Des Autrichiens ont spontanément attaqué une horde de réfugiés afghans qui commettait agressions et vols

Traduction de l’article de New Observer.


Des patriotes autrichiens ont spontanément attaqué un groupe d’afghans « réfugiés »-voleurs dans la gare ouest de Vienne la nuit dernière, menant à une mêlée générale sur l’un des quais, qui ne s’est terminée que quand la police est arrivée sur place et a arrêté quelques-uns des criminels non-blancs.

L’incident a commencé quand un large groupe d’Afghans « réfugiés »-voleurs est arrivé à la gare avec une intention criminelle. Les Afghans n’avaient pas été là longtemps quand ils ont agressé leur première victime, un Autrichien de 22 ans.

Dans une technique de vol de rue typique du tiers-monde, l'un des Afghans a frappé l’Autrichien au visage tandis qu’un autre se saisissait de son téléphone portable.

https://youtu.be/jocZxhepVfw

D’habitude, les « réfugiés »-voleurs non-blancs ne risquent pas grand chose avec ce type de comportements, mais la nuit derière, quelque chose a craqué dans la psyché du public austrien. Les passants autrichiens se sont spontanément regroupés et ont physiquement attaqué les « réfugiés »-voleurs afghans.

Rapidement, a éclaté sur le quai une importante bagarre, les afghans subissant une sévère raclée en paiement pour leurs crimes. Des parties de la mêlée ont été filmées par des observateurs sur leurs téléphones portables.

Après un court moment, la police est arrivée et a arrêté six « réfugiés »-voleurs afghans. Trois d’entre eux étaient agés de 13, 14 et 20 ans, aucun détail n’a été donné pour les trois autres.

Le reste de la horde d’envahisseurs non-blancs s’est rapidement dispersé, alors que la victime autrichienne a été envoyée à l’hôpital avec la pommette cassée et de multiples bleus.

De manière prévisible – pour quiconque comprend la relation entre la race et l’activité criminelle – il y a eu une flambée des viols, des attaques sexuelles, et des autres crimes en Autriche depuis que l’invasion non-blanche a commencé sérieusement en 2015.

Par exemple, la police autrichienne vient juste de publier une description de l’un des membres d’un gang de « réfugiés »-violeurs afghans qui a violé une jeune fille blanche de 15 ans à Leoben (une ville pittoresque et précédemment paisible en Styrie, dans le centre de l’Autriche)

La police styrienne a déclaré que la victime n’a pu décrire que l’un des attaquants parce que les autres l’ont attrapée par derrière et la maintenaient pendant qu’ils la violaient à tour de rôle.

Le principal coupable a été décrit par la police comme ayant « entre 20 et 25 ans, de teint sombre, et de stature fine, élancée. Il avait des cheveux noirs et courts, des yeux noirs, des sourcils touffus, haut d’environ 1m70 et avait une barbe complète. D’après la victime, il parlait avec un accent arabe ».

Cela, comme bien d’autres incidents, montre que les Européens vont devoir de plus en plus se défendre physiquement eux-mêmes face aux envahisseurs.

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Autriche : le chef de la police conseille aux femmes de « ne pas sortir seules » à cause des agressions des réfugiés

Le chef de la police de Vienne a déconseillé aux femmes de s’aventurer seules dans les rue après les agressions sexuelles hautement médiatisées en Autriche et en Allemagne.

Le patron de la police Gerhard Pürstl est maintenant accusé de faire porter aux femmes la responsabilité des agressions, plutôt que de cibler les hommes qui commettent des crimes sexuels.

M. Pürstl a dit : « Les femmes devraient, en général, ne pas sortir dans les rues la nuit seules, éviter les zones suspectes et aussi, dans les pubs et les clubs, n’accepter de boissons que de personnes qu’elles connaissent. » [...]

Traduction Fdesouche

The Independent

L’Autriche et la Norvège vont désormais refouler : “Il y a des profiteurs parmi les migrants”

L'Autriche a renvoyé en Slovénie des centaines de migrants. La Norvège annonce, elle, son intention de refouler tous les réfugiés arrivant d'un autre pays Schengen.

