France : La Carte des faits divers

Démarrée au lendemain des élections présidentielles, des patriotes ont commencé le recensement des faits divers violents sur une cartographie.

L’idée étant d’apporter l’information la plus complète et la plus juste de la réalité du terrain sur cette délinquance, criminalité. Rien de tel n’existe. Aucune surenchère : juste des faits.

Des agressions que nous retrouvons dans la presse subventionnée en fouillant les faits divers. Nous sommes simplement des citoyens en colère, voire effrayés, par l’évolution en nombre et en intensité des agressions, mois après mois. Tellement de victimes « civiles », poignardées ou tabassées dans l’indifférence « médiatique » la plus totale, ou pire « la désinformation » sur les motivations de tous ces criminels en liberté : l'ébriété ou le "déséquilibre", un peu comme si on les « excusait » de leur sauvagerie et de leur barbarie.

Parmi les + 4000 blessés et + 500 morts ce ne sont pas que des gangs qui règlent leurs comptes : NON : Il y a beaucoup d’actes « haineux » : tabassés pour une cigarette « ou pour un mauvais regard » ou encore parce des personnes interviennent pour aider une première victime…

On ne peut pas appeler cela des « rixes » mais bien des actes gratuits :

  • « Une blessure à la gorge » c’est soit une tentative d’égorgement ou un égorgement lorsque la victime en meurt.
  • Un SDF ne pourra jamais être un « clandestin » : il n’a pas vocation à avoir un appartement, il ne peut présenter les documents sollicités, ni ne possède les moyens financiers.
  • Une voiture qui fonce sur une terrasse est un attentat pas un « chauffard »

 

 

Outre ce premier objectif d’information atteint c’est un excellent outil de communication. La Cartographie peut être imprimée (en haut à droite – imprimer – format paysage – et Page 1), et distribuée hors des réseaux sociaux pour ré-informer la population, un lien raccourci permet à tout le monde d’accéder aux détails, avec bien évidemment les liens de presse qui certifient le fait divers.

Depuis ses débuts nous avons fait évoluer le projet en scindant la cartographie pour une meilleure visibilité : Différents sujets sont traités.

Interpellés par le traitement juridique : la cartographie des jugements a été lancée

  • Interpellés par la notion de « haine » qui ressort des meutes à l'encontre des policiers, des gardiens de prison et des pompiers : la cartographie spéciale forces de l’ordre 

Nous pensons aussi que ce problème n’est pas cantonné à la France et que d’autres pays européens sont impactés par cette criminalité.

Celles-ci se retrouvent pour une meilleure visibilité situées au Groenland de la cartographie de base

  • Nous traitons aussi des informations qui nous parviennent dans toute l’Europe. Décisions « surprenantes » mais qui à terme « islamisent » nos sociétés au nom d’une paix sociale et d’un « vivre-ensemble » qui n’existent déjà plus :

On peut consulter le détail. Celui-ci vous permet de prendre conscience de la réalité de la France et de l’Europe en 2018. Aucune réponse n’est apportée à cette criminalité : les délinquants sont sans foi ni loi, simplement nourris par leur haine de la France et des Français, des Européens. Mais ils veulent aussi nous imposer un mode de vie qui n’est pas le nôtre et ne le sera jamais.

Nos remerciements à Victoria Valentini

Pour la première fois, Londres a enregistré plus de meurtres que New York. La Cheffe de la police à Londres explique ce phénomène par… les réseaux sociaux!

La criminalité est hausse dans le capitale londonienne, notamment à cause des attaques au couteau.

Le nombre de meurtres commis à Londres a dépassé pour la première fois celui enregistré à New York, en février et en mars, en raison de l’augmentation des attaques au couteau dans la capitale britannique, selon le Sunday Times.

Quinze personnes ont été tuées à Londres en février, contre 14 à New York, deux villes de taille similaire, selon les chiffres de la police. En mars, 22 meurtres ont été commis à Londres, soit un de plus qu’à New York.

Mais en comparant les deux villes depuis le début de l’année, New York arrive en tête. Selon la police londonienne, sur les 46 meurtres commis dans la capitale britannique depuis le début de l’année, 31 sont attribuables à des agressions à l’arme blanche contre laquelle la ville tente de lutter.

