Christian Hofer: A noter que la journaliste du Temps Céline Zünd a sorti son attirail d'excuses pour le pauvre jihadiste: "Influençable, limité, instable: portrait du Suisse qui voulait mourir en martyr". Il manque "aveugle, cul-de-jatte et un père qui louche". Mais c'est un bon début Céline.
Pour cette "journaliste", Ahmed est suisse (il faut à tout prix que cette désinformation vitale soit dans le titre pour formater le lecteur dès les premières lignes) alors que son origine est libyenne et qu'il ne partage aucun point commun avec notre culture. Ahmed a donc bénéficié de notre naturalisation alors qu'il pourrait trucider ses compatriotes non musulmans sans problème, ce qui ne choque pas du tout Céline Zünd. Pour elle, l'islam est une religion de notre pays et le musulman naturalisé qui veut tuer "n'est qu'un détraqué qui n'a rien compris à la religion de paix et d'amour".
Son disque est un peu rayé mais chut, cette journaliste pense encore que cela va fonctionner. Il faut croire que les pseudos progressistes ne possèdent pas l'intelligence qu'ils prétendent avoir et que, comble de malchance, leur rhétorique sent la naphtaline et le recyclé. Cela est d'autant plus savoureux pour des gens qui prétendent que l'UDC "vit dans le passé". Merci pour ce moment de franche rigolade Céline.
Malheureusement pour elle, les "détraqués", les "instables" et autres générateurs d'échappatoires ont depuis longtemps été éventés. Notamment Alain Marsaud, député UMP et ancien magistrat antiterroriste, avait expliqué qu'en 1986 déjà, alors qu’il était magistrat, que le pouvoir politique lui avait dit de qualifier les auteurs des attentats islamistes aux Galeries Lafayette et au Printemps de... “déséquilibrés”. C'est vraiment pas de chance Céline!
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Le Tribunal pénal fédéral (TPF) a condamné vendredi un Libano-Suisse de 26 ans à une peine de dix-huit mois de prison avec sursis.
Il a jugé que le jeune homme, arrêté à l'aéroport de Zurich en avril 2015, avait bien l'intention d'aller apporter son soutien à l'Etat islamique.
Lors de la lecture du verdict, le juge a rappelé que le jeune musulman a recherché, pendant près de huit mois avant la date prévue de son départ, des informations sur le combat armé et sur les moyens de rejoindre la lutte armée.
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