Ganga Jey Aratnam, sociologue : « Les Suisses devraient suivre des cours d’intégration pour comprendre les étrangers »

Ganga Jey Aratnam : "L'immigration ne peut plus guère être arrêtée"

Avec ses déclarations, Ganga Jey Aratnam a déconstruit l'image de la Suisse cloisonnée. Dans son exposé, il parle de la diversité et des cours d'intégration pour les Suisses.

Le titre seul ressemblait déjà à un éclair avant le tonnerre : "Il devrait y avoir des cours d'intégration pour les Suisses".

Dans une interview et un article complémentaire du journal du dimanche 9 août, le sociologue Ganga Jey Aratnam a souligné que "nous" devenions une minorité dans notre propre pays. "Nous" ne sommes plus les plus riches dans ce pays. "Nous" ne sommes plus des chefs d'entreprise. "Nos" professeurs sont une minorité dans nos universités. Et 52 % de ceux qui se présentent au bureau d'état civil dans ce pays n'ont pas de passeport suisse.

Il n'y a pas de retour en arrière

L'immigration ne peut plus être arrêtée, même par les lois. Les droits de l'homme, l'intégration européenne et notre structure économique sont opposés à cela.

Nous sommes trop fortement connectés et impliqués : "On doit le savoir : La voie de migration helvétique est une voie à sens unique, il n'y a pas de retour en arrière". Il va sans dire que six semaines avant le vote sur l'initiative de l'UDC en matière de limitation, de telles phrases ont un énorme pouvoir explosif. Ganga Jey Aratnam n'est pas un romantique de la migration. Il cite également les cas problématiques et appelle à un discours ouvert sur ces sujets.

Perdants dans leur propre pays

En termes d'origine, la Suisse est "le pays le plus diversifié d'Europe". C'est pourquoi il pourrait être nécessaire de mettre en place des cours d'intégration pour les Suisses :

"Si, par exemple, une personne âgée rencontre des problèmes avec des femmes étrangères et vient ensuite dans une maison de retraite, elle sera frustrée toute sa vie. Après tout, 90 % des personnes travaillant dans les maisons de retraite sont issues de l'immigration. Il est donc dans leur intérêt de trouver un "accès" à ces personnes. Si les indigènes ne s'adaptent pas, ils deviendront des perdants dans leur propre pays".

Le sociologue Ganga Jey Aratnam n'est pas un provocateur, mais un homme de faits et de chiffres. Lorsqu'il a émigré du Sri Lanka en Suisse il y a 23 ans, il a appris l'allemand en trois mois. Pendant 12 ans, il a enseigné la sociologie à l'université de Bâle.

Il souhaite que la Suisse puisse célébrer son "hypervariété" de manière plus détendue : "Mais je voudrais aussi mentionner que la Suisse gère comparativement bien cette diversité, qu'il y a étonnamment peu de problèmes".

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Telebasel.ch


Rappels :

Le Temps : Le «Grand Remplacement», cauchemar de l’extrême droite

"Le conspirationnisme pullule depuis que le monde est monde et a connu une recrudescence avec l'arrivée du coronavirus. Toute cette semaine, «Le Temps» vous propose de revenir sur les rouages de cinq grandes théories du complot."

Document de l’ONU préconisant une « migration de remplacement »

Le métissage obligatoire de Sarkozy

Métissage et Grand Remplacement

Mathieu Bock-Côté : « La peur de devenir étranger chez soi hante notre époque. Cette peur est fondée »

Pour l’archevêque de Strasbourg, la fécondité des musulmans mène au «grand remplacement»

Vikash Dhorasoo à la Fête de l’Huma : « On est de plus en plus une population métissée, ils ne pourront pas l’arrêter. Il faut imposer la discrimination positive »

France. Les pro-migrants déploient une banderole : « Métissons-nous le blanc est sale »

La pub s’empare toujours plus du métissage en Suisse

31 commentaires

  1. Posté par farjon thierry le

    C’est plutôt l’inverse qu’il faut faire… Soit les etrangers s’intègrent soit ils dégagent!!!