Les homicides en hausse de 40 % à Londres

Elle a dit avoir dénombré huit meurtres en janvier, 15 en février, 22 en mars et un depuis début avril. En 2017, 134 personnes ont été tuées à Londres - en incluant les victimes d’attentats -, dont 80 poignardées.

Le nombre d’homicides a crû de 40 % dans la capitale britannique au cours des trois dernières années. A New York, il a chuté de 87 % depuis 1990. Entre avril 2016 et mars 2017, la police a dénombré près de 12 100 agressions au couteau dans la ville, qui ont fait plus de 4400 blessés. Des statistiques au plus haut depuis cinq ans.

Dans la plupart des cas, les agressions ne sont pas liées à la criminalité organisée mais à des individus isolés, qui portent une arme pour se sentir en sécurité ou se donner une allure. Le phénomène touche particulièrement les mineurs, de plus en plus nombreux à porter un couteau.

Dans The Times, la cheffe de la Metropolitan Police, Cressida Dick, avait accusé samedi les médias sociaux de normaliser la violence auprès des jeunes.

Source

Suède: Un étudiant menacé d’être suspendu et sommé de se taire après avoir dit la vérité sur la surreprésentation des migrants dans les crimes sexuels.

Un étudiant de l'Institut royal de technologie a rédigé une fiche d'information sur la surreprésentation des immigrants dans les crimes sexuels.

"Personne ne me parle plus. Je suis ostracisé dans toute l'école. C'est tout à fait grotesque", a déclaré l'étudiant au site d'information Fria Tider.

Un étudiant du nom de Felix a publié une fiche d'information concernant la surreprésentation des migrants dans les crimes sexuels dans le pays.

Tout a commencé par une discussion entre Felix et deux camarades de classe. Quand il a affirmé que les migrants étaient surreprésentés en tant qu'auteurs de crimes sexuels, les femmes ne le croyaient pas et ont voulu voir les sources de son affirmation.

Le jour suivant, Felix est venu avec les statistiques officielles du Conseil national suédois pour la prévention du crime (Brå) et une étude certifiée qui démontrait que 95% des agressions de viols sont commises par des hommes d'origine étrangère.

Après avoir remis le document d'information aux femmes, la fiche a été diffusée dans la classe. Au milieu du cours, une femme africaine assise au fond s'est soudain levée et a désigné Félix.

"Elle a crié que j'étais raciste et un nazi. J'ai essayé vainement de lui dire de se calmer. Il n'y avait pas de place pour la discussion", déclare Felix.

Un enseignant a immédiatement interrompu le tumulte. Mais pendant le cours, la femme qui criait a contacté un grand nombre d'hommes migrants qui sont sortis de l'amphithéâtre et ont fixé Felix du regard par la fenêtre.

"J'ai pensé que ça allait être l'enfer, alors je suis resté cinq minutes de plus dans la classe. Mais ils ne sont pas partis. J'ai décidé d'y aller parce que je ne pouvais pas rester et me ridiculiser. Au moment où je quittais la salle de classe, ils sont entrés et la femme a crié: "Voici tes violeurs!"

"J'ai réussi à partir de là par la seconde sortie. C'était une situation extrêmement menaçante. Si j'avais dit quelque chose, ça aurait pu dégénérer."(...)

Le lendemain, (le vendredi 1er décembre) cinq étudiants ont choisi un groupe de travail en commun avec Félix. Ils l'ont soudainement ignoré. Ils ont complètement cessé de communiquer avec lui et ont même bloqué son accès à un groupe de discussion et à des documents de travail communs.

Lundi, Felix a été informé lors d'une réunion avec le chef du département, Magnus Brenning, qu'il avait été suspendu du travail de groupe en cours parce que les autres étudiants du groupe étaient en désaccord avec ses opinions politiques.

Vidéo: Les enseignants promettent de « prendre des mesures immédiates » contre Felix devant ses camarades de classe:

 

Avant la réunion, Felix a eu un cours. Puis le directeur de la formation Anders Lindström et la coordinatrice de l'égalité Anna Josefsson sont soudainement entrés dans la salle. Sans mentionner le nom de Felix, ils ont commencé à parler de la gravité de ce qu'ils voyaient [la fiche d'information de Felix sur les crimes sexuels des migrants] et ont promis d '«agir directement».

"C'est très bien que vous ayez parlé de ce qui s'est passé. Très bien. Nous ne voulons absolument pas que cela arrive à cette école. Ce n'est pas bon", a déclaré Anna Josefsson, entre autres choses. (...)

