CNN a joué sur la peur du Covid pour accroître son audience et mieux diffuser sa propagande anti-Trump

Un directeur de CNN révèle l’inquiétante vérité derrière son compteur des cas de Covid-19

Tyler O'Neil 14 avril 2021

Le directeur technique de CNN, Charlie Chester, explique le pourquoi du «compteur des morts du Covid» de sa chaîne dans une vidéo de Project Veritas publiée mercredi. Durant la pandémie, CNN a capitalisé sur l'«attrait de la peur» pour doper son audience.

«Le covid? Ça fait des ratings d'enfer, non? C'est pour ça qu'on [CNN] a toujours le nombre de morts [du covid] sur le côté – ce qui me pose un gros problème, avec cette façon qu'on a de compter le nombre de gens qui meurent chaque jour », dit Chester dans la vidéo.

Il explique cette incitation perverse des chiffres. «Genre, pourquoi le chiffre n'est-il pas assez haut, aujourd'hui? Genre, ça appuyerait mieux nos dires s'il était plus haut. Et je me dis, pour quoi diable est-ce que je me mobilise? C'est un problème que nous faisions cela.

Le directeur explique que CNN capitalise sur la peur. «C'est la peur. C'est vraiment la peur qui fait monter les chiffres [de l'audience]… La peur, c'est ce qui vous fait rester à l'écoute. »

Chester dit qu'il avait convaincu CNN de supprimer le compteur de morts, mais le «téléphone rouge» a sonné et le président de CNN, Jeff Zucker, a exigé que la chaîne remette nombre de morts.

«Le téléphone rouge spécial sonne et ce producteur le décroche. Vous entendez [des murmures], et de temps en temps, ils le mettent sur haut-parleur et c'est le chef du réseau qui se dit: «Il n'y a rien de ce que vous faites en ce moment qui me donne envie de rester. Remettez les chiffres du [nombre de morts COVID], car c'est la chose la plus attractive que nous ayons eue. Alors, remettez-les.»

Chester révèle également que CNN dirige le narratif, en posant des questions suggestives afin d'amener les gens à dire ce que la chaîne a envie qu'ils disent.

«N'importe quel journaliste sur CNN - ce qu'il fait en fait, c'est dire à la personne quoi dire… C'est toujours, genre, la conduire dans une direction avant même dqu'elle ait ouvert la bouche», dit-il. «Les seuls qu'on [CNN] laisse passer à l'antenne, le plus souvent, sont ceux dont on sait par expérience qu'ils mordent à l'hameçon.»

Chester avoue également que sa chaîne se concentre sur ce qui est catastrophe et désolation.

«Personne ne le dit jamais tout haut, mais c'est évident quand on voit le nombre de sujet qu'on [CNN] fait», dit-il.

«Ainsi le fait que nous ayons un segment appelé 'les bonnes choses', pour que [les téléspectateurs] se sentent bien: c'est un moment dédié à la fin pour être en quelque sorte la crème glacée qui fait passer tout ce que vous avez traversé. Quelque chose de sucré pour la fin, car tout le reste est catastrophe et désolation."

Mardi, Project Veritas a publié la première de cette dernière série de vidéos où il a piégé CNN, dans lesquelles Chester admet que son réseau a fait de la «propagande» afin de faire «voter» Trump. Chester s'est vanté que sans la façon biaisée dont CNN a présenté les informations, Joe Biden n'aurait pas remporté l'élection.

De nombreux facteurs ont contribué à la victoire électorale de Biden en 2020, et peut-être plus particulièrement le Center for Tech and Civic Life, qui a dirigé de l'argent vers les zones urbaines très pro-Démocrates, pour y augmenter le taux de participation. Pourtant, une enquête du Media Research Center a révélé que la  suppression par les médias traditionnels de huit actualités clés - notamment les documents de l'ordinateur portable Hunter Biden qui impliquent Joe Biden dans les fameuses transactions commerciales étrangères de son fils - a peut-être fait la différence cruciale.