  2. Posté par Socrate@LasVegas le

    @ Jandur pour votre commentaire que je partage entièrement!
    @ LeVérificateur le 21 août 2020 à 22h50: « J’espère être encore assez vigoureux pour être utile quand les choses sérieuses commenceront…

    … un avenir pour les enfants blancs… »

    Pareil pour moi 😉

  3. Posté par Socrate@LasVegas le

    « Il devrait y avoir des cours d’intégration pour les Suisses »… »Si les indigènes ne s’adaptent pas, ils deviendront des perdants dans leur propre pays »

    Selon vous il faudrait:

    – S’adapter à la trahison de nos élus europhiles bafouant les votations? (2007 libre circulation acceptée sur des promesses du CF basées sur des chiffres bidons mais jamais remise en question / 2014 stop immigration de masse / Renvois des criminels étrangers non mis en oeuvre / Accord secret de Sommaruga et von der Leyen pour manipuler les Suisses en vue d’un accord cadre anticonstitutionnel finissant de détruire la Suisse!
    (Comment d’ailleurs croire un conseil fédéral prétendant « vouloir maintenir l’immigration à son strict nécessaire » et ose parler de baisse pour 2019 avec 50’000 nouveaux arrivants contre seulement 10’000/an promis au peuple lors de la votation de 2007 mais déjà 1 million de nouveaux immigrés installés sur les 13 dernières années!! https://www.admin.ch/gov/fr/accueil/documentation/communiques.msg-id-79534.html)

    – S’adapter à l’immigration conquérante islamique (foulard = drapeau supranational des islamistes terroristes et NON vêtement religieux puisque non porté par les iraniennes avant 1979!)

    – S’adapter à la charia, mode d’organisation sociétale se
    considérant supérieur, insécable, visant à remplacer toute autre organisation modèle ? … Lorsque « 90 % des personnes travaillant dans les maisons de retraite » seront musulmanes?

    Comment osez-vous employer le « nous » en parlant de MES compatriotes et moi-même, si mal récompensés de vous avoir accueilli et entretenu?

    Venant d’un « sociologue », votre discours est d’autant plus nauséabond que vous reconnaissez l’absence de racisme en Suisse: « …la Suisse gère comparativement bien cette diversité, qu’il y a étonnamment peu de problèmes. »
    Dès lors comment pouvez-vous éviter de vous interroger sur le moment, le contexte dans lequel arrivent ces initiatives relatives à l’immigration? Pourquoi n’y en a-t-il pas eu au moment de l’immigration de Tamouls par exemple?

    Pour vous en tant que «sociologue» la seule loi qui doit prévaloir est donc celle du nombre ? De la jungle !?

    Vous êtes incompétent ou pire, de mauvaise foi…tout l’inverse d’un Mathieu Bock-Côté!

    Vive la Suisse,
    Vive la tradition de l’excellence suisse

    O U I à l’initiative de limitation du 27 septembre !

  4. Posté par Yolande C.H. le

    On veut nous convaincre que la Suisse se doit d’être désormais multiculturelle, la communauté suisse indigène (inclus les naturalisés pleinement assimilés) étant mise sur le même plan que les multiples diasporas qui se sont implantées sur le territoire et ne cessent de croître.
    Sauf que SEULE LA COMMUNAUTE DE CULTURE SUISSE est vraiment garante de la gouvernance du pays, de son intégrité et de sa sécurité. C’est la communauté suisse qui est RESPONSABLE de la qualité de son état de droit, et de ce fait, on peut dénoncer ses manquements, alors que les diasporas bénéficient de cet avantage d’être dégagées de toute critique : elles peuvent « s’épanouir » en toute quiétude et s’il y a dérive de leur part, c’est évidemment l’état de droit qui est jugé responsable (défaillance de contrôles, laxisme, etc.).
    Les quatre régions culturelles de la Suisse sont unies par une alliance forte entre eux, gage d’une stabilité solide entre eux, alors que les diasporas sont essentiellement liées à leur pays d’origine. Les diasporas ne se préoccupent aucunement de la disparition des cultures locales de leur pays d’accueil ni des problèmes induits par une démographie galopante, défendant l’accès facilité aux étrangers/compatriotes en quête de droits et des opportunités à prendre. Elles se plaignent plutôt que leurs besoins ne soient pas suffisamment satisfaits. Si les diasporas deviennent majoritaires, elles n’assureront jamais cette stabilité que leur offre encore le patriotisme suisse.

  5. Posté par Coudenhove Kalergi le

    Mon plan Kalergi fonctionne à merveille. Bientôt une Suisse et une Europe parfaitement enrichies.

