Royaume-Uni : pour avoir un visa, il faudra parler anglais et être qualifié

Après le Brexit, le gouvernement britannique va mettre en place un nouveau système d'immigration à points, beaucoup plus exigeant.

Privilégier les « brillants » cerveaux au détriment des « travailleurs peu qualifiés » : voilà ce que le gouvernement britannique compte faire en dévoilant mercredi le nouveau système d'immigration à points qui sera utilisé dans le Royaume-Uni post-Brexit. Pour obtenir un visa de travail, il faudra présenter des compétences spécifiques, parler anglais et avoir déjà une proposition d'emploi avec un salaire minimum annuel de 25 600 livres (30 820 euros).

Le niveau de diplôme requis a été abaissé d'une licence à l'équivalent du baccalauréat, pour permettre « une plus grande flexibilité ». « Nous répondons aux priorités des citoyens en introduisant un nouveau système à points qui fera baisser le nombre d'immigrés », a déclaré dans un communiqué envoyé mardi soir la ministre de l'Intérieur, Priti Patel, saluant un « moment historique » qui « met fin à la libre circulation ».

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Lepoint.fr

9 commentaires

  1. Posté par Socrate@LasVegas le

    Messieurs Johnson et Farage aiment profondément leur pays, ils l’ont débarrassé de cette tumeur maligne qu’est l’ue et par leurs mesures intelligentes, ils vont permettre d’importer des bac+7 et de laisser l’ue entretenir les mahométans et autres crépus bac-7 auxquels elle a choisi d’ouvrir toutes grandes portes et bourse, pariant sur leur furieuse envie de payer nos retraites…

    A la pyramide de ponzi des retraites les criminels non-élus de la commission européenne ont ajouté l’obstacle infranchissable de centaines de milliers de déséquilibrés musulmans analphabètes, violents et inaptes au travail…

    L’Angleterre a fait TOUT juste car comme dans tout système de Ponzi, le seul gagnant est celui qui en sort le premier!

  2. Posté par Dominique le

    Le Royaume Uni est à nouveau un peuple souverain et ce sont les Anglais qui vont participer aux richesses pas des faux demandeurs d’asile et des illégaux.
    Exemple à suivre.

  3. Posté par Socrate@LasVegas le

     » « Nous répondons aux priorités des citoyens en introduisant un nouveau système à points qui fera baisser le nombre d’immigrés », a déclaré dans un communiqué envoyé mardi soir la ministre de l’Intérieur, Priti Patel, saluant un « moment historique » qui « MET FIN A LA LIBRE CIRCULATION ». »

    Tiens, tiens, la libre circulation ne serait donc pas la panacée garantie par les Sommaruga, KellerSuter, K6, Burkhalter, Calmy-raie??

  4. Posté par Socrate@LasVegas le

    BRA-VO Mr. Johnson!

  5. Posté par Chris le

    Nous devons donc réclamer la réciprocité. 90% des expats anglais devront alors être expulsés, certains ici depuis 15 ans…

  6. Posté par Anna le

    Bien sûr qu’il faut cesser cette immigration de gens non qualifiés qui pèse sur les systèmes sociaux. Mais favoriser les immigrants super qualifiés n’est pas non plus une bonne solution, car ils vont concurrencer les habitants locaux. Il me semble qu’il faudrait avant tout miser sur la formation des habitants locaux. Y compris en Suisse. Je connais une personne dont la fille a du renoncer à l’école d’infirmière à Genève, après un échec à un examen en première année. Selon sa mère, de nos jours il n’y aurait plus moyen de redoubler. J’ai été très étonnée de ce qu’elle m’a raconté : on nous serine à longueur de journée que nous manquons de personnel soignant et que sans l’immigration on n’y arriverait pas, et voilà que non seulement il y a une limitation pour l’entrée dans les écoles de soins (nombre de place très inférieur aux candidatures), puis qu’ensuite on éliminerait les élèves après un seul échec. Tous les pays européens ne sont pas aussi sévères avec leurs étudiantes, mais quand il s’agit de faire venir les infirmières formées hors de Suisse, tout à coup on fait moins d’histoires. On pourrait dire la même chose pour les médecins, car de nombreux jeunes sont recalés en début d’études. Ensuite on fait venir des médecins formés à l’étranger car nous dit-on « on manque de médecins ». C’est affligeant et on se demande si cela est du à l’ incompétence de nos dirigeants ou à la volonté de favoriser coûte que coûte l’immigration, afin de détruire le sentiment d’appartenance à la nation. Je n’arrive pas à savoir. En tous les cas, il y a déjà bien assez de monde en Europe pour ne pas avoir besoin de faire venir des gens de l’autre bout du monde, formés ou pas.

  7. Posté par Bussy le

    L’étape suivante sera de mettre en place une procédure de retrait des points menant à l’expulsion du pays !
    Et appliquer cette procédure aux étrangers et doubles nationaux déjà sur le territoire, de manière rétrospective.
    Vivement que la Suisse sorte de cette UE « à refaire de A à Z » et puisse appliquer ce système…. quoi !!!!… on me dit qu’elle n’est pas dans l’UE… mais que des cons veulent y entrer ? A peine croyable !

  8. Posté par antoine le

    La qualité à la place de la quantité !
    C’est un bond en avant !
    Pour tous ceux qui abusent et ont abuser le hospitalité UK, remigration !

  9. Posté par toni le

    Faire venir des gens très qualifiés et instruits c’est plutôt intelligent, mais il reste le problème insurmontable de ceux qui sont déjà en place et qui se reproduisent comme des lapins.

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