Chester a peut-être bel et bien raison à propos de l'impact de CNN sur les élections de 2020, et c'est terrifiant. Un  juge a récemment averti  que les préjugés des médias de gauche constituent une menace pour la démocratie. Peut-être que c'était encore peu dire.

Source: https://pjmedia.com/news-and-politics/tyler-o-neil/2021/04/14/cnn-director-reveals-the-awful-truth-behind-cnns-covid-19-death-toll-n1440065

Traduction libre Albert Coroz pour LesObservateurs.ch

Voir aussi: Un employé de CNN admet que la chaîne avait pour objectif de « chasser Trump du pouvoir » et qualifie sa couverture de « propagande » (avec la vidéo)

Un employé de CNN admet que la chaîne avait pour objectif de “chasser Trump du pouvoir” et qualifie sa couverture de “propagande”.

Un employé de CNN a parlé avec franchie à un journaliste sous couverture des motivations politiques de la chaîne pendant l'élection présidentielle de 2020, se vantant que le média de gauche a contribué à la défaite de l'ancien président Donald Trump et qualifiant même son propre employeur de "propagande".

Dans le premier épisode de ce qui est annoncé comme une campagne en trois parties #ExposeCNN de la guérilla d'information de droite Project Veritas, le responsable technique Charles Chester a fait la lumière sur la façon dont le réseau voulait écarter son ennemi juré de la Maison Blanche et aider l'actuel président Biden.

 

 

 

"Regardez ce que nous avons fait, nous avons fait sortir Trump", a déclaré Chester sur un ton de célébration. "Je vais le dire à 100%. Et je crois à 100% que si ce n'était pas pour CNN, je ne sais pas si Trump aurait été éliminé."

Alors que des vidéos similaires sont parfois montées de manière trompeuse et sorties de leur contexte, de nombreux commentaires faits par Chester tout au long de la vidéo sont des séquences plus longues dans lesquelles il s'exprime en phrases claires et complètes.

Dans une série d'entretiens avec un journaliste infiltré au cours du mois dernier, Monsieur Chester - qui s'est vanté d'être "un échelon en dessous" d'un directeur - a affirmé que CNN "créait une histoire" qui mettait en doute la santé de M. Trump et dont "nous ne savions rien", la qualifiant de "propagande" pour aider à démettre M. Trump de ses fonctions.

"Trump était en train de serrer la main ou quelque chose comme ça... nous avons fait appel à un grand nombre de médecins pour raconter une histoire selon laquelle, tout le monde spéculait sur le fait qu'il avait des problèmes neurologiques, qu'il perdait la tête, qu'il était inapte, vous savez", a déclaré Chester. "Nous avons créé une histoire dont nous ne savions rien."

CNN n'a pas immédiatement répondu à une demande de commentaire. La chaîne n'a pas non plus répondu immédiatement lorsqu'on lui a demandé si Monsieur Chester était toujours employé.

Si M. Chester a affirmé que CNN voulait contribuer à la destitution de Trump, il a également déclaré que la chaîne voulait promouvoir la santé et la forme physique de Biden.

"Nous montrions toujours des images de lui en train de faire du jogging... avec ses lunettes d'aviateur, comme si on le dépeignait en tant qu'un homme âgé mais encore jeune", a déclaré Chester à propos de Biden, avant de rejeter les inquiétudes selon lesquelles il ne ferait pas un mandat complet parce qu'il est un fan de la vice-présidente Kamala Harris.

J'ai eu tellement d'arguments à ce propos - mon père qui disait : "Tu vas voter pour Kamala Harris parce qu'il va mourir pendant la présidence". "Et moi, je disais : 'Il ne va pas mourir, p*tain'. Mais je suis d'accord avec ça. Elle (Harris) pourrait probablement être une g*rce dans une réunion du conseil d'administration, et vous la détesteriez en tant que patron, mais elle est réelle, et mieux que ce que nous avons de toute façon."

 

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Foxnews.com / Nypost.com

Greta Thunberg, «spécialiste des maladies infectieuses» sur CNN, la toile laissée bouche bée

Greta Thunberg, jeune militante écologiste, a été invitée comme experte à une émission de débat en public organisé par la chaîne CNN sur le coronavirus. L’invitation n’a pas tardé à enflammer l’opinion publique aux États-Unis.

