Une délégation de l’ONU menée par une femme de couleur américaine dénonce un prétendu RACISME SYSTÉMIQUE de la Suisse

Suisse - Racisme: une justice trop blanche?

lecourrier.ch - justice -

Présidente du groupe de travail des Nations unies sur les personnes d’ascendance africaine, Dominique Day revient sur sa mission en Suisse, où le groupe a dénoncé un déni du racisme systémique.

Violences policières et manque d’indépendance de la justice ont été pointés du doigt par le groupe d’expert·es des Nations unies sur les personnes d’ascendance africaine, après dix jours d’enquête sur le racisme anti-Noir·es en Suisse. La délégation, qui ne s’exprime pas au nom de l’organisation internationale, s’est notamment penchée sur la mort de quatre hommes noirs – Hervé Mandundu, Mike Ben Peter, Lamine Fatty et récemment Nzoy Roger Wilhelm [...]
suite réservée aux abonnés (*)

Amani Bathily, coordinatrice de l'association Safro qui lutte contre le racisme, se réjouit des conclusions du rapport. Mme Bathily se dit "passionnée par des thématiques liées aux inégalités sociales. Elle a grandi en Suisse, née à Paris d’une mère anglaise et d’un père sénégalo-guinéen..."

(*) Nous ne pouvons pas reprendre ici l'image du Courrier, mais nous avions publié des photos comparables prises lors d'une autre manifestation de BLM à Lausanne. S'il y a lieu de parler de "colonialisme suisse", cela ne se situe pas dans notre passé mais dans notre présent et il s'agit de ce colonialisme idéologique venant des USA.

Lausanne, place Chauderon, 2018

Extraits de l'article de l'ATS repris par de nombreux médias romands :

«La richesse moderne de la Suisse est directement liée à l’héritage de l’esclavage», selon des experts onusiens. Ils ont dénoncé mercredi un racisme systémique en Suisse ainsi que le profilage perpétré par la police. [...]

Elle dénonce aussi «une culture du déni».  [...]

Les experts ont rencontré des personnes d'ascendance africaine mais aussi des représentants des autorités fédérales et cantonales, des forces de sécurité, d'institutions nationales, d'ONG et des individus qui œuvrent contre le racisme et la discrimination raciale. Le groupe de travail rendra en septembre prochain un rapport au Conseil des droits de l'homme de l'ONU.

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Carla Montet: Résumons pour planter le décor:

"Le Groupe de travail de l'ONU sur les personnes d'ascendance africaine", composé d'"experts, qui ne s'expriment pas au nom de l'ONU", "rendra en septembre prochain un rapport au Conseil des droits de l'homme de l'ONU."

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Revenons aux sources, à ce qui a propulsé ces femmes d'ascendance africaine au grade de Juges des Nations, pour s'en prendre exclusivement aux pays qui ont été fondés par les Blancs.
Comme le montre la caricature ci-dessous, la dernière guerre américaine est menée contre l'Amérique elle-même, contre sa propre civilisation, et comme d'habitude, elle cherche à entraîner le reste de l'Occident dans ses aventures.

Et la stratégie employée pour mener cette guerre a misé sur une armée composée d'Antifa, de BLM, deux organisations terroristes, au comportement de psychopathes criminels. Ce sont ces gens-là qui ont été utilisés pour pousser à bout le peuple américain, moyennant chaos, terreur, pillages, destructions, et parfois même meurtres, en justifiant ce déchaînement de barbarie par un prétendu racisme systémique qui rongerait la société américaine actuelle.

Il s'agit d'une nouvelle forme de révolution bolchévique dans le cadre de la guerre culturelle que la gauche mène contre l'Occident, qui est arrivée dans sa phase terminale. La destruction du capitalisme signifie un nouvel ordre mondial, un ordre qui veut diriger le sort des civilisations.

L'emprise néo-marxiste dans la dernière phase de la révolution culturelle comporte la mainmise généralisée sur l'enseignement à tous les niveaux, avec un noyautage sans précédent des médias, mais aussi des organisations internationales, tous gangrenés par une déchéance morale.
Ces forces progressistes, avec leurs idiots utiles, se sont unies contre les civilisations des Blancs, pour les faire passer à la caisse; et surtout l'homme Blanc est le bouc émissaire de la révolution woke.

Et pour rendre dociles les Blancs qui sont encore majoritaires sur le sol de leurs ancêtres, des techniques de manipulation de masses puissantes sont mises en œuvre, amenant au pouvoir ceux qui sont porteurs de l'idéologie révolutionnaire, éjectant toute opposition, sans lésiner sur les moyens.