Dans le premier cas de figure, nous sommes en Autriche qui déclare avoir expulsé plusieurs centaines de migrants ces trois derniers jours qui auraient menti sur leur nationalité d'origine. Dans le deuxième cas de figure, nous sommes en Norvège qui affirme ce mardi son intention de refouler tous les réfugiés arrivant d'un autre pays Schengen, en premier lieu la Suède.

«Profiteurs» en Autriche

Lors de contrôles inopinés menés en Carinthie, province du sud de l'Autriche où sont enregistrés chaque jour quelque 3000 migrants et réfugiés qui viennent d'arriver, la police et les interprètes ont remarqué une hausse du nombre d'individus qui ne savent pas parler la langue du pays dont ils se revendiquent.

«Nous pensons que certains essaient de profiter de la situation en sachant très bien qu'ils ont très peu de chances de se voir accorder l'asile en Autriche ou en Allemagne», a déclaré le porte-parole de la police.

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Migrants: ils repartent quand les aides sociales ne leur plaisent pas

La situation vécue pour le moment en Autriche montre qu’un shopping migratoire s’organise par les soi-disant « réfugiés ».: Un  retour est donc possible

La situation d’aujourd’hui en Autriche montre que les migrants peuvent repartir s’ils ne trouvent pas dans le pays où ils se trouvent  une situation d’aides sociales qui leur convient et si cela prend trop de temps pour faire venir leur famille.

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Invasion islamique: A présent, l’Europe se précipite sur les armes.

Nombreux sont ceux qui désirent bénéficier du second amendement (le second amendement autorise tout citoyen américain à porter une arme).

Les Autrichiens sont en train de s'armer à une vitesse incroyable en vue de défendre leur propriété par crainte d'attaques de la part des envahisseurs islamistes. Des dizaines de milliers de "réfugiés" musulmans sont en train d'inonder l'Autriche jusqu'à la Hongrie et la Slovénie ces derniers mois en suivant le chemin pour aller en Allemagne et en Suède, deux pays européens prospères qui ont déroulé le tapis rouge aux migrants. Plus d'un million de migrants pour la seule Allemagne à la fin de cette année si on se réfère aux estimations du gouvernement allemand.

Obtenir une arme en état de fonctionnement et des munitions en Allemagne, en Grande-Bretagne, au Danemark et aux Pays-Bas est pratiquement impossible pour la plupart des citoyens.

En Allemagne par exemple, cela requiert une évaluation psychologique, la souscription à une assurance en responsabilité civile ainsi qu'une stricte observation des règles de stockage et des règles de sécurité pour les armes à feu. Et l'auto-défense n'est pas une raison valable pour l'achat d'arme dans ces pays. Les lois en Autriche, même si elles sont strictes, sont plus permissives.

Un reportage de la télévision tchèque confirme que les armes longues - carabines et fusils - disparaissent à un rythme tellement soutenu des étagères, que les Autrichiens qui n'ont pas déjà acheté d'armes n'ont pratiquement aucune chance d'en obtenir une avant longtemps. Tout est vendu. Et les premières personnes à s'armer sont principalement des femmes. "Si quelqu'un veut acheter une arme longue en Autriche là maintenant, tant pis pour lui." rapporte la chaîne de télévision tchèque. "Tout est déjà vendu." Elle cite notamment le journal "Tiroler Tageszeitung" comme référence.

"Nous ne pouvons pas nous plaindre d'une absence de demande" déclare le marchand d'armes Stephen Mayer au journal Tiroler Tageszeitung. Il déclare que le stock est déjà épuisé depuis 3 semaines et que la demande a été boostée par les peurs générées par le climat social.

"Les gens veulent assurer leur protection" dit Mayer. Cependant la plupart des acheteurs sont principalement des femmes autrichiennes.

Source Traduction Lochaberaxe pour Les Observateurs.ch

Face à l’afflux de migrants, les Autrichiens s’arment !

Redoutant d’être attaqués par des réfugiés musulmans, les Autrichiens achètent des armes à un rythme accéléré. Plus de 70 000 armes ont été déjà vendues depuis le début de cette année.

Dans ce pays qui compte une population de 8,5 millions de personnes, on dénombre environ 900 000 armes à feu dans les foyers, ce qui fait l’Autriche l’un des nations les plus armées d’Europe.