  6. Posté par Onaibete le

    L’ex-réfugier vient nous tenir des théorie d’une science qui n’en porte que le nom. En réalité, ce petit morveux nous pisse dessus après lui avoir offert le logis et tout le confort d’un peut-être réfugié. C’est tout le remerciement et il se trouve des gens en accord avec ses dires. C’est dire…

  7. Posté par norouge le

    Bon apparemment en Sri Lanka y avait la guerre. Mais le boulot de sociologue … . D’ailleurs comme les psychiatres, les psychologues et tous les sociaux ( comme métier ). Une armée a la disposition du pouvoir. Le but il est évident. Les bénéfices pour le peuple: ZERO. Pas mal de gens qui travaillent dans l’industrie EMS ne servent que a maltraiter les malheureux résidents alors comment se rabaisser plus devant ces FAISEURS D’ARGENT? certainement il y a des travailleurs honnêtes qui se donnent à fond et pour cela finissent par péter un plomb. Mais combien des racailles ne pourissent l’atmosphère dans ces établissements. Et les règlements sont en concordance avec eux. Puisque les EMS , les hôpitaux sont une industrie! Et le poisson pourri en commençant par la tête. Quel horrible tache de pourrir la vie d’autrui. Mais c’est exactement cela qui se passe dans les établissements invoqués par ce sociologue qui apparemment en connaît la situation mais évoque que la partie idéologique qui lui convient. Voila le résultat d’une infestation de plusieurs décennies. S’il ne s’agit pas d’un grand remplacement il est évident le démarche pour raccourcir la vie des retraités et pas seulement. D’ailleur la presse a témoigné a plusieurs reprises les abus perpétrés dans ces établissements: agressions, vols et la liste est longue. Voila cher soci ologue ce qui vous devriez témoigner. Vous en voulez quoi ? Qu’on apprenne en fin de vie vos langues. C’est trop osé. Déjà vous êtes un PRIVILÉGIÉ du SYSTÈME. Et pas mal de vos compatriotes d’origine le sont également. Et c’est grâce a la mentalité du clan. Pendant que nombre des suisses rament trouver un logement vos compatriotes après quelques années de Suisse s’installent dans des villas confortables et vous le savez pertinemment. A l’image de Londres en Suisse romande vous manifestez un lobby assez puissant. Et malheureusement il n’est pas le seul. Les communistes de pays de l’est d’Europe y se sont installés depuis des décennies et le résultat est probant pas seulement idéologiquement parlant. Ils détiennent eux aussi des lobbies importants . Cher sociologue chez vous les lgbt , les pédophiles ne sont pas agréés. Pourquoi ne soufflez pas un mot la-dessus. Vos démarches sont ultra pourris puisque comme toutes les communautés installées en Suisse, vous voulez vivre comme chez vous tout en vous réjouissant de revenus qualité Suisse. Arrêter ce cirque et jouez le jeu correctement. Sinon ça vous dirait d’avoir en Suisse le même climat comme chez vous? En bref tous les méfaits présentés chaque semaine ayant des coupables « inconnus » s’expliquent beaucoup mieux si on juge les coupables moraux. La seule diversité acceptable: chacun chez soi mais véritablement et le constat est valable de même pour les européens car il se trouvent que pas mal de fois c’est eux aussi a l’origine de dégâts partout dans le monde. Ce n’est pas excuser les autres mais en complémentarité. Et exactement ce monsieur est soutenu par certains européens autrement il n’aura pas l’audace d’en parler.

  8. Posté par mady le

    Non mais de quoi il se mêle. Ce sont à eux à s’adapter et à prendre des cours d’intégration. Encore un qui a été bercé trop près du mur. De quel droit ose-t-il proposer des cours d’intégration pour les Suisses pour comprendre les étrangers. çà ne va vraiment plus. Nous avons accueilli beaucoup d’étrangers: des Italiens, des Espagnols, des Portugais, des Hongrois etc. etc. etc. La plupart de ces personnes sont venues pour travailler, car on avait besoin d’eux,
    ils se sont intégrés et ils n’ont jamais causé de problème. Comment ce personnage ose-t-il nous donner des leçons. C’est tout simplement inadmissible.

  9. Posté par Yolande C.H. le

    Alors que la force de la Suisse était basée sur une forte cohésion et le maintien d’un équilibre, Machin met en confrontation les perdants (les suisses) et les gagnants (les étrangers) dont il fait évidemment partie, selon sa vision.

    Afficher une telle arrogance, un tel mépris à l’égard d’une collectivité qui n’a cessé de travailler à l’effort commun et dont les étrangers tirent grandement profit, est une attitude minable, odieuse même.