L'infiltration néo-marxiste des organisations internationales est également généralisée. L'ONU est l'exemple même d'une organisation supranationale infiltrée, qui travaille d'arrache-pied pour piller, discréditer et détruire notre civilisation. Toutes ces instances imposent leur grille de lecture idéologique à la collectivité, et toute cette usine à gaz financée par les Occidentaux ne sert plus qu'à faire passer les Blancs à la caisse, pour redistribuer leurs richesses. C'est dans cette logique que la théorie du racisme systémique est devenue un outil à retourner contre nous.

C'est avec cette grille de lecture que Dominique Day et son équipe ont débarqué en Suisse, décidées à faire leur rapport en dix jours sur les crimes des policiers Blancs contre les Noirs, et à conclure que notre pays n'échappe pas au racisme systémique à l'encontre des Noirs. Leur constat concerne surtout les villes de Zurich, Berne, Lausanne, Genève, où vit une population Noire importante. Tout comme la justice américaine dans le cas du policier condamné pour la mort de George Floyd, elles avaient de toute façon déjà leur condamnation toute prête avant le procès.
Notons tout de même que des Suisses ont largement collaboré avec l'équipe onusienne, que ce soit au niveau communal, cantonal ou fédéral.

Nous sommes persuadés que la connaissance de ces trois Américaines sur la Suisse se limitait à "Giniva", "Tzjurich" et "fondjou", mais peu importe: la science de Lyssenko est infaillible et c'est cela l'essentiel.

Lorsque ces bêcheuses affirment que «la richesse moderne de la Suisse est directement liée à l’héritage de l’esclavage», elles déshonorent nos ancêtres, qui ont lutté et travaillé si durement pour leur survie.

Nous serions tentés de balayer d'un revers de main la conclusion du rapport de Dominique Day, qui polluerait même une poubelle à papier recyclable, mais ce serait une erreur de ne pas le prendre au sérieux.

Car ce rapport servira de support dans nos médias pour renforcer la censure, il sera enseigné pour propager dans la jeunesse la haine de soi et la honte de notre pays, et les contribuables passeront encore à la caisse pour faire tourner le carrousel antiraciste.

Il aurait été impensable aux États-Unis, il y a encore vingt ans, qu'une meute de psychopathes, alliés avec la racaille d'extrême gauche et la jeunesse des campus universitaires, parvienne à imposer une révolution communiste en un claquement de doigts.

Pourtant, c'est ce qui s'est passé sans rencontrer d'obstacles; Trump vient de donner une interview à Epoch Times, dont le titre dit tout: "Nous sommes en train de devenir comme un État socialiste ou communiste."

Les villes de Gauche américaines se sont ralliées au mouvement woke et ont approuvé les revendications comme "Defund the police", et les déboulonnages, espérant stopper le déchaînement dévastateur des révolutionnaires.

Dans la foulée, des Blancs décervelés, endoctrinés ont volontairement embrassé, léché les chaussures de Noirs, des innocents ont été blessés, ruinés, massacrés dans l'anonymat, comme les victimes collatérales de toute révolution.

Après le putsch électoral, le gouvernement de Biden a mis fin à la récréation, mais les valeurs révolutionnaires restent communément admises dans les villes sous domination Démocrate, et la reconstruction n'est pas pour demain.

Diagnostic de racisme systémique oblige, les Blancs et Asiatiques talentueux sont désavantagés dans le monde académique et la vie professionnelle, et cette discrimination raciale se justifie au nom des réparations qu'ils devraient aux Noirs.

En Californie, toujours le berceau des folies, un nouveau mode de consommation a fait son apparition: certaines minorités font leurs shopping en refusant de payer, et les commerçants n'osent plus s'y opposer.

 

Dominique Day dit qu'elle a choisi la Suisse pour mener son enquête parmi une longue liste de pays. Nous savons que nos hôtels sont agréables: dix jours en Suisse tous frais payés, en étant très bien reçus par les autorités cantonales, communales et tout le gotha de la lutte antiraciste, cela ne se refuse pas.
Dominique Day et son équipe auraient pu visiter les 55 pays d’Afrique, et regarder si les Noirs n'étaient pas davantage racistes déjà envers eux-mêmes, ou les 54 pays musulmans, pour voir si un seul d'entre eux dispose d'un bureau pour lutter contre le racisme, mais non, il fallait venir voir un pays déjà largement acquis à la religion antiraciste et doté de mille et une instances de lutte contre le racisme.

