À Lausanne, la place St-Laurent est rebaptisée « Place du 14-Juin »

Cenator : La bonne nouvelle du jour: la place St-Laurent à Lausanne – un des lieux dédiés à 100% aux causes de la gauche – va changer de nom. Désormais, ce sera la place du 14 juin, à la gloire de la Grève des femmes du 14 juin 2019.

C’est sur cette place que l’église protestante s’est reconvertie depuis longtemps à la défense des migrants. Elle y a logé en défiant les autorités des demandeurs d’asile expulsables, a milité avec succès pour la régularisation des clandestins, rebaptisés "sans-papiers", et en y aménageant même un coin pour que leurs hôtes puissent prier Allah en direction de la Mecque.

C’est aussi devant cette église que les toxicos de la ville ont eu leur quartier général durant des décennies, se piquant au vu de tous, vomissant, urinant, harcelant les passants pour des thunes, toxicos remplacés par la suite par les nouvelles mascottes, la diversité.

C’est ici que le pasteur Fasel a exercé son ministère durant des décennies... accompagné par des médias complaisants et heureux d'y trouver un sujet de gauche qui "accroche" le public.
C’est ici que quasiment chaque samedi, une manifestation de gauche s'y tenait, suivant les modes en cours – la dernière en date étant le cube des végans. ( http://vievegane.ch/cube-of-truth-debarquent-suisse-romande/)

C’est aussi cette église qui affiche sur sa façade un énorme portrait de Martin Luther King pour annoncer l'air du culte de la diversité, religion qui se veut être la nouvelle religion du Christ.

Sans oublier l’éternel chapiteau de la place, encore St-Laurent, dressé pour la cause palestinienne, ou plutôt pour la cause anti-israélienne, présent depuis plus de trente ans, présence incontournable pour  la foule lausannoise qui déboule entre les étals de fruits et légumes chaque samedi.

Une "bonne nouvelle" n'arrivant jamais seule, voici sa partenaire. Nous apprenons par 24 heures que non loin de là, pour ses 60 ans, l’énorme bâtiment de la place Chauderon, 1023 m2 habitables, appelé « Maison du Peuple » et surnommé « le Kremlin », va être rénové pour son anniversaire pour la somme de 8 millions, et ceci après les dépenses, « les traditionnelles et coûteuses « mises aux normes ».



[...] Rosa Luxembourg, Jean Jaurès, Jean Villard-Gilles bénéficient d’un traitement de faveur : les célèbres salles de réunion ont été entièrement refaites et mieux équipées. Che Guevara a connu un autre sort et a été transformée en cafétéria. [...] .»
[...] Ce « temple de la culture au service du prolétariat » abrite aussi les bureaux des partis de gauche : PS, POP, SolidaritéS… S’y ajoutent des syndicats, la caisse de chômage UNIA (qui siège également dans un bâtiment de taille similaire à la Place de la Riponne), et la Haute école de musique (HEMU). « Le tout chapeauté par le Cercle ouvrier, patron des lieux » [...]

Nous aimerions bien savoir ce que les contribuables paient, pas seulement pour l'entretien des immeubles et locaux dédiés aux causes des gauchistes de tout poil, mais aussi en matière de salaires pour les fonctionnaires employés dans un mélange de genres entre le social et militantisme de gauche.

Lausanne est devenue une ville communiste tentaculaire, où la gauche est richissime et toute-puissante et règne sans partage. Elle a les mains libres pour dépenser l’argent public, se distribuer les postes entre petits camarades, et promouvoir l’idéologie communiste sans limite grâce à la main mise sur les médias et l'enseignement. Et tout cela, en se servant dans les poches de la population, sans rencontrer la moindre opposition, puisque l'opposition n'existe pas.

L’esprit de la gauche lausannoise rejaillit sur toute la Suisse romande et détruit la classe moyenne, détruit la liberté de penser, et, de manière très insidieuse, transforme la population du chef-lieu en un Lausannistan africanisé, lobotomisé, islamisé et bolchévisé.

