Le Conseil Synodal de l’Eglise évangélique réformée du Canton de Vaud s’entiche d’un ancien criminel stalinien devenu sociologue.

« Société liquide », progressisme, postmodernisme… en religion

Le Conseil Synodal de l'Eglise évangélique réformée du Canton de Vaud s'entiche lui aussi d'un ancien criminel stalinien devenu un sociologue de référence, notamment en matière de "société liquide".

A. Reproduction de l'article d' Olivier Delacrétaz dans La Nation du  6 .7.2018 intitulé "Presbytéro-Synodal! dans lequel il fait état des conflits que traverse cette Eglise et plus particulièrement  des "relations difficiles que l'autoritaire président du Conseil Synodal entretient avec ses semblables".  L'auteur regrette l'évolution récente générale  "moderne"  du Synode de cette Eglise  et à laquelle s'opposent de plus en plus  les paroisses locales dans lesquelles se passe pourtant l'essentiel de la vie de la foi - cultes et sainte scène, baptêmes, confirmations, mariages , fêtes religieuses, études bibliques..."

La remarquable analyse d'Olivier Delacrétaz  est certainement valable pour bien d'autres Eglises que celle du canton de Vaud.

Il est aussi question d'une Eglise devenue hors-sol et pouvant enfin se plonger dans la "société liquide". Ce  terme est repris par ces autorités hors-sol du Conseil Synodal de l'Eglise évangélique réformée du Canton de Vaud  du sociologue Zygmunt Baumann, qui devient même une référence majeure pour ces dernières.

L'article complet de Olivier Delacrétaz:

Presbytéro-synodale!

Olivier Delacrétaz
Editorial La Nation n° 2100, 6 juillet 2018

La démission surprise, avec effet immédiat et accompagnée de lourdes révélations, du conseiller synodal John Christin a pris par surprise la présidente du Synode et laissé celui-ci sans voix. Pas une des personnes présentes ne s’est levée pour dire que cette affaire posait la question de la légitimité de l’équipe actuelle du Conseil synodal, et celle de sa reconduite.

Il ne faudrait pas, pour autant, commettre l’erreur d’attribuer tous les soucis que connaît l’Eglise évangélique réformée du Canton de Vaud (ci-après, l’Eglise) aux relations difficiles que l’autoritaire président du Conseil synodal entretient avec ses semblables. Ces conflits doivent être abordés dans la perspective générale d’un rejet toujours plus explicite, dans les paroisses et les régions, de l’évolution récente de l’Eglise.

Quand, il y a un peu plus de vingt ans, l’État annonça sa volonté de réduire de 9% sa contribution financière à l’Eglise, les responsables d’alors ne voulurent pas se contenter de réduire les dépenses périphériques et d’apporter aide et conseil aux paroisses qui en avaient besoin. Ils décidèrent de remodeler l’institution de la cave au grenier.

Leur idée maîtresse était d’affronter la modernité sur son terrain, avec son langage, ses présupposés laïques et ses méthodes de gestion. On prévoyait de substituer au témoignage par trop discret du culte dominical des manifestations et des événements spectaculaires rassemblant les foules et suscitant les échos admiratifs de la grande presse. La territorialité des paroisses fut condamnée comme génératrice d’un gaspillage ministériel insensé. On décida de mieux utiliser les compétences particulières des pasteurs en privilégiant les ministères spécialisés au détriment des ministères paroissiaux. En quatre mots, moins de contemplation, plus d’action, moins de prédications et plus de communication.

L’Eglise devenait une entreprise et ses pasteurs, des employés gérés par un office des «ressources humaines». L’Eglise évangélique réformée du Canton de Vaud s’intitulerait désormais EERV, acronyme terne et bégayant que La Nation s’engage à ne jamais utiliser.

Dans la conception originelle d’«Eglise à venir», les paroisses, privées de toute ressource autonome, privées aussi de leur personnalité juridique, n’étaient plus que les terminaux dociles de l’ordinateur cantonal.