Le rapport de Dominique Day conclut que le racisme anti-Noirs est transnational et CONCERNE AU MÊME TITRE LA SUISSE QUE N'IMPORTE QUEL PAYS BLANC, car il est directement lié à l'histoire (!) et au trafic d'esclaves (!) puis au colonialisme (!).

Ces "expertes" semblent ignorer que la Suisse n'a jamais eu de colonies et n'a jamais pratiqué le trafic d'esclaves, mais notre Gauche et ses médias-propagande, tel le Courrier, en collaboration étroite avec les ONG, s’efforcent de nous convaincre du contraire, et ceci justement depuis que l'hystérie du wokisme des États-Unis nous a contaminés.

Ces "expertes" semblent aussi ignorer que l'esclavagisme a toujours existé partout dans le monde, que les Africains entre eux étaient et sont esclavagistes, que les musulmans les ont castrés et marqués au fer rouge, et que ce sont les Blancs qui ont mis fin à l'esclavage: le monde leur doit de la reconnaissance pour cela, et non du déshonneur. Cette exploitation politique d'un fait historique est ignoble. Ces femmes seraient plus utiles en luttant contre l'esclavage qui subsiste dans certains pays musulmans, mais le séjour risquerait d'être moins confortable que la balade en Suisse.

Trois femmes de l'Amérique woke, se présentant comme expertes du racisme à l'encontre des personnes d'ascendance africaine, ont conclu que le peuple suisse est injuste et raciste, et que notre police a assassiné des Noirs par pur racisme, accusant celle-ci, sans aucune base valable, de ne pas avoir une conduite appropriée face aux Noirs.
Elles affirment que les policiers suisses ont un problème avec la gestion de la violence lorsqu'ils sont en face de Noirs.
(Voir aussi: https://lesobservateurs.ch/2022/01/26/retour-sur-le-drame-de-morges/)
Pour remédier à cela, l'équipe de Dominique Day veut des changements! Elle demande des procureurs spéciaux pour les Noirs, qui ne soient pas rattachés au Ministère public, et une instance pour recueillir les plaintes contre la police. Mais ce n'est pas tout.
La commission de Dominique Day demande à la Suisse d'établir des données concernant l'appartenance raciale, "permettant de détecter des violations des droits humains liées à l'appartenance raciale."
 
(Ce genre de statistiques, si elles sont honnêtes et faites dans les règles de l’art, pourrait réserver de grandes surprises...)
Dominique Day affirme également dans son rapport que le peuple suisse est coupable d'abus de pouvoir sur les populations Noires résidant sur son sol, en "perpétuant des discriminations, que ce soit dans le domaine de la justice, de l'éducation, de la santé".
La conclusion du groupe de travail sur le racisme anti-Noirs en Suisse est que la Suisse doit reconnaître que le racisme est systémique.
Le constat du rapport est clair: les Noirs ont de GRANDES difficultés dans l'accès au logement, à l'emploi, et rencontrent "des risques élevés de violences sexuelles pour les femmes"!
(Nous n'avons jamais entendu parler d'Africains qui ne soient pas logés, y compris les clandestins, ni de harcèlement ou viols de femmes Noires en Suisse:
est-ce que nos journalistes progressistes à l'affût de discriminations racistes nous cacheraient de telles nouvelles?)
Il y a également dans ce rapport accablant le constat de fréquentes insultes racistes, de harcèlement en milieu scolaire, de discriminations dans l’éducation envers les personnes d'ascendance africaine.
Le rapport onusien fait part d'un déni du racisme systémique des Suisses.
Le racisme systémique serait même omniprésent dans notre pays à tous les niveaux de l'éducation.
Trop peu de personnes afro-descendantes sont engagées dans les bureaux de prévention du racisme.
Au niveau médical, les diagnostics erronés sur les patients Noirs ne sont pas rares (sic!).
Les maladies spécifiques dont souffrent les Noirs ne bénéficient pas de suffisamment d'attention et leurs souffrances ne sont pas prises au sérieux par le personnel médical. En particulier la souffrance des femmes est minimisée par les soignants obstétriciens.
Les Noirs dans leur ensemble souffrent en Suisse d'un stress chronique lié au racisme, stress exacerbé par un suivi médical inapproprié.

Et pour conclure, voici notre constat.

