MàJ. 6.6.2020. La guerre contre la Réinformation passe aux méthodes staliniennes. Calomniez, calomniez…

Uli Windisch
Rédacteur en chef
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NDLR. La situation s’aggrave et devient encore plus scandaleuse que ce qui est dit dans l’article ci-dessous. Ces terroristes des médias de NewsGuard ont un système qui, si vous êtes connectés à eux, fait que sur chacun de nos articles repris sur FaceBook apparaissent bien en évidence les accusations mensongères proférées par eux: “Le site enfreint gravement les principes journalistiques de base”, etc., etc., Ils diffament donc de la même manière plusieurs autres sites très sérieux et de qualité , par ex Breizh-info.com et BdVoltaire notamment. Puisque le Président Trump envisage de classer les groupes gauchistes antifascistes violents et destructeurs parmi les groupes terroristes, il pourrait aussi ajouter ces terroristes des médias de NewsGuard.
Heureusement que nos lecteurs voient clair et comprennent les objectifs de ces médiocres totalitaires qui ne pensent qu’à détruire et qui n’ont plus rien à voir avec le pluralisme médiatique souhaité par les citoyens démocrates.

 

Il faudrait bien sûr rappeler quotidiennement  toutes les attaques et tentatives de nuire, des plus inventives et perverses de la part  de tous ces épurateurs de gauche, en fait tout simplement des fascistes de gauche, impuissants et médiocres, qui au lieu de travailler à fournir des informations importantes, multiples, variées, pluralistes, diversifiées pour contrecarrer l'orientation massivement idéologique et gauchiste des médias mainstream, ne sont en réalité que de grands paresseux qui donnent simplement libre cours à leur haine idéologique et fanatisme en espérant faire crever ceux qui travaillent dur et ne peuvent admettre que les médias trompent les citoyens,  et les électeurs  dans les moments décisifs, avec comme seul objectif de leur imposer la doxa politiquement correcte au point où les citoyens ne se rendent même plus compte de la partialité, de la présence d'une seule et même idéologie politique, celle d'une gauche qui pense parfois encore qu'ils sont seuls à détenir la vérité. Oui ils détiennent la vérité, mais une "vérité" pervertie, souillée, faisandée par des idéologies qui lorsqu'elles arrivent au pouvoir, finissent toujours en totalitarisme, parfois meurtrier, au nom du Bien. Cela on ne le réalise pas assez, en pensant simplement que ces antiquités idéologiques finiront par être tellement discréditées qu'elles disparaîtront presque naturellement. Il faut réaliser que les choses ne se passent jamais ainsi.

La médiocrité  est toujours fainéante  et son énergie haineuse n'a qu'un but : détruire ce qu'ils sont incapables de faire. Partager l'idéologie gauchiste, antiraciste, diversitaire, multiculturaliste, anti-patriotique, anti-souverainiste, anti-identitaire ne demande aucun effort et représente un fructueux oreiller de paresse pour ceux par exemple qui ont fait de rapides "études" par exemple en sciences humaines, sociales, politiques et littéraires, et en... journalisme, etc.; sans jamais avoir travaillé vraiment, ils se glissent dans des partis de gauche, socialos-écolos-bobos  et veulent imposer leur vision du monde purement théorique et idéologique à l'ensemble de la population au moyen d'un militantisme  obsessionnel  et d'un harcèlement continu, jusqu'à ce qu'une partie importante des autres partis politiques finissent par céder, de guerre lasse, en fait par lâcheté, et peur de paraître "rances", vieillots, bornés, conservateurs, attachés à la patrie, aux traditions, à la culture historique du pays, à l'identité, le pire  des péchés.

L'exemple que je présente aujourd'hui, illustre précisément cette médiocrité, en plus évidemment arrogante et prétentieuse, mais qui ne veut que nuire et détruire. En plus, il ne s'agit pas de la première tentative de la militante journaliste gauchiste, antiraciste, etc., dont il est question car nous pouvons nous baser sur la réponse faite par un autre site de réinformation attaqué par la même militante qui se veut experte et prend appui sur l'une de ces organisations pleines d'argent et composée dans le cas présent de 20 journalistes avec comme mission : traquer les "fake news" et les sites patriotes, conservateurs. Financées par qui? Devinez.

