États-Unis : professeure de droit licenciée pour avoir dit que les étudiants noirs avaient des notes plus basses

Professeure de droit de Georgetown licenciée pour des remarques sur les étudiants noirs

[…] Une professeure de droit de Georgetown ne fait plus partie de l'université, et un autre professeur fait l'objet d'une enquête, après la diffusion d'une conversation Zoom comportant des "affirmations répréhensibles" concernant les étudiants noirs, selon le doyen de l'école.

L'enregistrement en question a fait depuis lors le tour des médias sociaux. On y voit les professeurs Sandra Sellers et David Batson discuter au sujet de leurs étudiants. À un moment, Sandra Sellers dit : "Tu sais, je déteste dire ça, mais je finis par avoir cette… angoisse chaque semestre que beaucoup de mes étudiants mal notés soient des Noirs. Cela arrive presque chaque semestres […]"

[…] Dans une vidéo ultérieure postée sur Twitter, Batson dit que "mes propres préjugés inconscients jouent un rôle"et qu'il examine ses perceptions personnelles "à l’égard de certaines personnes."

Un nommé Hassan Ahmad, membre du Comité d’admission de l’école, a retweeté cette conversation en qualifiant les propos d’« ouvertement racistes » et « totalement inacceptables ». [Ndt. Dans deux autres tweets, il dit se sentir « coupable de faire entrer des étudiants issus de milieux sous-représentés dans une environnement où il y a des professeurs comme ça », et il lance une pétition réclamant le licenciement de Mme Sellers.]

La conversation incriminée avait été signalée comme accessible aux étudiants. Elle l'est resté plusieurssemaines avant d'être retirée.

Dans un communiqué, le doyen William Treanor a déclaré que le contrat de Sandra Sellers était "terminé" et qu'elle lui avait dit "qu'elle avait l'intention de démissionner". Sa biographie ne figure plus sur le site Web de Georgetown Law. M. Treanor a également déclaré que M. Batson était actuellement en congé administratif pendant que l'école poursuivait son enquête.

L'Association des étudiants en droit noirs de l'université de Georgetown a publié une déclaration sur l'incident, avant le licenciement de Sellers, qualifiant ses propos de "racisme éhonté."

[...]

Source  (avec vidéos): Georgetown law professor fired over remarks about Black students

Traduction Cenator

Traduction automatique de l'article entier (sauf les insertions)

******

Commentaire

de Roberto Vivaldelli pour ilGiornale.it

[…]

Le politiquement correct s'abat également sur l'université de Georgetown. Sandra Sellers est un professeur estimé de la prestigieuse faculté de droit de Georgetown, à Washington, DC, ou du moins l'était : l'enseignante, en effet, après 20 ans de carrière distinguée, a été renvoyée ces derniers jours de l'université sur la base de la tristement célèbre accusation de racisme.

Mais son histoire - grotesque, absurde - nous renseigne sur le climat d'hystérie et de fondamentalisme idéologique que la culture ultra-progressiste de la cancel culture et du politiquement correct génèrent dans le pays et dans tout l'Occident. Qu'a fait Sandra Sellers pour être accusée de racisme et brusquement renvoyée de l'université de Georgetown ? Comme le rapporte la National Review, lors de ce qu'elle pensait être une conversation privée avec un autre membre du corps enseignant après un cours à distance, Sellers s'est exprimée sur les résultats scolaires d'un de ses étudiants noirs : "Vous savez quoi ? Je déteste le dire, mais je finis par avoir cette angoisse chaque semestre que beaucoup de mes étudiants les moins performants sont noirs. Ça arrive presque tous les semestres."

À l'insu des protagonistes, la conversation était toujours enregistrée et a été téléchargée dans la base de données. Juste ciel! Quelques semaines plus tard, l'Association des étudiants en droit noirs de Georgetown, a eu connaissance des propos de la professeure et a immédiatement demandé sa démission. "Ces déclarations racistes", se plaint-elle, "révèlent non seulement les croyances de Sellers sur les étudiants noirs dans ses classes, mais aussi comment ses pensées racistes se sont traduites en actions racistes. Les préjugés du professeur Sellers ont eu un impact historique sur les notes des étudiants noirs dans ses classes, selon ses propres termes."

Et si la professeure, comme le note la National Review elle-même, avait simplement dit ce qu'elle avait réellement observé ?

Althea Nagai, du Center for Equal Opportunity, a passé des années à étudier les disparités raciales dans l'admission des étudiants dans les facultés de droit. Elle a étudié les facultés de droit de l'université de l'Oklahoma, de l'université du Wisconsin, de l'université du Nebraska, de l'université de l'Utah, de l'université de l'Arizona, de l'université d'État de l'Arizona et de l'université du Michigan. Chacune de ces facultés de droit a admis que les candidats noirs étaient, en moyenne, nettement moins qualifiés que les candidats blancs. Alors pourquoi ce racisme serait-il celui de la Sandra Sellers, qui a simplement rapporté - en privé, d'ailleurs - ce qu'elle a pu voir ? Cela ne signifie pas que ses paroles aient une valeur scientifique ou autre, au contraire : mais il s'agissait de son expérience et de sa réflexion personnelles qu'elle a banalement rapportées à un collègue. Mais rien à faire : les excuses de l'enseignante n'ont pas suffi et elle a été licenciée sans préavis. Bill Treanor, le doyen de la faculté de droit, a qualifié la conversation de "répréhensible", ajoutant que "la fermeture et l'enquête" sont loin d'être terminées. En effet, l'interlocuteur de Sellers est également en danger.

