Catholicisme : l’écriture inclusive fait son entrée dans les textes de la messe

Le Missel, livre qui rassemble les prières de la messe à l’usage des prêtres et des fidèles catholiques, a été traduit une nouvelle fois. La nouvelle traduction du texte latin original proposée par la Conférence des évêques de France (CEF) a reçu « confirmatio » du Vatican récemment. Dans le texte rénové, on voit apparaître l’écriture inclusive.

Ainsi, dans la prière du « Confiteor », en français « Je confesse à Dieu », récitée à chaque début de messe, la formule « mes frères » est remplacée par la formule « mes frères et sœurs ». […]

De même, dans la première prière eucharistique, c’est-à-dire la prière dite par le prêtre quand il offre le pain et le vin sur l’autel, le prêtre ne dira plus « souviens-toi de tes serviteurs », mais « de tes serviteurs et de tes servantes » […]

RTL

Via Fdesouche

Catholicisme islamo-compatible

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Le texte ci-dessous, qui date d'il y a quelque temps déjà, est un nouvel exemple de cette forme mièvre et aveugle d'un certain catholicisme, pas tout le catholicisme, mais d'un certain catholicisme. C'est là typiquement une forme de catholicisme islamo-compatible. Et ce, alors que les chrétiens en terre d'islam vivent un abominable calvaire.
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Cardinal Tauran : « Ensemble, œuvrons au bien de ceux qui sont dans le besoin », écrit le cardinal Tauran aux musulmans (le cardinal Tauran est le président du Conseil pontifical au Vatican). Comme chaque année le cardinal Jean-Louis Tauran adresse un message de fraternité aux musulmans du monde, à l’occasion de leur entrée dans le mois de jeûne du ramadan. Il relève cet évènement religieux « centré sur le jeûne, la prière et les bonnes actions », est également apprécié des chrétiens, « vos amis et voisins ». « Selon une tradition qui nous est chère, nous souhaitons partager avec vous, en cette occasion, quelques réflexions dans l’espoir de renforcer les liens spirituels qui nous unissent », écrit notamment le cardinal Tauran qui est le président du Conseil pontifical (ministère du Vatican), en charge des relations avec les autres religions.
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Cardinal Tauran : Le haut-prélat relève que les textes sacrés de l'islam et du christianisme mettent l'accent sur la miséricorde envers les personnes éprouvées qui cherchent à « soigner leurs blessures ». Dans l'islam, poursuit-il, Dieu est « Celui qui pardonne (al-Ghafir), Celui qui pardonne beaucoup (al-Ghafour) ». C’est pourquoi, au-delà des situations « très complexes » dont la solution « dépasse nos capacités », il est vital « que tous œuvrent ensemble pour venir au secours de ceux qui sont dans le besoin, indépendamment de leur appartenance ethnique et religieuse » et que « musulmans et chrétiens travaillent main dans la main ».
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Cardinal Tauran : Ils sont notamment appelés à œuvrer ensemble pour que les victimes de conflits et des violences dans le monde trouvent dans l’islam et le christianisme des témoins privilégiés de l’amour agissant et miséricordieux de Dieu. « Quand nous regardons l’humanité d’aujourd’hui, nous éprouvons de la tristesse à cause de nombreuses victimes des conflits et de la violence – nous pensons ici, en particulier, aux personnes âgées, aux enfants, aux femmes, et spécialement à ceux qui sont en proie au trafic des êtres humains – ; nous pensons aussi à tous ceux, nombreux, qu’affligent la pauvreté, la maladie, la dépendance, les catastrophes naturelles et le chômage », note le cardinal.
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Cardinal Tauran : Ces situations invitent à ne « fermer les yeux ou détourner notre regard de ces souffrances ». Car c’est « une source de grand espoir d’apprendre que des musulmans et des chrétiens travaillent main dans la main pour aider les nécessiteux. Ainsi, nous obéissons à un commandement important dans nos religions respectives ; nous manifestons, de la sorte, la Miséricorde de Dieu et nous offrons, en tant qu'individus et en tant que communautés, un témoignage plus crédible de nos convictions. 