Alors, dans ce contexte – où l’église Saint-Laurent est devenue une entité militante de l’extrême gauche depuis des décennies – rebaptiser la Place Saint-Laurent en Place du 14-Juin, c’est une manière pour la gauche de dresser un monument à sa propre gloire au centre de la ville.

En effet, la Grève des femmes n’a rien à voir avec le féminisme : il s’agit d’une démonstration de force de la gauche, très réussie. Celles et ceux, parmi les 450'000 manifestants en Suisse, qui ont cru qu’ils défilaient pour les droits des femmes  n’ont rien compris aux réels objectifs de la « fête ».

Et l’emprise de la gauche infiltre tous les recoins de nos médias,  diffuse des "nouvelles"  imprégnées de manipulation mentale, alors que la population est déjà incapable de penser par elle-même.
Exemple du jour, l’émission de la RTS - Forum du 2 mars,
« Quel avenir pour le Parti socialiste? », Cédric Wermuth illustre parfaitement cette hypocrisie mêlée de propagande et de manipulation d'opinion :

« Ce qui nous a manqué un peu [au PS], c’est l’ancrage dans la population, l’ancrage dans la société civile. On n’était pas porteur des revendications de la Grève des femmes par exemple, de la grève climatique, alors que c’est là où on a notre force politique. » (7:43)

Seule la totale bolchévisation des médias romands permet que ce genre d’énormité puisse être dite!
Nos médias se demandent périodiquement si la Grève des femmes n’était pas infiltrée par la gauche.
Et leur réponse est unanimement NON !

Grève des femmes, grève de gauche? - Le Temps
La grève des femmes le 14 juin, une action monopolisée par la gauche? - RTS
La grève des femmes est-elle trop marquée à gauche? Débat entre Louise Morand et Michela Bovolenta - RTS
La grève, trop à gauche pour les femmes de droite - 24heures/TdG
Etc.

En réalité, la « Grève » du climat et celle des femmes ne sont que des créations de la gauche internationale en étroite collaboration avec la gauche suisse.

Et la Place du 14-Juin n’est pas une victoire du féminisme, mais une victoire de la gauche lausannoise toute-puissante, un "monument" à la gloire de sa capacité à manipuler la population.

************
Et voici la nouvelle diffusée dans nos médias:

Une « Place du 14-Juin », date de l’inscription de l’égalité hommes-femmes dans la Constitution, va voir le jour au centre de Lausanne. Pour la ville, le moment est venu d’accorder une plus large place aux femmes dans l’espace public.

Le 6 juin prochain, la place située à l’intersection des rues Haldimand, Pichard et Saint-Laurent sera baptisée « Place du 14-Juin ». Cet espace, sis devant l’église Saint-Laurent, est actuellement dépourvu de nom officiel, explique la ville.

Et ce n’est qu’un début. [...]

Enfin, un ouvrage retracera la vie de 100 femmes qui ont marqué de leur empreinte le développement de la cité. Deux historiennes y travaillent actuellement. Et le 11 mai, le Musée cantonal des Beaux-Arts accueillera une conférence-débat sur le thème « Les villes ont-elles un genre ? », avec le géographe Yves Raibaud.

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3 commentaires

  1. Posté par mc le

    Je ne savais pas que la Suisse etait sous l’emprise de l’oligarchie ‘power by the few’ depuis quand?

  2. Posté par antoine le

     » … un Lausannistan africanisé, lobotomisé, islamisé et bolchévisé ! »
    Africanisé : Noir c’est noir, il n’y a plus d’espoir chantait Johnny !
    Lobotomisé : TOUS les merdias sont de gôche !
    Islamisé : Bientôt il y aura les prières de rue !
    Bolchévisé : vu la majorité de gôche à la Municipalité de Lausanne, cela ne fait plus aucun doute !
    Et dire que ce système pourri et corrompu ne peut subsister que grâce à la péréquation financière …
    Cassons ce système et faisons la grève des impôts !

Et vous, qu'en pensez vous ?

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