  10. Posté par Christian Hofer le

    successifs*

  11. Posté par Christian Hofer le

    On va rappeler comment nos gouvernements successives ont nié l’immigration de masse en Europe :

    – 1970 – 1990 : Ce ne sont que quelques migrants, ils vont vite s’intégrer
    – 1990 – 2000 : L’immigration de masse est un fantasme de l’extrême droite. Chiffres à l’appuis! (que valent ces chiffres lorsqu’on naturalise en masse, lorsqu’on actionne le droit du sol? Rien! Ils le savent mais nous prennent ouvertement pour des imbéciles.)
    – 2000 – 2010 : Ils sont là et ils ne partiront pas, c’est à vous de vous acclimater! Toute opposition à ces immigrations est raciste.

    Comme vous le voyez, de nombreux manipulateurs de gauche sont passés du déni (du mensonge) à la contrainte en sachant que cette immigration défigurera de manière irréversible l’Europe.

    Les droits des peuples à disposer d’eux-mêmes n’existent pas. Pour rappel, c’est ainsi que la première guerre mondiale a débuté.

  12. Posté par Christian Hofer le

    Il est en train d’utiliser une technique bien connue de la gauche : la fameuse « majorité » qui devient tout à coup le référentiel de base alors que nos dirigeants exigeaient de la part des Suisses qu’ils « acceptent le multiculturalisme », qu’ils se réjouissent de la diversité et qu’ils cèdent des pans entiers de leur culture.

    https://lesobservateurs.ch/2020/01/07/la-maire-socialiste-de-zurich-veut-le-droit-de-vote-communal-pour-les-etrangers-puisque-les-etrangers-sont-nombreux-ce-serait-democratiquement-souhaitable/

    Le fameux respect que l’on nous a forcés à intégrer en tant que valeur n’existe pas lorsque les autochtones sont dépossédés de leur pays. Et vous vous en rendrez vite compte.

    Ainsi, vous savez ce qui adviendra de l’Occident à terme. Des autochtones minoritaires qui devront se plier à la fameuse majorité, strictement au service des autres.

  13. Posté par Jandur le

    @ ce sociologue venu de Sri Lanka. Je suis de ces Suisses ayant entre autres connu sur le terrain ce qui se passe en Asie du Sud-est : Inde, Birmanie, Thaïlande, Singapore, conditions politiques incluses.
    Vous ne me la faites pas. Par contre, le niveau à ce point rétrograde de votre mental aussi incapable, aussi antidémocratique, dans une Suisse où vous avez eu le meilleur, ce dont vous témoignez, après vos années confortables en Suisse, est pire que révulsant.

    Je vous invite à lire mon commentaire, sur le billet voisin relatif à la vidéo de l’UDC, dont voici la teneur postée ce jr:

    « Anatole Valent: que les 3-4 faits listés dans la vidéo de l’UDC ne vous conviennent pas, c’est votre droit. Mais que vous ne soyez pas concernés par ces faits prouve que vos liens avec notre pays sont peu nombreux, et dans le temps (méconnaissance de l’évolution du marché du travail, ce qui s’est passé et ce qu’est la Suisse) et en motifs (conserver des acquis récents),
    avec en fondamental, la preuve de votre ignorance de notre mentalité qui a, de génération en génération, construit ce niveau de vie Suisse, celui-là même qui vous a paru si attractif, comme aux hordes de chômeurs en provenance de nos pays voisins.

    Au point que les départements Français frontaliers, dépourvus d’industries, aux activité concentrées dans la distribution, aux nombreux cassoces agglutinés à nos frontières, sont classés parmi les plus riches de France, ont un niveau de chômage 2x plus bas que nos cantons Suisses frontaliers (dpt 74: moins de 5%, GE: près de 11%).
    Ce qui a produit l’insoutenable : des discriminations tous azimuts accompagnées de bashing anti-suisse. Exemple : nos droits à l’emploi de Suisses sont en discrimination hurlante, nos lois exigeant une vie de +42h payés 40 hebdo, de 18 à 64-65 ans,
    En discrimination hurlante face aux droits à retraite de ces frontaliers Français @62ans & leur vie @ 35h hebdo (ou autres citoyens de l’UE), qui seront devenus salariés en Suisse à la place des salariés Suisses jetés à la rue. Car tandis que les Français salariés en CH deviennent de nouveaux «frontaliers» et se construisent une « résidence avec piscine » en 4 ans*, couples travaillant à 80%, les salariés licenciés, citoyens CH ou résidents en Suisse que ces couples de nouveaux frontaliers ont remplacés, sont eux locataires et tributaires d’un haut loyer à payer, pour moins de temps de droits aux allocations-chômage, que ce que l’Etat Français n’accordent aux premiers.
    *Même équation déclinée selon les pays – migrants au social ayant la casa construite en Italie, la casbah au Maghreb, le palais en Roumanie, etc., ou tels ces Turcs à l’HG qui vont en Turquie à bord de leur nouvelle Golf, informés par leurs réseaux pour savoir comment « exploiter » nos aides sociales. A l’instar de ce couple de Turcs quinquas n’ayant jamais cotisé, lui rentier AI sans être handicapé (les 2 incapables de parler en français), qui pendant le confinement et fermetures des frontières, ont tranquillo zappé amendes et fermetures des douanes Genevoises pour 1x hebdo, aller jardiner dans leur « résidence secondaire » du 74 Français, bien sous prête-nom (y ont escroqué, en plus du fisc Fr, et CH, leurs locataires Genevois). L’exemple de ces migrants turcs dépendants du social Suisse, profitant en saute-frontière, est à démultiplier.