Que Dieu Tout-Puissant et Miséricordieux nous aide à toujours marcher sur le chemin de la bonté et de la compassion », conclut le cardinal Tauran dans son texte débile et islamophile.
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Michel Garroté
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Le cri d’alerte d’une musulmane convertie au catholicisme

Alors que l'Église catholique allemande continue de soutenir activement la politique d’accueil des réfugiés, des voix catholiques commencent à se lever face à certains risques de dérives.

Sabatina James (photo) est une militante pour les droits de l’homme pakistano-autrichienne convertie au catholicisme ; elle a échappé de peu à un mariage forcé avec un de ses cousins au Pakistan qui a abusé d’elle sexuellement de manière répétée. Menacée de mort par sa propre famille à cause de sa conversion, Sabatina James vit depuis 2004 sous haute protection 24h/24

Suite

Face à l’islam ? Notre héritage judéo-chrétien !



Laïcité française, islam et christianisme, ce sujet est évoqué en détail sur Atlantico (lire les extraits reproduits ci-dessous) par Jean-Louis Harouel, professeur d'histoire du droit et des institutions à l'Université de Paris II. Il est l’auteur d’ouvrages de droit, d’économie et d’histoire, notamment ‘Culture et contre-culture’. En outre, Jean-Louis Harouel vient de publier ‘Le vrai génie du christianisme’.

Atlantico : Pourquoi viser ainsi des héritages du christianisme alors que c’est avec une partie de l’islam que la laïcité semble rencontrer actuellement une remise en question ?

Jean-Louis Harouel : Si on vise ainsi des héritages du christianisme alors même que l’islamisme vient encore de tuer en France, c’est tout simplement parce que le christianisme ne fait absolument pas peur et que l’islam fait très peur. Si on voulait vraiment protéger efficacement la laïcité – ou plus précisément la sécularisation de la société –, on s’en prendrait au foulard islamique (hidjab) qui inonde l’espace publique et apporte ainsi une immense visibilité à l’islam.

L’islam fait peur, et c’est en premier chef aux musulmans qu’il fait peur. Sauf rarissimes exceptions, des intellectuels d’origine musulmane n’ont pas osé se dresser ouvertement contre l’islam. C’est trop dangereux. Le Coran (XVI, 108) et plusieurs hadiths frappent les coupables d’apostasie de sanctions pouvant aller jusqu’à la mort. Or le musulman qui refuse de s’acquitter de l’obligation légale de la prière est réputé apostat et donc passible de la mort. On ne peut, sans risquer sa vie, rejeter l’islam et encore moins l’insulter, comme l’ont fait tant d’Européens avec les dogmes et les rites chrétiens. Une mécanique répressive de nature terroriste protège l’islam contre la liberté de l’esprit.

Or, maintenant qu’il est très implanté en Europe et un peu aux États-Unis, l’islam prétend imposer aux Occidentaux cette interdiction de la liberté de pensée et d’expression. Car la loi divine – la charia – ordonne aux non-musulmans de parler de l’islam avec respect. Lourde de menaces, cette injonction s’adressait jadis aux dhimmis, aux chrétiens et aux juifs tolérés dans le monde islamique sur le mode de l’infériorité juridique et de l’humiliation. Aujourd’hui, l’islam prétend intimider les pouvoirs publics et les médias occidentaux. Il les contraint à une forte auto-censure afin de ne pas offusquer les musulmans. C’est ainsi que la municipalité d’Oxford a abandonné l’usage du mot "Noël" dans les documents émanant d’elle. Ce faisant, les Occidentaux se comportent en dhimmis, en inférieurs qui s’inclinent devant l’islam. Il est décidément moins dangereux de s’en prendre aux vestiges pittoresques et inoffensifs de notre civilisation chrétienne.

Atlantico : Est-ce une bonne stratégie de réduire l’influence de la tradition chrétienne sur la société pour faire rentrer l’islam dans la laïcité ?