D'habitude je ne répons même pas à ce genre d'attaques mais là je pense qu'il le faut  et comme  l'organisation vient des USA, je suggère que tous les sites attaqués s'unissent, déposent une plainte collective et demandent des dommages et intérêts énormes afin que ce soient eux qui crèvent plutôt que nous. Car des attaques aussi massives finissent par avoir de l'effet et nuire gravement à nos sites car certains lecteurs peuvent être troublés par des attaques aussi massives, répétées et systématiques. L'on sait donc que leurs moyens financiers sont souvent sans limites surtout lorsque ces organisations sont financés par le criminel et milliardaire G. Soros, ce qui dans le cas présent n'est pas exclu mais reste à prouver.

Pour illustrer les méthodes de ces organisations, je prends le dernier exemple concret   d'une démarche de ce type. Il s'agit donc d'une "journaliste", Sophia Tewa, de l'organisation "NewsGuard",  (newsguardtechnologies.com). N'ayant pas répondu comme souvent à une telle demande, la personne a tellement insisté que j'ai fini par répondre en demandant d'abord qui elle était et ce qu'elle voulait. Je cite des extraits des méls reçus d'elle car cela vaut la peine, tellement la démarche, les questions, etc.,  sont indicatives des intentions de ces journalistes ressemblant à des commissaires politiques dignes de vrais régimes politiques de sinistre mémoire!

Je reprend d'abord les deux méls  de cette militante qui se dit journaliste et qui a tenu à préciser  sa demande après mon silence :

 

-mél du 12 mai 2020 de sophia tewa :

Cher Uli Windisch,

 

Je suis journaliste chez NewsGuard, un média indépendant basée à New York. Notre rédaction évalue la fiabilité, l'exactitude et la transparence des sites d'informations aux Etats-Unis et en Europe, en fonction de neuf critères. Vous trouverez sur notre site (newsguardtechnologies.com) des informations sur notre mission et notre façon de procéder.

C'est dans ce cadre que j'aimerais vous poser quelques questions sur Lesobservateurs.ch. Seriez-vous disponible pour un entretien téléphonique ou bien par email?

Nous publierons peut-être vos réponses ou certaines de vos réponses dans notre analyse du site. N'hésitez pas à me contacter si vous avez des questions.

Dans l'attente de votre réponse,
Bien cordialement,

 

Sophia Tewa

NewsGuard

newsguardtechnologies.com

[email protected]

 

Commentaire UW:

Première escroquerie : cette militante ose dire que son média newsguard technologies.com est "indépendant"! Son média prétend évaluer "la fiabilité, l'exactitude et la transparence" des sites  non seulement américains mais aussi européens! Elle parle de sa "mission"!

La remarques incroyable : "nous publierons peut-être vos réponses..." . Peut-être? Si ça les arrange et va dans le sens de l'accusation qu'ils veulent porter?

Le deuxième deuxième mél, ci-dessous : J'ai accepté de répondre par skype mais lui ai d'abord posé quelques questions. Exemples :

Combien de journalistes êtes vous ? Rép:  "une vingtaine"!

Qui vous finance ? R : "je ne peux pas vous dire". Fantastique , non?

Voterez-vous pour Trump en novembre 2020? Embarras, hésitation, étonnée que ce soit moi qui commence par poser des questions, puis : " je ne peux pas répondre à cette question" !

UW. merci vous avez répondu! Evident , non?

 

-mél no 2 du 18 mai 2020 de sophia.tewa :

Bonjour,

 

Je reviens vers vous à propos de l'email ci-dessous. Dans le cadre de notre analyse du site LesObservateurs.ch, j'aimerais vous poser quelques questions :

 

  1. Quelles sont vos pratiques en matière de correction d'erreurs sur le site? Je n'ai pas trouvé de rectificatifs/erratum, mais si vous en publiez pourriez-vous m'envoyer deux exemples qui datent des douze derniers mois afin de répondre à notre critère en matière de publication régulière de corrections?