    – Genevois trop facilement, trop souvent licenciés, discriminés dans l’accès à l’emploi (comparable au Tessin). Jeunes : quasi impossibilité d’accès à l’emploi dans leur branche, de nombreux jeunes diplômés CH, où les postes sont préemptés par RH & salariés Français, en position de force car majoritaires ;
    – GE, où 40% des étrangers sont les Français, chiffre en croissance, qui prennent la main dans tous recrutements.
    – Logement GE. Suisses discriminés dans l’accès au logement : libres, 0.03% des logements en location.
    Or malgré les constructions, ce sont les mêmes difficultés (manque d’offre & loyers) qu’en mi 1990. Seules différences actuelles: sous-locations en surnombre, idem des domiciliations boîtes aux lettres. – Discrimination positive de facto, depuis 2000, en faveur des nouveaux frontaliers, au sein des régies immobilières, dans l’accès au logement. via la mainmise des salariés étrangers – les Portugais pour les leurs/ les Français pour les leurs (les communautés du Maghreb, arabes nord-africaines, etc. ont leurs circuits communautaires).
    -Accroissement du nombre de faux « résidents » à Gve, Français incl., n’y ayant qu’une adresse boîte-aux-lettres, chiffres réels inconnus par mauvaise foi de nos administrations.
    – Regroupements familiaux, arrivées de migrants incapables d’être indépendants financièrement, en croissement exponentiel. Satellites parasites autour des missions diplomatiques : ai constaté nombre d’Asiatiques (beaucoup venus des Philippines pour ou par un citoyen CH en quête d’une « gentille femme »), de ressortissants d’Amérique du Sud (soutenus par communautés dans les dpts Français frontaliers), venus intentionnellement pour s’incruster en Suisse sur visa touriste, tenter de rester sur visa d’étudiant, volontaires pour jobber au black à faire du ménage & style. Ai vu nombre d’Africains résidant dans le canton de Genève sans permis valable, aux faux papiers photocopiés (souvent entêtes de missions diplomatiques), squattant n’importe où, dépendants de leurs problèmes de couples auprès de nos assoces, services sociaux, ONG, groupes religieux, pour toute subsistance.
    Migrants d’Algérie, Maroc, Tunisie, faux demandeurs d’asile soutenus à bout de bras par nos impôts, requérants délinquants déboutés multi condamnés, non renvoyables dans leurs pays qui les refusent, dont la Suisse/les contribuables soutiennent les « développements » (les corrompus) depuis des décades, sans contrepartie telle imposer l’acceptation du retour de leurs criminels.

    – Abus de nos prestations sociales, nombre de faux résidents, nombre de travailleurs au noir, nombre de clandestins.
    On peut extrapoler: si je multiplie le nombre de listes de noms enregistrés (services postaux) sous 1 même adresse, soit un nombre incroyable de faux résidents domiciliés, par personne, que j’ai constaté et côtoyé,
    par le nombre de mes compatriotes, qui ont du faire les mêmes constats.
    Ecoles surchargées : obligés d’accepter toute progéniture, pas étonnant que Genève se trouve « brusquement » incapable d’assumer cette rentrée scolaire d’août 2020, avec un nombre de classes insuffisant pour y accueillir nos enfants « réguliers ». Qui eux se retrouvent du jour au lendemain ce mois,
    – sommés et obligés par le DIP, d’aller à l’école des km plus loin, voire hors de leur commune.

