Près de 300 manifestants ont scandé samedi après-midi les mots «stop bunker!» dans les rues de la capitale. Ils dénonçaient leurs conditions de vie dans des abris de la protection civile.
Dans une déclaration remise à la presse, le collectif a rappelé que les personnes concernées par ces conditions de logement viennent d'Erythrée, de Somalie, de Syrie et d'Irak, des états ravagés la guerre et la dictature. Dans ces pays, les bunkers sont associés aux bombes.