"Je suis devenu extrêmement stigmatisé et la plupart des étudiants ne me saluent plus, a affirmé Felix.

Lors d'une réunion avec Annelie Fredriksson, conseillère d'étude, et Marja Mutikainen, responsable des ressources humaines, Felix a été informé qu'il était sous enquête et risquait d'être suspendu de l'école.

Fredriksson propose de développer «un plan d'action pour voir avec Felix ce qui est correct et quand il est approprié de garder le silence sur ses opinions si elles ne correspondent pas au reste de la classe, à la fois pour lui et pour la classe».

Source Source2 Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

Allemagne : le bureau fédéral de la police criminelle cache les délits de 600 000 réfugiés

Article dont nous parlions déjà ici.

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Depuis la crise des réfugiés, la population a été installée dans l’idée que «les immigrants ne sont pas plus criminels que les Allemands».

Toutes les preuves de ces allégations reposent toujours sur les résultats de l’étude du Bundeskriminalamt (BKA) ou bureau fédéral de la police criminelle allemande. Cependant, si on regarde de près cette étude, en recherchant la composition et la non-prise en compte délibérée de groupes de réfugiés, on révèle une gigantesque manipulation statistique.

Cette étude du BKA répond à une demande faite au gouvernement fédéral par le groupe Die Linke, concernant les réfugiés vivant en Allemagne au 31 décembre 2016.

Par Stefan Schubert *

Si cela dépendait seulement d’Angela Merkel, la question des crimes des migrants aurait complètement été réduite au silence dans la campagne électorale.

Mais que ce soit dans le duel télévisé avec Martin Schulz ou dans des enquêtes sérieuses, une chose devient claire, c’est LE sujet qui domine tous les débats sociaux.

D’autant plus fortes, les pressions publiques s’accumulent, ce qui devrait guider l’opinion du public. Sur tagesschau.de, par exemple, un article est intitulé « Rapport confidentiel du BKA. Les immigrants commettent moins de crimes » et le Süddeutsche Zeitung dit la même chose. Des médias avec des titres pareil, vous pouvez en remplir des pages.

Mais venons-en au «Rapport confidentiel du BKA», qui est si confidentiel que le Bureau fédéral de la police criminelle publie l’étude trimestrielle sur son site Web, où il est également disponible pour téléchargement en PDF.

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Différents types de manipulation

Selon le BKA, seulement les «infractions élucidées» commises par des réfugiés sont enregistrées dans l’étude. À la page 4 de l’étude du BKA, on lit que « la base de l’étude repose … seulement sur les cas élucidés … dans lesquels au moins un immigré a été identifié comme délinquant ». Ainsi, les infractions non élucidées et criminelles qui impliquent des réfugiés n’ont pas été mentionnés dans cette étude.

Le titre « Bundeslausbild 2016 – Criminalité dans le contexte de l’immigration » est trompeur. Pour l’Office fédéral de la police criminelle, le terme «immigration» concerne les demandeurs d’asile, alors que les migrants ne sont pas des demandeurs d’asile, mais des migrants qui entrent en Allemagne pour travailler.

Mais regardons les faits bruts.

Les réfugiés commettent 804 infractions chaque jour

Les crimes de réfugiés officiellement admis dans l’étude ont augmenté de 42% par rapport à l’année précédente, à 293 467 crimes commis par 174 438 suspects.

Cela signifie que 804 infractions ont été commises chaque jour par des réfugiés. Il y a 33 crimes et délits par heure. Ces chiffres cachent des cas aussi graves que 385 tentatives d’assassinat et 3 404 infractions sexuelles.

Cependant, mes recherches montrent que ces chiffres ne représentent qu’une partie des crimes des réfugiés. 

Dans les remarques préliminaires de l’étude, je suis tombé à la page 2 sur le passage suivant : «Les suspects avec une procédure d’asile positivement conclue sont inclus dans les statistiques sous la rubrique « autres séjours autorisés ». Ils ne sont donc pas pris en compte dans la rubrique migrants.

La première question est de savoir combien de personnes se cachent derrière ces descriptions officielles. Cependant, la réponse s’est révélée plus difficile que la question, puisque le BKA utilise une terminologie différente de celle de l’Office fédéral des migrations et des réfugiés (BAMF).