Presque tous les fusils à canon court ont été vendus, parce qu’il n’est pas nécessaire de disposer d’un permis de port d’armes pour les acheter. En ce qui concerne les armes à feu, un permis est cette fois requis. Les cours destinés à ceux qui cherchent à acquérir une arme à feu, et dans lesquels ils doivent démontrer leurs connaissances des armes, ont normalement lieu toutes les cinq semaines. Mais cet intervalle a été réduit à un rythme hebdomadaire à cause de l’augmentation des demandes.

Conformément aux lois autrichiennes, toutes les personnes plus de 18 ans peuvent acheter et posséder un fusil à canon court ou certains types de fusils, mais ils doivent être enregistrés chez un marchand autorisé ou un armurier dans les six semaines qui suivent l’achat de l’arme. La propriété d’autres armes, plus puissantes, telles que les armes semi-automatiques ou à répétition requièrent un permis spécial, semblable à un permis de chasse.

Ce qui est surprenant, c’est que de nombreuses femmes achètent des armes. Elles se procurent également des sprays au poivre.

«A cause des changements sociaux, les gens veulent se protéger», a confié un marchand d’armes au site internet OE24.

Dans les grandes villes autrichiennes, comme Salzbourg, chaque jour, on peut voir des files de personnes devant des bureaux de l’administration qui délivrent aux particuliers les documents nécessaires pour pouvoir acheter des armes.

En savoir plus :En Autriche, des centres d'accueil de réfugiés profanés par des croix gammées

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Clandestins : l’Autriche voit sa facture s’alourdir

Ndlr : que se passera-t-il quand les Etats n'auront plus d'argent, comment réagiront nos "invités" ?

La prise en charge des réfugiés et demandeurs d’asile, arrivés en grand nombre en Autriche depuis le début de l’année, va coûter cher à ce pays. Vienne prévoit pour les migrants un milliard d’euros au budget de l’Etat en 2016, soit 0,3% du PIB contre 0,1% en 2015, a indiqué le ministère des Finances autrichien.

La dépense moyenne par demandeur d’asile est évaluée à 10’724 euros annuels pour 2016, contre 9593 euros en 2014 (BIEN 2014), détaille le rapport budgétaire annuel présenté mercredi par le ministre Hans Jörg Schelling à la Commission européenne, en vertu des règles communautaires.

Environ un tiers de ce milliard d’euros sera distribué aux neuf provinces de l’Etat fédéral qui font également face à des dépenses croissantes pour accueillir les migrants (…)

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Crise migratoire: L’Autriche va devoir payer cher

L'Autriche prévoit un milliard d'euros dans son budget

Le pays examine environ 60'000 demandes d'asile. Le ministère des Finances a revu le budget 2016 en conséquence.

La prise en charge des réfugiés et demandeurs d'asile, arrivés en grand nombre en Autriche depuis le début de l'année, va coûter cher à ce pays. Vienne prévoit pour les migrants un milliard d'euros au budget de l'Etat en 2016, soit 0,3% du PIB contre 0,1% en 2015, a indiqué le ministère des Finances autrichien.

La dépense moyenne par demandeur d'asile est évaluée à 10'724 euros annuels pour 2016, contre 9593 euros en 2014.

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Des policiers autrichiens se préparent aux pires émeutes

 « Nous craignons tous le moment où on nous ordonnera de marcher contre notre propre peuple »

Le magazine autrichien Info-Direkt publie un entretien avec un membre de la police autrichienne en charge de la question des « réfugiés ». Son expérience quotidienne l’amène à pronostiquer des conséquences dévastatrices et prévoit que des émeutes vont bientôt commencer.

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Plus de 22’000 migrants sont entrés en Autriche ce week-end

Dimanche, 10'700 migrants sont venus s'ajouter aux 12'000 à 13'000 réfugiés entrés en Autriche samedi, a indiqué la police locale. La plupart ont transité par la Hongrie.

Face à l'arrivée massive de migrants, la police autrichienne a partiellement fermé une autoroute franchissant la frontière avec la Hongrie. Elle a précisé que les autorités hongroises avaient transporté les migrants dans des cars vers deux centres d'enregistrement proches de la frontière autrichienne.

La plupart des migrants se sont ensuite mis en route directement pour l'Autriche sans être inquiétés par les policiers hongrois, prenant par surprise la police autrichienne.