Ce qu’on peut reprocher au Conseil synodal actuel, c’est d’avoir été obstinément fidèle à cette conception extrême. Récemment encore, il proposait de diminuer le nombre des cultes du dimanche et de désaffecter un certain nombre d’églises. Ainsi débarrassée de ses encombrantes racines, notre Eglise hors-sol pourrait enfin se plonger dans la «société liquide», pour reprendre le terme de Zygmunt Bauman, ce sociologue dont le Conseil synodal s’est bizarrement entiché.

A l’époque, les responsables d’«Eglise à venir» minimisaient les craintes des pasteurs et des paroisses. Il est normal, concédaient-ils, qu’un changement aussi important provoque des résistances; toutefois, vos réserves, qui dévoilent votre refus d’aborder les problèmes de notre époque, sont infondées; elles se dissiperont dès que le nouveau régime sera installé; et soyez tranquilles, il y aura une évaluation dans six ans.

Dix-huit ans plus tard, on attend encore l’évaluation, les craintes n’ont pas disparu, les résistances non plus. Et c’est compréhensible, car on a l’impression d’être toujours au commencement du «processus», avec toutes les bousculades, incompréhensions et incertitudes que cela comporte. La mise en place définitive d’«Eglise à venir» est continuellement relancée, dans l’urgence, bien entendu, et le discours officiel continue de dénoncer et de promettre exactement ce qu’il dénonçait et promettait à l’époque. Autrement dit, le passage est encore à faire. Disons carrément que, selon toute vraisemblance, «Eglise à venir» restera «à venir» à perpétuité. Restructurata et semper restructuranda. Voilà pourquoi, à la place de faire un bilan honnête et, donc, consternant, on fonce aveuglément en direction de nulle part.

Dans l’esprit et la pratique des fidèles, l’Eglise continue d’être presbytéro-synodale, c’est-à-dire fondée sur un équilibre entre les paroisses et l’autorité centrale. Et de fait, l’essentiel de la vie de la foi – cultes et sainte cène, baptêmes, confirmations, mariages, fêtes religieuses, études bibliques – continue de se passer principalement dans la paroisse, parfois dans la région. Et c’est aussi dans le cadre paroissial qu’on peut organiser une solidarité concrète avec telle famille qui traverse des temps difficiles, qu’on trouve facilement des dévouements bénévoles, qu’on organise des rencontres avec les paroisses voisines, avec les assemblées évangéliques et les paroisses catholiques, qu’on établit des contacts avec ceux qui sont extérieurs à l’Eglise.

Mais c’est une Eglise presbytéro-synodale contrariée et affaiblie, parce que, dans le même temps, la centralisation déséquilibre l’institution et la transforme en une mécanique lointaine, interventionniste et coûteuse. A la limite, la vie réelle de l’Eglise finira par se déployer en marge de ses structures institutionnelles, au risque inverse de tomber dans le congrégationalisme, avec toutes les dérives sectaires que cela peut engendrer.

Le refus du «Rapport sur les dotations», au synode de mars dernier, signifiait un refus de cette évolution suicidaire. Et c’est dans le même esprit que les opposants à ce Rapport ont présenté deux motions sœurs au synode de juin… et qu’elles ont été acceptées.

La première, intitulée «Pour une consultation des paroisses et des régions dans le rapport sur les dotations», demande qu’une enquête systématique soit conduite auprès des paroisses et des régions concernant les changements qu’elles subissent. Elle demande aussi que le nouveau rapport sur les dotations soit établi à partir des réponses recueillies. La seconde motion, «Pour un rapport participatif et fédérateur sur les dotations», demande que les membres de la commission chargée de rédiger ledit rapport soient pour une part désignés par le Conseil synodal et, pour une autre, élus par le Synode et qu’ils représentent les divers milieux de notre Eglise.

Ces deux motions visent à remettre de l’ordre et de la clarté dans la politique de l’Eglise. Peut-on espérer que le Conseil synodal y verra davantage que des obstacles à contourner?