Pourquoi le BKA utilise-t-il d’autres termes est une question cruciale. Est-ce dû au chaos des autorités, ou est-ce une décision publique délibérément trompeuse pour dissimuler sa propre manipulation statistique ?

Il m’a fallu plusieurs demandes au bureau de presse du BKA pour obtenir des réponses, lesquelles leur ont également demandé des semaines pour obtenir une définition exacte des groupes de réfugiés individuels que la BKA n’inclut pas dans l’étude sur la criminalité de réfugiés.

Le bureau de presse m’a ensuite fourni le nombre exact de personnes qui se cachaient derrière les descriptions du Bureau fédéral de la police criminelle, parce que le BKA lui-même n’avait pas les chiffres ni les connaissances nécessaires. L’Office fédéral pour les migrations et les réfugiés a répondu aux chiffres demandés en utilisant les chiffres du Bureau de presse fédéral du gouvernement fédéral allemand, un document qui est certainement connu du BKA.

L’étude BKA perd toute signification

Aucun crime, viol, harcèlement sexuel, attaque au couteau, blessure corporelle, vol, homicide ou meurtre commis par l’un de ces 602 613 réfugiés n’est énuméré dans les statistiques du BKA sur la criminalité des réfugiés

Voici les groupes de réfugiés qui ne sont pas inclus dans l’étude BKA sur la criminalité des réfugiés, selon les propres données de la BKA:

  • 39 783 demandeurs d’asile,
  • 452 023 personnes bénéficiant d’une protection en tant que réfugiés,
  • 37 301 personnes ayant un permis de séjour conformément au § 25 Paragraphe 3 AufenthG.
  • 73 506 personnes ayant un permis de séjour conformément au § 25, paragraphe 2, AufenthG (protection subsidiaire).

Il en résulte qu’un total de 602 613 réfugiés ne sont pas pris en considération, délibérément, dans l’étude BKA sur la « Criminalité dans le contexte de l’immigration 2016 ».

Aucun crime, viol, harcèlement sexuel, attaque au couteau, blessure corporelle, vol, homicide ou meurtre commis par l’un de ces 602 613 réfugiés n’est énuméré dans les statistiques du BKA sur la criminalité des réfugiés.

Leurs actes sont supprimés de la connaissance du public.

La réponse à mes demandes faites au BKA sur ce scandale a été repoussée à plusieurs reprises. A ce jour, à peu près toutes les questions sont restées sans réponse.

Les voici :

  1. Est-ce que le BKA confirme les chiffres de l’Office fédéral des migrations et des réfugiés ?
  2. Si tel est le cas, quand le BKA en a-t-il eu connaissance ?
  3. Quelle est votre explication sur la disparition des statistiques concernant 600 000 réfugiés ?
  4. Quelles sont les causes de la décision de la BKA de ne pas tenir compte de 600 000 réfugiés dans l’étude sur la criminalité dans le contexte de l’immigration ?
  5. Quelle est la valeur de votre étude ?
  6. Cette décision de cacher les chiffres est-elle liée aux élections fédérales en cours ?

Le président du BKA Holger Münch n’est plus légitime

Essentiellement, on peut affirmer que le BKA n’a pas nié les faits, mais son bureau de presse a refusé de donner des réponses concrètes. L’avis du BKA a été limité à une seule phrase:

« Les restrictions sur l’extraction des données correspondantes sont discutées en détail dans les remarques préliminaires ».

La manipulation statistique gigantesque est ainsi confirmée, mais pas en des termes tels que « manipulation », « mensonge » ou « fraude », mais le mot « délicat » est utilisé comme excuse.

La manipulation statistique n’est donc pas une manipulation, mais une «extraction», selon les tentatives de justification du BKA.

Il serait facile pour le BKA de produire de la transparence pour le public et le contribuable, qui va payer cette étude et les salaires de la direction du BKA.

Cette manipulation des statistiques a été effectuée de la même manière dès 2015, de sorte que le BKA disposait de données fiables que les autorités auraient pu rendre publiques si elles avaient eu la volonté de publier une étude honnête.

Au 31 décembre 2015, 530 000 réfugiés avaient déjà été retirés des statistiques sur les crimes de réfugiés par le BKA.

Le président du BKA, Holger Münch, est considéré comme un homme du SPD à 100%. Il travaille en étroite relation avec la Chancelière Angela Merkel. La politique désastreuse de la grande coalition est également derrière cette manipulation statistique.