 

  1. Pourquoi est-ce que le site ne publie pas d'informations de contact ou biographiques sur ses rédacteurs ou contributeurs?

 

  1. Plusieurs articles sur le site présentent de fausses informations sur le coronavirus, tels que “L’origine du coronavirus de Wuhan : Enquête historique approfondie. A ne pas manquer”. Il n'existe aucun élément de preuve laissant penser que le virus est une arme biologique ou qu'il provient d'un laboratoire à Wuhan. Avez-vous des commentaires sur cet article?

 

  1. L'article "Bill Gates a installé un terroriste génocidaire à la tête de l’OMS" affirme que Bill Gates souhaite vacciner de force la population. "Son programme est simple et se résume en quelques mots : vacciner de force tous les habitants de la planète et leur implanter des puces RFID ou d’autres marqueurs que l’évolution technologique permettra”. Cette allégation a été démentie par plusieurs médias, dont Reuters et Factcheck.org. Pouvez-vous commenter?

 

  1. L'article “Marches pour le climat. Les enfants soldats de Soros & Cie” affirme que Luisa-Marie Neubauer travaille indirectement pour Georges Soros et l’a aidé à nouer une “liaison étroite” avec la jeune activiste pro-environnement Greta Thunberg. L’article suggère aussi que Luisa-Marie Neubauer est probablement rémunérée en contrepartie de son activité comme “ambassadrice jeunesse” pour ONE Campaign. Il n’existe pourtant aucune preuve que Luisa-Marie Neubauer est directement sous le contrôle de Georges Soros, comme l’ont souligné la BBC et FactCheck.org. Luisa-Marie Neubauer a déclaré à Lead Stories qu’elle n’avait jamais reçu d’argent pour son engagement avec ONE. Pouvez-vous commenter?

 

  1. Pourquoi est-ce que le site n'indique pas qu'il appartient à WindischMediaProd SA?

 

  1. Pourquoi est-ce que le site n'affiche pas son orientation politique sur la page "Qui Sommes-Nous" ?

 

Notre évaluation prend en compte vos commentaires et suggestions. N'hésitez pas à me contacter si vous avez des questions.

 

Note: Nous publierons peut-être vos réponses ou certaines de vos réponses dans notre analyse.

 

Cordialement,

 

Sophia Tewa

NewsGuard

newsguardtechnologies.com

[email protected]

 

Commentairea UW : je ne vais pas commenter très longuement, cependant il faut juste souligner l'aspect scandaleux de la démarche.

Cette militante, qui se dit journaliste, n'a même pas regardé vraiment notre site LesObservateurs.ch! Un rapide survol? Visiblement elle a reçu l'ordre de démolir notre site en relevant quelques points, en plus souvent inexacts. De la part de qui?

Elle ne dit rien des 75.000 articles publiés depuis 8 ans. Mais reprend 2-3 exemples cités sans doute par ceux qui scannent  quotidiennement notre site pour trouver ou inventer des erreurs ( ces flics sont surtout des gauchistes, des musulmans, des islamo-gauchistes, des antiracistes autodésignés, etc).

Elle parle de la correction des erreurs alors qu'il y a tout au plus quelques rares imprécisions sur les 75.000 articles.

Je ne dis rien de notre équipe de rédacteurs? Comme si nous étions 50-100  comme les grands médias. Alors que l'essentiel est fait par une petite équipe de 3-4 personnes, la plupart totalement bénévoles ou alors très très modestement rémunérés quand les contributeurs n'ont pas d'autres revenus et dans la mesure de nos faibles moyens. Comme dit 100 fois, si nous devions rémunérer au tarif courant tous les rédacteurs nous n'existerions plus depuis longtemps.

La question : Pourquoi il n'est pas dit que le site appartient à la WindiscMediaProdSA, alors que cela figure sur la page d'accueil du site, dans la fenêtre d'appel aux dons!

La meilleure : "nous n'affichons pas l'orientation politique sur la page", alors que cela est clairement mentionné, déjà sur la page d'accueil également !