Source: "I miei studenti neri prendono voti più bassi": licenziata dalla Georgetown

******

Voir aussi le commentaire de la National Review:

Increasingly, Facts Are Considered Racist (trad. auto.)

Quotas de femmes, Noirs, Arabes, homos… durs, les meetings de gôche !

Publié le 24 juin 2020 - par

Catégories obligatoires, sous peine de nullité !

Ce qu’il y a de bien avec les autoproclamés bien-pensants, détenant la vérité sur tout… un peu comme Jésus qui transformait l’eau en vin… eux ils transforment n’importent quel événement en affrontement sur l’égalité des races (qui pourtant n’existent pas, ce sont les mêmes qui le glapissent à longueur de journées !) ou sur l’injuste sort fait aux femmes (par les hommes blancs uniquement… les viols commis par les autres ça ne compte pas !)… ce qu’il y a de bien, donc, c’est qu’ils ne restent jamais bien longtemps sans nous donner de leurs nouvelles, même si ce qu’ils disent et font est bien le dernier de nos soucis !

En même temps, comme dirait un pote à moi… il faut bien reconnaître que parmi l’échantillon de conneries sorties de leurs cerveaux enfiévrés, nous trouvons souvent, entre deux annonces scandaleuses ou stupides, voire les deux à la fois, de quoi nous dilater la rate, surtout quand ils/elles font de l’humour sans même s’en rendre compte…

L’exemple type étant sans doute la sémillante Sibeth Ndiaye, ayant porté à bout de bras le poste de porte-paroles du président (PPP) à un stade de ridicule accompli, tout en arborant un air de contentement profond… quand beaucoup d’entre nous, à sa place, serions terrés chez nous, honteux de la première ineptie qui a franchi ses lèvres.

Mais ce jour, c’est une autre comique qui nous apporte sa bonne parole ; Caroline de Haas, fondatrice et porte-parole de « Osez le féminisme » ce qui, rien que dans l’énoncé est déjà tordant quand on connaît la donzelle.

Car pour ceux qui n’auraient pas eu vent de son talent, sachez que c’est la grande défenseuse des femmes (qui pourtant ne lui demandent rien !) qui a eu la brillante idée, pour lutter contre le harcèlement de rue… d’élargir les trottoirs !

Ça fait du bien, hein, de rigoler un bon coup de temps en temps… Bon, on peut continuer maintenant ?

Ce qui lui valut immédiatement la réponse d’Aurore Bergé, autre grande figure des représentantes féminines chez nos élus.

https://www.lexpress.fr/actualite/societe/harcelement-de-rue-a-la-chapelle-pajol-faut-il-elargir-les-trottoirs_1910691.html

Macron a peut-être raison de prétendre que nous n’avons ni culture, ni Histoire… puisque sur une simple proposition inédite et innovante, la dame de Haas renvoie tous nos brillants génies d’antan aux oubliettes ; avant de Haas, rien !

Après non plus d’ailleurs, car on se demande comment pourrait-on faire pour égaler cette hauteur de vue, cette réactivité et surtout cette invention pour régler un problème récurrent, auquel personne jusqu’alors n’avait trouvé de solution.

Vous en rêviez ; Caroline l’a fait !

https://fr.wikipedia.org/wiki/Caroline_De_Haas

Aujourd’hui, elle est passée à autre chose, la de Haas ; comme toutes ses semblables, ce qui lui importe avant tout, c’est de faire parler d’elle, notamment en mettant la lutte des sexes à toutes les sauces…

Ainsi ce qui dernièrement l’a fait réagir, c’est dans le cadre des municipales 2020, la tenue d’un meeting numérique, sur le thème « Rejoignez Saint-Étienne demain et Pierrick COURBON pour une alternative sociale, écologique et citoyenne pour Saint-Étienne » pour lequel une affiche présentait cinq intervenants… scandaleusement masculins !

Il n’en fallut pas plus à la Caroline pour répliquer au tweet du footeux français-basané Vikash Dhorasoo qui lui voyait « trop de Blancs » dans cette affiche :

http://www.fdesouche.com/1392199-caroline-de-haas-trouve-un-meeting-de-gauche-trop-masculin-vikash-dhorassoo-trop-blanc

Scandale suprême pour les féministes de salon actuelles… qui n’admettront jamais que l’attribution d’un poste, surtout à haut niveau, ne devrait toujours se faire qu’en fonction de réelles compétences, non en raison de l’appartenance à un sexe ou une race !