Conclusion

Ces manipulations me touchent car c’est une campagne ciblée de désinformation de la Fédération, devant le Bundestagswahl, pour couvrir l’étendue effrayante de la criminalité des réfugiés à la population.

L’ensemble du processus est un scandale monstrueux. Le comportement du président du BKA, Holger Münch, est intolérable et il doit être licencié immédiatement.

Dans les statistiques sur la criminalité des réfugiés, le gouvernement fédéral cache les crimes de 600 000 réfugiés, et diffuse cette étude manipulée dans tous les canaux et dans tout le pays.

Dans la crise des réfugiés, les médias se révèlent encore les portes-parole du gouvernement et ils répandent une propagande gouvernementale falsifiée.

Je tiens à la disposition des journalistes intéressés ou des chasseurs de Fake News, les résultats de mes recherches et ma correspondance avec le BKA et le BAMF.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : traduction © Marina Linardi pour Dreuz.info

Source : journalistenwatch.com

Rappel:

L’Allemagne en état de siège: « La police continuera à cacher les crimes et les viols des migrants »

Allemagne: les crimes des “réfugiés” ont explosé. Les médias allemands ont menti, chiffres officiels à l’appui.

La statistique policière sur la criminalité (PKS) pour l'année 2016 fournit des faits explosifs au sujet des crimes des « réfugiés ».

L'auteur Ines Laufer s'est immergée dans les profondeurs des statistiques afin de traiter les faits d'une manière compréhensible et vérifiable pour tous:

Il y a un mois, le ministre de l'Intérieur, Thomas de Maizière, a présenté la très attendue Statistique policière sur la criminalité (PKS) pour l'année 2016 et j'étais impatiente de l'avoir afin de pouvoir décrire le développement de la criminalité dans notre pays et la présenter.

Les résultats de mon analyse sont visibles ci-dessous, et je les ai comparés aux déclarations des médias populaires.

À titre d'exemple, je me concentre ici sur le Huffington Post - qui selon ses propres données atteint mensuellement 4 millions de lecteurs dans les pays germanophones.

1. La criminalité des « réfugiés » en comparaison à celle des « autochtones »

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HuffPost février 2017:

« Au cours des derniers mois, l'Allemagne a débattu à maintes reprises pour savoir à quel point les migrants et les réfugiés sont criminels.

Jusqu'à maintenant, le bilan s'établissait ainsi: En moyenne, ils ne commettent pas plus de délits que la population locale et le nombre de cas est en baisse ».

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Les faits identifiables dans les statistiques criminelles

En 2016, les demandeurs d'asile (= « réfugiés ») étaient en terme de criminalité globale plus de 600% davantage criminels que les Allemands (y compris les Allemands criminels issus de l'immigration et les détenteurs de la double nationalité). Ils étaient aussi deux fois plus criminels que tous les autres criminels étrangers:

Dans une population de 100'000 Allemands, il y a 1'913 suspects.

Dans une population de 100'000 étrangers, il a y a 6'847 suspects.

Dans une population de 100'000 "réfugiés" (1), il y a 13'930 suspects (sans prendre en compte les délits concernant la loi sur l'immigration)

statisques

Dans le cas de la criminalité violente, les «réfugiés» étaient 1400% davantage criminels que les Allemands (2) Le facteur entre les Allemands et les demandeurs d'asile est de 15,1 et entre les Allemands et les étrangers, il est de 5.

Dans une population de 100'000 demandeurs d'asile, le ratio de suspects de crimes violents est de 1'400% en comparaison avec une population de 100'000 Allemands.

Dans une population de 100'000 étrangers, le ratio de suspect de crimes violents est de 400% en comparaison avec une population de 100'000 Allemands.

Gewaltkriminalität

Concernant le terme « suspects », il est à noter qu'il s'agit d'individus dont la police a bien déterminé leur implication et qui sont ensuite remis à la justice pour procès.

Par conséquent, les différences énormes de la criminalité sont également prises en compte dans la répartition des prisonniers.

Par exemple, en 2016 à Baden Württemberg sur 100'000 Allemands, 41 auteurs ont été condamnés. Et sur 100'000 étrangers, 201 délinquants ont été condamnés - 5 fois plus.

Voici un aperçu des différents secteurs de la criminalité où les étrangers et les requérants d'asile ont été à chaque fois davantage criminels que les Allemands (en 2016).