Et elle répète qu'elle prendra en compte nos remarques et publiera "peut-être" nos réponses!

Encore une remarque : à l'oral elle me demande pourquoi certains de nos contributeurs ne signent pas de leur vrai nom. Ah! vexée, elle n'a pas réussi à trouver des personnes derrière certains noms. Pour ensuite les dénoncer nommément?  Mais oui certains jeunes contributeurs ne signent pas de leur vrai nom mais moi je connais toutes les identités sans jamais les dévoiler. La raison? Vous la connaissez : ces personnes craignent qui si un jour elles veulent travailler dans un média officiel on leur reprochera leur participation à notre site. Cela donne en passant une idée de la fameuse diversité,  pluralité, ouverture, tolérance, etc., de nos médias dominants aux gigantesques  moyens financiers.

Ce qui est grave c'est que ce genre de  "médias", ces flics du NET menteurs et délateurs, ont les moyens de faire ensuite une large diffusion de leurs "analyses", en espérant faire crever tous les sites qui ne sont pas de gauche. C'est ce que tente par exemple aussi le Decodex, tant discrédité, du journal Le Monde, par ailleurs condamné en justice pour avoir diffamé l' excellent site Les Crises.fr, et que tentent aussi d'autres commissaires politiques du NET, dits chasseurs de Fake news, et qui peuvent payer plusieurs personnes pour tenter de nuire, en fait de faire disparaître des sites d'information souvent beaucoup plus fiables que ces prétendus experts, juges, flics ou commissaires politiques du NET.

Je ne vais pas allonger, mais cette militante cite même Reuters qui a travaillé avec une Université  anglaise renommée pour "analyser" les sites qui déplaisent à ces médias de gauche. En fait nous avons déjà montré ailleurs que Reuters a repris largement et simplement l'analyse, en fait la tentative de stigmatisation-disqualification de notre site par le Decodex du journal Le Monde.

Lien vers l'article dans lequel je mentionne "l'enquête" de Reuters effectuée avec une Université anglaise de renom ! ici

Oui j'accuse : c'est une méthode stalinienne : Calomniez,calomniez, il en restera toujours quelque chose... Mais nous allons justement tout faire pour empêcher cela et dénoncer sans relâche ces commissaires politiques, les poursuivre et tenter de les faire condamner à de très fortes sommes d'argent pour que ce soient eux qui disparaissent.

J'ai dit en introduction que ce sont souvent des médiocres impuissants qui se livrent aux basses besognes. Dans le cas présent, le site ami Breizh-info.bzh, qui a reçu la même demande de la part de cette militante journaliste membre de ce "média" dont on ne peut savoir qui le finance et qui ose se dire indépendant, ne riez pas, a pris le temps d'analyser en détail le dossier professionnel de cette militante que je reproduis ci-dessous. Cette analyse, une vraie, ne correspond-elle pas assez largement au profil que j'ai défini? A nos lecteurs d'en juger.

Analyse du CV de cette Sophia Tewa, française, de souche ? expatriée à NewYork sans doute pour remplir cette mission de commissaire politique au service du flicage et de la dénonciation des sites francophones non politiquement corrects.

L'analyse de Breizh-info.bzh,  cette fois le terme d'analyse convient :

BREIZH-INFO.bzh

 

 

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NewsGuard s’en prend à Breizh-info avec de grandes intentions mais de petits moyens

23/10/2019 05:01

 

Encore un redresseur de torts qui s’attaque à Breizh-info ! Il s’agit cette fois de NewsGuard Technology, une société commerciale américaine qui entend labelliser des sites web du monde entier : les bons à sa gauche avec une étiquette verte, les mauvais à sa droite avec une étiquette rouge. Breizh-info vient de se voir décerner l’étiquette rouge assortie d’une avalanche de commentaires négatifs.

NewsGuard affirme fonder ses analyses sur des principes journalistiques exigeants. Mais pourquoi ne pas commencer par les respecter lui-même ? Son site web indique ainsi : « Bien que NewsGuard ait été lancée aux États-Unis, les notations et les “étiquettes nutritionnelles” produites pour les sites Web d’actualité et d’information consultés en France par les Français ont été préparées par des journalistes et des rédacteurs ayant une grande expérience du journalisme en France et une compréhension profonde du paysage médiatique de ce pays ».

