Berlin : Des habitants se sentent menacés par des anarcho-féministes. Les politiciens de gauche répondent qu’ils ne changeront rien.

Note : La lettre de protestation de ces habitants s'intitule "Solidarité pour Liebig34, une gifle pour nous". Liebig34 est le mouvement anarchiste que les habitants dénoncent et qui est soutenu par la gauche.


Berlin - Fin juin, les habitants des nouveaux bâtiments situés entre la Rigaerstraße 22 et la Liebigstraße 1 ont écrit une lettre de protestation aux politiciens du quartier, comme la maire de Kreuzberg, Monika Herrmann (56 ans, membre des Verts).

Ils se sentent menacés et demandent de l'aide.

Voici la réponse insolente ! Elle a été signée par Annika Gerold et Julian Schwarze des Verts et par Katja Jösting et Oliver Nöll du parti Die Linke (La Gauche).

La lettre indique notamment : "Il s'agit d'un "projet de maison anarchiste, queer et féministe", où "il est possible de vivre ensemble comme un collectif sans structures patriarcales ou discriminatoires". Nous ne voulons rien en retirer".

Les responsables politiques soulignent l'importance des squatters pour l'image de Friedrichshain-Kreuzberg ... "Ils font partie de notre identité, que nous puissions ou non nous identifier aux discours qui y sont tenus."

Les habitants se sentent véritablement harcelés par ces mêmes squatters. Un graffiti "Les Yuppies doivent mourir" a été étalé sur une vitre. Un autre graffiti souhaite que les habitants attrapent le coronavirus "dans la gorge". Des pierres auraient été jetées dans des chambres d'enfants et dans une garderie.

 

 

Les responsables politiques concluent : "A notre avis, une expulsion ou un départ du collectif Liebig34 ne changerait rien à cette situation. Au contraire, cela servirait probablement de prétexte ou de justification à une nouvelle escalade".

Pour les auteurs de la lettre "Solidarité pour Liebig34, une gifle pour nous", cette réponse est une seconde gifle. "C'est une insulte", se plaint un habitant indigné.

Car les politicien du parti de la Gauche et des Verts ont introduit une résolution au niveau du Conseil municipal. Dans ce document, ils se sont prononcés contre l'expulsion ordonnée par le tribunal du projet de logement alternatif Liebigstrasse 34. Et l'appel à l'aide lancé par la suite par les résidents a été presque simplement étouffé.

C'est un fait : depuis des années, de violentes émeutes éclatent autour de la scène des squatters à Friedrichshain. Ce n'est que dans la nuit du 30 juin que le chaos de l'extrême gauche a provoqué une coupure de courant entre la Liebigstrasse et la Zellestrasse, érigeant des barricades, barbouillant les façades des maisons de peinture et démolissant des voitures.

L'opposition a de nouveau vivement critiqué le Sénat. L'alliance "Rouge-Rouge-Vert a affaibli l'État constitutionnel pendant des années avec une fausse tolérance et de l'inaction", a déclaré le chef de faction de la CDU, Burkhard Dregger.

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(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Bild.de / Bz-berlin.de

 

Athènes : Les anarchistes incendient le siège du Saint-Synode aux cocktails Molotov

Les anarchistes se déchaînent en Grèce contre l’Église orthodoxe (voir ici et )…

Le 8 août, une dizaine de cocktails Molotov ont été jetés par des anarchistes dans la cour du bâtiment du Saint-Synode de l’Église de Grèce à Athènes. Le Saint-Synode a publié le communiqué suivant : « Après l’irruption [d’un groupe d’anarchistes] dans une église de Thessalonique et des attaques dans d’autres églises, un groupe d’inconnus a jeté environ dix cocktails Molotov sur le parvis du bâtiment du Saint-Synode. Nous prions pour que Dieu pardonne aux auteurs ».

Source : Orthodoxie, 11 août via christianophobie.fr

Berne: Des centaines d’extrémistes de gauche vandalisent la capitale suisse. Les socialistes accusent la police.

Christian Hofer: A noter que le 20 Minutes.ch en français passe sous silence le fait que ce sont des extrémistes de gauche qui sont encore responsables de cette hyperviolence. Aucune indication n'a été donnée quant à leur pedigree politique. Il a fallu l'information du journal français pour en savoir plus, la racaille étant défendue par... les jeunes socialistes! Visiblement, lorsque l'extrême gauche est coupable, elle est couverte politiquement et médiatiquement!

Enfin, on peut découvrir sur le compte twitter de ces extrémistes qu'ils se définissent en tant que "jeunes révolutionnaires anti-capitalistes contre les frontières". Bref, les dignes descendants de Mussolini.

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La tranquillité de Berne a été mise à mal: ce week-end, plusieurs centaines de jeunes qui participaient à une fête illégale, à Berne (Suisse), se sont violemment heurtés à la police après avoir commis d'importants dégâts dans la ville.

Les dégâts ont été estimés à des centaines de milliers de francs suisses, selon le responsable de la sécurité de Berne.

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Selon l'agence ATS, la police de Berne a reçu samedi soir de nombreuses plaintes à propos du bruit avant de découvrir que des centaines de jeunes avaient investi un ancien site d'incinération de déchets, dans la banlieue de la capitale suisse.

Les choses auraient pu en rester là, le temps que la fête se termine. Mais peu avant minuit, les participants se sont dirigés vers le centre-ville, taguant et brisant les vitrines des commerces au fur et à mesure de leur progression.

Les policiers et les pompiers arrivés sur les lieux ont été accueillis par des jets de pierres.

Une pierre de la taille d'un poing a même été jetée à travers la vitre d'un véhicule des pompiers, touchant l'une d'eux.

La police a dû intervenir avec ses canons à eau, et du gaz lacrymogènes. Des pistolets à balles en caoutchouc ont même été nécessaires pour stopper les casseurs.

La branche jeunesse du parti socialiste de Berne a accusé la police d'avoir recouru à un usage "disproportionné" de la force, et affirmé que ces débordements étaient imputables au manque d'espace en libre accès pour les jeunes dans la capitale fédérale.

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Violences à Genève: Qui se cache derrière le site «Renversé.ch» à l’origine de cette manifestation?

«Un site d’information collectif, ouvert à toutes et tous, qui vise à soutenir les luttes émancipatrices et les mouvements sociaux et révolutionnaires de Suisse romande.» C'est ainsi que se présente Renversé.ch, le site internet sur lequel, le 13 décembre dernier, a été publiée l'invitation à la «Fête sauvage» de ce samedi 19 décembre. Fête qui a ensuite dégénéré dans les rues du centre-ville de Genève.

Whois révèle que le nom de domaine de Le Réveil est depuis 2008 la propriété d'un certain Louis Bertoni, domicilié aux Editions Entremonde. Fondée à Genève la même année, la petite maison d'édition est connue pour proposer un catalogue mélangeant aussi bien des auteurs communistes qu'anarchistes.

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