Un policier confie sa frustration : la véritable situation est édulcorée, dissimulée, le citoyen normal est souvent perçu comme « facteur perturbateur ». En revanche, les criminels étrangers ont peu à craindre.
Depuis la fin de l’été, l’ambiance est mauvaise. Cet été, 50 % des collègues avaient encore une approche positive; l’autre moitié se montrait plutôt sceptique face à l’avenir. Aujourd’hui, la majorité est démoralisée.
Nous avons régulièrement connaissance d’infractions en relation avec les centres de requérants, allant du stockage de biens volés lors de cambriolages jusqu’à la présence de sympathisants du terrorisme. Pourtant, ces informations ne doivent pas filtrer pour ne pas inquiéter la population.
Les délinquants étrangers ont moins de respect pour nous et surtout pour les collègues féminines. Lorsque nous effectuons un contrôle, nous sommes traités de « nazis ».
Les agressions sexuelles ont augmenté, pas uniquement depuis la Saint-Sylvestre. Le thème n’est nouveau que pour les médias. Nos chiffres montrent que les agressions faites aux femmes se sont amplifiées de façon massive depuis quelque temps déjà; d’un cas par semaine, voire d'un par mois, à plusieurs cas par semaine dans notre commissariat. Auparavant, nous n’avions pas de cas de femmes harcelées en faisant leurs courses. Le nombre de ces délits s’est accru rapidement.
Il faut aborder les problèmes relatifs aux étrangers d’une manière ouverte. Les étrangers criminels doivent être expulsés avec effet immédiat; ainsi que les personnes refusant de s’intégrer.
En règle générale, nous n’avons pas de problème avec les immigrés d’Amérique, d’Asie, de Scandinavie, d’Espagne, etc. Il en va tout autrement avec les immigrés de pays arabes, les musulmans en particulier. Il faut enfin cesser d’en faire un thème tabou.
Je préfère ne pas penser à l’avenir si la situation persiste.
Merci à Caroline pour le choix des extraits et la traduction
Nous avons tous des responsabilités ! On veut garder notre job, surtout en ce moment… alors je comprends LE policier, qui doit obéir aux ordres pour garder son job…. seulement il est vrai qu’être policier est un choix, ce choix particulièrement en ce moment, soit être assumé! ! La populations comptent sur les forces de l’ordre il faut agir! Sans quoi les citoyens descenderont dans les rues et là ce sera un carnage…. mais bon ,, ^^ c’est bien ce que veulent les “grands” de ce monde après tout… restons unie! Car dans 20ans j’aimerais pouvoir dire à nos enfants – nous sommes resté unie et nous nous somme défendu au nom de ces valeurs qui sont encore les notres aujourd’hui – abe
“Lorsque nous effectuons un contrôle, nous sommes traités de « nazis »”.
“Nazi” étant l’insulte favorite des ennemis du genre humain (ceux qui proclament qu’ils le sauveront par l’internationale, le mondialisme ou le globalisme, en résumé par une organisation communiste de la société où l’état, “les élites”, ont tout pouvoir sur le peuple au nom de celui-ci), il est nécessaire pour lui de se renseigner le mieux possible sur ce sujet car la plupart n’en connait que ce que ces mêmes ennemis lui ont enseigné.
Et “nous n’avons pas de problème avec les immigrés d’Amérique, d’Asie, de Scandinavie, d’Espagne” mérite la même analyse: qui, pourquoi, comment et avec quels résultats.
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@ Andrea
Avez-vous lu en entier le témoignage de ce policier dans le journal Junge Freiheit?
Car ci-dessus, il n’ y a que quelques extraits.
D’après vos remarques simplifiées et agressives contre la police, il ne semble pas.
Or il dit comme vous sur certains points:
-Manque d’effectif chronique et de moyen matériel pour se protéger dans les intervention, femmes policiers mal traitées, injuriées parce qu’elles sont femmes( car ils sont très agressifs ces gentils petits réfugiés)
-Interdiction de nommer ou de parler des problèmes graves d’insécurité liés aux migrants et impunité totale puisque le mot d’ordre est de cacher absolument ce qui se passe. (Meurtriers, voleurs, tricheurs, menteurs, agresseurs, violeurs, la plupart relâchés sitôt dans la nature…)
-Surcharge de travail au détriment de la protection et du service aux citoyens.
-Abandon de la hiérarchie, des politiciens et du système judiciaire.
Etc, etc.
Ces hommes sont aussi des citoyens, madame ! Et si vous avez le sentiment qu’ils ne vous défendent pas assez et vous amendent pour un rien, peut-être devriez-vous allez faire un tour dans les pays pauvres et musulmans pour voir comment cela se passe avec les forces de l’ordre.
Et aussi un tour à Calais, tout près d’ici pour voir ce que vivent les calaisiens et les forces de l’ordre ensemble, sous les assauts des migrants…
En premier lieu, adressez-vous aux politiciens qui refusent d’augmenter les effectifs par manque soit-disant de moyens et qui font l’autruche sur la situation catastrophique provoquée par cette immigration arabo-musulmane.
Le jour où ses hommes démissionnent par dégoût de ne pouvoir faire leur travail nous serons tous sans défense face à la horde. En avez-vous conscience?
Lisez aussi le témoignage de cette allemande qui travaille dans un centre pour réfugiés à Hambourg. Elle aussi n’en peut plus et va démissionner, alors qu’elle était pro-immigration.
Les populations partout, se sentent impuissantes et abandonnées par l’état et découragées par l’ampleur du MENSONGE MIGRATOIRE.
Bientôt cela se transformera en colère et malheureusement la colère est aveugle. Et je vous assure que ce jour là vous serez heureuse de rencontrez des policiers dans votre rue, s’il y en a encore, y compris celui qui vous a un jour collé une amende…
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Attendez, laissez-moi verser une larme.
Ils sont où les polociers, quand on a besoin d’eux, justement à cause de l’augmentation de l’insécurité due aux clandestins?
Combien de temps, le citoyen doit attendre avant que la police arrive, lorsqu’il se fait cambrioler, fracasser la vitrine ou agresser dans la rue?
Par contre, dès qu’il y a une infraction routière, aucune concession, tolérance zéro.
Excusez-moi, mais non, je ne ressens aucune compassion.
Ces fonctionnaires représentent l’autorité, les “forces de l’ordre”.
Alors, finit de geindre comme des jeunes licéennes et au boulot!
Autrement démissionnez et cherchez vous un job d’éducatrice de la petite enfance.
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