La Suisse vivait en paix et en harmonie avec 6 millions d'habitants, sans sentiment d'insécurité, sans remplacement de population, sans problèmes de racisme. Les Suisses avaient un fort sentiment de fierté patriotique, il y avait une cohésion nationale, et pour devenir Suisse, il fallait faire réellement preuve d'assimilation et d'amour pour notre pays.

Puis est venue l'immigration de masse, les femmes couvertes, les personnes d'ascendance africaine, en masse, et de tous les pays musulmans, également en masse. Le remplacement de population est constatable de visu, même si les statistiques sont cachées à la population.

Le peuple suisse finance non seulement l'usine de l'"asile", avec l'aide aux "réfugiés" et les milliers de fonctionnaires voués à leur cause, mais aussi un dispositif antiraciste colossal, qui vit de la lutte contre le soi-disant racisme.

Le 7 février, les médias nous ont fait de la pub pour un spectacle subventionné sur les doléances d'une migrante contre la Suisse raciste, et le 8 février, c'est la semaine de l'antiracisme à la radio publique, des responsables du bureau de l'intégration sont interviewés à la TV.
Il y a les dispositifs juridiques antiracistes aux niveaux fédéral, cantonal, communal, les services d'aide aux migrants, les cours pour migrants analphabètes, la semaine du cinéma africain, le week-end de la danse africaine, la semaine de la nourriture africaine, le festival de la musique africaine, les centaines d'ONG qui militent pour l'Afrique.
Le 7 février, la RTS a parlé d'une association créée par une femme africaine en attente de permis B pour lutter contre la précarité menstruelle au Tchad. Notre pays est si raciste qu'une Africaine fraîchement débarquée peut fonder une association en faveur de son pays d'origine et en faire aussitôt de la pub à la radio publique.

Le peuple suisse participe généreusement aux collectes pour l'Afrique et verse 4 milliards par an pour aider les pays en développement. Nous avons une quantité d'ONG qui œuvrent sur place en Afrique.
L'éducation des jeunes Suisse à l'antiracisme fait que beaucoup d'entre eux rêvent d'y accomplir des missions bénévoles, mais très peu songent à aller aider nos aînées....

Une foison de hautes écoles et d'universités en Suisse paient grassement des professeurs qui enseignent la culpabilité des Blancs colonisateurs. Le monde académique délivre des diplômes et doctorats en multiculturalisme et antiracisme. La diversité est fortement présente dans ces filières (dont beaucoup de boursiers), puis embrasse des carrières dans la lutte antiraciste, et ces personnes sont financées parfois ad vitam æternam par le peuple suisse pour mieux nous détruire.

À l'heure où nous terminons ce billet, Lausanne tient une exposition: «Nous et les Autres» – Une exposition sur le racisme et les préjugés.

Nous défions n'importe quel pays au monde de faire plus que la Suisse pour lutter contre le racisme, ou d'être plus accueillant que nous ne le sommes.

Et un rapport de l'ONU cherche à accabler la population avec son verdict que la Suisse est gangrenée par un racisme systémique!

 

Voici à quoi aurait dû aboutir un rapport honnête à la recherche du racisme en Suisse:

La réalité suisse n'a jamais pu être décrite, publiée dans nos médias, nous n'avons jamais lu un seul rapport honnête sur ce sujet, pour la simple raison que la quais totalité de nos médias subventionnés sont politiquement orientés à Gauche et que tous ont peur de voir la vérité en face.

Depuis les années soixante, l'esprit multiculturaliste mondialiste a gagné du terrain en Occident, et la Suisse a subi une arrivée massive de population extra-européenne, souvent musulmane, venue d'Asie, d'Afrique, via l'asile, via les regroupements familiaux.
Comparativement, la Suisse et particulièrement la Suisse romande sont parmi les plus envahis d'Europe. Lors de l'invasion de 2015, proportionnellement, la Suisse a été un des principaux pays d'accueil.

Nous avons depuis une trentaine d'années, dans nos villes, des classes d'école où les enfants suisses de souche, et parfois même les enfants Blancs, sont minoritaires. La composition ethnique de nos villes est désormais méconnaissable, et ceci en quelques décennies. Nous nous sentons colonisés, remplacés et à présent on veut nous faire avaler que la Suisse, comme n'importe quel pays Blanc, est coupable, en affirmant que le racisme est directement lié à notre histoire, au trafic d'esclaves et au colonialisme.

Les prisons suisses sont remplies de criminels d'origine étrangère depuis que la Suisse accueille une immigration extra-européenne.