En réalité, la rédactrice de la notice concernant Breizh-info n’a pratiquement aucune « expérience du journalisme en France ». Élevée en banlieue parisienne, à Villeneuve-la-Garenne, Sophia Tewa a quitté la France à 19 ans pour suivre des études de journalisme à New York de 2005 à 2009. Toute sa carrière s’est déroulée aux États-Unis depuis lors ; elle y habite toujours, à New York, dans le quartier du Bronx. D’abord tentée par la production vidéo, elle a vite remporté un succès notable en décrochant un prix au festival du film de Hollywood en 2012 pour un documentaire sur la sécheresse au Kenya. Mais ce premier succès est resté sans lendemain. Même si, l’an dernier, Sophia Tewa a obtenu un prix au plus modeste festival du film de Bushwick avec un reportage sur un couple de SDF noirs de Manhattan.

Soudain propulsée des « petits boulots » à la Cour suprême de la presse

Aux États-Unis aussi, la carrière de journaliste est difficile : à côté de rares réalisations vidéo, Sophia Tewa a enchaîné ces dernières années les « petits boulots » de pigiste pour la presse écrite populaire. Parmi ses articles récents (2018) figurent « 24 endroits pour se baigner dans les parcs publics du Connecticut », « Combien coûte un mariage dans le Connecticut », « Les meilleurs endroits pour prendre sa retraite dans le Connecticut », « Trois universités du Connecticut classées parmi les meilleures du monde », « Retour sur les pires ouragans de l’histoire du Connecticut », « Les distributeurs PEZ du prince Harry et de Meghan Markle vont être vendus aux enchères pour une organisation de bienfaisance », « Un livreur de pizzas reçoit 180 000 dollars d’indemnité pour avoir été écrasé par 400 livres de fromage », « 3 animaux favoris du Connecticut nominés pour le prix du Chien Héros », « Un fromage bleu local remporte le concours mondial des fromages », « Voici les restaurants les plus propres de la Valley », « Maikana Foods livre des repas diététiques à votre porte », etc. (titres traduits par nos soins).

Malgré l’intérêt de ces thèmes, on voit mal en quoi ils démontrent une « compréhension profonde du paysage médiatique » français. Ni en quoi ils qualifient la journaliste pour juger le sérieux de Breizh-info. En fait, si son analyse commence objectivement par des renseignements banals, elle tombe vite dans la caricature : « ses contenus consistent principalement en des articles d’actualité et des opinions sur les enjeux de l’immigration et la menace que poseraient les minorités ethniques ». Ces thèmes tiennent une place importante dans les pages de Breizh-info mais le mot « principalement » est erroné. Se pourrait-il qu’il témoigne d’une obsession « racialiste » chez son auteur ? (Du fait de ses origines africaines, elle revendique elle-même un statut de « personne de couleur ».)

Interdits, parti pris et copinages

Vient ensuite une litanie de notes hâtives sur le thème de la « crédibilité ». On peut les ranger en trois catégories :

1) L’évocation de thèmes tabous.

Il y a des choses dont on ne doit pas parler, semble penser cette journaliste d’un genre particulier. Cela concerne surtout l’effondrement du bâtiment n°7 du World Trade Center de New York. Selon Sophia Tewa, Breizh-info « avance la théorie selon laquelle les tours jumelles auraient été détruites par démolition contrôlée ». Nous n’avons rien « avancé », et nous ne prétendons pas avoir les compétences techniques pour le faire. Notre article relatait les doutes exprimés par des observateurs à propos de l’attentat du 11 septembre 2001 – des doutes suffisamment nombreux et graves pour constituer une information en soi (1). Tout le monde peut en juger en lisant notre article intitulé « 11 septembre 2001 : questions de bon sens et théories fumeuses ».