Jean-Louis Harouel : C’est une stratégie catastrophique. C’est une erreur de considérer l’islam seulement comme une religion. C’est une erreur de définir sa place dans les sociétés occidentales du point de vue de la seule liberté religieuse. À la fois religion et régime politique, l’islam forme un ensemble de règles prétendument divines dont beaucoup sont de nature juridique. Contenu dans la charia, ce code de droit institue l’infériorité juridique des femmes ainsi que celle des non-musulmans, et il cautionne l’esclavage. Système total, l’islam rejette l’idée de la disjonction du politique et du religieux, principe d’origine chrétienne né du fameux : "Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu". Fondatrice de ce qui est appelé en France la laïcité, cette disjonction a été la source d’où a pu naître la liberté de l’individu, avec toutes ses conséquences positives : esprit critique et liberté de l’esprit, tolérance, progrès intellectuel et pensée scientifique, progrès technique et enrichissement de la société. Tout cela est issu de la dualité chrétienne entre les pouvoirs temporel et spirituel. Au contraire, pour l’islam, le sacré englobe le profane. La légitimité de l’État résulte exclusivement de son action au service de l’islam. Et dans les pays musulmans où a été instaurée une sécularisation de l’État – Turquie, Indonésie –, elle est aujourd’hui menacée par une forte réislamisation des esprits.

Les religions ont des effets très différents sur la sécularité de la société. Celle-ci n’est nullement menacée par les clochers et les croix des cimetières, les pardons bretons et les bénédictions de navires, les saintes vierges et les calvaires des villages, ni par les jours fériés correspondant à des fêtes chrétiennes. D’ailleurs, la disjonction du politique et du religieux étant une invention chrétienne, la croix pourrait légitimement être revendiquée comme un emblème de la laïcité, et plus généralement de la sécularité des sociétés occidentales. On ne peut que souhaiter le maintien de la prédominance en Europe des signes religieux chrétiens. Ce sera l’indice que la sécularisation de la société engendrée par le christianisme y résiste encore. En revanche, tout est à craindre d’un islam rendu redoutable à l’Europe par son poids démographique. La multiplication des signes islamiques dans l’espace public et la satisfaction des revendications vestimentaires, alimentaires et autres des musulmans sont lourdes de menaces pour la laïcité de l’État et la préservation de sociétés sécularisées.

Atlantico : Qu’avons-nous à perdre à gommer toutes les spécificités culturelles de notre société liées au christianisme ? Dans quelle mesure l’imprègnent-elles ?

Jean-Louis Harouel : Nous avons tout à perdre à gommer ces spécificités, d’autant que le vide qui en résulterait serait immédiatement investi par l’islam. Nier ces spécificités reviendrait à nier ce que nous sommes. Dans la très longue durée, ce qui caractérise fondamentalement l’Europe, c’est son refus de l’islam pour rester un continent chrétien. Si l’Europe était devenue musulmane, le cours de l’histoire en eût été totalement changé. Le monde serait resté sous-développé, le progrès scientifique et technique ne serait jamais intervenu, il n’y aurait pas eu de développement économique ni intellectuel de l’humanité. Il n’y aurait pas eu de liberté individuelle, de liberté de l’esprit. Car tout cela a résulté de la dualité chrétienne entre les pouvoirs temporel et spirituel, et c’est en Europe occidentale que cette dualité s’est le plus pleinement accomplie. Si l’Europe était devenue musulmane, il n’y aurait certainement jamais eu de Révolution industrielle et d’invention du développement.

C’est parce que l’Europe a su rester chrétienne qu’elle a construit des sociétés laïques, libres, tolérantes, économiquement développées, à haut niveau de vie moyen et socialement généreuses. Ces sociétés sont le produit historique de la civilisation chrétienne européenne. Nous autres, Européens, nous sommes tous – athées, agnostiques, anti-cléricaux et anti-chrétiens compris – le produit historique de près de deux millénaires de chrétienté. Pour ce qui est de l’histoire, de la civilisation, des valeurs, il est bien évident que l’Europe est un héritage chrétien et ne peut le nier à peine de se renier entièrement, de perdre totalement son sens. Si l’Union européenne s’était souciée de la réalité, elle aurait placé, au centre du cercle d’étoiles de son drapeau, une croix pareille à celle du drapeau suisse : une croix qui, pas plus que celle-ci ne serait un signe religieux, mais bien l’emblème de l’histoire et de la civilisation de l’Europe.

