Maudet a pu procéder à cette "opération" avec le soutien de Sommaruga. Celle-ci n'aura évidemment jamais de compte à rendre au peuple suisse.
Elle n'est d'ailleurs même pas citée dans l'article. Or voici ce que claironnait la presse en février 2017:
"A ce propos, Pierre Maudet a souligné que l’opération Papyrus n’aurait pu être menée sans l’appui de la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga, responsable du Département fédéral de justice et police. Il a salué «son courage dans le climat actuel»."
Ce que racontent les fonctionnaires de l’Office cantonal de la population et des migrations de Genève (OCPM) est bien loin du bilan positif tiré par les autorités, en février dernier. Selon eux, Papyrus a été montée trop rapidement et sans moyens suffisants à disposition. Si l'opération a si bien marché, avec moins de 50 refus de candidatures pour 2390 régularisations, ce n'est pas parce que les dossiers étaient bien ficelés, mais parce que les services manquaient de personnel pour opérer un contrôle systématique des documents et que les directives étaient floues, voire inexistantes.
Ces employés décrivent une situation de sous-effectif constante jusqu'au printemps 2019. Ils n'étaient que quatre étudiants à 25% et un examinateur pour faire face à l'afflux considérable de dossiers que Papyrus a généré dès son lancement en février 2017. Une personne a bien été engagée en renfort près d'un an après, mais elle n'était pas formée. Aucun chef ne dirigeait la cellule et il n'existait pas de directives écrites quant aux contrôles à effectuer. Conséquence: le personnel a souffert d'une grande démotivation. Mais surtout, il n'arrivait pas à vérifier la véracité des documents qui lui étaient soumis avant de les envoyer à Berne pour confirmation. A mesure que le temps passait, expliquent ces employés de l'OCPM, le retard s'amplifiait et les dossiers litigieux s'accumulaient.
Dossiers validés malgré des suspicions de fraudes
De manière générale, les employés étaient invités à valider les dossiers tant que les critères étaient remplis, peu importe qu'il y ait des suspicions de fraudes. En résumé, les avis positifs étaient la règle et les refus l’exception. Certains fonctionnaires sont clairs: des dossiers ont été approuvés alors qu'ils n'auraient pas dû l'être, créant ainsi un appel d'air, notamment dans la communauté balkanique. Des requérants d’asile déboutés sont également revenus en Suisse sous un faux nom pour profiter de l’opération, racontent-ils.
Avec un changement de direction dans la structure qui chapeautait Papyrus, fin 2017, les choses ont évolué, mais il n'existait toujours aucune marche à suivre pour le personnel en cas de refus. Les procédures litigieuses étaient dès lors mises de côté. Fausse entreprise, faux documents, fausses signatures, mariage blanc, tests de français frauduleux: les cas étaient nombreux. Mais aucune dénonciation pénale n'était faite alors que cela aurait dû l'être. Il a fallu attendre la nomination d'un responsable de Papyrus, il y a moins d'un an, pour que la justice soit saisie, engendrant l'ouverture de la procédure pénale actuelle et l'interpellation, à la connaissance de la RTS, d'une dizaine de personnes.
Ingérence de Pierre Maudet
Les employés de l'OCPM évoquent enfin une certaine ingérence dans leur travail, qui concerne les décisions de refus, enjeu clé pour le succès politique de Papyrus. Au départ, il n'y a quasiment pas eu de refus. Mais dès les premiers retours négatifs, des organisations partenaires de l'opération se sont plaintes auprès du conseiller d'Etat genevois Pierre Maudet, initiateur du projet. Dès lors, le magistrat a instauré des séances techniques pour les dossiers problématiques entre l'OCPM, les partenaires du projet et le département de tutelle. Des séances qui n'ont fait l'objet d'aucun procès-verbal. Si elles confirmaient le refus, le dossier était alors soumis personnellement à Pierre Maudet pour décision finale, au moyen d'une note explicative.
Toujours selon les employés de l'OCPM, Pierre Maudet demandait aussi à ses services de revoir des décisions négatives.
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Nos remerciements à Wilhou.ch
Rappels :
Ce n’est pas un scoop. La bien nommée opération Papyrus, n’est qu’une péripétie de l’épisode. Il est de notoriété publique que nos élites européistes ont pour objectif l’envahissement de notre pays et la soumission de la population. L’histoire ne fait que se répéter, seuls les acteurs diffèrent. Il est à parier que ces félons ne seront nullement inquiétés.
http://www.rts.ch/info/regions/geneve/12208680-pierre-maudet-eclabousse-par-une-nouvelle-affaire.html
Tout simplement à vomir !!!!!!!
On voit qu’un des buts de ce genre de mesures est de bourrer la Suisse d’un maximum d’étrangers, peu importe qui ils sont.