Suède : Un élève étranger tabasse un autre élève. La télévision publique tente d’intimider les gens qui publient la vidéo.

À la fin de la semaine dernière, le site Samhällsnytt a attiré l'attention sur une vidéo dans laquelle un élève piétine et frappe un autre élève devant des témoins dans une école.

Il semble maintenant que la direction de l'école tente de dissimuler l'incident.

Jeudi après-midi à 13 heures, une querelle a éclaté à Nannaskolan dans le centre d'Uppsala entre des élèves. Un élève a été transporté à l'hôpital pour les blessures qu'il a subies, ce que la télévision publique a mentionné, mais sans dire le nom de l'école ni montrer des images de l'incident.

Le site d'information Samhällsnytt a pu montrer une vidéo dans laquelle il semble qu'un garçon immigré piétine et frappe une personne qui est allongée alors qu'elle crie.

Après la publication de Samhällsnytt, la télévision publique (SVT) a publié un autre article sur le sujet - non pas pour fournir aux lecteurs et aux téléspectateurs plus d'informations sur l'événement, mais au contraire en menaçant le public de sanctions légales et en prétendant qu'il est illégal de diffuser la vidéo de l'école.

Pour faire taire les enfants et les parents, SVT a fait appel à Jonas Eronen, porte-parole de la police de Mitt. Il a souligné que cela pouvait entraîner à la fois des amendes et des peines d’emprisonnement pour ceux qui ne se taisent pas au sujet de l’incident.

 

 

La mère de la victime: Le directeur protège le criminel

Ce week-end, Samhällsytt a été en contact avec la mère du garçon maltraité qui nous dit qu’après le passage à tabac, elle a reçu un appel du directeur de l’école Henrik Ljungblom. Il a annoncé qu’elle devait aller chercher son fils immédiatement, puis le garçon a été transporté à l’hôpital.

Lorsque la mère a demandé à Henrik Ljungblom de voir les vidéos de l'agression subie, le directeur a refusé d'accéder à la demande. Au lieu de cela, Samhällsnytt a dû remettre une version non pixelisée du film à la mère de la victime.

- Nous avons emmené notre fils à l'hôpital et, heureusement, il n'avait aucune blessure grave. Nous avons demandé la vidéo au directeur, mais il a refusé. Il a déclaré qu'il devait couvrir les visages de toutes les personnes impliquées. Je n'ai pas compris cela.

En outre, la mère du garçon a déclaré que son fils vient de commencer la 6ème année et qu'il n’a jamais parlé avec l'agresseur d'origine arabe de la vidéo.

La mère de la victime affirme que le contexte de l’agression est une dispute antérieure avec un (autre) garçon turc.

 

 

Jeudi, l’Arabe s'est précipité vers la victime et a exigé de l’argent en raison du conflit avec le garçon turc. Tout aussi rapidement, il a ensuite attaqué la victime à coups de poing et à coups de pied tout en se référant à Allah. Selon les témoignages, le garçon arabe a également craché sur la victime qui se trouvait à terre, avant de finalement quitter les lieux.

- Mon fils a eu un conflit avec un autre garçon. Mon fils n'a pas pu s'empêcher de répondre au harcèlement du Turc, "Tu es pauvre, tu as des vêtements "fake", tu es un singe, etc.". Il y a une semaine, ils se sont disputés. Et lors de ce conflit, les écouteurs du Turc se sont cassés. Mon fils a expliqué qu'il n'était pas prêt à payer pour quelque chose qu'il n'avait pas fait. Ils ont discuté avec le conseiller ensemble, se sont calmés et tout s'est déroulé comme d'habitude.

Jeudi dernier, le Turc a dit au garçon arabe que mon fils ne voulait pas payer pour les écouteurs détruits et que le passage à tabac résoudrait le problème. Il est allé à la salle de danse où les enfants traînaient pendant la pause. Mon fils était là avec ses amis et n'a même pas eu le temps de se lever quand le garçon arabe est venu en hurlant: "il faut payer les écouteurs, wAllah (je jure par Allah, ndlr)".

[...]

- Le directeur n'a pas pu me dire concrètement ce qu'il allait faire. Je suppose que le garçon arabe sera de retour dans une semaine et recevra une «thérapie par la parole».

La mère déclare également que son fils verra un psychologue après l'incident. D'autres parents qui avaient auparavant leurs enfants à Nannaskolan ont contacté la mère du garçon pour lui dire que l'école n'a pris aucune mesure lorsque leurs enfants ont été victimes d'intimidation.

- Leurs enfants ont été victimes d'intimidation et ont finalement dû changer d'école parce qu'ils estimaient qu'aucune mesure n'avait été prise.

[...]

Selon les parents, les spéculations vont bon train sur la volonté de Ljungblom de masquer l'incident où un étudiant d'origine immigrée piétine un autre étudiant. Cela peut être lié à son intérêt politique à empêcher les Démocrates suédois d'acquérir une influence accrue en politique.

Un examen plus attentif de l’activité du directeur Ljungblom sur les médias sociaux montre qu’il est fortement hostile aux SD (NDLR : Démocrates de Suède, parti conservateur et anti-immigration) et ne croit pas que le parti devrait se trouver au Riksdag [NDLR : le parlement suédois], même si ce parti a été élu.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Samnytt.se


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5 commentaires

  1. Posté par aldo le

    Mensonges et dissimulations c’est là toute la “philosophie” propre à la SSR RTS etc. Après le départ de Rochebin Khoshbin, voilà un vivier très bolchévo-suédois de “journalistes” qui pourrait faire l’affaire pour le remplacer.

  2. Posté par LeVérificateur le

    Je vais être lassant, mais le problème numéro un, ce sont nos autorités (remarque valable pour tous les pays d’Europe, quelques pays à l’est exceptés).
    A terme, on n’échappera pas à des mouvements de groupe informels contre les différents carcans “légaux” qui commencent simplement à nous mettre en danger.

  3. Posté par antoine le

    ” … mais au contraire en menaçant le public de sanctions légales et en prétendant qu’il est illégal de diffuser la vidéo de l’école.00
    ”Pour faire taire les enfants et les parents, SVT a fait appel à Jonas Eronen, porte-parole de la police de Mitt.”
    Comme c’est bizarre la liberté d’expression à géométrie variable, toujours en défaveur des mécréants que nous sommes …
    ”Le directeur n’a pas pu me dire concrètement ce qu’il allait faire” …
    Il ne va RIEN faire et surtout il va protéger l’agresseur … ! Refrain connu d’avance !

  4. Posté par Caughnawaga le

    Les suédois sont bien caves.

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