Un deuxième cas cité de façon plus confuse est celui de l’accusation d’attaque chimique à Douma lancée contre le gouvernement syrien. Sophia Tewa nous reproche surtout un article de quatre lignes intitulé « Le représentant russe auprès de l’OIAC conteste son rapport sur l’attaque chimique présumée à Douma ». Tout était dans le titre : Breizh-info, qui n’avait pas d’experts chimistes sur le terrain, a seulement rapporté que les avis sur la question n’étaient pas unanimes. Là résidait l’information : un grand pays, très présent sur le terrain, contestait officiellement un rapport d’une organisation dont il est membre. C’était suffisamment grave pour ne pas être passé sous silence. (À la limite, il y aurait eu complotisme à ne pas en parler.)

Dans les deux cas Sophia Tewa avait probablement lu nos articles mais tout ce qu’elle en a retenu était l’évocation de thèses contraires à la doxa qui l’inspire. Son incapacité à distinguer compte rendu et prise de position jette un doute légitime sur sa capacité à noter ses confrères.

2) Les sujets qui contrarient l’analyste.

Il suffit de consulter la liste d’articles de Breizh-info cités par Sophia Tewa à la rubrique « crédibilité », une liste apparemment longue – mais en réalité très courte par rapport aux 17.534 articles publiés à ce jour. Apparemment, ce qui concerne l’immigration de près ou de loin est systématiquement considéré par elle comme « pas crédible », de même que ce qui a trait à l’Afrique (peut-être par réflexe identitaire ?), y compris quand les informations sont archi-confirmées.

Son obsession confine au ridicule quand elle mentionne un article du 18 mai 2019 intitulé « Afrique sub-saharienne. Le VIH touche jusqu’à 30 % de la population ». Il reprenait directement les constats d’une étude scientifique parue dans la revue Nature ! Certes, cette proportion ne concernait que certaines régions, mais la longueur des titres a des limites, la locution « jusqu’à » est claire pour tout lecteur un peu cultivé et l’article était parfaitement explicite.

Presque à chaque fois que Sophia Tewa mentionne un article de Breizh-info à la rubrique « crédibilité », elle se croit obligée de citer des articles d’autres médias, surtout anglo-saxons, exprimant ou même simplement exposant un avis différent. Elle s’imagine probablement que cette accumulation « fait sérieux », mais c’est parfois tout le contraire. Ainsi, dans l’idée sans doute de « réfuter » un article relatant les critiques de deux cancérologues à propos d’un médicament, elle cite une annonce de l’Agence nationale de sécurité du médicament… plaçant ledit médicament sous surveillance renforcée ! Peut-être n’est-elle pas très au fait des subtilités de l’administration de la santé en France, mais il y a, là aussi, de quoi s’interroger sur sa valeur professionnelle.

3) Les opinions d’adversaires de Breizh-info.

Enfin, Sophia Tewa a repris sans la moindre analyse des prises de position hostiles à Breizh-info formulées sur le web. L’exemple le plus caractéristique est celui de la vidéaste Aude Favre qui, sur le ton de la satire, s’en est prise a deux articles. Elle aurait, écrit péremptoirement Sophia Tewa, « démontré qu’il était impossible de prouver que ces événements aient eu lieu ». En réalité, Aude Favre avait interrogé des personnes qui, sans bien savoir où et quand ces événements avaient eu lieu, attestaient ne pas en avoir été témoins ! Pire : alors qu’elle a minutieusement fouillé les archives de Breizh-info, Sophia Tewa évite d’adjoindre à son lien vers la vidéo d’Aude Favre un lien vers la réponse circonstanciée que nous lui avions apportée.

De même, Sophia Tewa cite, lien à l’appui, un article des « Décodeurs » du Monde sur « l’histoire d’un couple tué au Tadjikistan devenue fable d’extrême-droite », sans mentionner la réponse (« Les Décodeurs attaquent Breizh-info et se ridiculisent ») que nous lui avions apportée dès le lendemain.