 

B. C'est ici que nous aimerions rappeler que ce sociologue Zygmunt Baumann, cité ci-dessus, et décédé en 2017 à l'age de 92 ans, n'a pas été que le promoteur de la "société liquide" mais également un vrai et criminel stalinien à l'époque communiste en Pologne.

Extrait de l'article complet reproduit plus bas :

"Lorsque Staline forme une armée de Polonais (principalement ses prisonniers de guerre) intégrée à l’armée rouge, Bauman rejoint la 4ème division d’infanterie. Il participe aux combats pour la « libération » du nord de la Pologne.Après la guerre, il participe à la « pacification » de la Pologne les armes à la main. Il commande brièvement une unité chargée de la liquidation des maquis de résistants anti-nazis poursuivant la lutte contre le nouvel occupant soviétique.  Zygmunt est alors décoré pour sa détermination dans le combat. Les unités dont Bauman faisait partie étaient les pendants polonais des infâmes NKVD et GRU et les missions impliquaient l’action directe, les interrogatoires, la torture et les exécutions. Il y occupa un poste de commissaire politique et avança au grade de major du KBW (Corps de Sécurité Intérieure). "commandant même une unité chargée de la liquidation des maquis de résistants anti-nazis pour suivant la lutte contre le nouvel occupant soviétique.

B. Article complet sur Zygmunt Baumann paru sur LesObservateurs.ch le 11.1.2017 :

Zygmunt Bauman, décédé cette semaine à 92 ans : Un regard plus complet sur un sociologue qui était tendance.

Article publié le 11.01.2017

Décès de Ziggy le liquidateur.

 

Zygmunt Bauman est décédé cette semaine à l’âge de 92 ans. Né à Poznan, en Pologne, dans une famille juive, il raconte avoir quitté le pays pour l’URSS en 1939 devant l’avancée des Nazis. Il a trouvé du travail dans la milice (la police étant un concept oppressif capitaliste) de Moscou où il affirme « avoir fait la circulation ».

Lorsque Staline forme une armée de Polonais (principalement ses prisonniers de guerre) intégrée à l’armée rouge, Bauman rejoint la 4ème division d’infanterie. Il participe aux combats pour la « libération » du nord de la Pologne.

Après la guerre, il participe à la « pacification » de la Pologne les armes à la main. Il commande brièvement une unité chargée de la liquidation des maquis de résistants anti-nazis poursuivant la lutte contre le nouvel occupant soviétique.  Zygmunt est alors décoré pour sa détermination dans le combat. Les unités dont Bauman faisait partie étaient les pendants polonais des infâmes NKVD et GRU et les missions impliquaient l’action directe, les interrogatoires, la torture et les exécutions. Il y occupa un poste de commissaire politique et avança au grade de major du KBW (Corps de Sécurité Intérieure).  Ses états de service relatent  « un amour de son travail » l’empêchant de poursuivre sa formation intellectuelle. Nous avons donc la biographie d’un apparatchik du système de répression totalitaire soviétique. Pourquoi, parmi tant d’autres rouages de la terreur rouge et tant d’autres gens avec du sang sur les mains, celui-ci est-il plus intéressant ?

La réponse se trouve aussi dans ses états de service, ses supérieurs le voient destiné à une brillante carrière scientifique. Le combat physique fait place au combat idéologique et Zygmunt Bauman deviendra au fil des décennies une éminence de la guerre psychologique que le système communiste a livrée au monde libre. Mais dans l’après-guerre, sa mission première était de détruire l’âme de la résistance polonaise, d’en saper les fondements spirituels, moraux, idéologiques. Dissoudre les structures psychiques et sociétales de l’identité polonaise, si farouchement éprise de liberté, de vérité et d’indépendance. Un laboratoire grandeur nature pour la guerre de subversion psychologique dans laquelle Bauman était passé maître.

