Le 19 mai 2019 le peuple actionnera le bouton « reset » des relations Suisse – UE
Par Bruno Buchs, www.liberalarms.ch, le 21.02.2019
(avec la collaboration d’exigences.ch)
Le peuple se prononcera en mai 2019 sur l’évolution de l’accord de Schengen/Dublin à travers le projet de la loi sur les armes. Cette loi propose de transposer en droit national la directive 2017/853 de l’UE édictée par Bruxelles.
Par ailleurs, le peuple aura à se prononcer, dans quelque temps, sur les accords institutionnels avec l’UE, le contrat cadre voulu par l’UE.
Les accords existants avec l’UE stipulent que la Suisse doit se conformer aux règles de l’UE et que les accords doivent suivre la législation européenne. Ces accords sont voulus ainsi, et, plus grave, ils prévoient des mesures de contrainte si la Suisse n’obtempère pas. A titre d’exemple, citons les clauses « guillotine » qui feraient échouer plusieurs contrats si la Suisse ne se conformait pas aux ordres de Bruxelles dans un des domaines. Ou l’exclusion de la Suisse d’un accord, si l’UE ne tolère pas une opposition de la Suisse à la reprise de telle ou telle évolution, aussi néfaste fusse-t-elle pour notre pays.
Certes, à chaque fois que Bruxelles exige la reprise d’une nouvelle règle européenne, on nous fait miroiter que le peuple suisse reste souverain et garde, à travers la voie du référendum, le dernier mot. C’est occulter que depuis longtemps déjà, l’UE nous a mis un nœud coulant autour du cou et menace de le serrer, un peu plus ou jusqu’en butée, si nous refusons de suivre la voie tracée par Bruxelles.
On ne fera évidemment pas de parallèle entre le comportement de l’UE vis-à-vis de ses « partenaires contractuels » et un certain régime socialiste et nationaliste de sinistre mémoire par rapport aux pays vassaux. Évidemment non, cela serait par trop politiquement incorrect…
Force est de constater que le mécanisme du futur accord cadre sera fondamentalement le même, voire pire, que celui des accords de Schengen/Dublin. Et ce que nous vivons actuellement avec la directive UE 2017/853 sur les armes que la Suisse doit transposer dans sa législation nationale, sous menace d’exclusion – comme le martèle le Conseil fédéral – n’est rien d’autre qu’une répétition de ce qui nous attend avec l’accord cadre.
Nos magistrats fédéraux ne se donnent d’ailleurs même plus la peine d’imaginer notre futur au travers de projets propres à la Suisse car la soumission à la volonté de l’UE et la reprise automatique des politiques et de la législation de l’UE sont devenues la règle.
Berne se confond systématiquement en excuses, par exemple en expliquant que la Suisse, avec la signature de Schengen/Dublin, s’est engagée à reprendre le droit communautaire, mais qu’évidemment elle a pesé de tout son poids dans les discussions avec l’UE pour faire accepter ses particularités et ses intérêts ; que c’est le maximum et qu’il faut maintenant accepter ce « compromis » car sinon nous risquons d’être exclus des accords. Et que ce risque est une quasi-certitude. L’économie suisse perdrait alors des dizaines de milliards et la sécurité de la Suisse serait gravement affectée. Selon nos magistrats fédéraux, la misère s’abattra sur la Suisse si nous osons dire non à une directive qui nous pénalise, même si l’UE n’a aucun intérêt à nous exclure des accords de Schengen/Dublin pour une raison aussi futile.
Au fil des années, la Berne fédérale a amené la Suisse dans une position de soumission à l’UE.
Et cette même Berne a maintenant le culot de dire que c’est le peuple qui a accepté tous ces accords par les urnes et qu’il doit en assumer les conséquences, c’est-à-dire continuer à reprendre tout ce que l’UE veut nous imposer. En vérité, la classe politique dans sa majorité a tout fait pendant des années, par faiblesse ou par appât du gain, afin de permettra à l’UE de nous prendre en otage, de nous soumettre aux chantages à travers des accords défavorables à la Suisse.
Nous demandons où sont les « sages » au gouvernement et au parlement, où sont les dignes héritiers du Général qui a tenu bon alors que la Suisse était encerclée, où sont les politiciens et dirigeants qui ont une vision à long terme et qui voudront léguer aux générations futures ce que les anciens nous ont confié : la démocratie directe et notre auto-détermination.
Le 19 mai nous voterons sur la loi sur les armes, encore une fois sous la contrainte. Mais nous allons nous rebeller contre ce système infâme. Au moment du vote, nous garderons à l’esprit que si nous cédions encore une fois, le pire serait à venir : l’accord cadre, ce fameux accord institutionnel qui reprendra exactement la même logique de soumission malsaine sur l’ensemble des accords.
Il est temps que le peuple à son tour appuie sur le bouton « reset » des relations entre la Suisse et l’UE afin qu’un vrai changement se produise.
Le 19 mai 2019, nous dirons non à une loi sur les armes inutile, liberticide, contraire à nos intérêts et que personne en Suisse n’aurait proposée sans l’UE.
A travers ce premier signal, la classe politique saura que nous dirons également non à un contrat cadre qui nous soumettrait à la volonté de l’UE et de ses instances sans légitimité démocratique.
Nous dirons non à des systèmes infâmes qui autorisent l’UE à nous envoyer ses directives et à nous obliger de les reprendre « automatiquement » dans notre législation nationale. Nous dirons non aux clauses « guillotine ». Nous ne voulons pas nous soumettre à la justice de l’UE et nous n’acceptons pas de subir des mesures coercitives décidées par Bruxelles. Et nous dirons non à la signature, sous la contrainte, de nouveaux « accords » que l’on doit qualifier de soumission à une force étrangère, ce qui correspondrait au suicide de notre démocratie directe.
Il faut que cela cesse, alors le 19 mai nous voterons le « reset » en actionnant le bouton du «NON ».
Mais il y a un second signal, qui est un oui d’ouverture au monde.
Nous disons aux politiciens, à l’économie et aux partenaires sociaux que la Suisse est prête à négocier, conclure et respecter des traités internationaux, sur un pied d’égalité et dans l’intérêt des partenaires contractuels. Mais nous subordonnons ce « oui » a de vraies lignes rouges à ne pas franchir, des valeurs et des droits non négociables : notre liberté, notre auto-détermination, l’indépendance de notre justice et de nos institutions et le respect de notre démocratie directe, sans chantage ni menaces par qui que ce soit.
Bien sur que la Suisse va disparaitre en tant que nation libre,ceci est evident . Mais n’est ce pas le destin inevitable de toute societe decadente qui a perdu ses reperes spirituels et religieux ,et qui s’enfonce inexorablement dans la barbarie ? A quoi nous serviraient nos armes si nous sommes incapables de distinguer le bien et le mal ? Nous sommes tombes si bas, que meme l’islam , le boudhisme ou le judaisme sont devenues pous nous des valeures morales par defaut .
@ Aldo. Bravo pour cette analyse ! Hélas, peu de gens se rendent compte de la situation réelle… à moins qu’ils ferment les yeux pour ne pas déranger leur petit confort quotidien et ne pas avoir à s’investir.
@ JeanDa. Euh, si ce n’est pas indiscret, vous avez choisi quel pays ? Et puis est-ce que ce ne sont pas justement des gens comme vous qui devraient rester pour former le dernier rempart contre la dissolution ?
Les gens qui sont autour de moi ne vont plus voter et sont aussi intelligents qu’un troupeau de chèvres. Les médias vont marteler la direction à prendre et le peuple va s’y plier, comme d’habitude. Oubliez la Suisse, elle est finie, il faut enlever les lunettes roses et regarder la réalité telle qu’elle est.
Personnellement j’ai hâte de me tirer de ce pays rempli de gens incultes. Je contemplerai sa chute avec un sourire au coin. Ce pays ne mérite qu’une chose : s’effondrer sur lui-même. Ne l’oubliez pas, les gens ont eut le choix et se sont prononcés.
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AUJOURD’HUI LA SUISSE PAIE LES INEPTIES DÉDIÉES A LA TOLÉRANCE A TOUT CRIN, NOTAMMENT EN MATIÈRE D’IMMIGRATION, DE NATURALISATION ET DE REGROUPEMENT FAMILIAL.
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Nos ennemis ont abusé trop largement de notre hospitalité avec la complicité des gauches et maintenant qu’ils sont en masse dans la place, devrions-nous nous adapter à leurs intolérances et leurs vices ataviques toujours au nom de la tolérance ? Avec les aventures échouées de Maudet le bi-national, à l’assaut du Conseil Fédéral, on a l’exemple même de ces bi-nationaux qui complotent pour l’Europe dans le travées des parlements. A l’évidence la presse a caché ce qui lui est reproché juste pour lui donner une place au Conseil d’Etat. Juridiquement, on peut considérer que le contrat entre le peuple et l’élu a été biaisé, donc brisé par des manœuvres déloyales et qu’il doit rembourser ce qu’il a touché indûment et renoncer à une retraite imméritée, sans compter des dommages intérêts pour n’avoir pas démissionné immédiatement à l’exemple de Guillaume Barazzone. Et le fait qu’Abu Dhabi soit un paradis fiscal n’est pas pour apaiser une hypothèse de grandes corruptions, susceptibles d’expliquer pourquoi un nombre si important de politiciens suisses et européens sont soudainement aspirés par ce lieu magique…
NOUS DEVONS NOUS REBELLER CONTRE LA DICTATURE BOLCHEVIQUE QUI SUINTE DANS TOUS LES ACCORDS AVEC L’EUROPE. Déjà au niveau du trafic routier, la Suisse sous la pression européenne est en train de se transformer en un vaste nœud communiquant de toutes les infrastructures routières européennes et même extra-européennes. CE QUI FAIT QUE NOS PAYSAGES, NOTRE TOURISME, NOTRE NATURE SONT CONDAMNÉS A SUBIR LES PRESSIONS DE CETTE DICTATURE BOLCHEVIQUE EUROPÉENNE QU’IL FAUT VIRER A TOUT PRIX. SINON CE SERONT DES AUTOROUTES A 15 VOIES ET PLUS QUI FINIRONT DE SACCAGER AUSSI NOS LIBERTÉS ESSENTIELLES ET MÊME NOTRE SANTE. Des vallées entières gazées aux particules fines et à l’odeur du diesel CE N’EST PAS UN AVENIR POUR LA SUISSE « Avenir Suisse » est-elle subventionnée secrètement par l’Europe et a-t-elle été crée et noyautée par des membres apparentés au Nomes pour piétiner ainsi nos libertés fondamentales ?) Avec Tibère Adler, le grand ordonnateur des pompes funèbres qui ont liquidé les principaux titres des médias romands, on peut en être presque certain! Le bourrage de crane a tué CETTE PRESSE DE MENTEURS EN DÉROUTE, ce n’est donc pas une raison suffisante pour suivre les injonctions pro-européennes de ceux qui en portent la responsabilité.