Michel Garroté

   

Le choc entre nazisme et catholicisme


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Événement à la faculté de lettres de Brest où, à partir de jeudi 4 juin 2015, des historiens vont débattre autour d'une encyclique papale du 14 mars 1937 qui condamne violemment le national-socialisme. Le colloque dure jusqu'à samedi 6 juin 2015 et propose une lecture des rapports entre catholicisme et nazisme. Fabrice Bouthillon, professeur à la faculté de lettres de Brest, et Marie Levant, qui s'apprête à publier une thèse sur la diplomatie du Saint-Siège entre 1920 et 1934, ont réuni, pour ces jours, un plateau où historiens italiens, allemands, israéliens et français vont se pencher sur un sujet resté sulfureux au fil des ans.

Il y sera question des rapports entre l'Eglise et le régime nazi, via une encyclique papale publiée par Pie XI en mars 1937 appelée « Mit brennender Sorge ». Spécialiste renommé de ce pan de l'histoire, Fabrice Bouthillon précède la question béotienne. « Le grand public connaît le silence du Vatican lors de la Seconde Guerre mondiale et il a raison. Le Saint-Siège n'a rien dit ni rien fait, même s'il a aidé des Juifs au cas par cas ». Mais cette politique conduite par Pie XII n'est sans doute pas celle qu'aurait adoptée son prédécesseur, Pie XI, mort avant le début de la guerre et lui ayant laissé le Saint-Siè ge aux premiers mois de 1939.

« En 1933 pourtant, explique Fabrice Bouthillon, le Vatican ne voit pas d'un mauvais oeil l'arrivée de Hitler au pouvoir, parce qu'il le sait hostile au communisme qui prône l'éradication du christianisme. Et puis, le nazisme a deux versants, l'un totalitaire et l'autre conservateur. Pie XI espère que le versant conservateur prendra le dessus ». Les espoirs sont vite douchés et le pape va réagir par le biais de ce texte, qui va voyager, en valise diplomatique, pour être lue le jour des Rameaux, dans toutes les églises catholiques allemandes. « Le régime n'a rien vu venir. Dans la terrifiante machine de propagande, la lecture de cette encyclique est l'une des rares défaites de Goebbels ».

Le texte est important. Il rappelle notamment que « c'est la croix du Christ qui sauve et pas la croix gammée » et, qu'au plan politique, le régime nazi a trompé le christianisme en menant une guerre d'extermination. « La réponse est immédiate. D'abord traité par le mépris, le clergé allemand est déporté à Dachau, appelé le camp des prêtres. Tout, dans l'attitude nazie, n'est que mépris et représailles ». Reste que cette encyclique va dépasser de beaucoup les frontières allemandes et se distiller dans l'Europe entière.

Lors du colloque, des historiens diront comment les catholiques Espagnols ou Italiens ont réagi, face à ce texte qui ne laisse pas le choix entre l'un et l'autre. L'historien du Centre de recherche bretonne et celtique (CRBC) Sébastien Carney dira, pour sa part, comment le mouvement nationaliste breton a accueilli « Mit brennender Sorge ». Fabrice Bouthillon, qui compte parmi ses invités Alberto Melloni, directeur de la fondation des sciences religieuses de Bologne, se réjouit d'avance. Et notamment de mettre un peu de lumière sur ce pape « qui a refusé de choisir entre nazisme et communisme quand toute l'Europe le faisait », un pape qui, le jour du voyage de Hitler à Rome, a refusé de voir l'apothéose de la croix ennemie. « Il a fini par considérer que le plus solide ennemi du catholicisme, c'était le nazisme ».

Programme :

Jeudi 4 juin

14h : Accueil / Allocutions d’ouverture.

14h15 : Yvon Tranvouez, CRBC : Introduction.

Origines (session 1)

Modérateur : Frédéric Le Moigne.

14h40 : Bernard Bruneteau, Université de Rennes : L’antitotalitarisme chrétien à l’arrière-plan de Mit brennender Sorge.

15h : Marie Levant, Fondazione per le Scienze religiose Giovanni XXIII / CRBC : Le Reichskonkordat, compromis ou carte forcée ?

15h20 : Alessandro Bellino, Università Cattolica di Milano : La situazione cattolica nella Germania nazista : i processi contro il clero.