Alors 5 gus venant soutenir un copain… en quoi cela gênerait les femmes, en dehors de ces éternelles excitées qui d’ailleurs se trompent régulièrement de combat ?

Car une nouvelle fois, Caroline de Haas eût été bien inspirée d’attendre d’avoir tous les éléments en sa possession avant de s’exprimer, car sur une autre affiche, il apparaît qu’en dehors des « personnalités masculines » de premier plan (on ne rit pas !) figurait également pléthore d’invités féminines !

https://courbon2020.fr/evenements

Franchement, ça devient vraiment coton d’organiser un meeting de « gôche » de nos jours… Pour un peu, je plaindrais très sincèrement les pauvres « zorganisateurs » obligés désormais de résoudre des problèmes bien plus graves que celui de la relativité (pardon M’sieur Einstein !)… en devant se soumettre aux quotas de femmes, quotas de Noirs, quotas d’Arabes, quotas d’homos…

Mais aussi, sont-ils obligés d’adhérer à de telles conneries ? Certainement pas, alors qu’ils aillent chouiner ailleurs !

Ici il aurait suffi de composer un meeting, et l’affiche correspondante, avec ;

Marine (ou Marion) à la place de Bilal Hamon,

– Éric Zemmour à la place de Ian Brossat (comme maire de Paris)

Pierre Cassen à la place de J.-F. Débat, au nom prédestiné

Gérard Boyadjian à la place de François Ruffin

– et Christine Tasin à la place de Yannick Jadot

Et le tour était joué, les femmes superbement représentées, et des hommes de réelle grande valeur, ça nous changerait un peu…

Comment ça, « mais y a encore trop de Blancs » ?

Ah mais, va falloir arrêter maintenant avec ces conneries de couleurs ! Car j’ai une méga-solution à proposer à tous les pisse-froid jamais contents, et qui donnerait satisfaction à tout le monde :

Que tous ceux qui trouvent qu’il n’y a pas suffisamment de Noir(e)s en France partent immédiatement s’installer en Afrique, où là, ils pourront se régaler… (Manu, si tu me lis ?).

Et ce sera mon dernier mot… pour aujourd’hui !

Josiane Filio, au nom de la Liberté d’expression

source: https://ripostelaique.com/quotas-de-femmes-noirs-arabes-homos-dur-les-meeting-de-goche.html

******

image en avant:

Unil : hommes discriminés

Ndrl : Un étudiant nous a fait parvenir cette information avec la mention "encore une discrimination envers les hommes". Voilà comment nos jeunes hommes, souvent à juste titre, commencent à ressentir cette discrimination "positive".

Subvention pour les femmes de la relève

Le Bureau de l'égalité de l'UNIL annonce le nouveau délai de soumission pour la Subvention Tremplin fixé au 11 septembre 2015.

Subvention Tremplin
Cette subvention, qui consiste en un subside de maximum CHF 25'000.- sous forme de décharge, permet aux femmes de la relève de libérer du temps pour la recherche et la publication et d'étoffer ainsi leur dossier académique en des phases critiques/décisives de leur carrière.

Elle est destinée aux femmes de la relève académique de l'UNIL.

Les candidates souhaitant postuler pour obtenir cette subvention doivent déposer leur dossier auprès du Bureau de l'égalité.

Délai de dépôt des candidatures: 11 septembre 2015 (tampon de la poste faisant foi)

Subventions Egalité
Les dossiers de candidature pour cette aide financière ponctuelle, d'un montant maximum de CHF 5'000.-, peuvent être déposés en tout temps et doivent servir à financer des projets académiques (travail de terrain, participation à des colloques, séjour à l'étranger, publications, etc.).

 

Source Unil

« Rentre chez toi, petite Salvini » : persécution antiraciste dans une école italienne

09/03/2015 – TRENTE (NOVOpress)
C’est le mot d’ordre martelé par Kashetu Kyenge : mettre « tous ceux qui discriminent de quelque manière que ce soit » au ban de la société. Un prof d’anglais du lycée Russell de la petite ville de Cles, dans le Trentin-Haut-Adige, a décidé de suivre ces injonctions, en transformant ses cours en inquisition antiraciste.

Vendredi matin, en cours d’anglais, il a posé à ses élèves la question piège : « si en vous promenant en ville vous rencontriez un étranger et un Italien en difficulté, qui aideriez-vous ? » Une élève de quatorze ans a donné la mauvaise réponse : « L’Italien ». Le prof l’a immédiatement insultée : « Petite Salvini, retourne d’où tu viens ». Puis il l’a soumise à « une sorte de procès devant la classe ».

Suite

USA: la discrimination positive à l’université validée par une cour d’appel

La Cour d'appel du 5e circuit a confirmé jeudi sa première décision. Elle a donné à nouveau raison à l'université du Texas, en estimant que lui interdire d'utiliser l'origine ethnique comme critère d'admission nuirait à la diversité.

 

 

"Nous sommes persuadés que refuser à l'Université du Texas à Austin son usage limité de l'origine ethnique dans sa quête globale de la diversité entraverait la richesse de l'éducation", peut-on lire dans la décision.

Source et auteur