    – Difficultés d’accès aux postes qualifiés à hauts salaires, jusque dans l’Administration, qui ne sont accessibles que par cooptation, clientélisme, contraignant les jeunes diplômés « résidents » (on ne parle même plus de Suisses) à accepter tout job alimentaire, sous-traitances, sous-enchères salariales, qui se poursuit jusque dans la fleur de l’âge ; carrières bousillées d’emblée,
    dès l’accès aux stages étudiants « pré-réservés » aux progénitures des salariés « frontaliers ». Obtention des diplômes, crédits: passons sur le favoritisme des enseignants étrangers en HES & leurs crédits « donnés » à leurs congénères étudiants, refusés aux citoyens CH (constats à la HESSO Gve).

    – La vidéo de l’UDC n’inclut évidemment pas ces détails, non exhaustifs, constitutifs de l’évolution, dans les faits, que les Suisses Genevois ont vécu, ont subi, et connaissent depuis mi 1990.

    – Or à ce rythme, la masse de ces parasites ont épuisé les réserves de nos cantons. Ces coucous attirés par le gros salaire facile en Suisse, entre-temps naturalisés, ont voté « Carpe Diem » pour leurs acquis et non pour la Suisse, laissant la facture du lendemain « aux autres ». Cette masse migrante a réussi en moins de 15 ans, à saccager cette qualité de vie qu’ils convoitaient, délité la branche sur laquelle ils étaient venus s’accrocher: l’attraction salariale, haut niveau de vie, paisible et confortable.

    Avez-vous connu ces exemples ces licenciements, de masse ou ponctuels, d’employés CH quadragénaires ou constitutifs d’un staff complet, remplacés en bloc par des groupes de nouveaux-venus de tous coins de la France, sans qualification, sous-expérimentés, CV aux faux diplômes, domiciliés sous adresses de complaisance à Gve (fournies par agence de travail temporaire), le temps d’obtenir toutes autorisations (via avocats d’employeurs, 3 mois), avec un portable jetable CH pour tout contact domicile?

    Pour ma part, j’y fus confrontée plusieurs fois, au sein de multinationales, de banques privés, de sociétés d’envergure. Dans l’une, je reçu quelques 700 candidatures pour 6 postes ; les chômeurs CH, diplômés ultra-compétents correspondant aux profils, furent systématiquement rejetés par un sous-cadre frontalier, au profit de gens venus de tous coins de France, futurs « frontaliers ». Dans cette autre Sté, ex organisation internationale, ce fut le licenciement en bloc de l’ensemble des Suisses, DRH Suisse inclus. DRH remplacé par 1 petit comptable frontalier Français sans qualif/ zéro expérience RH, engagé sur sa promesse de remplacer la masse licenciée, par des futurs frontaliers, en nombre plus important, mais inférieur en termes de charges administratives.

    Fin du label « Qualité Suisse ». Licencier 1 personne compétente, pour la remplacer et couvrir les fonctions qu’elle gérait, par 3 nouveaux frontaliers, permet aux petits-chefs frontaliers qui en décide, d’élargir leurs pouvoirs. Ce qui n’est pas le cas de leurs compétences, encore moins de celles des nouveaux engagés, comme j’ai dû le gérer et le constater, devant être formés voire parfois incapables de soutenir ladite formation, d’emblée incapables de performer au niveau des licenciés du poste qu’ils occupent, encore moins capables de couvrir seul le scope des fonctions gérées avec qualité et compétences, par leurs prédécesseurs virés. Incompétences professionnelles des nouveaux frontaliers qui se traduit par la création de multiples nouveaux postes à la place d’un seul précédemment.
    Divisions du travail où les new n’apportent que leurs faiblesses, où ils se coagulent en solidarité – j’ai constaté leurs manips pour se couvrir, fausses présences, vols de matériel, erreurs professionnelles masquées, etc. Mais le pire, dans cet esprit de « solidarité entre nationaux » en lieu et place de l’esprit d’équipe, chose dont les Français sont incapables, fut, chez l’un des employeurs internationaux cités, leur harcèlement de groupe contre collègue CH compétente, au point qu’elle devait se farcir en travail sup non payé, le repair des bugs de ces frontaliers incapables, sous les yeux des petits chefs, en impunité totale, conduisant à son suicide.
    Fin du savoir-faire et du travail dit de « qualité Suisse ».
    Ne parlons pas des désastres urbains, des chantiers de dé-construction dans notre République-canton, du lobbyisme des groupes du BTP Fr, des lobbies de l’immobilier international, de leurs apôtres y siégeant, gangrénant l’application de nos décisions votées, nos avenirs transports et mobilité, aux systèmes d’intérêts de type maffieux que subit entre-autres également le Tessin, con jointoyés.