Vergleich der Faktoren

Requérants d'asile :

Viols collectifs 42,7
Viols et agressions sexuelles 15,2
Criminalité violente 15,1

Concernant le délit de « viol collectif » le facteur, par exemple, est de 42,7. Les demandeurs d'asile ont ainsi été plus de 4000% davantage criminels que les Allemands concernant ce délit.

Concernant les blessures corporelles graves, les demandeurs d'asile ont été plus de 1400% davantage criminels que les Allemands.

 

gefährliche und schwere KV

2. Développement des « crimes des réfugiés »

 

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La version du HuffPost en décembre 2016:

« Les populistes de droite instrumentalisent..., afin de démontrer qu'il y a véritablement davantage de criminalité depuis la crise migratoire en Allemagne.

A présent, les chiffres prouvent enfin que ceux qui prétendent que ce ne sont pas complètement des cas isolés ont tort: Selon un rapport de situation confidentiel de la police fédérale allemande, les délits commis par les réfugiés ou pour lesquels les migrants ont été suspectés ont baissé fortement ».

Et en février 2017, le HuffPost déclarait:

« Le nombre des délits concernant l'atteinte à la vie tout comme les abus sexuels oscille à un niveau peu élevé.

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Les faits concrets en comparaison avec les statistiques criminelles de 2015 et 2016:

La criminalité globale a légèrement baissé en 2016 par rapport à l'année précédente. Ceci est dû au fait que les Allemands se sont montrés considérablement plus discrets en ce qui concerne la criminalité.

En contrepartie, la criminalité des demandeurs d'asile (= « réfugiés ») a littéralement explosé. Elle a augmenté de près de 60 % par rapport à l'année précédente (hors violations de la loi sur l'immigration), alors que l'augmentation des demandeurs d'asile a été au maximum de 25%. (3)

Concernant les délits violents tels que les assassinats, le nombre de suspects des demandeurs d'asile a augmenté de 100%, alors qu'il a baissé chez les Allemands de 6%. Le nombre d'Allemands assassinés a augmenté de près de 20% - une augmentation dont seuls les migrants sont responsables.

Pour les délits d'abus sexuels, le nombre de suspects « réfugiés » a augmenté de 120%, alors qu'il a baissé de 2,6% chez les Allemands.

Quant aux viols collectifs, le nombre de suspects allemands (avec une origine immigrée) a baissé de près de 10%, alors qu'il y a une augmentation de 130% de suspects "réfugiés" appréhendés.

Le nombre de cas détectés a presque doublé par rapport à 2015, le nombre des victimes allemandes a augmenté de près de 120%. (4)

Entwicklung_Fallzahlen_TV

3. La criminalité des Syrien, des Irakiens et des Afghans

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La version du HuffPost du 07 février 2017:

« Les Syriens, les Afghans et les Irakiens commettent proportionnellement aux autres migrants relativement peu d'infractions pénales.

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Les faits basés sur les statistiques PKS de 2016, tableau 62 (Infractions pénales et suspects de nationalité non allemande):

Au sujet des infractions concernant les attouchements sexuels qui portent particulièrement atteinte au sentiment de sécurité des femmes, les Afghans, les Irakiens et les Syriens dépassent même la criminalité élevée des Africains du nord (Nafris), comme le précise le graphique :

Vergleich_Nationalität_gegen die sexuelle Selbstbestimmung

Concernant ce délit, le groupe réunissant les Afghans, les Irakiens et les Syriens était non seulement huit fois davantage criminel que les Allemands, mais aussi presque quatre fois plus criminel que tous les autres étrangers et près de 25% plus criminel que les Africains du Nord (Maroc, Algérie et Tunisie).

4. Les déclarations de Thomas de Maizière

Lors de la conférence de presse du 24 avril 2017, Thomas de Maizière a été parfaitement clair concernant l'augmentation importante des délits violents et de la violence sexuelle, soulignant qu'elle a été causée par les migrants (= « réfugiés »), dont la criminalité a augmenté de façon disproportionnée :

 

https://www.youtube.com/watch?v=nTed7tbVRa4

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La version du HuffPost du 24 avril 2017:

« Il y a cependant eu une croissance au-dessus de la moyenne dans le domaine de la criminalité violente: Pour les meurtres et les homicides, une augmentation de plus de 14,3% a été enregistrée, pour le viol et à l’agression sexuelle, l'augmentation se monte à 12,8%.