Coordination entre la Hongrie et la Croatie

Des centaines de personnes continuent aussi à arriver à travers champs de Serbie en Croatie sur cette nouvelle route de l'exil, après la fermeture de la frontière serbo-hongroise par Budapest.

Après avoir ouvert ses portes aux migrants, Zagreb a assuré dès vendredi être arrivé à saturation, avec l'arrivée de plus de 17'000 personnes en trois jours. Les autorités croates ont reconnu vouloir forcer la main à Budapest en renvoyant les migrants en autocar et en train vers la frontière hongroise.

Une coordination efficace s'est toutefois installée entre les deux voisins. Le passage entre les deux pays se déroule désormais selon un système bien rodé: un autobus croate s'arrête à quelques mètres de la frontière, les passagers descendent en territoire croate, ils franchissent à pied les quelques mètres les séparant de la Hongrie où ils montent ensuite dans un autobus hongrois, qui se dirige vers l'Autriche.

Bloqués à la frontière slovène

Des migrants sont également arrivés en nombre de Croatie vers la Slovénie voisine. Des centaines de réfugiés se sont massés aux postes-frontières voisins de Bregana et d'Harmica, exigeant que la police slovène les laisse entrer. Via différents points d'entrée, quelque 150 d'entre eux ont réussi à entrer en Slovénie et à gagner ensuite l'Autriche.

La Slovénie s'est par ailleurs dite prête à accueillir jusqu'à 10'000 réfugiés s'ils présentent une demande d'asile.

Source RTS

L’Autriche reprend aussi le contrôle de ses frontières

Emboîtant le pas à l'Allemagne, Vienne annonce vouloir suspendre la libre circulation. La Hongrie a, quant à elle, fermé le principal passage serbo-hongrois.

Cette mesure est intervenue au lendemain d'une décision similaire par l'Allemagne.

«Nous allons procéder comme l'Allemagne, à savoir que les contrôles provisoires aux frontières sont autorisés dans le cadre de Schengen et que nous allons donc les introduire», a déclaré Johanna Mikl-Leitner, avant une réunion des ministres européens de l'Intérieur.

Source

L’Autriche se permet de comparer les Hongrois aux Nazis, sous prétexte de “trains où les gens sont entassés”

Nos lecteurs nous communiquent (merci à Cenator)

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Le chancelier autrichien Werner Faymann a vivement tancé le Premier ministre hongrois Viktor Orban, comparant le traitement réservé aux réfugiés qui transitent par la Hongrie à la période nazie.

"Entasser les réfugiés dans des trains dans l'espoir qu'ils aillent très loin, réveille le souvenir de la période la plus sombre de notre continent", a-t-il jugé dans l'hebdomadaire allemand Der Spiegel paru samedi.

Viktor "Orban agit de manière irresponsable quand il fait de tous ces réfugiés des migrants économiques", a-t-il dit. "Il mène sciemment une politique de dissuasion".

Ligne dure

La Hongrie, partisane d'une ligne dure contre les migrants, est montrée du doigt par ses partenaires européens, en particulier son chef de gouvernement, qui espère bloquer le passage des réfugiés dans son pays vers l'Autriche puis l'Allemagne grâce à une double clôture de fils de fer barbelés à la frontière serbe.

Dans un entretien au quotidien allemand Bild, Viktor Orban a jugé que les réfugiés ne venaient pas en Europe "parce qu'ils cherchent la sécurité mais parce qu'ils veulent une vie meilleure que dans un camp. Ils veulent une vie allemande, peut-être une vie suédoise".

 

L'ambassadeur autrichien convoqué

La Hongrie a convoqué l'ambassadeur d'Autriche après les propos du chancelier.Le ministre hongrois des Affaires étrangères Peter Szijjarto a déclaré à l'agence nationale de presse MTI que les commentaires du chancelier autrichien étaient "indignes d'un dirigeant européen du 21ème siècle".Pour Peter Szijjarto, le chancelier Faymann mène depuis des semaines une "campagne de mensonges" au sujet de la Hongrie et rend plus difficile la mise au point d'une solution européenne commune à la crise des réfugiés en "faisant des déclarations irresponsables qui créent de fausses illusions et des rêves injustifiés chez les migrants économiques."
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