? Comment devenait on esclave ? Et comment se fait il que les révoltes des opprimés n’ont pas été plus massives ni plus fréquentes ? Ce sujet est bien plus complexe qu’on ne le croit habituellement. D’abord, il faut rappeler que la réduction d’hommes et de femmes, sans oublier les enfants, à l’esclavage s’est fait dans des contextes civilisationnels différents. A l’origine, les esclaves étaient pour la plupart de race blanche. Il suffit de s’en référer à ce que dit Aristote des esclaves, souvent des captifs de populations vaincues, taillables et corvéables à merci parce que leurs pays avaient perdu la guerre. Voyez aussi dans le vaste empire romain où les premiers esclaves noirs firent sensation en raison de leur couleur de peau… Ce n’est qu’après, lorsque les commerçants européens se sont intéressés à l’Afrique et au Nouveau Monde que les escalvisés (sic) devinrent majoritairement des hommes de race noire. Souvenons nous du rire de cette esclave thrace qui se moque de Narcisse lorsqu’il tombe, par inattention dans un puits…

Il y avait plusieurs degrés dans la condition d’esclave : il y avait ceux qui furent transportés par bateau (et dans d’horribles conditions de voyage) de l’autre côté de l’Atlantique, vers les Amériques où ils constituaient la majorité des ouvriers agricoles dans les plantations. Il y en avait d’autres qui faisaient partie de la domesticité, généralement moins mal traités mais toujours soumis à une condition dégradante. D’autres enfin, les plus rares, que leur intelligence, dont le savoir-faire ou la capacité d’adaptation firent d’eux les adjoints ou les remplaçants de leurs maîtres, tout heureux de se décharger sur eux de certains travaux pénibles ou compliqués. Ces esclaves là étaient en mesure d’acheter leur affranchissement (manumission) grâce à un pécule qu’ils avaient pu mettre de côté grâce à leurs activités. Et il y avait aussi le cas des femmes dont tous les maîtres abusaient sexuellement. On peut donc dire que cette dernière catégorie d’esclaves concentrait sur elle toutes les injustices et les souffrances de leur condition…

Lorsque les demandes de l’économie européenne l’exigeaient et que la main d’œuvre se fit rare, on se tourna vers l’Afrique subsaharienne où les réservoirs humains semblaient inépuisables. Certaines sources parlent de foyers particulièrement abondants d’activités négrière au Maroc où l’on fabriquait des produits que l’on échangeait contre l’importation d’esclaves…

L’esclavage, écrit l’auteur de cet ouvrage, remonte à la nuit des temps et ce n’est pas l’islam qui l’a créé. La prévalence des peuples et des régions sous domination musulmane a accrédité cette idée qui a la vie dure. Certes, l’islam des marchands a préexisté à l’islam des guerriers et ce fait a pu fausser la perspective. Par la suite, on note une activité très fébrile dans ce domaine à la suite des conquêtes. Les armées victorieuses déportaient ou enlevaient les membres vaincus qu’elles intégraient parfois à leur système militaire (on parle parfois de milliers de Noirs armés de lances et de javelots) ou qu’elles échangeaient contre des marchandises (or, argent ivoire, tissus, etc…). L’auteur relève que dans l’ensemble, le Coran se montre plutôt bon envers l’esclavage, sans toutefois l’interdire purement et simplement. Au fil du temps, notamment avec le second calife Umar, il fut interdit d’esclaviser des musulmans.