Une subjectivité non maîtrisée

Étrangement, Sophia Tewa s’est gardée de rapporter quelques critiques extérieures qu’elle ne peut avoir ignorées. Par exemple cette étude du Reuters Institute sur les « fake news » et la désinformation en ligne. Peut-être parce que nous avions aussitôt souligné la mauvaise qualité scientifique de cet article. À propos, parmi les quatre personnes censées avoir relu le texte de Sophia Tewa (Chine Labbe, Yves Clarisse, Sarah Brandt et Eric Effron), trois sont des anciens de Reuters, ce qui rend cette omission encore plus incompréhensible.

La démarche de labellisation avait déjà été tentée sans succès par le Décodex du Monde, qui sait pourtant ce que journalisme veut dire. D’autres tentatives du même ordre ont eu lieu à l’étranger. On s’étonne que NewsGuard n’en ait pas retenu les leçons. La société affirme évaluer les sites grâce à neuf « principes de base incontestés du journalisme fiable ». Selon elle, ces critères « sont appliqués de la même manière pour chacun des éditeurs quelle que soit leur orientation politique, le cas échéant ». Mais comme ils sont presque entièrement subjectifs, la neutralité est spécialement difficile à atteindre. Pour qu’un jugement soit bon, il ne suffit pas que la loi soit bonne. Encore faut-il que le juge le soit aussi. En l’occurrence, le soin de déterminer si des sites français sont dignes de foi a été confié à une jeune journaliste familière des « chiens écrasés » américains, peut-être un peu frustrée par la tournure décevante de sa carrière, voire d’une sensibilité particulière sur les sujets concernant les personnes de couleur. C’est au minimum une erreur de casting.

Vu la mauvaise qualité du travail effectué par cette « analyste », l’étiquette rouge de NewsGuard a finalement un petit côté rosette de la Légion d’honneur…

Erwan Floch

(1) Pour juger le sujet illégitime, Sophia Tewa invoque « une enquête menée en 2018 par l’institut national des normes et de la technologie des États-Unis ». Le rapport du NIST date en fait de 2008 et non de 2018 (l’erreur de date n’a pas été détectée par les quatre relecteurs du dossier). Il a donc fallu sept ans pour parvenir à une conclusion, ce qui montre bien que le sujet n’était pas si clair. En effet,  l’effondrement de la tour 7 était souvent expliqué soit par un effet de souffle, soit par les dommages structurels causés par des débris des tours 1 et 2. Le rapport du NIST écarte ces deux hypothèses répandues. C’est–à-dire que l’inexactitude était du côté des tenants de ces théories et non du côté de ceux qui les contestaient. La cause de l’effondrement serait finalement, selon le NIST, un incendie resté invisible. Mais le NIST lui-même utilise systématiquement la formule « probable collapse sequence » (« séquence probable de l’effondrement ») : elle figure 26 fois dans son rapport ! Si l’on reste dans le domaine des probabilités, c’est qu’un doute demeure. Mais clairement pas pour Sophia Tewa.

Crédit photo : DR (Photo d’illustration et copie partielle d’écran du site Muck Rack)
[cc] Breizh-info.com, 2019, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine – V

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PS. Au moment où je termine cet article on me signale que cette journaliste commissaire politique a déjà établi son rapport, pardon son acte d'accusation, sur notre site. Je ne vais pas commenter encore une fois cette entreprise de dénigrement purement idéologique  mais me contenter de signaler que tout ce qui ressort de cette honte journalistique c'est que nous serions un site dont il faut se méfier tandis que  les journaux Le Monde  et Libération sont des modèles d'une très grande fiabilité et qualité.On retrouve en effet l'inversion totale et complète du langage propre aux régimes politiques totalitaires.

Textuellement il est dit à propos de notre site et donc aussi à propos de bien d'autres  sites de la même orientation générale : "Soyez vigilants : ce site enfreint gravement les règles journalistiques de base".

Lien vers ce média militant d'extrême gauche et son "analyse" de notre site LesObservateurs.ch, ici

Et devinez ce qui est dit par exemple des journaux d'extrême gauche et socialo-communiste Libération et Le Monde (bis repetita :condamné en justice pour diffamation par exemple du site Les Crises.fr) : ils sont portés aux nues et très fiables, etc.,etc. Vous pouvez vous amuser à voir d'autres analyses du même genre de ce cette organisation de commissaires politiques, en sachant toutefois que le résultat est donné d'avance.

