Charles Gave : La fin des inégalités entraînera aussi la fin de l’euro. L’erreur de Thomas Piketty.

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Charles Gave et moi revenons sur l’annonce du 22 Avril 2020 faite par Christine lagarde : La Directrice de la Banque Centrale Européenne a annoncé que la BCE écartait tout rachat direct de dettes des entreprises européennes.
Nous prenons aussi en considération l’échec du 23 Avril 2020 à mettre en place un plan de relance ambitieux. Et si les pays du nord ne voulaient tout simplement pas être solidaire de la dette des pays du sud ?
Mais si la BCE passait tout simplement par les banques commerciales, en rachetant au final les dettes des entreprises ?
Cela ne serait-il pas un moyen de contourner les décisions de l’union européenne ?
La BCE fait donc office de prêteur en dernier ressort pour tenir l'euro à bout de bras. Et fera donc de son mieux pour conserver donc des taux d’intérêt à zéro, pour payer le moins cher possible cette décision. Mais les taux d’intérêts à zéro ne posent-ils pas toute une foule de problèmes ?
Nous profitons de cette vidéo avec Charles Gave pour revenir sur l’erreur de Thomas Piketty, Directeur d'études à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS) et spécialiste de l’étude des inégalités économiques, auteur du livre Le capital au xxie siècle (2013) qui s’appuie sur ses travaux communs avec Emmanuel Saez.
L’erreur de Piketty est une erreur fondamentale, idéologique et que nous expliquerons facilement dans cette vidéo.
Après ça, vous ne verrez plus le capital et sa rémunération de la même manière. Après ça, vous saurez à quel point des taux d’intérêts négatifs ne sont pas une bonne idée.
Charles Gave a relevé l’erreur de raisonnement de Piketty dans son article de fond, très argumenté et illustré d’informations macroéconomiques, publié sur l’Institut des Libertés intitulé “Les économistes existent pour que les astrologues aient l'air sérieux.”
Dans cette vidéo, Charles Gave et moi vous expliquons comment l’Euro sert à enrichir les rentiers italiens et les entrepreneurs allemands au détriment des entrepreneurs italiens et des rentiers allemand.
Nous entrons dans le détail de la situation européenne en différenciant deux situations : celle du rentier, qui ne souffre pas de la dégradation du secteur économique réel à laquelle nous assistons et celle de l’employé ou de l’entrepreneur des petites entreprises qui font la réalité économique européenne.
Nous analysons les risques de se fier aux statistiques remontées par les instituts d’observation européens et qui peuvent laisser croire que la situation “ne va pas si mal”.
Une approche plus fine et plus profonde de la réalité économique ne laisse aucun doute sur la gravité de la situation à laquelle nous faisons face. C’est cette analyse que nous vous livrons dans cette vidéo.

Et vous, qu'en pensez vous ?

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