    Qu’Anatole Valent profite de jouir de l’échec prédit de notre votation populaire, en mode populos « CARPE DIEM », s’il pense dire: « profite donc ma poule, et fous-toi du reste !».

    Un minimum d’éducation (au sens anglo-saxon) lui permet de savoir que la citation de Horace «Carpe diem, quam minimum credula postero»
    Exprime carrément l’opposé, soit: « cueille le jour, mais soit le moins crédule possible ensuite ».

    Suisse non binationale née à Genève, cadre-sup retraitée, ai bossé en banques à Genève et Londres, autres domaines à Berlin, aux USA, en Australie. Nous n’avions pas Erasmus. Pas de portables. Pas de réseaux. J’ai été dans divers pays de par mes propres initiatives, financé uniquement par mon travail mes sous, pour apprendre et me former. Quadrilingue, à Genève, les employées Françaises ou autres des RH ne comprenaient, ne reconnaissaient et n’acceptaient rien, ni de mes formations, ni les titres de mes fonctions, et voulaient que je ne les mentionnent qu’en français.
    Les actes et absences diverses et variées face à leurs responsabilités, de nos exécutifs, leurs dernières règlementations, ont vendu Genève. A qui, difficile à dire.
    Ce canton n’est plus le mien, je ne m’y sens plus dans mon pays, je ne suis plus chez moi à Genève.
    Or si l’actuel professionnel de mes enfants est en déliquescence (jobs alimentaires sous payés obligés) pour ne pas dire pourri
    > ce serait aux Suisses de s’intégrer aux étrangers ?????? d’après ce sociologue ressortissant du Sri Lanka!,

    L’avenir de leurs propres enfants s’annonce d’ores et déjà plus que compromis.
    Cela, la vidéo de l’UDC ne l’aborde pas.

    Je vote OUI le 27 septembre, c’est incontournable, à l’initiative de l’UDC
    Je vote pour le futur de mes enfants, dans notre pays, pour notre pays (dit en majuscule).

  14. Posté par Hexgradior le

    On dirait un militant de gauche en plein délire. Navré de voir que la sociologie scientifique a cédé sa place à l’idéologie.

  15. Posté par Yolande C.H. le

    « Il devrait y avoir des cours d’intégration pour les Suisses », dit-il.

    Cela signifie que seuls les indigènes et ceux qui ont pleinement intégré la culture locale (les assimilés) sont suisses: qu’il transmette donc ce message à ceux qui prônent l’ouverture !

  16. Posté par Tientien le

    Ah mince alors, lorsque on nous a parlé de diversité si nécessaire et positive, ils ont oublié de nous faire comprendre que cette diversité amènerait autant de problèmes divers. Ce monsieur « sociologue » en est l’exemple même.
    Avec le nombre de gamins qu’ils sont capables de mettre au monde, protégés par notre assistance sociale, la Suisse à 10 millions est pour bientôt.
    Par contre, ce monsieur à raison sur un point, il est trop tard.
    Un pays avec plus de 30 % de population étrangère ne peut plus avoir de majorité d’autochtones.
    Réjouissez-vous et n’oubliez surtout pas qui a permis un tel chambardement.

  17. Posté par Yolande C.H. le

    « Les politiques racistes de G. G. Ponnambalam, dirigeant tamoul, et de son homologue singhalais, Solomon Bandaranaike, déclenchèrent, pendant les années 1930, des troubles entre les deux communautés. Les premiers affrontements eurent lieu en 1939, après un discours enflammé du dirigeant tamoul G. G. Ponnambalam ».

    Pourquoi ce membre de la minorité tamoul n’a pas appris le singhalais et a préféré choisir de s’expatrier en Suisse et apprendre l’allemand ? Incapable de s’adapter chez lui, il demande à ceux qui l’ont accueilli ici de s’adapter ? Discours immonde.

  18. Posté par bobo le

    Et oui,prendre les gens d’autres contrées ou le bordel est maître ,faut pas s’attendre à des miracles quand ils viennent chez nous.Le monsieur vient du sri-lanka ou les guerres entre communautés n’ont jamais cessées et il vient en suisse pour devenir sociologue et nous faire la morale ,ça me laisse doucement songeur…..

  19. Posté par leone le

    Que les étrangers suivent des cours pour comprendre les Suisses ça ne lui vient pas à l’esprit à cet abruti???