PS2. J'apprends à l'instant avec un très grand plaisir que le Président D. Trump dit vouloir  déclarer les mouvements d'extrême gauche aux USA comme organisations terroristes. 

En suivant cette logique  ne serait-il pas indiqué de proposer de déclarer les médias d'extrême gauche de médias terroristes?

PS 3. Sur le pouvoir de nuisance de ce genre de "média" comme NewsGuard : on nous signale à l'instant que sur FB certains de nos frénétiques diffamateurs habituels  reprennent déjà les accusations mensongères de cette "analyse" de NewsGuard portées  contre notre site.  Accusations signalées en ROUGE évidemment.

Cela montre bien où est le vrai danger, la capacité de nuisance et le projet de destruction de ces journalistes devenus commissaires politiques,  cela d'autant plus que tous les lecteurs n'ont ni le temps ni l'habitude de toujours distinguer le Vrai du Faux.

Avec nos 75.000 articles repris et publiés en huit ans et nos 80.000 abonnés, nos lecteurs savent qu'ils peuvent continuer à nous faire confiance et ils distinguent rapidement entre journalistes et commissaires politiques. 

Mais nous avons surtout besoin d'aide et sur tout.

Uli Windisch, 1. 06 2020.

5 commentaires

  1. Posté par aldo le

    Bravo pour avoir détecté ces intrus pernicieux ! L’existence de ce genre d’officine est essentiellement une garantie de revenus sérieux, puisqu’elle s’active au profit de gens qui ont des moyens et des profits qu’ils veulent perpétuer quelques soient les circonstances. Donc faire barrage à tout ce qui pourrait déstabiliser les idées confites des médias-pravda à la botte pour lesquels elles sont aussi censées agir et toucher encore des revenus. Soros n’est pas loin ! https://lesobservateurs.ch/2020/06/01/usa-un-manifestant-temoigne-nous-sommes-payes-par-soros/

  2. Posté par Et voilà le

    Méthode “Stalinienne”. Normal : il est facile de vérifier que la quasi-totalité de l’actionnariat de newsgard est bolchevik ! Mêmes origines, mêmes méthodes !

  3. Posté par Philippe Dauphin le

    J’ai dû installer l’add-on NewGuard (apparemment très peu connu) pour pouvoir déposer une note. Vous pouvez imaginer quelle note ils ont obtenu après avoir lu l’enquête de Breizh-info.

  4. Posté par Bussy le

    Plus l’échec des théories fumeuses des idiots utiles des Soros et Cie sera visible, et plus ils deviendront agressifs et plus ils chercheront à museler ceux qui leur mettent le nez dedans…donc ça ne fait que commencer.
    Théories fumeuses des idiots utiles hors sol et loin des problèmes qu’ils augmentent de jour en jour par leur fuite en avant ou leur bêtise, mais vrai complot de plus en plus évident de ceux pour qui ces idiots utiles roulent. Marrant d’ailleurs ces gens de gauche qui roulent pour des oligarques affameurs de peuple…..
    Avec un peu d’intelligence, ils reconnaîtraient leurs erreurs et on pourrait commencer à corriger le tir, progressivement, stoppant par exemple net l’immigration qui ruine l’Europe, stoppant net le regroupement familial et mettant en place des mesures de remigration….
    Au lieu de ça, les idiots utiles continuent de favoriser l’immigration massive de boulets, celle-ci augmentant d’année en année la ruine des états et la création de zones de non droit.
    Les idiots utiles ont-ils des enfants et petits-enfants ? Se foutent-ils complètement de leur avenir, ne pensant qu’à leur intérêt égoïste à court terme ?
    Petit espoir, certains sont réveillés, des sites de réinformation tirent inlassablement la sonnette d’alarme ou plutôt sonnent le tocsin…. et il semble que les peuples européens sont de moins en moins dupes de ce cirque mortifère…

Et vous, qu'en pensez vous ?

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