« Ces chiffres doivent nous causer des soucis à tous, » a déclaré Maizière lundi. Il déplore une brutalisation de la société ».

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Le fait que l'augmentation massive de la criminalité concernant les délits graves a été causée par les « réfugiés » n’est tout simplement pas mentionné – à quelques exceptions près - par tous les médias.

Au lieu de cela, ce qui est suggéré aux lecteurs c'est que l'ensemble de la société - et donc la majorité des Allemands - est le déclencheur de la « brutalisation ».

Même sa déclaration relevant que 80% des victimes « réfugiés » ont été le fait d'autres « réfugiés », a été défigurée par les médias. (...)

Au contraire, la déclaration (du ministre) prouve qu'il y a peu de danger pour l'intégrité corporelle des « réfugiés » de la part de la population locale. Alors qu’à l’inverse, l'augmentation massive du nombre de victimes allemandes (avec un pourcentage en baisse des suspects allemands) pointe la dangerosité de ce groupe de personnes pour les autochtones.

Conclusion

Bien que j'ai choisi de prendre pour cible pour cet article le « HuffPost » en détail, cela aurait tout aussi bien pu être « der Spiegel » ou « die Süddeutsche » ou « der Focus » ou « die Zeit » ou « die Welt » ou « der Stern » ou, ou encore…

Entre les faits de la criminalité extrême des « réfugié » et les publications des médias grand public, il existe un énorme écart.

L’information concernant l'incroyable ampleur, selon laquelle les demandeurs d'asile sont globalement davantage criminels que les Allemands dans le domaine de la criminalité violente ainsi que dans la violence sexuelle, est systématiquement cachée aux gens par les médias courants.

Il devient évident que les gens ne sont pas informés, mais qu’ils sont manipulés, afin de les maintenir seulement sur le chemin du « Refugee-Welcome » prédestiné par la chancelière Merkel et le gouvernement allemand.

 

À cet égard, non seulement des demi-vérités omettant les informations importantes sont diffusées, mais souvent de véritables mensonges.

 

Nous avons affaire ici non seulement à un journalisme d'opinion stupide, mais à de la propagande d'Etat plus solide, telle que la RDA (Nd Schwarze Rose: la République démocratique allemande faisant partie du bloc communiste) n’aurait pu mettre plus minutieusement en scène.

Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Source2

Rappel :

Allemagne: Les médias accusés de collaborer à la politique pro migrants de Merkel et de traiter les opposants de racistes

Merkel prétend que le viol et la mort Maria Ladenburger sont des “incidents isolés”

La chancelière allemande Angela Merkel a scandaleusement écarté l'assassinat de Maria Ladenburger, fille du conseiller de la Commission européenne Clemens Ladenburger, en le qualifiant «d'incident isolé» en dépit d'une récente flambée de la criminalité violente.

Prenant la parole à la conférence annuelle du parti CDU à Essen, Merkel a appelé à "des peines plus sévères" pour les personnes reconnues coupables de crimes majeurs à la suite de plusieurs cas très médiatisés au cours des dernières semaines.

Mais elle a fait l'objet de vives critiques après que Maria Ladenburger ait été prise en embuscade, violée et noyée alors qu'elle rentrait à vélo d'une fête au mois d'octobre.

Deux étudiantes chinoises ont été attaquées dans des incidents séparés dans la ville de Bochum, incitant Merkel à défendre la politique de l'Allemagne permettant un nombre croissant de migrants dans le pays.

Elle a décrit les agressions comme de «terribles incidents isolés», Merkel a fait valoir qu'il n'y avait pas de raison de soupçonner tous les réfugiés et a prétendu que "la réponse de l'état de droit allemand" était suffisante pour maintenir l'ordre.

(...)

Elle a ajouté: «Le fait que certaines personnes veulent exploiter ces agressions est quelque chose contre laquelle nous devons nous opposer et nous défendre."Son discours intervient après qu'il ait été révélé que les migrants ont commis 1'576 crimes sexuels en Allemagne pour la seule année 2015.

Bien que ce chiffre puisse paraître choquant, on en est déjà à 1'683 crimes pour la première moitié de l'année 2016 et Merkel est sous pression croissante pour prendre des mesures.

(...)

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch