Le nouveau centre d'asile de Zurich Ouest est critiqué pour ses contrôles stricts. Toutefois, des lacunes de sécurité considérables existaient dans le centre précédent géré par la ville.
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"Crime, violence régulière et chantage."
Dans le centre d'asile de Juch, il existait des problèmes de sécurité énormes, comme le montrent les recherches de la "NZZ". D'anciens employés ont parlé de crime organisé, de violences régulières et de chantage.
Parmi eux, Markus Giger, ancien chef de la sécurité du centre d'asile de Juch. "Le centre d'asile a été utilisé par des bandes criminelles comme point de transbordement de biens volés et de drogues, tandis que la direction détournait son regard", affirme-t-il. En outre, des personnes non autorisées étaient entrées et sorties de la zone et y avaient même passé la nuit.
Vol, alcool et drogues
Selon Markus Giger, certains d’entre eux ont volé à grande échelle. Malgré cela, le règlement de l’époque prévoyait que le personnel de sécurité ne pouvait fouiller les sacs que de l’extérieur, par respect pour la vie privée. Il devait également effectuer le contrôle des chambres avec modération.
Des recherches effectuées sur la base de soupçons concrets ont permis de découvrir un large éventail d'objets d'une valeur de plusieurs milliers de francs suisses - des fausses pièces d'identité et de l'argent liquide, des vêtements de marque, en passant par les appareils électroniques, de l'alcool, des drogues, notamment la cocaïne, et des médicaments. Selon Markus Giger, un autre problème consiste dans le fait que les résidents consomment souvent des quantités excessives d'alcool. Puis il y a eu la violence.
Pendant la période probatoire, Markus Giger a dû s'en aller. Son successeur, qui veut rester anonyme, a déclaré au journal que l'alcool, la drogue et la violence avaient également été un problème après le départ de Markus Giger et que des bandes de voleurs s'étaient réfugiées dans le centre d'asile jusqu'à la fin.
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(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)
Rappels :
“Le centre d’asile a été utilisé par des bandes criminelles comme point de transbordement de biens volés et de drogues, tandis que la direction détournait son regard”
Qui déposera plainte contre ce ramassis ?
Mme Sommaruga COMPLICE de cet état de fait !
C’est tellement facile et tentant pour les pays d’où proviennent ces “réfugiés” de se débarrasser de leurs délinquants en les envoyant en Occident.
Comme en plus ces pays ne nous aiment pas, ça doit les faire marrer de nous envoyer leurs boulets pour nous couler !
Mais il n’y a pas que les centres d’asile à être contaminés, ça atteint même les écoles, à Genève en tous cas, les profs commencent à se rendre compte de ce que donne cette diversité massive qu’ils chérissaient tant !