Débat / Pause.

Origines (session 2)

Modérateur : Tommaso Dell’Era.

16h30 : Filippo Frangioni, Florence : Il papato, il comunismo e la Divini Redemptoris.

16h50 : Peter Rohrbacher, Universität Wien : The race debate in the context of Mit brennender Sorge.

17h10 : Philippe Chenaux, Pontificia Università Lateranense : Aux origines de Mit brennender Sorge. Les tentatives avortées de condamnation papale du nazisme (1933-1937).

Débat.

Vendredi 5 juin

Doctrine (session 1)

Modérateur : Gianmaria Zamagni.

9h : Fabrice Bouthillon, Université de Bretagne Occidentale / CRBC : Au-delà, en-deçà. Mit brennender Sorge et le consalvisme.

9h20 : Christophe Chalamet, Université de Genève : Karl Barth devant Mit brennender Sorge.

9h40 : Paul Airiau, Paris : La dimension apocalyptique de l’encyclique et du dernier Pie XI.

Débat/Pause.

  1. Doctrine (session 2)

Modérateur : Philippe Chenaux.

10h40 : Raffaella Perin, Università Ca’Foscari Venezia : L’antisémitisme : une question absente dans Mit brennender Sorge.

11h : Tommaso Dell’Era, Università di Viterbo : The Totalitarian Issue in Divini Redemptoris and Mit brennender Sorge.

11h20 : Paolo Valvo, Università Cattolica di Milano : Il Messico nella Pasqua delle tre encicliche.

Débat.

Réception (session 1)

Modérateur : Alberto Melloni.

14h : Gerhard Besier, Sigmund-Neumann-Institut Dresden : The reception in Germany, in Kirchenkampf and in Nazism.

14h20 : Lucia Ceci, Università di Roma Tor Vergata : La ricezione in Italia e nel fascismo.

14h40 : Gianmaria Zamagni, Westfälische Wilhelms-Universität Münster : La réception en Espagne et dans le franquisme.

Débat / Pause.

Réception (session 2)

Modérateur : Marie Levant.

16h : Michel Fourcade, Université Paul Valéry-Montpellier 3 : La réception en France et dans la résistance.

16h20 : Sébastien Carney, Université de Bretagne Occidentale / CRBC : Mit brennender Sorge et le mouvement nationaliste breton.

16h40 : Lorenzo Botrugno, Università Cattolica di Milano : La diplomazia britannica e la Mit brennender Sorge.

Débat.

Samedi 6 juin

Postérité ?

Modérateur : Lucia Ceci.

9h : Emma Fattorini, Università di Roma La Sapienza : Della Mit brennender Sorge ai silenzi di Pio XII.

9h20 : Jean-Luc Evard, BDIC-Paris : Jules Isaac, Jean XXIII et Nostra Aetate.

9h40 : Alberto Guasco, Unilink Campus University-Roma : Il Papa Paolo VI, la questione ebraica e Israele.

Débat / Pause.

10h50 : Karma Ben-Johanan, Tel-Aviv University : Christianity, Racism and Antisemitism in the Israeli Discourse.

11h10 : Alberto Melloni, Fondazione per le Scienze religiose Giovanni XXIII : Conclusions.

Les séances auront lieu dans l’amphithéâtre n°3, faculté Victor Segalen (20 rue Duquesne, Brest).

Contact / organisateurs :

Marie Levant ([email protected])

Fabrice Bouthillon ([email protected]).

Source :

http://www.letelegramme.fr/finistere/brest/colloque-le-choc-entre-nazisme-et-catholicisme-03-06-2015-10651571.php

   

Un film sur la conversion à l’islam autorisé, un autre sur la conversion au catholicisme interdit

L’application discrète de la charia, cette nouvelle loi venue d’Orient qui remplace si avantageusement les défuntes lois républicaines ce 21 janvier, jour anniversaire de la décapitation de Louis XVI, a permis de faire une belle promotion du film « Qu’Allah bénisse la France » relatant la conversion d’un jeune des cités au merveilleux islam, et de faire interdire dans le même temps la diffusion de « l’Apôtre », film nauséabond de Cheyenne Caron relatant la conversion d’un musulman au christianisme. Pouah !

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