Par peur d'être accusé de racisme, plus personne n'ose dire à haute voix ce qu'il ressent ou exprimer le sentiment insupportable d'être envahi, de ne plus être chez soi.
Les autochtones se font beaucoup de souci pour les générations à venir, mais débattre sur ces problèmes légitimes est impensable, aucun média ne l'accepterait sans diaboliser la parole critique.

Heureusement, dans ce climat d'angoisse, une voix se fait entendre.
Zemmour, à ceux qui lui reprochent d'avoir des paroles blessantes pour les migrants, répond qu'il se sent lui-même meurtri, détruit, par l'idée que la France pourrait mourir, que le peuple français est en train d'être remplacé par un autre peuple, une autre civilisation.

Dans ce contexte de censure globale de nos médias, voilà donc qu'un staff onusien débarque chez nous, pour se permettre de juger sans vergogne la population suisse qui a déjà près de 50% de population d'origine étrangère si l'on remonte à deux générations – un peuple envahi, avec une explosion de la population d'origine musulmane, qui est passée en cinquante ans de 0,3% à 10-15%, voire bien plus dans les villes romandes.
Nous avons une crise du logement endémique, le pays est devenu surpeuplé, la criminalité explose, le peuple est mis en esclavage pour faire vivre des colonisateurs inassimilables, ingrats, prolifiques, qu'on nous a imposés par idéologie, et nos médias régurgitent non-stop la propagande multiculturaliste... la chance, la richesse, etc. ...

Et pendant que les Suisses de souche financent leur remplacement, les remplaçants n'hésitent pas à fonder de grandes familles, car l’État encourage la natalité, et ceux qui financent cela ne sont pas forcément ceux qui se reproduisent.  Dans cette Suisse multiculturaliste, la culture suisse, sa tradition, l'histoire des familles n'ont aucune importance, seuls les documents d'identité déterminent la notion de citoyenneté.

À leur arrivée, bien des Africains ont bénéficié à foison de l'argent des contribuables Blancs, comme la majorité des réfugiés. La Suisse était déjà surpeuplée pour son territoire, mais la situation s'est aggravée partout avec l'immigration de masse, qui a amené une explosion du coût de la vie qui pèse lourdement sur la classe moyenne.

Nos rues en Suisse romande sont "occupées" depuis au moins vingt ans par des trafiquants de drogue de couleur foncée, organisés entre eux comme une armée, et cette occupation de l'espace public contribue à l’insécurité. Ils inondent nos villes avec la drogue, causant de vrais ravages de santé publique, et les conséquences pour tous les contribuables sont lourdes.

Dans les villes de Gauche, les trafiquants vivent en bonne harmonie avec notre "méchante" police, car le simple fait de les contrôler est devenu un délit de faciès.
Le peuple suisse a dû s'adapter à cette nouvelle forme d'immigration, et à présent, ces nouveaux venus, qui se sont imposés à nous, crient au racisme à la moindre critique.
Lors des problèmes avec les autorités, avec la police ou avec le citoyen lambda, c'est forcément la police, les autorités, le pékin qui sont racistes.
Si un Blanc reçoit à la figure les mots de "sale Blanc" lors d'un désaccord avec un Noir, il n’oserait jamais rendre la pareille. Jamais!

Le rapport de l'ONU affirme que toute la Suisse est atteinte de racisme systémique contre les Noirs.
Nous venons de montrer qu'en réalité, les expertes de l'ONU ont trouvé ce qu'elles avaient décidé de trouver!

 

Si le multiculturalisme est si merveilleux, pourquoi tant de problèmes?

Les militants néo-marxistes prônent les merveilles du multiculturalisme comme un idéal sociétal, puis, une fois qu'ils ont réussi à l'imposer aux populations jadis ethniquement homogènes, qui vivaient jusqu'alors en paix, ils viennent blâmer les accueillants de ne pas être à la hauteur de l'idéal qu'ils ont imposé!
Mais cet idéal est une chimère, comme toutes les utopie de la gauche, qui n'ont jamais marché nulle part.
Le multiculturalisme EST, expériences faites, multi-conflictuel.
Dans la vie courante, beaucoup ont constaté que les Africains ont des coutumes et des notions très différentes, incompatibles avec des nôtres sur bien des aspects de la vie. Le peuple suisse a fait d'énormes efforts pour s'adapter en si peu de temps à une telle masse de personnes venant de civilisations si différentes, et en réalité elle en a tiré beaucoup de désavantages.
Notre peuple généreux mériterait des félicitations mais ne reçoit que des blâmes,  rien ne suffit à la meute "antiraciste", qui ne cherche qu'à nous asservir.
Tirons nos conclusions avant que ce ne soit inéluctablement trop tard!