Il ne faut pas oublier qu’il y avait de tout temps un esclavage dans les sociétés africaines très anciennes. C’est sur ce fond de commerce, pour ainsi dire, que se développa la vraie traite négrière rendue nécessaire dans le domaine agricole, commercial et industriel. Pour faire pousser le coton, exploiter les mines de cuivre ou pourvoir aux besoins des aristocrates (les femmes musulmanes et juives d’un certain niveau ne sortaient presque jamais de chez elles ); il fallait bien que d’autres pourvoient à leurs demandes et à leurs besoins. Dans ce contexte, les Berbères d’Afrique du nord (Maroc, Tunisie, Algérie et Libye) ont joué un certain rôle après avoir eux-mêmes été victimes de cette traite…

Page 61 on lit dans ce «serment des chasseurs» une nette condamnation de l’esclavage qui montre, en creux, qu’il existait auparavant : Si, d’aventure, la famine venait à sévir, la guerre ne détruit plus jamais de village pour y prélever des esclaves. C’est dire que nul ne placera désormais le mors dans la bouche de son semblable pour aller le vendre. Personne ne sera non plus battu, a fortiori mis à mort, parce qu’il est fils d’esclave… Les tourments nés de ces horreurs sont finis à jamais de ce jour au Manden…

Quelle belle formule : nul ne placera désormais le mors dans la bouche de son semblable pour aller le vendre.

Le Portugal a joué un rôle de tout premier plan dans le développement de ce marché des esclaves. Il conquit la ville de Ceuta et organisa à partir de là de grandes expéditions tous azimuts. Pour donner une idée de son expansion, rappelons que la ville de Lisbonne passa de dix mille à cent mille habitants en un siècle ! Les plantations sucrières, plus encore que l’industrie cotonnière  requéraient tant de bras que le commerce des esclaves en fut très affecté. Il fallait de plus en plus de main d’œuvre pour produire de la canne à sucre.

L’auteur cite une source selon laquelle plus de deux mille orphelins ou enfants juifs, arrachés à leur famille par l’Inquisition pour les convertir, furent transférés à cette fin sur l’île de Sao Tomé. Plus de la moitié y périrent, suite à de mauvais traitements et à la famine sévissant sur l’île. Le roi du Portugal dut imposer l’attribution de petits lopins de terre aux esclaves afin que ceux-ci pussent y cultiver un peu d’agriculture vivrière… C’ était l’époque où certains descendants d’esclaves ou d’affranchis, organisèrent des révoltes qui firent de nombreuses victimes dans leurs rangs. On peut donc avancer, sans risque de se tromper, que le Portugal a considérablement développé le commerce des esclaves qui n’étaient pas tous de race noire puisqu’on comptait aussi parmi des hommes et des femmes venus d’Europe.

Quelques chapitres font cependant état de révoltes, non seulement sur place dans les exploitations ou les fermes, mais même sur les bateaux. On lit ici le cas d’un jeune esclave, refusant de se nourrir et qui avait tenté de se suicider à l’aide de ses ongles… D’autres se jettent à l’eau. Certains esclaves ont même réussi à maîtriser l’équipage et à égorger quelques uns de leur bourreaux. On parle aussi de regroupements d’esclaves en fuite qui s’organisèrent des zones montagneuses difficiles d’accès.

L’auteur du présent ouvrage consacre quelques pages aux horribles conditions de transport de ces pauvres êtres, arrachés à leurs parents et à leur environnement naturel, entassés les uns sur les autres dans des cales surpeuplées et insalubres, sans même pouvoir étendre leurs pieds… Et cela pouvait durer des semaines, voire des mois, lorsqu’il fallait attendre que les négriers viennent prendre livraison de la cargaison (sic) d’esclaves. Certains chercheurs ont évalué le nombre d’Africains enlevés et envoyés aux Amériques… L’écart est considérable puisqu’on parle de 8 à 15 millions d’hommes, de femmes et d’enfants. On a aussi tenté d’évaluer le taux de mortalité de ces esclaves qui ne sont jamais arrivés à bon port, en raison des maladies contagieuses et des privations…Mais les conditions se sont légèrement améliorées, non point par esprit humanitaire mais simplement parce que le salaire des capitaines des bateaux variait en fonction du nombre d’esclaves effectivement livrés sur place…

Grande puissance maritime et, par voie de conséquence, très intéressé par le commerce à la fois du sucre et des esclaves œuvrant dans les plantations, le Portugal avait réussi à établir une solide tête de pont dans le lointain Brésil, découvert en 1500. Voici ce qu’écrit l’auteur de ce livre sur ce pays qui finit par arracher son indépendance au Portugal : le Brésil est né comme une nation esclavagiste, le développement du pays restant directement associé à l’exploitation du travail esclave.

L’esclavage, cette longue, interminable, nuit spirituelle de l’humanité, a pris fin. Bien que la traite fût au cœur de l’économie britannique, des voix se firent entendre pour faire cesser ce commerce dégradant. Les parlements, notamment britannique, légiférèrent et la traite fut abolie. Mais comme l’écrit l’auteur de cet ouvrage, l’abolition de la traite ne signifie pas nécessairement la fin de celle-ci. Bien que des escadres se soient lancées à la poursuite des bateaux négriers, certains prenaient le risque d’enfreindre la loi et de transporter de manière frauduleuse et clandestine les esclaves vers les Amériques, notamment au Brésil. Je n’ai rien dit sud esclavagiste des USA où les champs de coton étaient très avides de main d’œuvre. En dépit de bien des résistances, les idées humanitaires ont fini par triompher, même si des pays comme le Brésil furent les tout derniers à renoncer à ce sinistre commerce. Déjà vers le milieu du XIXe siècle, certains esclaves en fuite ou qui avaient acheté leur affranchissement publièrent des témoignages de leur calvaire.

Et où en sommes nous aujourd’hui ? L’auteur montre que l’esclavage a pris d’autres formes et n’est toujours pas éradiqué dans certains pays d’Afrique où la traite fait partie de la culture ambiante depuis des siècles. Notamment dans la domesticité où l’on voit subsister des formes spéciales d’esclavage dans certains pays arabo-musulmans. Mais il demeure que cette tache marquera l’histoire de l’Occident à tout jamais.

Ce livre constitue une belle synthèse de ce qu’on sait sur caste question. Mais je déplore un seule manque : le statut de l’esclave dans la Bible et dans les Evangiles puisque tant les qjuifs que les chrétiens ont été touchés par ce phénomène, soit en tant que bourreaux soit en tant que victimes. Mais cela n’enlève rien aux grands mérites de livre.

Les routes de l’esclavage : Histoire des traites africaines XVe-XXe siècle

par Catherine Coquery-Vidrovitch

source:

Lausanne: Vente aux esclaves d’Africains pour culpabiliser “les Blancs racistes” (Vidéo)

Cela s'est déroulé le 25 novembre 2017.

Bien évidemment, ces "artistes" n'oseraient jamais faire leur petit cinéma en Algérie, au Maroc ou en Libye. Il convient de culpabiliser les Blancs alors qu'ils n'ont rien à voir avec l'esclavagisme dont les Maghrébins sont responsables.

 

 

Pire, "nous nous déculpabiliserions en versant de l'argent aux instances humanitaires". Même si nous leur offrons des milliards et que nous les accueillons, leur donnons un avenir, ce n'est pas encore assez. Ce n'est jamais assez!

Pendant ce temps, leurs amis musulmans se fichent éperdument de la situation, ne se remettent aucunement en question, ne montrent aucun remord et ne versent pas le moindre centime pour palier à cette situation. Tout va bien.

Il faut dire qu'aider en cela par la gauche qui nous accuse systématiquement de tout, ces guignols peuvent encore continuer longtemps leur comédie, bien au chaud dans cette Europe qui les a accueillis.

La traite négrière organisée par les arabo-musulmans aurait concerné 17 millions de Noirs

Sarah Sakho est allée au Sénégal à la rencontre d’un des spécialistes de la question de l’esclavage, l’historien Tidiane Ndiaye, auteur de plusieurs enquêtes historiques dont « le Génocide voilé » sur la traite arabo-musulmane. Il nous a donné son point de vue sur le travail de mémoire effectué par la France ces dernières années.

La traite négrière organisée par les arabo-musulmans aurait concerné 17 millions de Noirs qui, pour la plupart, furent castrés et ont presque tous disparu.

 

Via Fdesouche.com

Des marchés aux esclaves en Libye: “Ce marché est tenu par des Libyens, des Ghanéens et des Nigériens.” selon l’ONU

L’Organisation mondiale pour les migrations dénonce l’existence de marchés aux esclaves en Libye et notamment dans le sud-ouest du pays.

Des migrants sub-sahariens rescapés témoignent que ces marchés aux esclaves sont tenus par des Libyens avec l’aide de ressortissants ghanéens et nigérians.

Le chef de mission pour la Libye de l’organisation mondiale pour les migrations, Othman Belbeisi, explique que les marchés se tiennent à ciel ouvert et qu’on peut y acheter un migrant pour quelques centaines d’euros.

 

Othman Belbeisi : “En allant sur ce marché, vous pouvez acheter pour 200 à 500 euros un migrant qui vous aidera chaque jour dans votre travail… Une fois achetée, cette personne vous est remise et elle passe sous votre responsabilité. Beaucoup s’enfuient, beaucoup sont maintenus attachés alors que d’autres sont prisonniers dans l’espace où chaque jour, ils sont forcés de travailler.”

Les témoignages recueillis par les Nations Unies font également état de femmes vendues comme esclaves sexuelles.

D’autres témoignages racontent qu’une fois vendus les migrants sont victimes de torture et font l’objet de demande de rançons.

Source

« Les chrétiennes ne sont là que pour une chose, le plaisir des hommes musulmans »

Source par Raymond Ibrahim

  • En Irak, 19 filles yazidis ont été enfermées dans des cages de fer et brûlées vives, pour avoir refusé de copuler avec les djihadistes.
  • « Les femmes appartenant à des minorités religieuses sur des territoires contrôlés par l’Etat islamique passent de djihadiste en djihadiste. Quand l’un se lasse de violer et abuser une fille, il la vend à l’un de ses copains qui la viole et en abuse à son tour ». — Samuel Smith,The Christian Post.
  • Un couple dont les deux filles ont été kidnappées par l’État islamique a trouvé sur le seuil de sa porte un sac contenant les cadavres dépecés de leurs filles et une vidéo retraçant les viols et tortures qu’elles avaient subies.
  • « Les filles chrétiennes sont considérées comme des marchandises qu’on casse à loisir. Abuser d’elles est un droit. Dans la mentalité de de cette communauté, il ne peut s’agir d’un crime. C’est le butin de guerre des musulmans ». — Des villageois du Pakistan.

La loi islamique, toujours sévère, l’est plus encore pour les femmes. Selon le Coran, les hommes ont « autorité » sur les femmes et sont en droit de les battre en cas de « désobéissance » (4 : 34). Selon le prophète Mahomet, les femmes sont moins intelligentes que les hommes – deux femmes sont nécessaires pour égaler le témoignage d’un homme – et la majorité des damnés de l’enfer est composée de femmes qui, comme les ânes et les chiens, ont la capacité de distraire un homme de sa prière et ainsi l’annuler.

Source et suite de l'article

Etat Islamique : une liste de prix publiée pour les esclaves sexuelles

Plus elles sont jeunes, plus elles valent cher. Une représentante des Nations unies a déclaré avoir eu en main une liste de tarifs pour des esclaves sexuelles, éditée par les djihadistes de Daesh, rapporte l’agence Bloomberg. C’est lors d’un voyage en avril dernier en Irak que Zainab Bangura, envoyée spéciale de l’ONU sur les questions de violences sexuelles en zone de conflit, a pu découvrir ce tract islamiste incluant les prix pour les esclaves féminines capturées.

150 euros pour un enfant de moins de neuf ans

« Les filles sont échangées comme des barils de pétrole », a déclaré Zainab Bangura. « Une fille peut être vendue et achetée par cinq ou six hommes différents. Parfois les combattants revendent les filles à leurs familles en échange de rançons de plusieurs milliers de dollars. » En moyenne, des enfants, filles ou garçons, âgés de 1 à 9 ans valent 150 euros. Les adolescentes valent, elles, environ 110 euros. Les femmes dépassant les 20 ans ne valent plus autant.