  20. Posté par Anne Lauwaert le

    Plus ils en font, plus on comprend ce qu’ils veulent et plus on les déteste et plus tout le monde se prépare à la guerre ethno-religieuse qui, en réalité, a déjà commencé…

  21. Posté par JeanDa le

    Mon diagnostic : Absence d’intelligence. Ila probablement été bercé trop près du mur …

  22. Posté par stefen le

    Ma grand mère avait déjà parfaitement assimilé les mœurs des immigrés travaillant en ems et hôpitaux; elle mettait tous ses bijoux dans un safe, sinon elle ne se les faisait voler.
    Les assurances aussi on déjà les codes pour les nouveaux; certains voient leur prime auto doubler selon la nationalité.
    Les lois également se sont mises au goût du jour: détention d’armes interdites pour certaines nationalités, etc.
    Les femmes prennent de plus en plus de cours d’auto défense, les systèmes de sécurité n’ont jamais été aussi répandu.
    Je ne vois pas ce qu’on peut faire de plus pour intégrer les mœurs des immigrés, à part s’armer pour le jour où la mamelle de l’aide sociale cessera de couler.

  23. Posté par Phytostar le

    Un Sri lankais suisse ! Et qui nous donne des ordres ?
    Dans son pays, les étrangers sont très mal vus : mon guide et mon chauffeur repéraient les gens d’une certaine religion et s’amusaient à les faire descendre dans le fossé.
    Alors ses conseils il peut aller les faire appliquer au Sri lanka.

  24. Posté par bonardo le

    Suivre des cours d`intégration pour les Suisses ? Monsieur ici on est chez nous ,oui chez nous ce n`est pas à nous de nous intégrer dans notre pays mais à vous que cela ne vous plaise ou pas ici nous avons une culture des traditions des coutumes si cela ne vous convient pas je ne vous oblige pas à rester dans mon pays ! Donner votre avis ne m`intéresse pas du tout pas plus que vos conseils à la noix . Le respect Cher Monsieur l`éducation et remercier le peuple Suisse pour sa générosité pour tout ce qu`il fait ok avez vous compris ? Bien cordialement .

  25. Posté par antoine le

     »L’immigration ne peut plus être arrêtée, même par les lois. Les droits de l’homme, l’intégration européenne et notre structure économique sont opposés à cela. »
    On a constaté que les frontières pouvaient être fermées à cause d’un virus chinois ! Ce n’est qu’une question de volonté politique !
    Lorsqu’on évoque les droits de l’homme, on oublie (volontairement) des devoirs de hommes !
    Dans ces devoirs il y a :
    – le respect des us et coutumes des autochtones
    – le respect des lois en vigueur
    – la volonté d’intégration dans le pays d’accueil
    – etc …
    Il ne faut pas retourner le char … !!

  26. Posté par raus le

    L’Europe est pour les Européens./

  27. Posté par alibaba le

    Euh genre blingglinglingpingbingbingpingpongdingue

  28. Posté par Chris le

    Nous? En ce qui me concerne il y a lui et moi. Mes ancêtres chassaient le mammouth sur ce continent. Sociologue, voilà bien un job inutile. Ce n’est pas un Sri Lankais à me dire de prendre des cours d’intégration dans mon pays. Il a des papiers suisses? La belle affaire! En ce qui me concerne il n’a rien à voir avec ma culture, ma tribu, ma civilisation et mon sang. Il n’est pas de ma famille. On donne même des papiers suisses à des gens nés et ayant passé la majorité de leur existence dans un autre pays. Cela en fait des Suisses administratifs, rien d’autre.

  29. Posté par Bussy le

    Et le communautarisme, il en dit quoi ?
    Communautarisme à l’opposé de l’intégration, pratiqué assidûment pas la plupart des étrangers en Suisse….

  30. Posté par LeVérificateur le

    « Ganga Jey Aratnam : « L’immigration ne peut plus guère être arrêtée »

    Il y a encore peu, le système nous disait que le Grand Remplacement était « un fantasme de l’extrême-droite ».

    Aujourd’hui, on nous dit en face que le Grand Remplacement est « à voie unique ».

    Et demain on nous dira, je vous l’annonce dès aujourd’hui, « partez si vous n’êtes pas contents, ce pays n’est plus à vous. »

    J’espère être encore assez vigoureux pour être utile quand les choses sérieuses commenceront…

    … un avenir pour les enfants blancs…

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.