Formé à l’école de pensée de Sun Tsu, il a appliqué les recettes millénaires de ce politologue et stratège chinois dont la lecture est toujours obligatoire pour les officiers supérieurs russes. Le grand Sun Tsu nous apprend que tout l’art de la guerre est duperie et seul celui qui prend contrôle de l’Etat ennemi sans coup férir accède au niveau suprême de cet art. Gagner sans un coup de feu face à un ennemi démoralisé, déstructuré étant l’objectif.

Si cela vous fait penser à la déconstruction des penseurs français comme Derrida, Foucault, ce n’est peut-être pas un hasard, comme nous le verrons plus loin. Et si vous voyez poindre un parallèle avec les analyses de Zemmour sur le suicide français, vous voyez déjà où je veux en venir.

Par ailleurs, pour ceux qui seraient intéressés, les schémas de subversion idéologique mis au point par le KBG sont magistralement racontés dans Le montage de Vladimir Volkoff. Sur Youtube, on peut regarder les cours et interviews de Yuri Bezmenov  à ce sujet.

Toutefois, aux yeux du comité central, la proximité excessive de Maurycy, père de Zygmunt (il habitait chez ses parents) avec l’ambassade d’Israël à Varsovie conduisit à la disgrâce de Zygmunt lors de la purge  anti-juive qu’ont connue le parti communiste et le monde académique polonais en 1968. En effet, Israël n’avait finalement pas choisi le camp progressiste comme prévu et son alliance avec les USA était intolérable. Pour Bauman, la conséquence en fut l’exil. Ayant dès le début de sa carrière écrit sur le mouvement social en Angleterre, Zygmunt quitta la Pologne pour devenir professeur de sociologie à l’Univesité de Leeds.  Qui dit qu’il est difficile de trouver du travail à l’Ouest ? Si on a le bon « réseau » no problemo…

De nos jours, il est convenu de considérer que nous vivons dans une époque dont les grandes idéologies sont absentes. Une narration s’est imposée : les idéologies ont été discréditées. La défaite du troisième Reich et l’effondrement économique de l’URSS seraient la démonstration de leur infécondité. Le crépuscule des idéologies, allant de pair avec la fin de l’histoire seraient notre réalité. Or il n’en est rien. Une nouvelle idéologie tient le haut du pavé. L’idéologie de nos élites politiques et soi-disant culturelles. Cette idéologie est le post-modernisme. Polymorphe, elle prend source sous différents cieux dans les années 1960-1970. L’apparition du terme postmoderne et postmodernisme (avec ou sans tiret) a fait l’objet de nombreuses études. Nous n’analyserons pas en profondeur ici ces apports venus d’horizons aussi variés que l’architecture, la linguistique et la philosophie. Remarquons juste au passage l’apport du français  Lyotard. Notre propos est de faire le lien avec Zygmunt Bauman qui se trouve, comme par hasard, être l’un des plus célèbres tenants du postmodernisme comme en atteste sa bibliographie.

Baumann a poussé le concept très loin en parlant de « liquidité ». Dans le monde après la modernité les catégories de la rationalité moderne sont obsolètes. Le Vrai, le Bien, le Beau n’étant que des concepts obsolètes, on peut faire fi de la vérité tout court. Désormais, tout serait liquide. La culture, la nation, la tradition, la religion, le sexe, la famille. On peut tout dissoudre ou tout liquider. On peut liquider l’opposition physiquement ou idéologiquement. C’est pourquoi Zygmunt m’apparaît aujourd’hui revêtu du sanguinolent costume de Ziggy, le liquidateur. Liquidateur de résistants, liquidateur des identités et des nations.