La jeune lycéenne suédoise a décidément plusieurs cordes à son arc. Après être devenue l’une des leaders d’opinion mondiales sur les questions climatiques, Greta Thunberg se retrouve désormais invitée à une émission de débat en public organisée par la chaîne CNN, au milieu d’un panel d’experts… du coronavirus.

L’émission, baptisée «Coronavirus: faits et peurs», diffusée ce jeudi 14 mai, qui comporte des journalistes et des experts médicaux, n’a pas manqué de faire réagir les sphères politico-médiatiques outre-Atlantique. Souvent en proie à la controverse du fait de son jeune âge (17 ans), la jeune fille n’a, encore une fois, pas échappé au torrent médiatique.

 

 

Le camp conservateur, proche de Donald Trump, s’est très largement moqué de cette situation, qui participe selon eux à décrédibiliser les médias centraux comme CNN. Le tweet de Donald Trump junior, fils du Président, en est exemple très éloquent:

«Greta Thunberg a une carrière remarquable dès son adolescence, puisqu’elle est aujourd’hui une spécialiste des maladies infectieuses et une épidémiologiste de renommée mondiale ET une voix scientifique de premier plan en matière de politique climatique mondiale. C’est vraiment impressionnant.»

Si les sympathisants de Donald Trump ont abondé dans ce sens, certains analystes plus modérés que l’entourage du Président des États-Unis sont, eux, surpris par cette décision. C’est le cas de Ian Bremmer, expert de la vie politique américaine et des relations internationales, qui s’est fendu d’un «OK, je suis perdu, là», après avoir appris la nouvelle.

[...]

Sputniknews.com / Valeursactuelles.com / Atlantico.fr

Nos remerciements à Dany Riviera

L’assassinat de Donald Trump dans une pièce de Shakespeare. Le présentateur de CNN parle d’un chef d’œuvre à voir. (Vidéo)

Christian Hofer: Le présentateur de CNN, Fareed Zakaria, a recommandé cette pièce et l'a décrite comme étant un "chef d'oeuvre".

L'incitation au meurtre est claire et répétée cycliquement par le camp du Bien depuis des mois sans que cela ne gêne les journalistes.

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Après la polémique concernant la comédienne Kathy Griffin qui avait mis en scène la décapitation de Donald Trump, une autre concerne désormais l'assassinat du président américain dans une pièce de théâtre. Évoqué dans une nouvelle adaptation à New York du "Jules César" de Shakespeare, ce "meurtre" a provoqué l'ire de médias pro-républicains et poussé deux sponsors à se désengager.

 

 

 

La célébrissime tragédie, montée par le Public Theater et déjà jouée plusieurs fois depuis le 23 mai, a ouvert officiellement lundi 12 juin au soir dans le cadre du festival "Shakespeare in the Park" qui se tient chaque année à Central Park.

Mais la veille, plusieurs médias conservateurs, y compris la très regardée chaîne Fox News, ont levé leurs boucliers. Le fils du président, Donald Trump Junior, s'est interrogé ouvertement sur le financement de la pièce

"Je me demande combien de cet 'art' est financé par les contribuables? Sérieuse question, quand est-ce que 'l'art' devient un discours politique et est-ce que cela change-t-il les choses?"

La fuite des sponsors

Par la suite, la compagnie aérienne Delta et Bank of America ont annoncé leur retrait. "Le Public Theater a choisi de présenter Jules César de façon à provoquer et offenser. Si nous avions connu leur intention, nous n'aurions pas décidé de la parrainer. Nous retirons notre financement de cette production", a indiqué un porte-parole de la banque dans un communiqué.

"'Shakespeare in the Park' ne reflète pas les valeurs de Delta. Leur direction artistique a franchi la limite des normes du bon goût. Nous les avons informés de notre décision d'arrêter notre parrainage", a tweeté la compagnie sur son compte officiel.