Avec les investissements inutiles de CFF-cargo, à cause des européens qui ont volontairement traîné le pieds pour se connecter nos investissements et les rendre viables sur leurs territoires, ils ont réussi à faire capoter un concept qui pouvait être très acceptable. Ce qui aurait permis d’éviter de nous voir imposer des hordes de camions puants en goguette pour éviter des péages scandaleux de France et d’ailleurs. Et quand on sait que des politiciens français utilisaient le racket autoroutier alors que les autoroutes devaient être libérées, pour se tricoter des retraites complémentaires après échecs politiques, on peut croire qu’il y a réellement eu UN SABOTAGE DIRECT PAR L’EUROPE de nos intérêts. DEPUIS DES SIECLES LA SUISSE A SU TIRER PROFIT DE SON RELIEF POUR TENIR A DISTANCES RESPECTUEUSE LES EMPIRES LE PLUS TOTALITAIRES, CE N’EST PAS AUJOURD’HUI LE MOMENT DE BAISSER LA GARDE. Mais un certain nombre de faux-suisses bi-nationaux, voudraient nous vendre à l’ennemi, pour ne pas devoir présenter leur passeport à la frontière. C’est dire toute leur médiocrité à juger les véritables enjeux autres que ceux concoctés par des maître-chanteurs. SCHENGEN = UNE GROSSE ESCROQUERIE https://www.youtube.com/watch?v=cUXvkJFxhPM
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L’AVENTURE DU BREXIT DÉMONTRE BIEN QUE L’ESPRIT DE TOLÉRANCE REVENDIQUÉ A TOUT BOUT DE CHAMP PAR L’EUROPE-BOLCHEVICO-TOTALITAIRE, N’EST QU’UN ATTRAPE-GOGOS POUR NOUS ATTENDRIR ET NOUS FAIRE PAYER A VIE LE RESTAURANT, POUR UN SIMPLE PLAT DE LENTILLES TOTALEMENT INDIGESTES.
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Le piège européen est en train de se refermer inexorablement sur la petite Suisse. Pour pousser à la roue, la télévision d’état a été jusqu’à exhumer la Metzler et même la Dreifuss. Tous mes moyens sont bons pour mener à terme le projet socialiste qui veut la pauvreté pour tous et la soumission à l’islam.
» … depuis longtemps déjà, l’UE nous a mis un nœud coulant autour du cou et menace de le serrer, un peu plus ».
Notre pays NE DOIT PAS être sous la coupe de l’UE et surtout de l’imbibé de service M. Junker le tanker !
Respectons la sagesse de notre Constitution. Elle a été écrite il y a peut-être beaucoup d’années (1848 révisée en 1874 et 2000) mais elle reste valable pour tous les citoyens, y compris les Conseillers Fédéraux qui font partie du NOMES (Nouveau Mouvement Européen Suisse) pro-UE tels que M. Berset et Mme Sommaruga !
Faire partie du NOMES est à mes yeux une TRAHISON vu que le Peuple souverain suisse s’est prononcer par referendum contre l’adhésion à l’EEE (06.12.1992).
Pas de gouvernement supra-national ! NON à l’accord cadre !
Dénonçons les accords de Schengen que le peuple suisse a accepté 05.06.2005. Les arguments pour y adhérer étaient fallacieux et Mme Calamity-Rey a tout fait pour tordre le coup de la vérité. Notre sécurité était meilleure AVANT, et on peut l’affirmer !
Il y a assez de preuves :
– Nombre très élevé de migrants issus de l’immigration de masse illégale présents sur notre territoire.
– Trafiquants de drogue à Lausanne qu’on ne peut soit disant pas expulser …
– Sécurité mise à mal par tous les actes de vandalismes, agressions, vols, viols, etc …
– Nos prisons regorges de détenus étrangers.
https://lesobservateurs.ch/2018/09/11/vaud-78-detrangers-dans-les-prisons-les-ressortissants-dalgerie-du-nigeria-et-de-france-sont-les-plus-representes/
https://lesobservateurs.ch/2018/02/19/suisse-romande-80-des-prisonniers-sont-des-etrangers-on-paie-le-prix-fort-de-limmigration-dixit-franz-walter-directeur-etablissement-de-detention-fribourgeois/
– etc … etc …
Il y en a MARRE d’accueillir toute cette racaille !
Les Suisses ont dit non à l’autodétermination…