Selon l’Union de la jeunesse catholique allemande “Tous les chrétiens croient en Allah.”

Selon leur Facebook: "Une campagne pour la tolérance et le dialogue entre l'islam et le christianisme."

"Le savez-vous? Allah est un mot arabe qui signifie simplement 'Dieu'. Tous les chrétiens croient en Allah, comme les musulmans croient en Dieu."

Pour ces cancres, trompant consciemment ou non leurs coreligionnaires chrétiens face à l'islam, on rappellera que cette traduction niaise est tout simplement fausse.

L'islam implique de facto la distinction entre musulmans et non musulmans. Il est bien clair que cette propagande est faite en Europe et vise les Européens majoritaires sur leurs terres tout en favorisant l'immigration musulmane. Le musulman quant à lui sait que son dogme décrit la religion chrétienne comme étant bâtie sur un mensonge. Mais le but est de prétendre que tout est pareil et interchangeable afin de faire accepter l'islam en Europe.

L'idéologie de gauche colporte des idées fausses et criminelles pour notre avenir au moyen de concepts publicitaires simplificateurs et fallacieux. En Europe, ce qui est offert à l'islam n'existe tout simplement pas dans les pays musulmans. Tout cela se fait sans réciprocité et à notre désavantage.

En définitive, on en vient à faire croire que tout est semblable, que l'islam = christianisme, ce qui est faux et archi-faux. Dès lors, les Européens ne verraient aucune raison de s'opposer à l'islamisation de leur continent "puisque tout est pareil". Or dans les faits, les réfugiés chrétiens sont persécutés par les réfugiés musulmans; Les musulmans font bel et bien la distinction entre eux et les autres religions. Et ils ne se privent pas d'imposer la violence pour cela.

Une telle campagne serait tout simplement interdite dans les pays musulmans puisque mensongère vis-à-vis du dogme musulman. En outre, elle permettrait aux chrétiens d'être reconnus comme étant leurs égaux ce qui est une aberration dans l'islam. Dans la réalité, c'est bien le contraire qui se passe:

Malaisie: les chrétiens privés du mot "Allah"

Nouvel hymne national: La société d’utilité publique veut l’imposer petit à petit dans les esprits.

Christian Hofer: Cette société va donc imposer son dictat alors que la population n'a jamais eu son mot à dire. C'est clairement un processus anti-démocratique et ils le savent. Ils profitent des écoles pour implanter ce changement dans l'esprit des plus jeunes sans que ceux-ci puissent refuser. Leur méthode est tout simplement scandaleuse et les commentaires du 20 Minutes vont dans le même sens.

Notez bien qu'ils ne conçoivent aucunement que le peuple puisse refuser: pour eux, cette modification est déjà acquise, ce n'est qu'une question de temps!

Enfin, personne ne sera surpris par le fait que cette société a... gommé la référence à Dieu tout en invoquant l'ouverture sur le monde (cela n'est d'ailleurs pas mentionné dans l'article, il faut le découvrir par soi-même). C'était cela le but de cette société, rendre la Suisse multiculturelle jusque dans son hymne car c'est bien cette strophe spécifiquement qui a été remplacée et qui pouvait poser problème. 

Ainsi, l'empreinte chrétienne de notre pays doit être effacée alors que notre Constitution y fait clairement référence. Dans leur explicatif en allemand, ils prétendent que cet hymne doit être celui de "tous les Suisses" alors que les athées n'ont rien demandé. Cet hymne ressemble à une ode au multiculturalisme, déracinant le peuple suisse avec des concepts exportables et déclinables à volonté. Le nouveau texte est tout simplement grotesque et on ne peut que rire en lisant que ce sont des "spécialistes" qui ont eu à choisir. D'un bout à l'autre du processus, rien n'a été décidé ou validé par le peuple mais par une poignée d'oligarques qui s'octroient des pouvoirs illégitimes. 

Comme évoqué dans un précédent article, le président de cette société est Jean-Daniel Gerber, non seulement ex-directeur exécutif à la Banque mondiale ou encore ex-dirigeant de l’Office fédéral des migrations mais surtout connu pour avoir tenté de museler notre démocratie directe.

test

 

******

Les citoyens pourront désormais célébrer la fête nationale avec une nouvelle strophe, rédigée par Werner Widmer.

«L'équité est vraiment la notion essentielle du nouveau texte, lequel ne néglige pourtant pas d'autres valeurs clés du préambule: la liberté, l'indépendance et la paix sont des incontournables pour la Suisse», souligne la SSUP. Ces dernières sont liées à la solidarité et à l'ouverture au monde.

Selon la SSUP, elle convient notamment aux manifestations sportives internationales, auxquelles des Helvètes issus des quatre régions linguistiques participent. Cette seule strophe peut alors être chantée.

Le nouveau texte sera chanté de plus en plus souvent. Plusieurs municipalités, à l'image de Meinier (GE), l'ont intégré dans leur programme de la fête nationale.

La SSUP souhaite maintenant propager les textes définitifs avec leurs partitions auprès des communes, écoles, associations sportives et groupes de musique du pays entier. Ainsi, le nouveau texte sera chanté de plus en plus souvent, notamment lors de cérémonies de Fête nationale et de manifestations sportives, musicales et festivités de tous genres.

"Nous sommes par ailleurs convaincus que c’est un défi intéressant pour les enseignants que de discuter des nouveaux textes avec leurs élèves et de leur apprendre à les chanter.

Comme il est impossible en Suisse qu’un nouvel hymne national ne soit imposé par une quelconque autorité, un nouvel hymne doit se développer par la base. C’est pourquoi la SSUP et divers acteurs de la société civile soutiennent la promotion du nouveau texte auprès de la population. Ce n’est que lorsque le nouveau texte aura remplacé dans les faits le Cantique suisse qu’il sera officiellement soumis à l’instance fédérale compétente pour que celle-ci l’entérine comme le nouvel hymne national du pays. C’est un processus qui durera probablement plusieurs années. Mais le temps ne presse pas."

Ecole primaire et jardin d’enfants de Muolen chantent le texte "proposé" pour le nouvel hymne national.

La traduction française du texte de Werner Widmer :

Sur fond rouge la croix blanche,
symbole de notre alliance,
signe de paix et d’indépendance.
Ouvrons notre cœur à l’équité
et respectons nos diversités.
A chacun la liberté
dans la solidarité.
Chantons d’une même voix :
sur fond rouge la blanche croix.

Source1 Source2