"Nous ne tolérons pas cette interprétation de 'Jules César' au festival 'Shakespeare in the park' de cet été"

Un autre sponsor, American Express, a tenu à souligner lundi 12 juin qu'il soutenait le Public Theater mais que son parrainage ne concernait pas cette production de Jules César "dont nous n'acceptons pas l'interprétation".

La scène de l'assassinat du tyran renvoie à l'actuel débat politique américain : César y est poignardé par une foule constituée de femmes et de minorités, nombreuses actuellement à accuser Trump de menacer leurs droits.

Sur le site internet du théâtre, le metteur en scène, Oskar Eutis, assume ces ressemblances, mais prend aussi ses distances avec la violence. "'Jules César' peut être lu comme une parabole d'avertissement à ceux qui essaient de combattre la démocratie par des moyens non-démocratiques", écrit-il. "Combattre le tyran ne veut pas dire l'imiter", ajoute-t-il.

Le théâtre, qui doit présenter la pièce jusqu'au 18 juin, a assuré lundi "soutenir complètement la production" qui "ne prône en aucune façon la violence". La controverse qu'elle a suscitée "est exactement l'objectif de notre théâtre engagé", a souligné la direction

Les démocrates montent au créneau

Dans un bastion démocrate comme New York, beaucoup d'anonymes ont tweeté leur soutien et leur intention d'envoyer des fonds au théâtre pour défendre la liberté d'expression.

Chelsea Clinton, la fille des Clinton, a tweeté qu'elle et son mari étaient de "fiers soutiens du Public Theater", et qu'il ne lui viendrait "certainement pas" à l'idée de protester contre la pièce.

Scott Stringer, contrôleur démocrate de la ville de New York, chargé de veiller au bien-fondé des dépenses de la ville, a lui rappelé que les spectacles gratuits présentés dans le cadre du festival offraient "du théâtre aux New-Yorkais de tous niveaux sociaux comme aux touristes". Et dénoncé le départ des deux sponsors comme étant "de courte vue".

"Votre décision de restreindre l'expression de ce qui est une oeuvre littéraire universelle envoie le mauvais message, et entame le dynamisme de la cause que vous aviez choisi de soutenir", a-t-il écrit dans une lettre à Delta et Bank of America, dont il a publié une photo

Une seconde polémique

Cette controverse suit de près une autre polémique: l'actrice Kathy Griffin avait diffusé fin mai une vidéo où elle brandissait une fausse tête de Trump décapité. Critiquée de toutes parts, elle a été renvoyée de l'émission du Nouvel An qu'elle animait pour CNN.

Depuis la montée en puissance du milliardaire pendant la campagne électorale de 2016, plusieurs artistes se sont emparés de l'image du président, le plus souvent négativement. En août 2016, plusieurs statues de Donald Trump nu, mains jointes sur son ventre arrondi, étaient ainsi apparues dans les rues de New York et d'autres villes américaines, pour la plus grande joie des passants

Source

Rappel:

Fusillade à Washington : un militant de gauche anti-Trump tire sur des élus du Congrès, plusieurs blessés

Londres : pas de manifestation de musulmans pour dénoncer l’attentat ? Pas grave, CNN en fabrique une (Vidéo)

Une vidéo publiée un jour après les attentats terroristes islamiques à Londres montre une équipe de la CNN organisant une photo avec des musulmans tenant des panneaux indiquant "l'Etat islamique perdra".

On peut voir dans cette vidéo que tout a été fait artificiellement, avec un nombre très restreint de participants qui peuvent faire illusion lors d'un cadrage serré. Tout est soigneusement organisé pour que la photo fasse son effet et que CNN puisse clamer que les musulmans ont manifesté contre l'Etat islamique.

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Le résultat du montage, ce qui est officiellement mis dans nos médias:  

Séquence diffusée par CNN

https://www.youtube.com/watch?v=bhFyN-Y0Is0

 

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«Les gens doivent mourir»: Une manifestante anti-Trump fait des appels à la violence sur CNN

Pendant les manifestations anti Donald Trump de masse tenues en Californie le lendemain des élections, une femme a déclaré à la CNN que la violence et la mort étaient un moyen à adopter pour un changement politique.

«Si nous ne nous battons pas, qui va se battre pour nous? Les gens ont dû mourir pour votre liberté dont nous bénéficions aujourd'hui. Nous ne pouvons pas juste faire des rassemblements, nous devons nous défendre », déclare Lily, une femme latino-américaine de Los Angeles.

https://youtu.be/p7Oo5IVMa6o

 

 

"Il y aura des victimes des deux côtés. Il y en aura, parce que les gens doivent mourir pour procéder à un changement dans ce monde", a-t-elle poursuivi. "Trump, assez avec votre racisme. Arrêtez de diviser les familles. Ne divisez pas ma famille."

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

USA: investiture républicaine: les médias pris en flagrant délit de mensonge

Les médias n'ont décidément aucune, mais alors aucune honte à raconter n'importe quoi. Les médias de ces derniers jours ont ainsi triomphalement annoncer une chute spectaculaire de Donald Trump dans les intentions de vote des supporters républicains: la côte de celui-ci aurait en effet dégringolé de 12% en l'espace d'une semaine passant de 43% le 22 novembre à 31% le 27 novembre.

Les journaux ayant diffusé cette information sont légion. On trouve ainsi en vrac:

le figaro

l'express

Sputnik France

L'Agefi (actualités au fond)

TheGuardian

etc...

Et d'enchaîner sur les explications de cette descente aux enfers: la conséquence de moqueries sur un handicapé pour les uns ou de déclarations fracassantes sur la création d'une base de données pour ficher les musulmans américains pour les autres. Bref, le petit monde de la gauche journalistique internationale jubile (ne manque que les nôtres…), le vilain méchant Trump se mange une gamelle.

Petit problème: le sondage du 22 novembre mettant Trump à 43% n'existe pas! En date du 23 novembre CNN annonçait en effet un sondage dans lequel Trump se baladait à 32% et non à 43%. On trouve d'ailleurs confirmation de cette information sur le site RealClearPolitics.com qui donne l'ensemble des derniers sondages parus aux Etats Unis. Pour le 22 novembre et au sujet de la nomination du candidat républicain à la présidentielle, les sondages disponibles sont celui d'ABS/Washington Post (Trump à 32%) et de FoxNews (Trump à 28%).

Comme il n'est nulle part question d'un sondage où Trump caracole en tête à 43%, il faut donc croire que les médias reprennent tous en choeur une information non confirmée. Ou plutôt une claire et nette désinformation dont je n'ai pas, jusqu'ici, pu détecter la source. On dira ce qu'on voudra, mais ce n'est pas possible qu'il s'agisse d'une erreur non volontaire: le chiffre de 43% n'apparaissant nulle part de près ou de loin associé au nom de Trump.

Mais il y a encore plus fort. Je vous disais un peu plus tôt dans cet article que certains ont attribué cette chute à la volonté de Trump de créer une base de données pour ficher les musulmans américains. Or, ce coup-ci, c'est CNN qui est incriminé pour avoir trafiqué une information. Un rapide coup d'oeil sur le blog conservateur Breitbart montre comment CNN essaie de tromper son monde.

On y trouve cette vidéo:

Observez bien ce qui se passe à la 20ème seconde: l'image est coupée, Trump est en train de répondre à une question et hop, le journaliste insère dans la conversation une autre question afin de profiter de faire dire au candidat républicain ce qu'il ne dit pas. Vous trouverez sur Breitbart également une retranscription écrite de ce qui a été réellement dit.

Quand une entreprise de désinformation d'une telle malhonnêteté se met en place, il faut croire que le milliardaire US dérange méchamment et que certains sont prêts à n'importe quoi pour le faire chuter.

En ce qui me concerne, ne suivant la chose que de loin, j'ai bien de la peine à émettre un avis sur la personne de Donald Trump. Mais il n'empêche que quand je vois une tel torrent de bile se déverser, je me dit qu'il ne peut pas être si mal que cela...