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Curriculum Vitae de Dominique Day

crédit photo : katia ruiz

Dominique Day est une avocate américaine, admise à exercer à New York. Elle est membre du Groupe de travail d'experts des Nations Unies sur les personnes d'ascendance africaine. Elle a deux décennies d'expérience en tant que défenseur de la justice aux États-Unis et à l'étranger; ses travaux de recherche, d'enseignement et d'accès à la justice l'ont amenée partout dans le monde. Dominique a travaillé avec des gouvernements, des universités et des ONG en tant qu'experte en assistance juridique, accès à la justice, création d'institutions juridiques efficaces, défense des droits humains et de l'état de droit.

Au nom de DAYLIGHT, Dominique a conseillé des start-ups à but non lucratif, mené des recherches approfondies, y compris une analyse nationale de l’assistance juridique en Afghanistan et des recherches novatrices sur les abus sexuels d'enfants, et travaillé au renforcement des capacités professionnelles sur une série de questions et initiatives de justice sociale dans le monde.
Elle enseigne et donne des conférences invitées sur les questions des droits de l'homme, des droits civils, de la race, de l'orientation sexuelle et de l'identité de genre, de l'accès et de l'égalité des femmes, et d'un large éventail de questions relatives à l'état de droit et à l'accès à la justice.

En 2015-2016, Dominique a été une boursière Fulbright, enseignant et faisant des recherches sur les droits de l'homme à l'Université Al Quds en Cisjordanie.
Auparavant, elle a été directrice exécutive des initiatives de justice pour le maire de la ville de New York. De 2009 à 2013, Dominique a été conseillère principale en matière d'état de droit pour le département d'État américain en Irak et en Afghanistan.
Auparavant, Dominique a travaillé comme défenseur public, plaideur en recours collectif et dirigeante à but non lucratif sur des questions de droits civils, de justice pénale, de justice familiale, de protection des consommateurs et d'égalité réelle pendant plus d'une décennie à New York. Son travail se caractérise par une croyance farouche dans le potentiel des communautés et un engagement à promouvoir un état de droit fort et un accès inclusif à la justice.

Dominique a fréquenté le Harvard College et la Stanford Law School et vit à New York.

Jetez un coup d'œil à certains des travaux de modélisation et d'infographie de Dominique ici.

Source: https://www.daylyt.org/dominique-day-expert

Voir aussi l'interview de Dominique Day: https://hir.harvard.edu/dominique-day-daylight/

 

4 commentaires

  1. Posté par Otrmonde le

    Bof, en regardant les classes d’écoles actuelles en fonction du lieu, je me pose la question de savoir si je suis encore en Suisse ou si je me trouve quelque part en Afrique …. Ils ont voulu de cette immigration, maintenant faudra assumer le reste ! Bonne chance aux dernières petites têtes blondinettes ….

  2. Posté par bonardo le

    Franchement pourquoi venir dans un pays qui est raciste ?

  3. Posté par antoine le

    En Suisse il n’y a PAS de racisme !
    M. Nzoy Roger Wilhelm fumait tranquillement sa cigarette lorsque 2 policiers BLANCS lui ont tiré dessus … Il faut rétablir la VÉRITÉ toute la VÉRITÉ rien que la VÉRITÉ !!
    https://www.blick.ch/fr/news/suisse/drame-de-morges-sil-etait-blanc-il-serait-encore-en-vie-id17178472.html
    Tout le monde a vu la vidéo montrant un homme gesticulé avec un couteau à la main sur un quai de gare de Morges !!
    Nous n’avons pas besoin d’inquisiteurs sur notre territoire, et encore moins d’Américaines … !!

  4. Posté par Clairvoyant le

    Demander aux Suisses de financer cette immigration massive qui bouleverse la société, pose plein de problèmes, et demander aux Suisses d’entretenir une masse de plus en plus imposante de migrants qui ne travaillent pas ou peu, c’est aussi une mise en esclavage !
    Et cette arrivée massive de gens culturellement très éloignés de la culture suisse et européenne, pour certains inintégrables vu leurs coutumes, c’est aussi une forme de colonialisme !
    Mais c’est vrai que c’est facile de s’en prendre à la petite Suisse…..

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