Christian Hofer : Combien de familles suisses, dépourvues d'aides sociales, ont-elles dû obliger leurs enfants à faire un apprentissage en raison d'impératifs économiques sans que cela ne gêne nos politiciens? Et cela alors que cette Érythréenne dont la famille n'a jamais cotisé un sou a droit à tous les égards. Évidemment, l'avocat de la famille a été payé par nos impôts.
Dans les faits, cette fille va rester encore très longtemps à la charge du social puisqu'on sait que les Érythréens sont incapables de s'intégrer et ne possèdent pas de qualifications professionnelles. Les cons de Suisses vont donc devoir financer les études et se taire pour que Mademoiselle puisse accéder à ce qui lui fait plaisir, un apprentissage n'étant pas assez bien. Mais pour les Suisses démunis oui!
Derrière cette situation scandaleuse se cachent évidemment Sommaruga et Burkhalter qui ont milité de tout leur poids pour l'accueil de ces migrants érythréens tout en sachant qu'ils provoqueraient une pression considérable sur nos finances.
Pendant ce temps, voici ce qui se passe pour les Suisses :
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Une jeune fille de 16 ans s'est vu interdire l'école de culture générale par la commune de Kerns, dans le canton d'Obwald. Motif: ses parents, d'origine érythréenne, sont à l'aide sociale.
Les autorités ont signifié leur décision à la famille dans une lettre écrite dans laquelle elles précisent qu'un enfant dont la famille est au social doit pouvoir subvenir à ses besoins le plus vite possible grâce à l'éducation. La commune a du coup conseillé à la jeune fille de se lancer dans un apprentissage dans le domaine de la santé. Et si elle persiste dans son idée de suivre l'école souhaitée, l'allocation mensuelle de ses parents sera réduite de 400 francs.
Il aura fallu l'intervention d'un avocat et des mois de querelles juridiques pour que les autorités de Kerns reviennent en arrière sur leur décision et permettent à la jeune fille de suivre la formation de son choix. Elle fréquente aujourd'hui l'école cantonale à Sarnen et ses bonnes notes lui permettront d'intégrer ensuite le gymnase.
Nos remerciements à Wilhelm
Rappels:
Le mieux est d’éxpulser manu militari,CES REFUGIES DES ALLOCS,dehors,ils ne SONT pas EN GUERRE CHEZ EUX,donc NON AU SOCIAL,NON AUX ETUDES.SOMMARUGA DEHORS!
Par contre, pour payer les avocats, ils ont de l’argent?
Jai fait des missions en Afrique durant 2 décennies… Si les Suisses ne prennent pas conscience du péril migratoire africain, ils auront partout des “compatriotes-allocataires” Erythreens, subsahariens qui defigureront leur pays ( importation des problemes ethnico-socio-religio-culturels sécuritaires et civilisationnels sans solution avec le racisme, le problème racial comme au Usa qui n’ont jamais pu le régler en 4 siècles , les coûts sociaux avec les regroupements familiaux, la violence , drogue, délinquance, criminalité organisée etc…) et ce sera irréversible …
Je suis inquiet quant à l’avenir de ce si beau pays paisible où il fait bon vivre.
Combien d’enfants de suisses ou de ressortissants de pays voisins, bien qu’ayant de bonnes capacités, ont dû de résoudre à faire un apprentissage car les parents (qui travaillaient, eux) n’avaient pas les moyens de financer des études.
D’un côté, la mentalité d’ici, de l’autre, celles de ressortissants qui estiment que tout leur est dû et qui vivent sans vergogne sur le dos de ceux qui travaillent.
A croire que le verbe “travailler” n’existe pas dans leur langue.
De tels cas sont devenus légion. Souvenons-nous de l’inénarrable Carlos, du côté de Zürich, il coutait à la société Fr 15’000.00 par mois. Quel père de famille à de telles possibilités ?
Quand on entend le discours des socialos sur l’AVS ou les caisses maladie, n’a-t-on pas envie de s’énerver ?
Pour remettre l’église au milieu du village: si vous faites un apprentissage, vous pouvez également accéder aux HES avec une maturité. Vous pouvez même accéder à l’université après une passerelle Dubs. Il n’y a aucune excuse possible.
Mais c’est bien plus difficile et la légèreté du bagage scolaire vous force à crocher à chaque fois, que cela soit en maturité ou à l’Université. Et c’est cela que cette fille veut éviter tout en profitant des contribuables suisses.
C’est par pur confort que cette fille fait des études via des écoles. Pour ne pas devoir se lever et rendre des comptes à une entreprise, à un patron, pour éviter de bosser et d’avoir à étudier en même temps, jouir de longues vacances scolaires et se faciliter le quotidien. La Suisse leur a appris la belle vie, pourquoi se fatiguer?
Pour nombre de Suisses, lorsqu’ils se trouvent en apprentissage, ils doivent reverser une part de leurs revenus à leurs parents pour qu’il y ait de la nourriture sur la table! Elle, elle s’en fout!
Ses parents ne rentrent pas fatigués tard le soir. Elle n’a pas à subir des tensions familiales avec la peur des lendemains, un licenciement abusif et de pressions professionnelles qui causent des soucis jusque dans les familles.
Et vous pouvez être certain que le fait même qu’elle soit à l’école constitue déjà un frein pour l’expulsion de cette famille, les tribunaux de gauche soutenant qu’elle a des “liens en Suisse”, qu’elle y a sa vie.
En clair, les Suisses vont devoir financer encore très longtemps cette famille.
Monde tombé sur la tête !
Arrêtez la Terre, je veux descendre… et je suis un très bon contribuable, pas au social, moi !
Qu’est-ce que cette inversion des valeurs et des bonnes volontés et de la correction et de l’intégrité peuvent bien apporter aux ploucs qui nous gouvernent ?
Chouchouter des parasites apporte quoi ?
Et ces parasites, pour arriver jusqu’à nous, avaient plein de fric, plus que ce que les pauvres en Suisse ont, alors quoi… bande de cons !!!!
Bon, c’est vain, vraiment vain….ça sent la poudre…. tic… tac….tic….tac…
Et j’imagine que cette famille fait partie de ceux que le SEM ne s’empresse pas vraiment de réexaminer la situation en vue d’une expulsion ? ce serait le comble, qu’en fin de compte, la famille reçoit une levée de l’admission provisoire et soit invitée à rentrer en Erythrée. Mais Madame, vous n’y pensez pas, vu tout l’argent qui a été dépensé pour que notre fille étudie en Suisse et “elle a de bonnes notes”.
Et elle n’a jamais été “interdite” d’école. La commune a seulement sagement relevé que si les parents voulaient que leur fille fasse des études, il fallait aller bosser. Cela devrait être la règle, non ??
Que ces parasites de parents se mettent à bosser, au lieu de saisir la justice!
Téléguidés par la gauche et inaptes à quoi que ce soit, on peut rêver!