En forçant le trait on pourrait postuler que le postmodernisme ne serait donc pas seulement une expérience fascinante d’intellectuels français des années soixante qui ont séduit de gentils intellectuels américains lors du Linguistic Turn, mais une arme de guerre forgée derrière le rideau de fer. Une arme de désinformation massive ayant déjà fait des millions de lobotomisés. Son application politique immédiate semble manifeste quand on lit ce que Baumann disait dans un de ses derniers entretiens. Pour les lecteurs du site LesObservateurs.ch cet extrait se passera de commentaire:

QUESTION :

La notion de paysage (scape) ou de « couloirs culturels transnationaux » évoque cependant un autre type d'hybridité, celle naissant d'une interaction entre différentes parties du monde et permettant à des populations, des migrants par exemple, de s'inscrire durablement dans un espace culturel composite...

 

REPONSE de BAUMANN :

La mondialisation ne se déroule pas dans le « cyberespace », ce lointain « ailleurs », mais ici, autour de vous, dans les rues où vous marchez et à l'intérieur de chez vous... Les villes

d'aujourd'hui sont comme des décharges où les sédiments des processus de mondialisation se

déposent. Mais ce sont aussi des écoles ouvertes 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 où l'on

apprend à vivre avec la diversité humaine et où peut-être on y prend plaisir et on cesse de voir

la différence comme une menace. Il revient aux habitants des villes d'apprendre à vivre au

milieu de la différence et d'affronter autant les menaces que les chances qu'elle représente. Le

« paysage coloré des villes » suscite simultanément des sentiments de « mixophilie » et de

« mixophobie ». Interagir quotidiennement avec un voisin d'une « couleur culturelle »

différente peut cependant permettre d'apprivoiser et domestiquer une réalité qui peut sembler

effrayante lorsqu'on l'appréhende comme un « clash de civilisation »...

http://sspsd.u-strasbg.fr/IMG/pdf/Vivre_dans_la_modernite_liquide._Entretien_avec_Zygmunt_Bauman.pdf

 

Aujourd’hui, pourrait-on être encensé par les médias comme étant un des plus grands penseurs de notre temps en ayant un CV de gradé dans une unité SS Totenkopf ou dans la Gestapo ? Difficilement. Pourtant l’Hebdo n’a pas hésité à franchir le pas avec le cas du major du KBW Baumann. Dans l’Europe du début du XXIème siècle, on peut être participant actif du système de terreur totalitaire tout en bénéficiant du statut d’autorité morale. C’est d’autant mieux si on peut participer encore à détruire ce qui reste de sa propre société.

https://www.facebook.com/lhebdo/posts/1386569844686454

 

Jacques-Antoine de Coyetaux, 10.1.2017

 

 

 

5 commentaires

  1. Posté par Icing le

    Cette eglise est pathétique. Elle est devenue tellement liquide qu’elle s’evapore ! Elle c’est entichée de penseur qui ne sont que des post 68 aigrît qui veulent imposer par la force leurs idées soit disant progressistes tout en ayant laissé tomber la principale raison de son existence, la Réforme dont le precept est Sole Scriptura .( Seul l’ecriture Compte ) du coup les derniers fidèles ne la suivent plus il trouvent les réponses dans d’autres églises où vivent leurs foi seul ! Mais par force de loi ils doivent au travers de l’impot Obligatoire engraisser cette bande de gauchistes qui tel le vers dans la pomme détruisent le fruit du Père du Fils et de l’Esprit Saint

  2. Posté par UnOurs le

    « C’est d’autant mieux si on peut participer encore à détruire ce qui reste de sa propre société. »
    Précision, ce partisan de la « société liquide » ne veut pas détruire sa propre société, il veut détruire la nôtre.

  3. Posté par Dominique Schwander le

    Ah l’industrie du social et certains religieux idiots utiles!
    Ils feraient mieux de soutenir l’industrie productrice de notre pays qui peine.

  4. Posté par UnOurs le

    Ahurissant, mais je ne suis pas vraiment étonné.
    Quand on ose « allumer le radar », on voit venir ces choses de loin.
    Je retiens aussi le terme de « société liquide » comme un joli synonyme au concept de « planétarisme ».
    Devinette: quand vous êtes devant un promoteur de la « société liquide », essayez de lui énoncer ce qui chez lui doit rester « dur » et attendez la réaction…

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