D’après Zainab Bangura, les leaders des groupes armés ont la priorité pour choisir l’esclave de leur choix. Ensuite, les personnes aisées de la région peuvent faire des enchères. Après ces deux étapes, les esclaves restant sont proposés aux combattants de base aux prix indiqués. La liste de prix a été vérifiée par les Nations unies comme provenant bien du groupe djihadiste.

Source via Fdesouche.com

RTS : “L’Europe (et la Suisse) tergiversent sur les valeurs de solidarité et d’accueil”

Haute définition du dimanche 5 juillet 2015/RTS info recevait Marie-Claire Caloz-Tschopp, philosophe, pour parler de la peu accueillante Europe

NDLR : Reconnaissons à Manuela Salvi un certain génie pour trouver des perles parmi les intellectuels-philosophes hors sol et donneurs de leçons pour ses interviews du dimanche. Grâce à nos sous, rappelons-le, elle peut, semaine après semaine, dénigrer les sentiments et les ressentis (parfaitement justifiés) d'une grande partie de la population face à l'actuelle immigration/invasion.  DB

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Ci-dessous, quelques extraits choisis de l'interview :

Manuela Salvi :

[...] L'Europe se déchire sur la question migratoire, les égoïsmes nationaux l'emportent [...]

[...] ...est-ce qu'un jour on aura honte de cette histoire ? (ndlr cf accueil des migrants) [...]

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Marie-Claire Caloz-Tschopp :

[...]...en Suisse et en Europe on ne parle plus d'hospitalité, cette valeur a été effacée, piétinée [...]

[...]...faire ces voyages absolument effarants et se retrouver à Genève dans des bunkers, ça fait penser à l'esclavage, à ces histoires d'esclaves [...]

En plus, et c'est grave, cette dame trompe son monde en donnant des chiffres fantaisistes sur l'immigration/invasion : "25'000 personnes frappent à la porte de l'Europe". Quand on connait les chiffres des arrivées par la Méditerrannée uniquement depuis le début 2015 (sans oublier les autres voies d'accès à l'Europe qui sont à prendre en compte), on se pose la question de la légitimité de cette philosophe.

Ecoutez :

L’Histoire inacceptable : Le premier propriétaire esclavagiste américain était noir

Avant 1655 il n’y avait aucun esclave légal dans les colonies américaines britanniques qui deviendront les Etats-Unis, seulement un contrat bilatéral appelé « indenture » pour des serviteurs qui proposaient leur service en échange d’une aide matérielle. Concrètement des noirs acceptaient de partir dans ces colonies britanniques et de travailler pendant un certain nombre d’années pour rembourser leur voyage et leur entretien. Avec cette pratique tous les maîtres étaient tenus de libérer leurs serviteurs après un certain temps. La durée limite de ces contrats était de sept ans. À leur départ on leur accordait 50 acres de terre (environ 20 hectares). Cela était valable pour n’importe quel Africain acheté à des marchands d’esclaves. Eux aussi avaient droit à leurs 50 acres à l’expiration de leur contrat.

Suite

Les chrétiennes irakiennes vendues à la criée comme esclaves au souk de Mossoul

Le Croissant rouge irakien appelle la communauté internationale à intervenir pour sauver les femmes chrétiennes, vendues dans les souks du Mossoul par l’Etat islamique.

Les djihadistes de l’Etat islamique imposent désormais leurs lois d’un autre âge dans les zones qu’ils occupent au centre et au nord de l’Irak, et notamment à Mossoul. Toutes les communautés sont malmenées et humiliées, et particulièrement les chrétiens.

Femmes-chretiennes-irakiennes-2

Ces derniers, qui vivent dans cette région depuis 2000 ans, sont aujourd'hui dépouillés de leurs biens et chassés de chez eux. Ceux d’entre eux qui résistent sont carrément exécutés.

Quant aux femmes, elles sont conduites comme un troupeau de bétail au souk de Mossoul et vendues à la criée comme jadis les esclaves. [...]

Kapitalis